« De la capitale au Pacifique, sept cents bornes d’une traite et l’aube sur la route tortueuse. Nous ne voyons pas encore la mer. La sainte mer.
Prendre la route, c’est traverser – passer par-delà le Bien et le Mal. Les barbelés de l’esprit tranchés, on continue de rêver assis sur des ruines, on continue d’écrire après la fin du monde.
C’est une sale histoire de serpent avec un nom trompeur Ça s’appelle la V.I.E.