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Matière noire: Grand Prix du Festival Sans Nom, Grand Prix Charbon Noir, Grand Prix de l'Iris Noir

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Juillet 2017. Une région. Deux disparitions.
Après une nuit en discothèque, la jeune Inès Ouari ne donne plus signe de vie.
Marion Testud, elle, n'est jamais rentrée de son jogging matinal.
Sur leurs traces, deux enquêteurs aux profils atypiques : Karim Bekkouche, chef de la BAC de Saint-Étienne, flirte avec les limites et prend tous les risques pour retrouver Inès. Jacques Canovas, journaliste parisien et ex-flic des Renseignements généraux, couvre la disparition de la joggeuse.
Chacun a des raisons personnelles de parvenir à leurs fins.
D'un bout à l'autre du pays, les pistes se croisent tandis que de vieux meurtres énigmatiques refont surface. Les deux hommes se lancent alors à pleine vitesse dans une course contre la mort.

À propos de l'auteur
Ivan Zinberg est capitaine de police et romancier. Il est l'auteur des thrillers Jeu d'ombres (2014), Étoile Morte (2015) et Miroir Obscur (2017) aux éditions Critic. Matière noire est son quatrième roman.

PRIX NOIR CHARBON 2020
GRAND PRIX DE L’IRIS NOIR BRUXELLES 2020
GRAND PRIX DU FESTIVAL SANS NOM 2020

« Une fois dedans, vous ne le lâchez plus : une enquête passionnante, un polar génial ! » Gérard Collard, Librairie La Griffe noire

« Un parfait page-turner. » Brain magazine

« Un texte coup-de-poing empreint de réalisme et d’addiction. » La Fringale culturelle

« Un thriller au réalisme captivant. » Actualitté

« Un auteur sur lequel il va falloir compter. » 20 minutes

496 pages, Pocket Book

Published March 8, 2023

38 people want to read

About the author

Ivan Zinberg

12 books3 followers

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Community Reviews

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23 (45%)
4 stars
20 (39%)
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4 (7%)
2 stars
3 (5%)
1 star
1 (1%)
Displaying 1 - 13 of 13 reviews
Profile Image for Sonia Pupier Goetz.
849 reviews35 followers
May 19, 2020
Alerte coup de cœur !! Ce roman contient absolument tous les ingrédients dont j’ai besoin pour un coup de cœur. Je vous préviens, cette chronique va déborder d’éloges, bien mérités à mon sens !!

Tout d’abord, le prologue glace le sang du lecteur. Un meurtre sordide est commis, sous fond de drogue et de débauche. Ça commence fort, j’ai été harponnée en bonne et due forme et n’ai eu de cesse de découvrir qui se cachait derrière ce monstre qui a laissé ses pulsions meurtrières prendre le contrôle.

Le décor se plante dans les chapitres suivants, nous sommes à St Etienne, dans la Loire. J’apprécie lorsque l’intrigue se passe chez moi, d’autant qu’Ivan n’est pas avare de détails. Je visualisais très bien les endroits décrits, et cela a ajouté une touche supplémentaire à mon immersion dans « Matière noire ».

Karim Bekkouche, surnommé Bek, est le chef de la BAC de St Etienne. A 51 ans, son expérience le précède. Pourtant, il a vécu son enfance dans une cité populaire. Cela ne l’a pas empêché de réussir dans la vie. Anissa, une ancienne voisine, vient le solliciter pour l’aider à retrouver sa fille, Inès, 18 ans, disparue depuis une dizaine de jours.

Parallèlement à cette histoire, Jacques Canovas, 67 ans, ex agent des RG, reconverti en journaliste occasionnel pour « Crime-Hebdo », investigue sur la disparition inquiétante du côté de Chambéry, de Marion, 22 ans, volatilisée durant sa séance quotidienne de running.

Côté procédures et déroulement de l’enquête, on sent le vécu là-dessous (l’auteur est flic), j’ai apprécié les détails et le réalisme transpirant des pages. On plonge dans le monde des cités, de la drogue, de la prostitution. Une vie loin d’être édulcorée, malheureusement. Pourtant, c’est la réalité. Celle qui se cache bien souvent à quelques encablures des beaux quartiers.

Les chapitres alternent entre nos deux affaires, imprimants un rythme de fou. Les rebondissements ne se comptent plus, le lecteur n’a pas d’autre choix de lire. Cela a été difficile pour moi de m’arrêter. Pourtant, j’étais bien obligée, je n’avais pas 2 jours devant moi pour le dévorer, et croyez-moi, je le regrette grandement.

Les caractères des personnages sont détaillés, on apprend à les connaître au fur et à mesure, leur passé n’a plus de secrets pour nous. L’auteur a vraiment bossé là-dessus. A la fin du roman, j’ai eu l’impression que je connaissais Bek et Jacques, mais également les personnages secondaires, depuis toujours. Sensation oh combien agréable ! D’autant qu’il y a une belle touche finale sur la suite du parcours de certains des personnages. Ils ont un avenir, on a une piste pour imaginer ce qu’ils vont devenir.

La plume est nette, incisive, minutieuse. Chaque mot est pesé, chaque indice est posé sciemment ou bon endroit, chaque cliffhanger relance la machine, encore et toujours.

Et la fin ? Je vous mets au défi de la deviner ! Elle est juste parfaite, amenée pas à pas, elle se profile, je me suis dit « non, c’est pas vrai ». Et puis si !

Une lecture totalement immersive, captivante et parfaite, d’où mon coup de cœur. Un roman noir absolument magnifique, que je conseille, même aux âmes sensibles, car il n’y a aucun épanchement de violences. L’auteur n’a pas besoin de cela pour nous séduire.

#MatièreNoire #IvanZinberg #Cosmopolis
Profile Image for BooksnPics.
246 reviews19 followers
January 9, 2020
Quatrième roman de l’auteur, « Matière Noire » est de ces polars qui nous scotchent dès les premières pages. Se basant sur un schéma traditionnel, Ivan Zinberg nous fait suivre deux enquêtes menées en parallèle. Le major de police Karim Bekkouche, surnommé « Bek », enquête sur la disparition d’Inès Ouari, 18 ans. Tandis que Jacques Canovas, un ancien agent des renseignements – retraité de la police depuis 10 ans et reconverti en journaliste d’investigation – enquête sur la disparition de Marion Testud, une joggeuse.

Si tout semble les séparer, en vérité beaucoup de points communs les unissent …. Tous deux sont obstinés, soucieux de la vérité, ne lâchent rien dans leurs boulots respectifs….mais leur vie privée a également basculé… Des personnages fragiles et solides à la fois auxquels le lecteur peut très facilement s’attacher.

Capitaine de police dans la vie civile, il est clair qu’Ivan Zinberg ne laisse rien au hasard en matière procédurale et n’est pas avare en détails, ce qui renforce le caractère réaliste du roman et l’assiduité du lecteur. L’auteur fait clairement le job et excelle dans celui-ci. La plume de l’auteur, les chapitres alternés, la psychologie des personnages – vrais et emplis d’humanité, l’enquête en elle-même – menée de manière chirurgicale , tous les éléments sont réunis pour que cette lecture soit un véritable coup de coeur!

« Matière Noire » est de ces romans policiers qui nous retournent l’esprit, nous happent dès l’entame du livre pour ne plus nous lâcher. « Matière Noire » représente tout ce que j’attends d’un polar de haut niveau. Bravo!

Je remercie les éditions Cosmopolis pour cette découverte et leur confiance renouvelée.
Profile Image for Anton Müller.
75 reviews1 follower
August 1, 2024
"Matière noire" d'Ivan Zinberg est un polar qui saisit par son réalisme brut et son intrigue sombrement addictive. L'auteur, policier lui-même, nous plonge dans les méandres d'une double enquête où se mêlent disparition inquiétante et meurtre sordide. Le récit, ancré dans une réalité sociale crue, explore les recoins sombres de la société stéphanoise, entre trafics en tous genres et radicalisation.

Le rythme est haletant et les personnages, complexes et ambigus, sont particulièrement réussis. On s'attache à Karim, flic tenace à la vie personnelle chaotique, et on s'interroge sur Jacques, ancien des RG reconverti en journaliste aux méthodes douteuses.

Si le début peut sembler un peu lent, la tension monte crescendo, et l'intrigue se complexifie jusqu'à un final surprenant. "Matière noire" est un polar noir, dur, mais terriblement efficace, qui ne vous lâchera pas jusqu’au chapitre final !
Profile Image for Saveur Littéraire.
206 reviews
October 24, 2022
Ah, je suis embêtée. Embêtée parce que j'ai gagné Matière noire lors d'un concours. Embêtée parce qu'il me tardait de découvrir la plume d'Ivan Zinberg. Embêtée parce que depuis sa sortie, je vois le livre être plébiscité régulièrement sur les réseaux sociaux. Embêtée parce que je suis… mitigée ! Toute histoire a un début ; celle-ci commence par un premier chapitre qui donne le ton, la chasse d'un prédateur en pleine action et qui promet de la tension. le tout dans une écriture qui vous happe dès les premiers mots, directe et tranchante sur les derniers. Et l'histoire prend un autre tournant, celui du désenchantement et du dépaysement. Deux enquêteurs complètement différents, l'un flic qui cogne quand l'envie lui prend et l'autre journaliste retraité de la police, sage mais pas trop, prudent mais pas trop. Chacun d'eux a sa petite équipe et ses relations, une vie privée remplie. À côté, deux affaires qui n'ont semble-t-il rien à voir aux premiers abords, mais qui finissent invariablement par se rejoindre, au prix d'une longue enquête. Vous me direz, où est le problème ? Qu'est-ce qui t'a perdu à ce point ?

Bek, le mec des cités qui a bien tourné et est devenu flic après une prise de conscience. Terriblement jaloux, divorcé, un flic qui cogne dès que l'envie lui en prend parce qu'il ne sait pas maîtriser ses colères, le tout sur un ton froid et distant. Comment s'intéresser à lui ? Impossible pour moi, irritant à souhait, avec sa manie de se croire au-dessus de tout le monde et au-dessus des règles. Jacques, le retraité flic à présent journaliste. Il y a cette distance aussi, qui fait que je lis ses chapitres sans y prêter grande attention. Les détails inutiles qui alourdissent le récit, parce qu'on passe trop de temps sur la vie privée de ces messieurs. C'est certes important d'approfondir les personnages, mais pas au prix de l'avancée de l'intrigue. Je me fiche de la vie sexuelle de Bek, je me fiche du surplus de détails sur les états d'âme de chacun. Malheureusement, ce trop plein d'informations sur la vie personnelle de chacun devient lourd et gênant pour le reste du récit, parce que les deux affaires ne bougent pas d'un yota pendant un long moment. À tel point que les enquêteurs, Bek en tête, deviennent antipathiques.

Et c'est là que j'en viens à l'autre partie qui se bat en moi une fois ma lecture finie. Matière noire est excellent en son genre. Un roman policier qui n'épargne aucune étape de l'enquête à ses lecteurs, y compris les étapes dont on se passerait bien. D'un réalisme absolu, on y comprend les rouages de la police, comment et pourquoi une enquête n'est pas résolue en une heure, comme veulent nous le faire croire les séries en particulier. Matière noire, c'est la réalité, avec son lot d'invraisemblances et de sourcils froncés quand on lit le comportement des personnages. Type aller casser du malfrat pour obtenir des informations, ou se pointer chez un autre malfrat et le menacer. Type manipuler délibérément des personnes pour obtenir des informations.

Et si on vomit ces comportements, on comprend hélas assez vite qu'ils sont réels. Que dans notre vie de tous les jours, Ivan Zinberg n'invente rien, il nous montre juste ce qui se passe et ce qu'on ne veut pas regarder. Un roman policier magistral, absolument. Avec une écriture développée, qui prend son temps pour nous happer dans un univers que l'on croit connaître mais qui s'avère incomplet. Mais ce n'est pas un thriller, en rien. Parce que, comme pour La Deuxième Femme, exposer la réalité avec tout son réalisme et une écriture forte ne suffisent pas pour le lecteur, il faut aussi de la tension. Et malheureusement, Matière noire manque de tension, à force de passer du temps sur chaque étape, avec des pauses pour nous parler encore et encore des états d'âme du flic ou du journaliste. Même les coupables que l'on recherche n'offrent pas ou peu de sentiment, autre que l'attente. L'un semble même caricatural, et l'autre trop effacé pour qu'on s'intéresse au pourquoi du comment.

Il est bon de développer ses personnages, mais lorsqu'on est dans un thriller, et c'est ainsi que le roman nous est présenté, il faut plus que du cerveau à analyser, il faut des enjeux et ce quelque chose qui nous motivera à tourner les pages. Très immersif, Matière noire sera donc dans la lignée de Niko Tackian et Olivier Norek, très à la pointe du sujet, bien écrit, encré dans le réel. Mais pas un thriller ; on s'enferme dans les chapitres sans en saisir la tension.

Chronique publiée initialement le 03 février 2021 : https://saveurlitteraire.wordpress.co...
Profile Image for Valérie Sangpages.
318 reviews29 followers
December 30, 2019
Pour ce qui est de la matière noire, tu en auras pour ton argent.
J'ai rarement vu un livre aussi précis, détaillé, fouillé. Un récit d'un réalisme déroutant. Tellement détaillé que j'ai trouvé certains passages un peu longs mais c'est un mini bémol d'une vieille pénible.
Tellement puissant qu'il te pousse à chercher sur le net si ce n'est pas une véritable affaire. Ce que j'ai d'ailleurs fait pour constater que je retrouvais le nom du coupable dans une affaire de pédophilie...hasard ?
Ivan nous met face à des faits que l'on sent être issu de son expérience de capitaine de police. Le récit d'un connaisseur, d'un expert, de quelqu'un qui sait de quoi qu'il cause et ça se sent comme l'odeur de la mort qui poursuit (Et là c'est moi qui parle en connaissance de cause…)
"Matière noire", c'est la mise en lumière du travail de fourmis de la police. Deux enquêtes, pas à pas, comme si tu y étais. Deux investigateurs différents et pourtant semblables. Deux tronches: Bek, ancienne racaille des cités et Jacques, ex-flic ravagé par la mort de sa femme devenu fouille-merde. Deux baroudeurs, deux vieux de la vieille à qui on ne la fait plus.
Un flic qui fait une promesse à une vieille amie et un journaliste qui veut aller plus vite que la police pour le scoop ultime.
L'impression de me retrouver dans l'affaire du petit Gregory (affaire à laquelle l'auteur fait d'ailleurs allusion) et d'y voir dans le rôle de Jacques, le fameux Jean Ker, photographe et enquêteur de Paris Match.
C'est aussi des allusions aux cas réels qui donnent une dimension toute particulière et rendent la fiction, justement, encore plus réelle.
C'est un coup de projo pointé sur les cités avec tout ce qui en dégouline.
C'est même un petit passage en Suisse, les Pâquis de Genève...pas le plus rutilant des quartiers mais une vision de la Suisse, pour une fois, différente et loin des clichés des banques et du chocolat.
C'est bien sûr des démons qui se manifestent au travers d'un journal. La vision de l'autre côté de la barrière, la vision du prédateur, implacable.
Ivan n'a pas écrit une fiction comme une autre. Il nous parle de la vie, celle de tous les jours, celle des gamins des cités, de la came, de la prostitution, de ce que l'on peut faire pour s'en sortir. Il nous parle de la vie, celle des flics qui tous les jours pataugent dans la fange, dans la détresse humaine, dans la violence. Il nous parle tout simplement de la vraie vie et c'est pas jojo.
Une matière noire qui s'instillera dans ta tête, qui glissera le long de ton dos pour te faire frissonner, c'est certain !
A lire absolument !
Profile Image for Mouffette masquée.
433 reviews18 followers
November 23, 2019
Résumé : Saint-Etienne, début juillet. Inès 18 ans, ne donne plus de signe de vie après une sortie en boîte de nuit. Coutumière des « conneries d'ados » et autres fugues, ses proches ne s'alarment pas. Au bout d'une dizaine de jours sa mère s'inquiète et appelle à l'aide Karim Bekkouche, chef de la BAC, une ancienne connaissance.
Mi-juillet, en Savoie, Marion Testud disparaît également pendant son jogging matinal. Jacques Canovas, ex-RG et journaliste d'investigation pour une revue criminelle, enquête sur ce cas à la recherche d'un scoop. Investi dans ses investigations, il va donner un éclairage nouveaux aux disparitions de la région.

Mon avis : Wahou !! Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu un polar aussi addictif ! Je l'ai dévoré !! Dés le prologue, on est plongés dans l'ambiance : on assiste, comme une caméra embarquée, à un meurtre de sang froid. Qui est la victime ? On ne le saura que bien plus tard.
La structure de ce polar, dans lequel on suit simultanément l'avancée des deux enquêtes, rend la lecture extrêmement fluide et agréable. Comme embarquée avec les protagonistes dans leurs investigations, l'écriture est très immersive. Le suspense monte, petit à petit, jusqu'à atteindre un rythme haletant quand nos deux enquêteurs se rencontrent enfin, et progressent de concert jusqu'au dénouement, superbe et inattendu.
J'ai aimé Karim et Jacques avec leurs failles, sans être torturés à un point maladif comme on le voit souvent dans les polars et thrillers ; ils sont humains. Dévoués à leur travail qui leur fait cotôyer le pire de notre société, cette « matière noire » qui détruit tout sur son passage, et qui met en exergue leur propre lumière.
J'ai également beaucoup aimé l'évocation de vraies affaires au fil du récit, que je connaissais bien pour la plupart, qui nous encre dans le réel. Bref, un polar mené de main de maître, sans temps mort.
1,347 reviews56 followers
August 5, 2021
GRAND PRIX DU FESTIVAL SANS NOM 2020

Je découvre l’auteur avec ce roman, c’est son 5e.

L’action se déroule à Sainté, comprenez Saint-Etienne, ma ville d’adoption.

Évidement, j’ai aimé retrouvé les noms des rues et des quartiers presque tous cités (il manque entre autre Terrenoire).

J’ai découvert l’arrière-cour du commissariat du cour Fauriel, celui que l’on ne voit pas de la rue.

J’ai souri aux noms des boites de nuit modifiées, et j’ai retrouvé les vrais noms.

Un aperçu pas toujours rose mais très réaliste sur cette ville minière pauvre, sur ses trafics en tout genre.

Un roman très local, donc, mais pas que.

J’ai aimé le flic parisien des RG à la retraite qui travaille pour Crime Hebdo et qui mène sa propre enquête, recoupant divers informations et reliant des affaires aux quatre coins de la région.

L’explication du titre ne vient qu’à la toute fin du roman, mais ce n’est pas le plus important.

Un auteur que je continuerai de lire, c’est certain.

L’image que je retiendrai :

Celle de Karim Bekkouche, dit Bek, chef de la BAC qui pendant ses vacances fait son ménage tous les jours.

https://alexmotamots.fr/matiere-noire...
Profile Image for Heylowdy.
6 reviews
April 17, 2021
J’ai entamé cette lecture sans savoir à quoi m’attendre, le titre ne correspondait pas au résumé de mon point de vue. J’ai découvert deux personnages, un flic et un journaliste avec un passé assez difficile, sans forcément qu’ils soient attachants. J’ai trouvé une bonne partie du livre assez lisse malgré quelques actions, mais ce n’est que vers la fin que je me suis laissée embarquer avec les personnages, l’action, le suspense, les émotions, tout s’est alors mis en place, ainsi que l’attachement aux personnages. Leur volonté d’aller jusqu’au bout, les embûches à surmonter et les lois transgressées forgent pour eux une admiration. La fin quant à elle est vraiment surprenante, on pensait avoir tout vu, et bien non, l’auteur nous a réservé une belle surprise.
Profile Image for Leo Labs.
395 reviews43 followers
August 17, 2020
Prenant, Haletant, Immersif... sont entre autres les quelques qualificatifs dithyrambiques qui peuvent être associés à ce roman, entre thriller et polar. Des personnages formidables, merveilleusement construits, profondément humains, autour d'une intrigue indéniablement crédible. Tout parait réaliste, et il ne m'en a pas fallu plus pour me convaincre de lire un autre roman de l'auteur.
Profile Image for Michel.
26 reviews
December 6, 2019
Absolument génial. Écriture, intrigues .... c'est un film... viviment le prochain à lire absolument.
64 reviews1 follower
January 14, 2024
Un polar dans la plus pure tradition. Pas très surprenant dans le final mais efficace dans le récit, très fluide dans l'écriture. Une bonne plongée dans l'enquête policière.
Profile Image for Claire B..
361 reviews8 followers
June 15, 2020
Ce livre est un véritable "page turner", impossible de le lâcher quand on l'a commencé!

C'est brillant, très bien écrit, les personnages sont justes et je ne serais pas surprise d'apprendre qu'il y a derrière certains d'entre eux - si pas tous - de vraies personnes qui ont inspiré l'auteur.

Tendresse toute particulière pour "Bek", son humanité m'a vraiment touchée. Quant à Canovas, ex-flic qui ne peut pas s'empêcher d'enquêter, comment ne pas être impressionnée par sa tenacité et son désir de démêler l'écheveau?

Si vous aimez les thrillers pas trop sanglants, foncez. La maison d'édition Cosmopolis a décidément le chic pour dégoter des plumes hors du commun.
Profile Image for Melliane.
2,073 reviews350 followers
April 6, 2023
Mon avis

Les jolis avis sur ce livre m’ont donné envie de le découvrir.

Nous suivons deux enquêtes en parallèles qui vont se rejoindre petit à petit : une joggeuse a disparu et une jeune fille a disparu. Personne ne prend la disparition au sérieux alors sa mère va chercher de l’aide là où elle peut.

J’étais curieuse de découvrir ce qui allait se passer dans ce roman, mais je dois dire que j’ai eu du mal à accrocher à l’histoire malheureusement. Je l’ai trouvée un peu longue, et mon attention a diminué peu à peu.
Displaying 1 - 13 of 13 reviews

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