Bernard Werber's "Ants" trilogy made him one of France's most popular science fiction novelists in the 90s. Werber began studying journalism in 1982 in Paris, where he discovered the work of sci-fi writer Philip K. Dick. In 1991 he published the novel Les Fourmis (Empire of the Ants), a complex fantasy novel in which ants were the heroes and humans the pesty antagonists. The novel became a cult hit across Europe, and Werber followed it with two other books in the same vein: Le Jour des Fourmis (Day of the Ants,1992) and La Révolution des Fourmis (Revolution of the Ants, 1995). His other books include L'Empire des Anges (Empire of the Angels, 2000) and L'Arbre des possibles (The Tree of Possibles, 2002).
Je suis un amateur de longue date de Werber. J'ai toujours aimé le petit côté philosophe de l'auteur. Depuis quelques livre, j'avais l'impression qu'il tournait en rond. Avec le miroir de Cassandre, j'ai l'impression qu'il a insulté mon intelligence. Ce livre, c'est un ramassis de toutes les idées de ses autres livres. C'est toujours le même sujet : les hommes sont décadents, alors cherchons la société parfaite.
Une autre chose que j'ai détesté dans ce livre est qu'il se plaint consentement du conformisme de la société moderne. Cependant, ses sociétés utopistes imaginées dans ses livres sont toujours avec des marginaux qui pensent tous pareil.
Tous les personnages de ce livre sont détestable. Il n'y en avait aucun auquel je pouvais m'attacher. Le pire personnage était Cassandre, celle autour de qui tout tourne. Tous les autres sont des déchets de la société.
Là où j'ai vraiment décroché c'est lorsqu'il a commencé à embarquer sur la prophétie des mayas et comme quoi la fin du monde serait en 2012. Come on Bernard!!! T'es capable de faire mieux que ça!!!
J'ai arrêté de lire le livre à 100 pages de la fin parce que je n'en pouvais plus de ce livre moralisateur qui tournait en rond et qui se répétait. À quelques reprises, j'ai failli cracher dans mon livre et le jeter aux poubelles. C'est sûrement dans mon top 3 des pires livres de ma vie!
J’ai passé par une grande gamme d’émotions par rapport à ce livre.
Au départ, le personnage principal, Cassandre, me faisait penser à un mélange de Juliette (Insaisissable - Tahereh Mafi) et de Carole (au travers de l’échiquier - Melena Khan).
L’écriture regorge de réflexions criantes de vérité à propos de l’homme et de son mode de vie, son évolution, la planète, la pollution, la politique et j’en passe. Le vocabulaire est majoritairement très recherché. Le style italique de l’écriture nous donne directement accès aux pensées de Cassandre. Il y a un aspect très politique et on ressent énormément le genre science-fiction. L’action se déroule assez rapidement.
On s’attache aux divers personnages autre malgré leur aspect très peu sympathique.
Éventuellement, vu la grosseur du livre, les longueurs arrivent, les réflexions philosophiques s’éternisent et on ressent une répétition de certains événements.
C’est ce qui a fait descendre mon appréciation parce qu’éventuellement c’était trop long, trop de réflexions...trop.
Des individus qui vivent dans un gros dépotoir
Cassandre fait des rêves prémonitoires Réflexions criantes de vérité sur l’homme sa consommation la politique Très philosophique Du beau vocabulaire L’action va rapidement On a accès à ses pensées (écriture en italique)
J'enlève deux points de cette évaluation en raison d'un manque de responsabilité en tant qu'auteur. Puisque personne (ou presque) ne semble en parler :
Monsieur Werber, la prise en charge de l'autisme en France n'est-elle pas assez compliquée de base ? Je trouve que dans un contexte similaire, un oeuvre, même si ce n'est que de la fiction pure, n'a pas lieu d'être : cela ne fait qu'entretenir le lobbying de la psychanalyse. Dire qu'un psychiatre diplômé des universités "les plus prestigieuses au monde" est psychanalyste, cela ferait bien rire les dites universités (et c'est aussi mentir aux lecteurs).
"J'étais pédopsychiatre, et moi aussi je m'occupais des enfants autistes. Ma spécialité était la guérison par les chevaux."
Parce qu'il y a qu'un tel pédopsychiatre pour "s'occuper" (et non pas "prendre en charge"), "guérir" le TSA, en plus avec des chevaux (il ne faut pas être spécialiste pour se demander quel est le lien entre le TSA et les chevaux). Cependant, je ne peux pas nier que c'est effectivement ce qui se fait en France.
De plus, cette phrase est très représentative du livre: j'ai vu certaines personnes dans les commentaires avoir du mal à comprendre si ce livre se base sur des théories scientifiques, de la magie ou de la science-fiction. La réponse est simple: c'est ce qu'on appelle une pseudo science. Cerveau gauche, cerveau droit, psychose... La communauté scientifique en a le vertige.
Je ne vais pas évoquer les autres défauts du livre, je termine seulement sur la représentation des règles de Cassandre - est-ce qu'il y a une seule personne qui a des règles et qui ne se sent pas insultée? On dirait un ado: "Non mais laisse, elle est pas d'humeur parce qu'elle a ses règles".
Mon seul espoir est dans l'idée que tout le livre ne fait que critiquer ces absurdités et aberrations et que j'ai eu une mauvaise lecture des propos.
Ça faisait très longtemps que je n'avais pas lu de Werber, le dernier en date doit être Le papillon des étoiles, il y a plus de dix ans. Que ce soit la saga des fourmis ou celle des Thanatonautes/Anges, mon esprit adolescent avait été absolument ébloui par le génie et l'immense culture de cet auteur. Alors soit j'ai grandi et passé l'âge où sa pensée et son écriture paraissent formidables ; soit il a énormément baissé en qualité depuis cette époque.
Je ne suis tout simplement pas entrée dans cette histoire, je n'ai pas accroché aux personnages, j'ai essayé de me rattraper au fil conducteur mais il n'arrêtait pas de disparaître sous les montagnes d'immondices au milieu desquelles Cassandre se réfugie... Bref, j'ai fini par survoler la deuxième moitié pour trouver vite fait les réponses aux questions sur le passé de Cassandre, et... mouaif. Tout ça pour ça. Le livre aurait pu être raccourci de moitié et moins bordélique, ça aurait été plus intéressant ; en fait, il aurait peut-être fallu faire un livre distinct avec l'histoire des habitants de la décharge, ça aurait mieux fonctionné.
Sinon, pêlemêle, j'ai été très vite agacée par 1) Cassandre qui décrit chaque personne qu'elle rencontre en fonction de sa ressemblance avec tel ou tel acteur ; 2) les parenthèses étymologiques fantaisistes (pour ne pas dire fausses). Alors oui on comprend à la fin que ces gimmicks relèvent du psychisme de Cassandre et de son autisme, mais... C'était pénible quand même.
Et d'ailleurs, la façon dont l'autisme est abordé dans ce bouquin me semble extrêmement malaisante, et apparemment PERSONNE n'en parle ??? Genre, la mère de la gamine l'a "rendue" autiste volontairement ? En... ne l'exposant pas à la parole pendant les 9 premières années de sa vie ??? Et Werber ne pense pas à mettre un mot sur ça dans sa petite conclusion sur son expérience de clochardisation qui lui a inspiré ce bouquin ? Je n'ai aucune idée de quelle est son expérience avec la neurodivergence en général et cette forme en particulier, mais je serai très très circonspecte si je le vois à nouveau aborder le sujet.
Bref, s'il y avait des thèmes profonds et intéressants dans cette histoire, ils étaient enfouis trop profondément sous les déchets pour que je les découvre, et l'expérience de lecture était plutôt désagréable. Dommage...
SF/F be normal about autism challenge [impossible]
I know France as a whole is weirdly psycho-analytic about autism but that does not make it any less weird. "Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison."
the numbers for chance of dying are way too large and make zero sense. if you are continuously at the purported baseline of 13% chance of dying in the next 5 seconds, your chances of surviving the next 24 hours are basically nil.
In general the whole thing with the watch showing your chance of dying is pretty underutilized, it's mostly reactive to what's happening as opposed to the characters actually doing anything with it and after the 14th time of "the number is inaccurate because there are no cameras here" it gets very tiring.
This entire review has been hidden because of spoilers.
Mon dieu, j'ai lu péniblement 40 pages avant d'abandonner. L'écriture n'est pas agréable du tout, Cassandre est insupportable (ainsi que le peu de personnages rencontrés). Cela faisait 10 ans que j'avais arrêté de lire du Werber car il tournait en rond avec les mêmes principes mais là c'est devenu encore pire !
Ce livre m'a été prêté je ne m'attendais donc à rien ni en bien ni en mal et j'ai au final été un peu déçue. Ça part d’une idée intrigante, mais le résultat est assez décevant. L’intrigue traîne en longueur et les réflexions philosophiques finissent par alourdir l’histoire. Les personnages manquent de profondeur alors qu'ils auraient tellement à raconter, et malgré quelques passages intéressants, le tout reste assez plat. Je n'ai pas détesté mais j'ai quand même eu du mal à aller au bout et les 100 dernières pages j'ai vraiment du me forcer mais ayant déjà lu presque 700 pages je ne voulais pas abandonner si près de la fin !
L'intrigue aurait pu être super intéressante mais que c'est lent, que c'est lent! L'auteur aurait pu écrire la même histoire en deux fois moins de pages, en évitant de se répéter toutes les 30 secondes. En plus la personnage principale est une vrai tête à claques. Une étoile tout de même pour le côté humoristique, et peut être pour le côté critique sociétal. Quoique... même pas. Beaucoup trop moralisateur à mon goût.
Вербер умеет удивлять. Каждая следующая его книга оказывается лучше, чем предыдущие, что не может не радовать. Действие этой книги на этот раз происходит не в далеком будущем, не в прошлом, не в космосе, не в рае, а в самом, что ни на есть настоящем - в наши дни. Герои обсуждают современное состояние политики, смотрят сериалы, такие как Лост, Отчаянные домохозяйки, Побег, читают в журналах свежие сплетни. Обстановка тоже очень и очень реальная. Париж описывается именно таким каким я его запомнила. Башня Монпарнас, Монмартр, Дефанс, Трокадеро, Елисейские поля, Люксембургский сад. Парижские катакомбы я легко могла представить по тому фильму с Пинк - "Катакомбы". Это было именно то место, в котором также проводились мрачные вечеринки. Поэтому читая, окунаешься в знакомые места, что делает повествование еще ближе к реальности.
Многие говорят, что у Вербера много самоповторов. Я наверное об этом уже писала, но я не считаю это минусом. Он просто путем повтора вещей, которые для него важны, пытается донести их до людей. Декарации меняются, а основные идеи - все те же самые. Книжка вписывается во все предыдущие циклы и из них нисколько не выбивается. Так что я не знаю кому пришло в голову написать на обложке "Вербер, которого вы не знали". Как раз здесь обратное утверждение будет верным - это именно тот Вербер, которого мы всегда знали, и те, кто его до этого знал, без труда это поймут уже с первых страниц.
Книга богата на цитаты. Я навыписывала себе в блокнот огромное их количество. В этот раз я в ней нашла намного больше того, что близко мне. Здесь собрано много порой противоречивых мыслей, но в целом получается бесценный источник на практически все основные животрепещущие темы Вербера. И соответственно на мои тоже. Мой взгляд на мир отличается от большинства представителей общества, а в некоторых сферах со мной возможно никто не согласится, ибо это очень расходится с общественным мнением. У меня нет единомышленников, поэтому я испытываю почти радость, когда нахожу в книгах то, о чем сама думаю. Когда книги могут разделить со мной мои убеждения. Мы слушаем ту музыку, смотрим те фильмы и читаем те книги, в которых находим отражение себя, своих чувств и эмоций. И именно за это мы их любим.
На первый взгляд может показаться, что книга не относится ни к какому циклу. На самом деле так и есть, но внимательный читатель найдет в ней прямую связь с "Последним секретом" и "Звездной бабочкой". В отношении первой - связь, что ни на есть прямая, ибо здесь есть персонажи из той книги, а в отношении второй - герои читают эту книгу. Книга в книге. Вербер сам же описывал этот литературный прием в энциклопедической статье в "Тайне богов". И здесь как раз раскрывается двойственный конец "Звездной бабочки".
Структура произведения не имеет стандартных рамок, таких как вступление, кульминация, развязка, заключение. Повествование просто плавно плывет, заставляя следить за развитием событий. И в очередной раз Вербер создает такую интригу, которую не разгадать до самого конца. В процессе чтения книги невозможно представить чем она может закончится. Это то, что цепляет больше всего. Ты просто проживаешь жизнь вместе с героями, параллельно с ними. Следишь за их приключениями и гадаешь ЧТО же может быть в конце. Возможно по книге получился бы неплохой фильм, хотя внешне он был бы не очень лицеприятным.
О чем же все-таки книга? Она о двух противоречивых понятиях. Одно из них - это грустная констатация того, что мир уже дошел до критической точки и человечество стремительно катится вниз по наклонной, падение которого остановить невозможно. Что в будущем все будет только хуже до того момента, когда для новых поколений уже не останется среды обитания. Но Вербер не может отказаться от второго понятия, которое заключается в том, что даже ОДИН человек способен изменить будущее к лучшему. "Капля переполняет океан". Не нужно сдаваться, не нужно опускать руки, ведь с каждым хорошим поступком доля процента благополучного будущего становится больше. Вербер описал будущее, которое может быть у человечества. В нем человек живет в гармонии с природой, бок о бок с животными, все люди вегетарианцы, они занимаются йогой и медитацией. И живут они долго, потому что у них нет стрессов. Нет браков, нет собственности, никто никому не принадлежит, большую часть населения занимают люди зрелые. Вероятность такого будущего всего 1,3%, что ничтожно по сравнению с большей долей того "черного" будущего. Но мы творцы своей жизни и если захотеть, то можно все изменить. Наивно и утопично? Как знать...
Я для себя открыла удивительную вещь, о которой я раньше не задумывалась. Она исходит из этого диалога:
- Напомню тебе, что ты предотвратила два теракта. - Подумаешь, тоже мне заслуга! А сколько неприятностей мне это принесло... - Души потенциальных жертв взрыва знают, чем они тебе обязаны. И они тебе благодарны. Они помогают тебе без твоего ведома. - Я не верю в эти вещи. - Они помогают даже тем, кто в них не верит.
Я тоже не верю в мистику, но ни с того ни с сего мне стало как-то спокойнее. Появилось какое-то внутреннее спокойствие. Люди часто не делают определенных вещей, потому что они боятся быть неоцененными. Каждый хочет получить какую-то награду за свои поступки. Или хотя бы похвалу. Мало кто согласится помочь во второй раз, если в первый раз ему даже не сказали спасибо. Но вдруг и правда, те, кому мы помогаем, чувствуют эту помощь, даже если о ней не знают. Я всегда верила в то, что если о ком-то думать хорошие вещи или их говорить, то положительная энергия передастся тому человеку, даже если он очень далеко. Именно поэтому я всегда искренне поздравляла с днем рождения моих кумиров, веря в то, что мои поздравления дойдут до адресата, даже если адресат их не услышит лично из моих уст.
Кассандра была безапелляционна, но она мне нравится: "Я знаю, что я права. Все остальные ошибаются". Удивительно то, что ей 17 лет. У нас в этом возрасте девушки считают себя уже такими шибко взрослыми, самостоятельными и разумными. А в книге все к ней относятся как к ребенку. Она - "девчушка", "малышка", "малявка". Видно во Франции другие возрастные рамки.
В заключении определенно могу сказать, что книга оставила после себя глубокое впечатление, под которым я до сих пор нахожусь. Словно я поглотила нечто важное и сохранила бесценные знания у себя в голове.
Bof, bof et bof ... Je n'ai pas trop compris le but de cette histoire, ni le titre, ni le message (s'il y en a un), ni le style, ni les caractères. Cassandre est une jeune fille qui voit le futur mais que personne ne croit, et pour essayer de faire comprendre à ses contemporains le risque que l'humanité encourt, cherche les réponses dans son propre passé. En résumé, Cassandre cherche qui elle est, et dans sa quête, entraîne quelques personnages tous plus improbables les uns que les autres. Le récit est lent, long, répétitif et ennuyeux.
Encore une fois, Werber signe un superbe roman, moins d'anticipation que les autres que j'ai lu de lui. Néanmoins, au contraire de mes autres lectures de l'auteur, cet ouvrage ne se signe pas d'un coup de cœur... L'invitation à réfléchir est toujours là et réussit magnifiquement son travail de nous faire entrevoir la multitude de futurs possibles.
Тринадцатой(13), счастливой, книгой пополнилась моя коллекция Бернара Вербера. Осталась еще парочка - и можно смело звать Вербера в гости на встречу с читателями и афтограф-сессию. Думаю, он меня возненавидит :) Ну да ладно.
Восхитительное, впрочем, как всегда, "Зеркало Кассандры" занимает почетное место на полке. У меня уже сложился такой примерный портрет автора: он трезво смотрит на мир, четко видит существующие проблемы и свято верит в то, что люди могут всё изменить, только если захотят. Поэтому все свои идеи по спасению планеты Земля Вербер и переносит в книги в надежде, что читатели организуются в фан-клуб и пойдут делать жизнь всех людей счастливой. Каким бы идеализированным романтиком ни казался автор, я все равно его люблю, потому что каждый роман заставляет думать. Беспрерывно на протяжении всей книги. Мозгу отдыха нет. Даже если вы не пытаетесь предугадать дальнейшее развитие сюжета, не думаете над очередной загадкой и не строите какие-нибудь планы, вы все равно думаете о чем-то очень важном для вас. И это хорошо.
"Зеркало Кассандры", как и предыдущие книги Вербера, остросоциальное произведение. В этот раз товарищ Вербер высказывал свои страхи и переживания насчет тем, которые очень близки всем и каждому. Темы разноплановые, из разных сфер, но каждая из них важна по-своему. Проблема отцов и детей( вечная у Вербера), катастрофический рост количества мусора, люди без определенного места жительства, непредсказуемая штука судьба и терроризм. Что удивительно: очень интересно происходил процесс чтения. Когда я читала какую-нибудь главу и там была какая-нибудь важная тема, это вдруг проецировалось на мою реальную жизнь. Сначала я читаю про бо��жей и то, что их привело к таокму образу жизни, а затем вижу на центральной станции метро человека,которого бомжом назвать сложно, но все-таки.. Он сидел на полу,относительно прилично одетый, чистый, плакал, одной рукой закрывая лицо,а второй держа табличку "помогите попасть домой" и паспорт гражданины Украины. Издалека кажется,что сидит обычный бомж-попрошайка,которому на бутылку не хватает, а когда проходишь близко от него, на всех парах мчась на поезд, за секунду улавливаешь надпись на табличке и сердце падает в пятки. Бежишь дальше, остановиться не можешь, привык же. Но такое паршивое чувство накатывает..А тут еще и Вербер. И вторая тема - тема терроризма. Как раз в эти дни обнародовали новость о том,что казнили одного из 'террористов' Минского метро. Да и сама ��нига волнующая. Задает читателю простые вопросы, на которые довольно сложно дать моментальные ответы. Для чего я родился? Должен ли я быть таким,каким меня хотят видеть,или таким,каким я сам хочу быть? А каким я хочу быть? Что хорошо,а что плохо? Кто устанавливает рамки? Над всем этим сидишь и,иногда отвлекаясь от сюжета, паришь мозг на протяжении хорошего такого периода времени.
В общем и целом ситуация знакома и что делать, все знают. Идти, читать и вдохновляться на подвиги. Менять мир и не обращать на людей внимания. Снизить планку и стать собой. Дышать полной грудью. И становиться образованнее, в конце концов:)
Люблю Бернара Вербера за его стиль повествования: лёгкий, мистический, временами наивный, но очень познавательный и располагающий к размышлениям. Писатель как всегда поднимает в книге остросоциальные проблемы: перенаселение планеты, бродяжничество, бездомные животные, торговля людьми, терроризм во всех его проявлениях... Нравится то, как структурирована книга: в ней много глав, но некоторые из них маленькие, состоят из одного предложения - всё это задаёт свою динамику и ритм, чувствуешь, что находишься вместе с героями здесь и сейчас. Мысли Кассандры выделены курсивом: это ещё больше сближает с главной героиней - ты постепенно начинаешь понимать её логику мышления (которая точно далека от обыденной) и можешь предсказать то, как она почувствует себя и отреагирует в той или иной ситуации... Я прочитала первую половину книгу на одном дыхании. И меня совершенно не смущала та солянка, которую замутил автор: бомжи, будущее, теракты, цыгане, албанцы, аутисты, троянская война, этимология слов... Да, всё это звучит как какой-то бред, но я всегда восхищаюсь умением Б. Вербера сочетать несочетаемое и (самое удивительное!) пробудить у читателя симпатию и / или эмпатию к чему-то тому, что обычно вызывает отвращение или ненависть. Уверена, что многое теряется при переводе книги, так как писатель как истинный художник использует всю палитру слов и играет с их оттенками. :) К сожалению, вторая половина книги далась не так легко. Ощущалось, что сюжет высасывается из пальца. Герои постоянно попадают в опасные и безвыходные ситуации, из которых они всегда выбираются: добро побеждает зло на протяжении всей книги. Всё это как минимум становится слишком предсказуемым, излишним, оттягивающим непосредственно развязку сюжета. Мне было смешно читать о гениальном Даниэле Катценберге и его часах, прогнозирующих вероятность смерти. Покоробила идея жителей Искупления, также выдающаяся автором как гениальная, создать виртуальное дерево с разными сценариями будущего и вероятностями их возникновения... В такие моменты во мне просыпался яростный критик. Честно, создалось впечатление, что автор, не разбираясь особо в теории вероятностей, решил удивить незнающих читателей и сделать сюжет более сложным и "научным" (ведь не зря же в книге есть формулы времени падения тела). В итоге вместо гения-писателя понимаешь, что король-то голый!.. Бернар Вербер - писатель, обладающий своим стилем и шармом. Но, к сожалению, вся его магия становится уж слишком предсказуемой и поверхностной... Да, эта магия не пропадает. Возможно, некоторым читателям этого достаточно, но я уверена, что Б. Вербер способен на большее. :)
M'a pris du temps, mais j'ai aimée ce livre, écrit du point de vu (pour la plupart en 1r personne, mais parfois d'un troisieme proche quand ce n'avait pas traitait de la protagoniste) d'une jeune fille autiste qui ce trouve sa place dans le monde. Ce conte de jeunesse la trouve en train de se trouver dans un endroit assez étonnant d’où travailler en sauver le monde. Ce que j’aime le meilleur s’était que ce sont le gens les plus improbable qui fondent ce travail, et que tout l'histoire ce trouve dans un monde ou on est rappelé plusieurs fois de ne pas juger ni un livre ni une personne par son couvre, tellement pestant que se soit. I trouve ce livre particulièrement important à lire pour les chefs et aussi pour le citoyens de tous les pays pour faire penser.
It took me a while, but I really liked this book, written from the PoV (mostly 1st person, but sometimes close third when not the protagonist) of a young autistic woman finding her place in the world. This coming of age story has her finding a rather surprising place from which to work on saving the world. The best part about it is that those doing this work are the absolute least likely people you would expect, and the entire story is set in a world in which we are reminded over and over again not to judge a book, nor a person, however smelly, by coverings. I find this book particularly important for all policy-makers and concerned citizens of any country to read and ponder.
Parler de ce livre est assez compliqué, tout comme le livre.
On connaît Bernard Werber pour sa série des fourmis ou de romans de science-fiction (pas toujours très réussis); Le miroir de Cassandre est atypique et ne s’inscrit dans aucune autre de ses séries.
Sous couvert d’une histoire à tendance science-fiction d’une petite fille amnésique découvrant une montre donnant la probabilité de mourir dans les 5 secondes, Bernard Werber offre à nouveau un livre réflexion sur la place de l’Homme dans le monde, son impact sur la nature et son devoir de réaction pour pouvoir continuer à vivre sur cette Terre. Alternant donc aventures et réflexions, ce livre est tout de même agréable à lire, ne sombre pas dans un essai écologique.
La force de ce livre réside dans les personnages : originaux (des clochards), aux personnalités bien trempées, au vocabulaire haut en couleur, aux passés chargés et tourmentés. Ils sont touchants dans leur malheur, attachants avec leurs grands cœurs, émouvants dans leur vécu.
Notons que l’auteur se joue de lui en faisant des références explicites à certains de ses précédents romans comme L’arbre des possibles (dont le site Internet attenant existe toujours).
La version audio n’est pas une simple lecture, c’est une véritable théâtralisation : lecture faite par plusieurs artistes, jeu, modification des voix en fonction des personnages, bruitage. On est littéralement projeté dans l’histoire. Le seul point négatif est le niveau sonore inégal entre les différentes voix nécessitant l’adaptation incessante du volume de votre radio, et ce d’autant plus si vous avez un bruit environnant comme en voiture.
Déception... Dans le Miroir de Cassandre, Bernard Werber nous ressort encore une fois ses éternels dictons et autres théories pseudo-philosophiques, qu’il recycle inlassablement de roman en roman. Bon, certains sont plutôt pertinents et font mouche, et en particulier ce proverbe que j’adore :
Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison
Le vrai problème, c’est qu’il commence à radoter, Bernard. On a donc non seulement une sensation de déjà-vu par rapport à ses autres livres, mais également une sensation de déjà-vu qui s’installe très vite à l'intérieur même du roman, car les aventures et rebondissements sont extrêmement répétitifs et suivent toujours le même schéma. Sur un roman de 350 ou 400 pages, ça serait passé, mais Le Miroir de Cassandre fait quasiment 800 pages, imaginez la lassitude... Quand aux personnages, bof bof. Cassandre est agaçante, et ses compagnons d’infortune sont tous vaguement caricaturaux, rien à sauver de ce côté-là. Le pire c’est que le choix des thèmes est très louable : l’exclusion, la différence le développement durable, l’écologie, l’avenir de l’humanité… Mais en ce qui me concerne la sauce n’a pas pris, c’est long, c’est délayé, ça traîne en longueur, c’est répétitif et incohérent, bref, je suis déçue.
Старина Вербер. Помню, я эту книгу читал в далеких годах, начала 10х. И мне стало любопытно сравнить ощущения именно об этой книге, которая сплела все твои предыдущие истории, и даже те, как оказалось, которые ты написал позже (кроме книг про Кошек, их я еще не читал, но и не думаю, что они тут имеются)
Эта книга, так хорошо начинающаяся, в середине просела. Не потому, что она себя на этом отрезке чтения изжила и превратилась в скучное ничто, а потому, что Автор увлекся с небывалой силой урагана из «Волшебника страны Оз» своей старой идеей, своим тухлым сайтом, который уже никто не посещает. И это стало большой трагедией для Кассандры и ее друзей, бомбой, которую никому так и не удалось обезвредить последними главами, которые уже были смешными.
Извини, старина, но книга не удалась ни тогда для меня из прошлого, ни сейчас, для меня настоящего
Je ne sais pas ce qui se passe entre Bernard Werber et moi mais je pense que le divorce est sur le point d'être prononcé. J'avais tant aimé les premiers romans, mais que s'est-il passé ? Ici, nous accompagnons une jeune femme à la découverte de sa personnalité et de ses pouvoirs. Si l'idée de base est bien trouvée, l'entièreté du roman est une succession de lieux communs, de démonstrations de violence, de vulgarité et d'autopromotion... On frise le caricatural, j'ai eu beaucoup de mal à arriver au bout de cet ouvrage !
Бред сивой кобылы в лунную ночь. Всё перемешали в одном котле: и Дарвина, и Библию, и Дена Брауна, древнюю Грецию, современную Францию, теракты, конец света, инопланетян, бомжей, гадалок... Автор никак не может определиться с тем, в каком году происходят события! Герои не вызывают ни симпатии, ни антипатии. Они как вата. Некоторые дохнут - никого не жалко! В конце книги внезапно всплывает абсолютно непонятный мне сексизм... Жаль потраченного на эту книгу времени.
Um bom livro sobre uma moça que sonhava com o futuro.
Três partes: o início interessante, o meio monótono e o final rushed com soluções por demais forçadas.
A ideia é interessante: dois irmãos com poderes premonitórios, cada um do seu jeito. Ele, adquiriu sucesso na vida. Ela, sempre a rejeitada e desacreditada; seus únicos amigos verdadeiros são outros párias que moram no depósito de lixo.
Не самое лучшее произведение Вербера. Хотя интересные мысли есть, и немало, одну треть книги легко можно вычеркнуть ибо это повторения одного и того же. Например, в книге раз тридцать сказано, что главная героиня приносит несчастье всем, кто ее окружает. Огромное количество страниц - описание снов Кассандры. Большинство из них никак не влияет на развитие сюжета и не содержит ничего интересного. С середины просто пролистывать их начала. Скучновато и затянуто без надобности.
Этот роман читался как-то тяжелее, чем Пандора, то ли из-за сеттинга, пахуче-тягучего, то ли из-за героини с отвратительным характером и малым умом. Если я буду когда-нибудь советовать книгу о форсайте, то эта будет первой. Восхитительно передана сама идея форсайта, хоть местами и мистически объясняется. Сейчас, конечно, особенно жарко стало, когда по сюжету должна была начаться эпидемия чумы по всему Парижу минимум)
J'aime généralement la plume de de Bernard Weber, mais hélas je ressors déçue de ce roman. C'est dommage, car de nombreux éléments font écho à notre société actuelle et nous fait réfléchir à ses problèmes. Cependant, je ne sais pas si c'est le personnage principal qui m'a souvent agacée ou les longueurs du récit qui finalement ont fait que j'ai vraiment eu du mal à terminer le livre. Du coup ça ne sera que 2 étoiles.
Excellent. Les personnages sont recherchés et tres bien développés, l'intrigue tient en a haleine jusqu'aux dernières pages et cette lecture propose une vision de la société particulière : nous suivons une jeune sdf avec ses amis, sdf aussi, mais surtout tous reclus de la société. Ce roman est une facon de les humaniser, en plus d'être une épopée quelques peu surnaturelle mais surtout aventureuse qui vous accroche du debut à la fin.
This entire review has been hidden because of spoilers.
Ouh la la Que c'est lourd, que c'est mal écrit!.. Même lu en diagonale on s'ennuie Pontifiant 600 pages qui n'en valent pas dix, c'est dire le temps perdu On dirait un livre de commande écrit à contrecoeur Sans doute à peine relu. Quelques aphorismes savoureux en particulier sur les chats C'est tout Alors qu'il y a tant de belles choses à lire par ailleurs....