A genre-bending speculative look at a dark future, Valid shares the story of one trans woman leading a revolution. This is a mutiny. If our mutiny is to succeed, I must name things well, without diversion. Lacking this, you will not deviate from your certainties. Here it is: I am trans. As in transgression. I have broken genres. I have removed myself from the rules. I am trans. As in translation. I have dragged the elements that make up my person from one state to another. My geometry is variable. And tonight, I am a revolution. /warning: code red… fetch-query protocol enabled… transmission failed… standby/ Set in a disturbingly transfigured Montreal in the year 2050, Valid is a monologue delivered over the span of eight hours by Christelle, a seventy-year-old trans woman forced to live as a man in order to survive. Speaking to her captor, an ever–more powerful AI, she turns the tables and mounts her own revolution by showing her truest self. Part autofiction, part dystopic speculation on an all-too-possible future characterized by corporate power, ecological collapse, and political havoc, Valid is an ambitious work that is as much philosophical as it is confessional.
I read this book in French, if an English translation exists, I cannot speak to its quality. Reviewing in English because that's the language most of my friends and followers here speak.
Almost all of this book is in the form of a long monologue in which the main character speaks to an artificial intelligence, which was both great and a little tedious at once.
The main character is flawed in way that whether we like it or not should be all too familiar to most of us, she's a little bit of a coward, prone to picking comfort over what's right, we can't blame her but it's hard to like her sometimes.
It's a boring dystopia which is my favorite type and I did enjoy the way the author dealt with questions of the bias that is built into tech and the need to become invisible to survive, I thought it was all done very intelligently.
Je ne suis pas une grande fan d’histoire futuriste. Mais sortir de ma zone de confort une fois de temps en temps, ça me fait du bien.
Avec Valide, j’ai découvert que la science-fiction et l’autofiction pouvaient faire bon ménage.
Bien que j’aie davantage aimé le côté intime du livre, j’ai apprécié me retrouver en 2045. Je dois avouer que par moment, j’ai trouvé assez effrayant le futur imaginé par l’autrice. Un futur où, David, une intelligence artificielle, contrôle tout. Vraiment tout. Un futur où la différence n’a pas sa place.
Malgré les quelques longueurs, l’histoire de Christelle est captivante. Le rapport au corps, l’acceptation de soi et la quête du bonheur sont au coeur de ses confessions. Elle n’exclut pas les moments plus sombre de sa vie. Les agressions, les violences dont elle a été victime.
La fin est renversante. L’autrice laisse présager qu’il pourrait y avoir une suite.
Trans-1984. j'ai adoré du début à la fin, le mélange des genres qui prend aux tripes avec une tension grandissante qui se termine avec une bonne dose d'épique.
l'autrice navigue entre les genres dans tous les sens du terme et c'est complètement jouissif.
Je suis déçue d’être déçue… Parce que j’ai trouvé ce livre très bien écrit, parce que plusieurs réflexions, anecdotes quant à la transidentité étaient très intéressantes, faisaient réfléchir.
Mais bonyenne que le côté « science-fiction », cette longue conversation avec une intelligence artificielle… quessé ça? Je trouvais que ça n’apportait absolument rien au récit …
Et la fin, quand on quitte le récit pour aller vers un truc futuriste à la Big Brother… j’sais pas, j’ai rien compris. Ou plutôt j’étais totalement désintéressée 😒
J'ai beaucoup aimé ce roman SF constitué d'un long monologue avec une intelligence artificielle qui a pris le contrôle de l'humanité. Discussion sur la liberté, l'identité et surtout la transidentité. J'ai apprécié la plume ainsi que le format du texte. Un peu d'exposition, peut-être, mais ça a très bien passé pour moi!
Pas mal pas mal, j’aime bien comment ça été raconté. Pas sûr d’avoir compris les bouts de science fictions tho, ni la fin mais c’était nice et perso les pages se tournaient bien
Une lecture franchement étonnante! J'ai bien aimé et les pages se tournaient toute seule... Vraiment original pour une autobiographie. La seule chose que j'ai moins aimée est qu'il n'y ait pas de séparation en chapitres parce que c'est plus difficile de trouver un moment où arrêter ta lecture si tu ne le lis pas d'une traite.
Un « roman autobiographique de science-fiction » : le sous-titre a de quoi intriguer… et il est très fidèle au contenu de ce superbe roman.
En 2045, Christelle a 75 ans et vit dans une résidence pour personnes âgées, sous la surveillance d’une IA totalitaire, David. Christelle est là pour lui confier ses souvenirs, ce qu’elle va faire… mais certaines vérités ne sont pas bonnes à entendre pour David, notamment le fait que Christelle est une femme transgenre qui a été forcée de détransitionner et de se remettre à vivre sous son dead name et son genre assigné à la naissance.
Le roman est presque entièrement constitué d’un dialogue entre Christelle et David, la première ayant la parole la majorité du temps. La première moitié du récit se rapproche fortement d’une autofiction classique, alors que Christelle relate son enfance en France dans les années 70 (à l’époque où elle était encore perçue comme un garçon), son arrivée au Québec, son parcours de vie chaotique et sa transition de genre… Puis, sans qu’on y prenne garde, le récit dépasse le temps présent pour nous conter un futur dystopique où catastrophes climatiques s’enchaînent et où la seule solution viable semble l’avènement de David. Mais avec David, mieux vaut ne pas dépasser des cases…
Par cette forme atypique, le roman fait un pont étonnant entre littérature blanche et littérature de science-fiction. Et c’est tellement réussi que je le conseille tant aux amateur·ices de pure SF qu’aux lecteur·ices de littérature générale qui voudraient s’essayer à la SF – ou même à celleux pour qui la SF n’est pas spécialement leur tasse de thé.
(Je n’avais encore jamais pris la peine de critiquer ce roman que j’ai pourtant adoré, lacune que je répare à l’occasion de la sortie de la suite, Vandales – suite apparemment non prévue par l’autrice au moment de l’écriture de Valide, mais qui n’a rien à lui envier en termes de qualité.)
Je vais être honnête : en lisant Valide, je me suis demandée à de nombreuses reprises où la narratrice allait nous mener. Christelle fait le récit de ses souvenirs à Total David, une intelligence artificielle, débutant à l’enfance jusqu’au moment présent. J’étais un peu décontenancée par le fil de son histoire, cherchant à comprendre où ses souvenirs allaient me mener, que lorsque le dénouement final est arrivé, j’étais estomaquée! ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ Chapeau à Chris Bergeron d’avoir écrit ce roman qui m’a gardé captive jusqu’à la fin, qui m’a totalement surprise! Valide est un intéressant mélange de science-fiction et d’autofiction. Ce n’est pas un mélange que j’aurais anticipé mais le résultat est génial! On m’a dit qu’une suite serait en route et j’ai bien hâte de voir où l’autrice nous mènera!
Je n'ai pas lu assez de littérature québécoise cette année, mais je suis certain que ce livre demeurerait mon coup de coeur même si j'en avais lu plus.
Ce roman est un alien.
C'est l'autobiographie de l'autrice, une femme trans. Sauf que sa vie est racontée depuis un point dans le futur, et son public est une Intelligence Artificielle.
La première moitié du livre est donc, en quelque sorte, une autobiographie classique, qui se transforme peu à peu en roman de science-fiction à mesure que l'on dépasse notre présent pour rejoindre celui de la narratrice.
Et, chose rare dans la littérature québécoise, les éléments de science-fiction sont pris au sérieux. Ils ne sont pas simplement saupoudrés par dessus un récit de littérature générale.
4.5. This book is a monologue spoken by an elderly trans woman to a dictator AI (think Ellison’s AM, but way less caustic).
Wonderfully creative concept and I loved the execution, though a specific part of the very end fell a bit flat for me. I still devoured it in half a day, so I’m rounding up my score.
Étonnant roman! L'autrice mélange les "genres" et propose ici un livre hybride entre l'autofiction et la science-fiction , tout en éclaboussant nos certitudes et les regards d'une société obsédé par les étiquettes ! Bravo , impatient à la suite des choses !
Quelques bons flashes dans ce roman qui souffre de surexposition et de didactisme. « Nous sommes en 2045, je sais que tu le sais, mais je le dis quand même pour en informer les lecteurs.trices. » C’est comme ça du début à la fin.
Dans ce roman autobiographique de science-fiction, Christelle se confie à Total David, une machine du futur, sur sa vie. On peut mieux comprendre sa vie et sa transition à travers ce long monologue.
C’est un bon livre, je crois juste que ce n’était pas le bon pour moi. Le style monologue sans chapitres m’a déstabilisée. Je ne suis pas fan de science-fiction en général non plus et c’est un aspect important du roman.
J’ai par contre bien aimé l’écriture inclusive et en connaitre plus sur Christelle, qui n’est pas née dans le bon corps. De plus, la fin m’a renversée! ❤️
La couverture et le résumé m’ont grv donné envie Mais c’est un big monologue un peu dialogue et même si le côté SF/dystopie est cool il arrive trop tard pour que j’accroche
The concept of a trans woman overthrowing the AI that has fucked over the world is cool! Maybe because I read a translated version but the no chapter form of the book made it feel like it was going on and on with no end in sight. I think the story could have ended 100 pages sooner or better as a short story.
J’ai franchement dévoré cet hybride littéraire en moins de deux. Le personnage principal fait le récit de sa vie à un algorithme, forme d’intelligence artificielle devenue dictateur de notre société. Pris sous son joug dans un futur dystopique plausible où la différence est interdite, Christian/Christelle révèle à grand risque sa transidentité. À certains moments, des passages répétitifs nous sortent du récit enchâssé pour nous ramener abruptement dans le récit enchâssant. Loin d’être nécessaires, ces moments permettent toutefois d’établir un pont entre le passé et le futur. Avec sa plume talentueuse, Chris Bergeron a su me surprendre avec une fin digne des classiques de science-fiction.
2.5* J’ai rapidement embarqué dans l’univers de science-fiction, mais si ce n’est pas quelque chose qui me plaît d’habitude. Même si j’ai dévoré les premières pages, j’ai trouvé peu à peu le monologue redondant. La fin en elle-même me pose problème. On dirait que le genre y est présenté comme un choix et que l’I.A se fie presqu’exclusivement sur l’expérience de Christelle pour se penser. C’est embêtant, je me serais attendue à un sentiment de communauté, à quelque chose de plus englobant.
3.5 Stars rounded up. Canada Reads 2025. I read the english translation and listened to the French Audiobook beautifully narrated by Pascale Drevillon. I started this with trepidation, but had to let go of my held breath as soon as I started reading. Apart from some parts at the 80% mark, where the author goes into too much explanation of LGBTQIA2S+ that reads a bit didactic and redundant (but maybe not for everyone), this was an intense and entertaining read/listen.
“She saw that time was going by and happiness wasn't catching up to me.”
“David, you need to accept that none of us can stay still for long. In the depths of what lasts there is always something that changes.”
“Montreal, a city in a permanent state of demolition-construction that will never finish choosing what it is, undoing and reinventing itself. Montreal is a blur, It commits to nothing.”
“To walk is to be nowhere else but in one's thoughts, in one's little inner music, it is to follow one's own rhythm.”
“What distinguishes us from men, I believe now more than ever, is the fact that we do not have the right to take leave of the perception of our bodies. If we are looked at, if we are desired or rejected, if we are violated or if our word is believed, it is always in relation to our bodies and the value that is attributed to them.”
“He hadn't gotten the memo. Or at least, he hadn't read it.”
“Anger is a universal right. It is not for men to define.”
“Doesn't that piss you off? That it's others who decide what form we can take, that it's their laws, their phobias, and their desires that shape the outlines of our place in the world? We conformed because it was the only way to survive, that's all.”
“The tremendous love of a mother isn't free. It has a price: this dull pain we live with every day from the day she dies to the day we die. Undoubtedly, it's in order to finally settle this debt that those who are dying whisper "Mom" at the moment they depart for the afterlife or the void.”
La mention de roman autobiographique de science-fiction a piqué m'a curiosité quand j'ai aperçu la couverture en librairie.
La prémisse : Christian/Christelle qui prend en otage un algorithme pour lui raconter son histoire.
Je n'ai pas d'autres mots pour commencer que celui-là : WOW !
Ce livre m'a prise totalement par surprise. Une histoire qui m'a touchée énormément, qui m'a fait réfléchir, sourire et aussi maudire la méchanceté dont est capable l'être humain.
J'ai débuté la lecture hier pour me rendre au travail et après quelques pages, je n'avais plus du tout envie de débarquer du bus. L'auteure a mélangé récit de vie, actualité, créativité et science-fiction avec un style d'écriture et un récit captivant jusqu'à la dernière page.
Le récit était touchant et offre une perspective nécessaire sur la vie d'une femme trans. J'ai par contre moins accroché sur l'aspect science-fiction : certains aspects étaient intéressants (ex. amener par touches l'avènement de la société dystopique), mais d'autres moins (ex. en tant que geek, j'ai trouvé certaines références à l'intelligence artificielle et à l'informatique en général un peu boiteuses). J'ai aussi parfois eu l'impression que l'histoire s'éparpillait un peu. Je demeure néanmoins contente d'avoir lu ce livre.
oh my god!!!!!!!!! this book was beautiful and heartbreaking and exciting and upsetting; it was GORGEOUS!! it’s truly a masterpiece to me; speaking on the struggles of trans people (and LGBT+ people as a whole), the complicated nature of gender identity and how it overlaps and deals with trauma, friendship, love, loss and grief, it’s just so cool!!! i absolutely adored this book, i cried multiple times throughout and even just in the first 40 pages i was captivated in the writing style and personality that was shown through the main character. i felt like i was living in her shoes, i enjoyed being able to look up the buildings in Montreal and France, and listen to the music that Christelle was having david look up, it drew me in and kept me in through the whole story. at first i went into this assuming it was just a 70 year old trans woman relaying her life to an AI in a world where that wasn’t allowed, which it was, but it was so much more than that; it was badass!! i loved all of the characters in this book and the raw emotions i felt alongside Christelle. i think this is a remarkable book that so many people should read, it deserves its flowers. it’s very wordy with large blocks of texts sometimes, and no chapters but this is still a book that people could read in one sitting, and they should it’s 100% worth it. i truly cannot give this enough praise and recommend it to others enough, the insights it gives to how life has to be lived for us trans folk will make you angry for the retelling of hatefulness Christelle endured, all of the strange glances and transphobia, as well as the love she was given by the community Yukio brought her into and their relationship, as well as the relationship that Christelle had with her grandmother and all of the other women in her life: it was so beautiful!!!!!!
When the book was described to me as a monologue directed at a captive AI, I truly didn't know what to expect. This dystopian auto fiction was so beautiful; several passages stick out in my mind that have perfectly encapsulated the reality of what being a woman is like/entails. The vivid descriptions of thoughts desires and reflections bring the story to shimmering life. I love how the end justifies the beginning, and how masterfully everything plays out to answer any remaining questions. I feel so blessed to hear about the lived experiences of Christelle, Cecile, Yukio, and many other characters/people. What an imaginative thought piece on our future with AI intertwined with the joys and melancholy of life being part of the beautiful rainbow community. Loved it!
3.5 - Le récit autobiographique en tant que tel est très réussi et on plonge dans la vie de Chris littéralement comme dans un roman. Par contre le côté science fiction m’a moins plu, avec beaucoup d’allusions à une panoplie de problématiques qui ratissaient à mon avis trop large. Je n’ai pas compris pourquoi David devient soudainement anti-queer et l’arc narratif post 2021 aurait bénéficié d’une plus grande profondeur à mon avis.
contenu intéressant, concept dans mes cordes, mais l’écriture est quand même chiante à lire. ça sort des mots que personne connaît aux 2 pages et les conjugaisons des verbes sont parfois crazy pour ce qui est supposé être un monologue lol
Je mentirai pas, j'ai haïs Valide jusqu'au plus profond de mon être. Peut-être que j'ai juste fini par en souper, des autofictions, mais même outre ça, j'ai juste pas trouvé que c'était bien écrit. C'est tout ce que je ne veux pas qu'une science-fiction soit.
D'abord, parce que la science-fiction ne sert à rien au roman. Pour une immense majorité du roman, en tout cas. Somehow, le roman reste complètement figé dans les années 2000 à 2020 malgré son setting futuriste. Je pense qu'il est mentionné à un moment donné qu'on a arrêté les productions culturelles vers 2030, mais les référents utilisés dans le roman datent au plus tard de la rédaction du roman. C'est peut-être une critique absurde, mais ton personnage, lui, a vécu après 2020, ça t'en prend des référents inventés qui datent d'après 2020 pour que ton univers soit immersif... autrement, il est pas futuriste, ton setting. On a ici et là quelques terribles référents inventés avec une imagination beaucoup trop faible pour le background de marketing de Chris Bergeron. De mémoire, on a un réseau social qui s'appelle TikTak. Un call à propos de Justin Bieber-du-futur. C'est gênant.
L'écriture aussi est vraiment quelconque. Il y a pas de cohésion, pas d'unité dans l'écriture de Chris Bergeron. Son style d'écriture, c'est juste d'écrire "bien", dans le même sens qu'une production écrite au secondaire ou au cégep peut être "bien écrite". Le genre de "bien écrit" qui sert à te faire donner une bonne note. Il y a aucune signature stylistique, chaque phrase est pensée comme si elle était destinée à apparaître dans un terrible post Instagram de Word Porn.
Pis ça, c'est sans parler des dialogues, qui se font dans un français extrêmement franchouillard qui a peu de place dans le setting montréalais du roman. C'est aussi bourré d'exposition, avec un robot qui se fait raconter des affaires qu'il sait déjà, puis des phrases qui commencent par "Comme tu le sais..." et qui n'auraient donc aucune affaire à être dites à voix haute par les personnages.
J'ai décroché assez vite, mais histoire de quand même mentionner les bons coups, il y a quelques idées là-dedans qui sont assez puissantes. J'ai bien aimé, notamment, une comparaison qui est faite entre une bonne soeur et une personne trans, avec le début d'une nouvelle vie de chacune des deux sous un nouveau nom. Ça se perdait dans une marée de conversations oubliables, malheureusement.
Valide, c’est une autofiction d’anticipation intime et authentique. Plongés dans l’univers futuriste d’une société aseptisée qui prohibe évidemment toute forme de différence, on suit le parcours identitaire et transformatoire de Chris, qui relate son passé en préparation à une mutinerie élaborée et imminente.
Bien que j’aie été déstabilisée par les nombreux et décousus sauts dans le temps, j’ai été fascinée par la trame narrative fragmentée et sensible. Les nombreuses références très actuelles à la culture populaire ont soutenu l’effroyable réalisme d’une société trop proche de la nôtre.
Le rythme est étrangement rapide pour un récit principalement dialogué, et le choix des mots donne lieu à des néologismes imagés et savoureux qui servent pertinemment le propos. Je dois cependant avouer que je ne suis pas un bon public pour l’aspect plus technologique de certains passages, ce qui ne m’a pas empêchée d’apprécier ma lecture.
C’est un récit efficace, porteur d’une grande réflexion, notamment sur les choix et les non-choix, l’identité de genre et plusieurs autres enjeux sociétaux.