Ce que raconte Le Vent du soir, c'est une histoire dans l'Histoire. L'action commence vers le milieu du siècle passé ; la scène, le monde : du Brésil à Venise, de la Russie aux Indes, en Afrique du sud, en Ecosse, à Vienne...Les personnages, dont un grand seigneur russe, une négresse de Bahia, un jeune juif polonais, un dictateur d'Amérique du Sud, une française égarée à Saint-Pétersbourg, Verdi...vivent des passions dévorantes, des aventures e cascades, des coups de tête, des coups de cœur, des coups du sort et même des coups de théâtre.
Jean Bruno Wladimir François de Paule Le Fèvre d’Ormesson est un écrivain, chroniqueur, éditorialiste et philosophe français. Ancien élève de l’École normale supérieure. Agrégé de philosophie. Directeur général du Figaro de 1974 à 1977. Secrétaire général, puis Président du Conseil international de la philosophie et des sciences humaines à l’UNESCO. Élu à l‘Académie française, le 18 octobre 1973, au fauteuil de Jules Romains (12e fauteuil).
Jean Bruno Wladimir François de Paule Le Fèvre d’Ormesson is a French writer, journalist, columnist and philosopher. Alumnus of the École normale supérieure. Degree in philosophy. CEO of Figaro from 1974 to 1977. Secretary-General, then President of the International Council of Philosophy and Human Sciences at UNESCO. Elected to the Académie française (French Academy), October 18, 1973, chair of Jules Romains (12th chair).
J'ai terminé ce roman juste avant le décès de Jean d'Ormesson. L'histoire est intéressante, mais je n'aime pas trop la manière d'écrire. Peut-être lis-je trop souvent en anglais? Part exemple, je n'apprécie pas trop les énumérations de noms qui semblent n'être là que pour démontrer la culture générale de l'auteur.
Un petit bonbon de Jean d’Ormesson trouvé pendant les vacances à Bellemont d’Uriage, une sorte d’Au Plaisir de Dieu mais avec des histoires qui s’inscrivent dans la Grande Histoire. Il y a des rebondissements mais une certaine forme de dilettantisme à sauter sans cesse d’une histoire à l’autre qu’on a bien du mal à suivre malgré le plaisir de lire Jean d’O et de baigner dans sa culture générale