J’avais envie d’amour. Envie d’une grande nuit d’amour. D’une rencontre. De ce moment étrange, poétique parfois, qui change le cours de l’eau d’une vie. Je voulais comprendre jusqu’où l’on peut aimer, jusqu’où l’on peut aller vers l’autre et ressentir que chaque pas est un choix. Je rêvais d’entendre à nouveau quelques airs d’opéra, des arias de douleur et de beauté, et retrouver ces hommes et femmes capables de se jeter dans le vide par amour. Parce que c’est vivre sans amour qui est l’enfer. » G.D.
Elle s’appelle Aurore. Et pourtant c’est au crépuscule qu’elle rencontre Simeone, un soir d’automne, à Paris, aux abords du local d’un groupe de parole. Elle quitte une réunion, lui arrive pour la suivante. Il attend, l’observe, intrigué, mais c’est elle qui s’adresse à lui. Le temps d’une cigarette, la conversation s’engage. Après trente ans d’amour fou, Aurore sait qu’elle va être quittée par son mari. Simeone a la gorge mangée par un crabe, il lui reste peu de temps à vivre, il refuse de lutter et sa femme a peur. Alors les deux inconnus s’avancent ensemble dans une nuit qui ne ressemblera à nulle autre, des rues de Paris à un bar de nuit, d’une chambre d’hôtel à un aller-retour en taxi vers Roissy et une évasion vers les rivages de l’aube. Première ou dernière nuit, tous deux l’ignorent. Ils ne sont sûrs que d’une chose : au matin, après cette bouleversante nuit d’amour, rien ne sera plus jamais comme avant. Car l’amour ne s’écrit jamais à l’avance. Romanesque, poétique, fulgurant : un magnifique roman d’amour.
Grégoire Delacourt est un publicitaire et écrivain français né le 26 juillet 1960 à Valenciennes.
Il publie son premier roman à l'âge de cinquante ans en 2011: "L’Écrivain de la famille" puis, en 2012, son deuxième roman est un bestseller "La Liste de mes envies" traduit dans 35 pays.
Son troisième roman, "La Première chose qu'on regarde", sort en avril 2013 et, outre un procès avec Scarlett Johansson qui se voit déboutée de toutes ses demandes mais obtient néanmoins 2500 euros de dommages et intérêts pour atteinte à la vie privée, s'écoule à plus de 150 000 exemplaires. David Baron, producteur des films Harry Potter, acquiert les droits pour le cinéma.
Suivent ensuite "On ne voyait que le bonheur" en 2014, "Les Quatre saisons de l’été" en 2015, "Danser au bord de l’abîme" en 2017 et "La Femme qui ne vieillissait pas" en 2018
Grégoire Delacourt remporte plusieurs prix en France et en Europe (en Allemagne plusieurs de ses livres se classent dans le Top 10 de la liste des bestsellers du Spiegel). "On ne voyait que le bonheur" figure sur la première liste du Prix Goncourt et entre sur la deuxième Liste du Prix des Libraires 2015. Il arrive deuxième au Goncourt des lycéens.
L'écrivain bénéficie également de l'adaptation de ses oeuvres au théâtre et au cinéma.
J’ai été déçu par ce nouveau roman de Grégoire Delacourt. Je suis un grand fan de cet auteur et bien que son style d’écriture soit à la hauteur comme toujours, son histoire et ses choix narratifs m’ont laissé plutôt froid. Ses personnages aussi d’ailleurs. La sexualité prend beaucoup de place, un peu trop selon moi. La première partie était plus solide, mais la deuxième m’a ennuyé. Sans être mauvais, c’est loin d’être un de ses meilleurs.
J’ai trouvé le texte magnifiquement écrit. Je me suis laissée entraîner dans la rencontre d’Aurore et Simeone, dans leurs échanges, leurs blessures, leurs espoir, leur désespoir, leur passion. Cette nuit est belle, vivante et décidément particulière…
Je ne pense pas avoir lu aussi belle façon de décrire l’amour. Je suis complètement sous le charme de cet écrivain. Quel texte magistral. La description de l’aurore à la plage… je suis soufflée. Je le relirai souvent.
Je me suis grandement attachée à Simeone, mais aussi à l’histoire de sa mère. Ce roman me fait penser à un vieux roman d’amour dramatique, mais situé dans le monde moderne. L’amour que Simeone porte à sa femme, et sa rencontre avec Aurore qui l’a dans un sens sauvé, c’était tout simplement magnifique.
alors je crois que j’ai pas tout compris. Parfois belle réflexion sur l’amour, parfois trop axé cul. J’ai pas compris la fin je crois… Mais j’ai bien aimé les deux points de vue et le fait qu’on ne sache pas pour Olivier (même si guessed) avant la bonne moitié du livre.
Composé de deux parties, de deux personnes : une femme et un homme, le roman "Une nuit particulière" nous entraine à mettre notre vie entre parenthèse le temps de sa lecture ou ce qui fut mon cas, de mon écoute. Deux parties, qui pour ma part, furent inégales et fondamentalement complémentaires : la première centrée sur Aurore où je me suis détachée de ce personnage et une seconde où je me suis abîmée en Simeone et puis au final en Aurore. Tiraillée par ces personnages aux antipodes qui se fondent et que j'ai rejoint.
J'ai vécu la première partie de ce roman comme une psychanalyse de l'abandon, de la rupture avec l'homme que l'on aime, l'homme que l'on désire à travers une nuit avec un autre partenaire, choisi au hasard d'une rencontre sur le trottoir noir Parisien. Paris, justement, ses places, ses restaurants, ses musées, ses hôtels, cette ville lumière est presque un personnage en tant que tel. Et qui dit Paris, dit Parisien. Elle, surtout, avec sa culture élitiste, son besoin de comparaison, ses envies superfétatoires. Ce personnage que j'ai commencé à exécrer qui donne l'impression d'être supérieur. Elle évoque des noms, des mots pour ce plaisir jubilatoire de dire qu'elle les connait. Cette première partie en est rempli et ne me croyez pas jalouse ou amère de ne pas connaitre tel ou tel lieu, tel ou tel personnage, non je trouve juste dégoulinant des références accessibles à si peu de personnes.
Non, je n'ai pas aimé Aurore, ou plutôt la façon dont elle est décrite par l'auteur car trop éloignée de moi jusqu'à ce que ... je comprenne cette femme qui jusque là je ne comprenais pas.
J'entre dans la seconde partie avec le point de vue de Simeone, et là je bascule ... J'ai ressenti comme un lâché prise et Aurore qui jusque là me paraissait inaccessible, a pris du corps, de l'esprit comme si dans les yeux de cet homme les morceaux de vie prenaient place dans le grand échiquier de la vie.
Simeone, triste, isolé, condamné, las, va s'ouvrir auprès de cette femme inconnue et c'est tout simplement beau. Sensible délicat, attentionné, aimant et amant, il va suivre Aurore pour une nuit pour savoir où la vie va le mener. Grégoire Delacourt va s'arrêter régulièrement sur de menus détails (une griffure sur un disque en vinyle, une volute de fumée de cigarette, ...) qui vont donner toute la profondeur au texte, à la scène qui se déroulait devant mes yeux et je ne voulais pas arrêter d'écouter comme hypnotisée, bercée, enlacée par ces mots qui caressaient ma peau, mon corps, mon âme. Ce texte sensuel, sexuel, émotionnellement vertigineux.
Je ne savais plus si je voulais ou non que le jour se lève dans le texte et j'ai écouté ce rythme qui devient effréné comme si l'auteur avait encore tout à dire et pas assez de temps. Ces secondes qui fuient inexorablement, ce sable qui coule sans qu'on puisse l'arrêter vers l'inévitable. J'ai tremblé, j'ai pleuré, j'ai ressenti la douleur, j'ai compris enfin Aurore, son désespoir, sa passion, son incommensurable amour, je l'ai trouvé belle, désirable à travers les yeux de Simeone et j'ai tout arrêté. J'ai retenu mon souffle quelques secondes, j'ai oublié ce que j'avais ressenti lors de la première partie que je n'avais pas apprécié et j'ai compris que c'est parce que je ne l'avais pas aimé et tant aimé la seconde que les opposés s'attirent, fusionnent, vibrent à l'unisson et qu'il fallait que j'en passe par là pour extérioriser par l'écriture de cette chronique cette admiration que m'a procuré ce texte pour cette femme, pour cet homme.
Comme je vous l'ai déjà mentionné, ce texte, je ne l'ai pas lu mais écouté, bercée par la voix de Charles Morillon, envoutante, suave, désespérément attirante, et une fois le dernier mot prononcé, j'ai terriblement envie de le lire cette fois-ci, de redécouvrir ce texte avec mes yeux, arrêter une fois de plus le temps, baigner de mes larmes mes joues et les pages pour qu'elles portent la trace de mes émotions enfouies, trop longtemps gardées et même oubliées.
J'aimerais vous en parler encore et encore pour ne pas me séparer d'eux, pour qu'ils restent encore auprès de moi quelques minutes quelques heures, pour continuer à ressentir cette peine synonyme de vie, je voudrais être égoïste, masochiste de mes propres sentiments, voir le soleil se lever et être seule avec mon amour.
Merci aux éditions #audiolib et #netgalley pour cette découverte qui restera inoubliable
Je remercie #NetGalleyFrance et les éditions Audiolib pour m'avoir permis de découvrir la version audio de #Unenuitparticulière lue par Catherine Creux et Charles Morillon.
Grégoire Delacourt nous plonge dans une nuit parisienne aux côtés d'Aurore et Simeone. Les deux personnages ne se connaissent pas. Elle sort d'un groupe de paroles, elle lui demande une cigarette puis elle l'interpelle : "Emmenez-moi !" Car son mari, qu'elle aime passionnément depuis 30 ans, va la quitter cette nuit. Hagarde, dépassée, désespérée, elle propose à cet inconnu de lui tendre la main pour l'aider à traverser cette terrible épreuve.
La narratrice s'adresse à elle-même, à Simeon - sa rencontre d'un soir - mais surtout à Olivier, son mari, qui la quitte cette nuit. Puis nous revivons le début de soirée "Selon Simeon", qui s'adresse surtout à lui-même... Les deux protagonistes décrivent les scènes décalées de cette nuit étrange, tout en nous livrant un peu d'eux-même et de leurs histoires respectives.
Dans ce très court roman, Grégoire Delacourt explore le thème de l'amour passionné, celui qui ne se flétrit pas avec le temps, et des différents phases qui traversent une vie de couple. Il dit aussi quelques mots sur l'amour familial : d'un fils à sa mère, d'un père au fils qu'il a adopté et qui s'est éloigné. Au fil des longs chapitres, c'est l'ombre de la mort qui fait son apparition : maladie, suicide, et les douleurs de vivre en présence de ces morts...
J'avais bien aimé "La liste de mes envies" du même auteur, même si je n'en garde pas un souvenir impérissable. C'est cela qui m'a incité à solliciter #Unenuitparticulière auprès d'Audiolib, en service de presse via #NetGalleyFrance. Les deux personnages nous livrent des réflexions profondes autour du couple et de ses multiples facettes. Malheureusement, je ne me suis pas vraiment attachée à eux, malgré les grandes qualités des interprètes. le style de Grégoire Delacourt est précis, travaillé, poétique parfois, mais toujours très accessible. le rythme est lent, surtout pour un court roman, mais cela se prête tout à fait aux propos. Au final, j'ai l'impression d'être passée à côté de cette nuit particulière, car malgré ses qualités littéraires et auditives, je me suis un peu ennuyée...
La voix de Catherine Creux est lumineuse, presque autant que celle de Charles Morillon est ténébreuse. Ce sont deux voix profondes qui incarnent à merveille ces deux personnages. La musique et les bruitages sont, comme toujours avec Audiolib, parfaits ! L'entretien avec Grégoire Delacourt qui conclue cette version audio est très intéressant : c'est une autre belle valeur ajoutée de cet audiolivre !
Difficile de ne pas se plonger dans un nouveau roman de Grégoire Delacourt lorsqu’il paraît ! Et, ses romans ne sont jamais sur un sujet convenu. Celui Une nuit particulière est un formidable hymne au désir, à l’amour contrecarrant la douleur, la maladie en fait contre toutes les vicissitudes de la vie.
Quittée par Olivier avec qui elle vit depuis 30 ans de mariage, Aurore cherche dans les rues de Paris “un amant de deuil”. Parce que ce soir il la quitte, elle ne peut se résoudre à rentrer et à l’affronter. Elle veut tourner la page d’un amour vécu de façon passionnelle. Elle se retrouve à cinquante-cinq ans comme dévitalisée. Alors, pour clore cet amour, elle décide de s’offrir Une nuit particulière.
En demandant une cigarette, elle rencontre Simeone, qui sort d’un groupe de parole. Ils échangent quelques mots, faits de banalité et de mots polis. Puis, Aurore scelle cette rencontre en lui demandant de l’emmener à travers Paris, à l’hôtel, au restaurant…
D’abord Aurore raconte leur rencontre et leurs échanges. Puis, Simeone décline cette lente progression où deux solitudes cherchent à se protéger, à s’épauler et même à se guérir en échangeant leur désir et leur espoir.
Après une rencontre épique et truculente dans une petite librairie de Bandol, j’ai eu envie de renouer avec l’écriture de cet auteur qui m’avait profondément touchée avec La liste de mes envies et La première chose que l’on regarde. Déçue par cette nuit particulière qu’il m’a pourtant vendue de manière très colorée: « les scènes d’amour sont difficiles à écrire car on en connaît toujours l’issue: la jouissance. » Grégoire Delacourt a sans aucun doute l’art de la formule mais dans le cadre de ce roman introspectif où deux solitudes se confient, s’apprivoisent, ça nuit un peu au réalisme de la situation. L’histoire d’Aurore et de Simeone tient de la tragédie antique. C’est trop grandiloquent peut-être pour une histoire qui m’aurait émue si elle avait été plus simplement écrite, sans ces dizaines de références artistiques, littéraires, musicales, picturales qui, au départ, jouent la complicité avec le lecteur, mais ensuite agacent un peu. Cette rencontre d’une nuit est de plus racontée deux fois, par chacun des protagonistes. Toujours intéressant de jouer sur deux perspectives, mais ici, un peu répétitif. J’ai tout de même apprécié ces retrouvailles avec l’auteur, les réflexions sur l’amour, le vide qu’il laisse quand il déserte.
« Une nuit particulière », dernier roman de Grégoire Delacourt raconte la nuit où une femme est quittée. Aurore a 55 ans. Pendant qu’elle erre dans la nuit, elle se souvient de sa vie avec son mari Olivier. « Trente ans d’un regard sur moi qui me rendait belle. » L’occasion de faire le point sur les relations homme-femme, sur les premières fois, le désir vacillant qu’il faut savoir raviver, le temps qui est passé de la première seconde à la dernière minute « Trente ans à être incendiée. », et la douleur de la perte, « Je suis un champ de ruines. »
Dans ses déambulations nocturnes, Aurore rencontre Simeone. Une nuit pour se découvrir même dans les silences, une nuit pour donner à l’autre le sentiment d’être vivant. « À peine pars-tu que je me jette dans les bras d’un autre. En fait, je veux savoir si je peux vivre sans toi. » « Une nuit particulière » se découpe en trois parties, la rencontre selon Aurore, puis selon Simeone, puis à nouveau selon Aurore. Dans les deux premières, chacun raconte des morceaux choisis de sa vie au milieu de cette rencontre inopinée.
Aurore est celle que l’on quitte. Elle se livre à des réflexions plus philosophiques que Simeone. Elle intellectualise les relations à deux, décortique les relations homme-femme, le désir, la passion, la possession, et la tragédie des relations qui se délitent. « L’autre n’est jamais à soi. Il est de passage en nous. Comme le vent. » « Une nuit particulière » est une occasion de faire un point « Je me demande si on aime l’autre ou ce qu’il remplit de vide en nous. », une raison de se questionner sur ce qui a été « On s’est juste accouplés le temps de la traversée, le temps d’une vie, entre deux vides. La joie, c’était la traversée. La violente beauté des vagues, la caresse des embruns. C’était ça la vie. Traverser avec toi. Être avec toi. », ce qui a peut-être conduit à cette situation « Les hommes nous quittent peut-être parce qu’ils ne s’aiment plus avec nous. », et la façon d’appréhender l’avenir. « On ne quitte pas une femme sans la poignarder, Olivier. Les femmes ont des racines dans le cœur des hommes. Les couper, c’est les assécher. »
Simeone est plus direct. Dès les premières phrases, on sait ce qu’il vient faire dans cette « nuit particulière ». Il a 48 ans, une femme Marie qu’il a décidé de quitter. Pour une nuit, ou pour toute la vie, il ne sait pas encore. « (…) et je pensais au mal qu’on fait toujours aux gens en les quittant, cette inéluctabilité qui rend précieux le peu de l’autre que l’on croit posséder car on ne possède jamais rien de l’autre, il nous traverse seulement, passe en nous et ne nous laisse que le vent des choses. » Il déambule dans la nuit pour réfléchir et prendre des décisions. » Sa rencontre avec Aurore lui rappelle les injonctions de sa mère « Va, Simeone, va, aime et tombe. » Cette femme qu’il rencontre pour la première fois est un livre ouvert. Il boit ses paroles, analyse ses silences. Il sait pourquoi elle est là.
Grégoire Delcourt fait montre d’une extrême sensibilité dans « Une nuit particulière ». Une fois encore, il enfile de manière exceptionnelle les vêtements de chair d’une femme, ses pensées les plus intimes. On a l’impression que ce roman est écrit par une femme. Les interrogations, les réflexions, l’argumentation viennent des tripes. C’est le cœur qui parle avant tout. L’intimité des pensées, l’ardeur de la passion toute féminine, l’émotivité à fleur de peau, la vulnérabilité absolue. On retrouve ici la sensibilité de « Danser au bord de l’abîme » ou de « La femme qui ne vieillissait pas ».
« Une nuit particulière » n’est pas seulement le récit de deux êtres qui se heurtent le temps de quelques heures. C’est le récit d’un sauvetage, d’un retour à la vie. « J’ai essayé de lui transfuser notre part de feu. » Secourir l’autre quand il nous est inconnu est certainement le plus beau des sauvetages. Se comprendre sans tout se dire, la plus belle des complicités. Une relation « désintéressée », altruiste, qui amène à faire renaître des « réenchantements ». La rencontre de l’Autre ne finit pas toujours de la manière escomptée. La fin peut être un nouveau début ou une certitude que l’on était venu confirmer.
J’aime la délicatesse de la plume de Grégoire Delacourt, sa subtilité, et sa capacité à faire éclater les émotions lorsqu’on les croyait éteintes.
Ce roman m’a touchée en plein cœur, c’est l’histoire d’une rencontre foudroyante, de découverte, de sensualité, de partage par la parole, les regards, les gestes mais aussi les silences … Un roman qui m’a à la fois broyé le cœur et donné espoir ❤️ Un roman qui m’a fait chavirer malgré son petit nombre de pages (je suis de celles/ceux qui restent souvent sur leur faim lorsque le roman fait moins de 300 pages 😬) Je ne peux en dire plus sous peine de trop en dévoiler, je peux seulement rajouter que j’ai très envie de le réécouter pour une deuxième lecture ❤️ (je ne l’avais pas précisé, je l’ai lu en audio ! 😉)
Elle est quittée, elle va vers le premier venu et finalement c’est une nuit importante.
Je n’ai pas aimé la construction du livre puisqu’à mi-chemin, on retourne au début, à la rencontre mais de son point de vue à lui.
Je n’ai pas aimé le style d’écriture alors que j’ai déjà eu un gros coup de cœur chez Delacourt par le passé mais malgré une première partie intéressante et des thèmes que j’aime beaucoup comme l’amour fou, les personnages me sont restés antipathiques.
Viel kann ich zu diesem Buch nicht sagen. Es ist eine sehr kurze Geschichte in der nicht besonders viel passiert. Mir gefiel besonders gut der Schreibstil des Autors sowie die inneren Monologe von Aurore in denen sie ihr Leben mit ihrem Mann und den Schmerz über dessen Verlust Revue passieren lässt. Das Ende nahm auch eine überraschende Wendung. Die Dialoge und die Abfolge der Nacht hingegen fand ich komisch.
Je suis bouleversée! Quelle magnifique ode à l’amour! J’adore la poésie de l’auteur mais aussi ses mots crus, les références musicales, finalement j’ai adoré absolument tout de ce roman. “Je crois qu’on ne devrait mourir que d’amour. Sinon il n’aurait servi à rien.”
De la poésie. Ce roman se lit très vite, j’ai aimé la plume de l’auteur, sa manière de raconter les émotions, les drames, les échecs aussi. Vraiment une belle surprise. Parfois un peu trop sentimental, mais on passe aisément outre !
Roman qui m’a été conseillée par ma meilleure amie qui a adoré le style d’écriture. Je confirme que c’est un style particulier, très poétique et symbolique qui me plaît beaucoup. Pourtant, la thématique ne m’a pas transportée et j’ai trouvé l’histoire un peu loufoque.
Un excellent livre ! Une histoire émouvante, bouleversante, des mots forts. Nous sommes percutés par une avalanche de sentiments. Une de mes meilleures lectures!
On retrouve avec plaisir l’écriture Delacourt mais seule la moitié du récit, la partie de Simeone, est authentique. La partie d’Aurore est un exercice littéraire, malheureusement. Quel dommage!
On dirait un film de Lelouch! Ce qui n’est pas un défaut, mais le style, insistant, éliptique et suggestif, m’a dérangé. Pas le meilleur roman de cet auteur que, par ailleurs, j’apprécie beaucoup!
Un livre très poétique, qui se lit très rapidement! J’ai beaucoup aimé l’écriture, et l’histoire me rappelait par moments le film « Before Sunrise » (un de mes films préférés!)