Les quinze Psaumes des montées (Ps 120 à 134) étaient chantés par les pèlerins qui montaient à Jérusalem, la ville la plus élevée de Palestine. « Le trajet jusqu’à Jérusalem représentait une vie ascendante en direction de Dieu. » Comment réaliser cette montée sans céder au découragement, à la culture ambiante, sans tomber sous le coup des épreuves et des blessures de la vie ? Est-il possible de persévérer et d’obéir à Dieu jusqu’à la fin, et quels en seront les fruits ? Chanter les Psaumes des montées, explique l’auteur de ce livre, est une « manière d’exprimer la grâce merveilleuse de Dieu et d’apaiser nos craintes. Il n’existe aucun ‘‘chant pour la route’’ qui soit plus approprié que ceux-ci pour effectuer le voyage de la foi en Christ ». Chaque chapitre de ce livre est une étude de l’un de ces 15 Psaumes. Il ne s’agit pas d’exposés érudits mais plutôt de méditations pratiques qu’Eugene Peterson, pasteur et auteur, a écrites comme autant de conseils, d’encouragements, de panneaux indicateurs pour nous rappeler que nous sommes sur le bon chemin et qu’il serait dommage de nous arrêter en route.
Une plume talentueuse et fluide pour un livre de méditations pratiques qui pourrait devenir votre livre de chevet ou faire un beau présent.
Eugene H. Peterson was a pastor, scholar, author, and poet. For many years he was James M. Houston Professor of Spiritual Theology at Regent College in Vancouver, British Columbia. He also served as founding pastor of Christ Our King Presbyterian Church in Bel Air, Maryland. He had written over thirty books, including Gold Medallion Book Award winner The Message: The Bible in Contemporary Language a contemporary translation of the Bible. After retiring from full-time teaching, Eugene and his wife Jan lived in the Big Sky Country of rural Montana. He died in October 2018.
Je me réjouissais d'avance à l'idée de lire un livre traitant des psaumes des montées. C'est un sujet que j'estime glorieux et qui représente la marche du croyant vers la Jérusalem céleste.
A maintes reprises, mes pensées ne rejoignaient celle de l'auteur. Particulièrement au dernier chapitre qui à mon avis représente le summum de l'espérance chrétienne. L'auteur s'est mis à dire qu'il fallait adorer Dieu même si nous n'en avons pas le désir car c'est en le faisant que l'on devient... Peu importe les émotions... Je ne peux approuver cela. Nous sommes appelés à aimer Dieu de toute notre âme, de tout notre cœur, de toutes nos forces, de toutes nos pensées. Les émotions sont obligatoires.