Le retour du phénomène Méto. Un nouveau roman qui peut se lire indépendamment de la trilogie culte. Méto est celui qui a libéré les " Maisons ". Ces lieux terrifiants où l'on enfermait les enfants que leurs parents avaient été forcés d'abandonner. Aujourd'hui Méto a 17 ans. Considéré comme un héros par les siens, il est recherché sur tout le continent. Lorsque sa petite sœur est kidnappée, il accepte le marché des ravisseurs : être enfermé vivant dans un cercueil avec la rançon, et livré en Zone contaminée... Il y rencontrera Ursina, l'espionne, Nestorius l'ancien monstre-soldat et Joe. Trois personnages à retrouver dans les BD.
C’est un plaisir de retrouver le personnage de Meto mais je suis d’accord avec les différents avis qui disent que tout s’enchaîne beaucoup trop vite. Certains passages auraient mérité de durer plus longtemps (comme dans le cube ou bien la mine). Les différents événements sont résolus trop vite et trop facilement. Certaines grosses questions restent en suspens (comment l’armée a-t-elle toujours été sur les talons de Méto ? C’est louche…) mais peut-être qu’elles trouveront une réponse dans un prochain tome ? En tout cas, l’écriture d’Yves Grevet est toujours aussi agréable et j’ai passé un très bon moment.
Après une trilogie à résoudre les mystères de cet univers, ce nouveau roman n’en apporte pas vraiment plus. Sans ce plaisir de la découverte, mon intérêt à lire reposait davantage sur la mise en danger de personnages qu’on avait appris à connaître et aimer pendant les 3 précédents livres.
Cette dynamique m’a beaucoup moins plu. Peut-être était-ce le rythme rapide qui ne me permettait pas de me sentir connecté aux personnages (et de craindre leur disparition) ?
Il n’en reste pas moins que la fin est émouvante ! Bravo pour tout le travail accompli.
Quelle joie de tomber par hasard sur ce nouveau tome en parcourant les rayons de la librairie ! Il est vrai que tout s'enchaîne vite dans ce tome mais ça ne m'a pas dérangée. Ce qui m'a plus embêtée c'est l'expression des personnages que je trouve trop littéraire. Qui s'exprime ainsi oralement dans la vie ? Ça rend les dialogues moins crédibles et ça me sort de l'histoire mais peut-être est-ce dû au fait que je lis rarement en français ?
Un plaisir de retrouver Méto et toute la bande, de retrouver l’écriture de Yves Grevet mais aussi cette histoire prenante. Malgré tout ça je ne peux m’empêcher de penser que tout s’est déroulé trop vite… L’histoire est bien construite mais les résolutions se font rapidement, TROP rapidement. J’en aurai aimé plus mais c’est sur une fin plus que touchante que se clos l’univers de Méto. Je suis ravie d’avoir eu une suite à cette trilogie qui m’a tant absorbée.
Je ne met pas 5 étoiles même si j’ai énormément aimé, simplement parce que je reste beaucoup sur ma faim, 270 pages c’est trop peu pour ces retrouvailles avec Méto. Ça aurait mérité bien 500 pages pour ne pas avoir l’impression de survoler cette nouvelle étape de sa vie, qui était pourtant pleine de potentiel peu exploité du coup..
La saga Meto continue avec ce hors série ! La trame est bien mais l'histoire mériterait d'être une trilogie et non un seul livre. On passe vite sur des moments qui méritent plus d'attention. Cependant si vous avez aimé Meto cela reste une valeur sûre.
J’aime toujours autant l’univers et le personnage de Méto, mais l’intrigue m’a semblée cette fois-ci moins surprenante et moins complexe que la trilogie du même nom. J’ai eu l’impression que de nombreux événements se succédaient, sans plus.
Avec ce genre de roman qui réouvre une série terminée depuis longtemps, j'ai personnellement toujours peur d'une histoire trop factice écrite pour relancer les ventes. Ici, j'ai été très agréablement surprise par l'intrigue : elle prolonge parfaitement la trilogie originale. Le but des personnages principaux, un peu fade au début, prend vite beaucoup de sens. Il ne dénature pas du tout le contexte précédemment établi, ni les relations entre les personnages. Le nouveau décor s'intègre dans la logique globale de l'univers, et la réutilisation d'anciens personnages est plutôt bien amenée.
En revanche, mes critiques sont nombreuses. C'est avant tout le rythme qui fait ici cruellement défaut au roman. Tout s'enchaîne à une vitesse affolante, ne laissant ni le chagrin ni le suspens s'installer ne serait-ce qu'un instant. Rien ne semble avoir d'impact, et on assiste sans émotion à ces scènes qui défilent, toutes mises sur un pied d'égalité temporel : les siestes font le même nombre de pages que les batailles décisives... C'est pourtant l'atmosphère qui faisait pour moi la force des premiers tomes, or ici on ne lui laisse jamais aucune chance de fleurir. Je mentionne aussi brièvement d'autres lourdeurs : les renvois trop nombreux et sans subtilité à la trilogie originale et le manque de crédibilité du Méto de 17 ans -surtout lorsqu'il se réfère à Caelina "ma copine", "ma copine" 🙄.