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Reste
Je ne suis pas certaine d'avoir pleinement saisi ce qui m'est arrivé, ni ce qui m'a conduite à agir comme je l'ai fait. Certains matins, tout me semble limpide. À d'autres moments, je me vois comme un monstre, une créature que je ne reconnais pas, qui m'aurait possédée dans un instant de vulnérabilité. Mais je crois que cette image vient du regard des autres.
J'ai fait ce que je pouvais.
Il n'y a pas de morale à cette histoire. Tout ce que je sais, c'est que je vous dois les faits. Je vais donc m'attacher à les relater pour vous, et sans doute aussi pour moi, avec toute la précision dont je suis capable. Ils m'emmèneront sur des territoires obscurs, dans les marécages de ma conscience et, pour quelques secondes encore, contre la peau de M. "
J'ai fait ce que je pouvais.
Il n'y a pas de morale à cette histoire. Tout ce que je sais, c'est que je vous dois les faits. Je vais donc m'attacher à les relater pour vous, et sans doute aussi pour moi, avec toute la précision dont je suis capable. Ils m'emmèneront sur des territoires obscurs, dans les marécages de ma conscience et, pour quelques secondes encore, contre la peau de M. "
282 pages, Kindle Edition
First published April 6, 2023
36 people are currently reading
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 260 reviews
April 7, 2023
« Reste » est le nouveau roman de Adeline Dieudonné. Le premier « La vraie vie » paru en 2018 avait défrayé la chronique tant ce roman était émotionnellement chargé. « Reste » est de cet acabit. Dérangeant certes, mais abordant des thématiques très actuelles. Je pourrais même dire que « Reste » est un texte féministe, mais pas un féminisme enragé et révolté, un féminisme éclairé et raisonné.
« Reste » raconte l’histoire d’une femme qui retrouve son amant noyé dans le lac où il allait nager régulièrement. « Est-ce que M. s’est rendu compte qu’il se noyait ? Ou était-il inconscient quand c’est arrivé ? Est-ce qu’il s’est noyé parce que son cœur s’est arrêté ou est-ce que son cœur s’est arrêté parce qu’il s’est noyé ? ». Depuis 8 ans, ils se voyaient en cachette. Lui était marié, elle non. Entre eux, pas de vie de couple, pas d’obligations, pas de compromis, pas de promesses inutiles. Ensemble, ils ont simplement profité du temps qui leur était offert. La beauté de l’instant présent. La mort de M. est comme un coup de taser qui fait dérailler le cerveau de la narratrice. Il lui faut encore un peu de temps pour lui dire au revoir, encore un peu de temps pour imprimer son odeur dans ses souvenirs, encore un peu de temps pour se souvenir des contours de son anatomie. Elle décide de ne pas « rendre » le corps, de ne pas signaler son décès sauf à sa femme à qui elle écrit une lettre.
« Reste » est un récit d’à peine 276 pages et pourtant, le nombre de thématiques abordées par Adeline Dieudonné est impressionnant. La façon dont elle dit les choses, sans fioritures, grâce à une écriture qui va « à l’os » des émotions, à l’origine des problématiques est spectaculaire de maturité. Elle aborde sans ambages ce qu’est être une femme, une maîtresse et une mère aujourd’hui. Je peux vous dire que cela décoiffe et que cette liberté de ton fait un bien immense ! Dans cette période où « le politiquement correct » est de mise et où les « senseurs de la pensée » font loi, que c’est jubilatoire de lire un texte qui s’embarrasse si peu des conventions sociales ! C’est comme si elle réglait ses comptes avec certaines idées bien pensantes sur le fait d’être fille, d’être mère, d’être femme, d’être amante et le poids que la société fait porter sur chacune d’elles.
La mère d’abord, puisque la narratrice S. est maman. Avant d’être la maîtresse de M. elle a vécu d’autres vies. Voilà par exemple ce qu’elle dit sur la période post-accouchement et le fameux congé de maternité. « J’emmerde le post-partum. J’emmerde les hormones. Si on avait inversé les rôles, si Romain avait dû prendre ma place, il aurait aussi fini à moitié dingue. On nous vend ça comme les plus belles semaines de notre vie, on appelle ça un “congé”, veinardes que nous sommes. Et moi j’y avais cru. J’avais imaginé des journées à ronronner, l’enfant tendrement endormi dans son couffin en osier, le soleil oblique éclaboussant un plaid en cachemire blanc, l’odeur de la lessive fraîche, moi m’abandonnant aux œuvres complètes de Dostoïevski en écoutant Bach. Mon cul. » Comment te dire Adeline que je suis tellement d’accord avec toi !! Une belle arnaque ce truc-là !
Si « Reste » relate une histoire d’amour qui se termine subitement, le roman décortique également les précédentes relations de la narratrice pour marquer toutes les différences entre cette histoire là, précieuse, irremplaçable et toutes les autres. Ainsi, par le biais de sa narratrice, Adeline Dieudonné explore le statut de femme. La lucide : « Je ne pense pas qu’on m’ait appris à me taire. Simplement, on ne m’a pas appris à parler. Et on m’a dissuadée d’essayer. J’ai compris très tôt que pour être aimée des hommes il fallait éviter de leur prendre la tête, éviter d’être une chieuse, une grande gueule, une mégère. » Celle qui se protège face à la brutalité masculine : « Ici l’homme plus grand, plus large, plus lourd n’a pas écouté. Il avait entendu, sans aucun doute possible, mais il n’a pas écouté. Ce n’était plus un homme que je sentais contre moi et en moi mais une masse de muscles furieux. Un sanglier. C’est là que j’ai commencé à avoir peur. J’ai pensé : “On peut raisonner un homme, pas un sanglier.” » Celle qui déforme la réalité pour survivre : « Aussi, c’était une façon de ne pas en faire un salaud. Si ça n’est pas grave, c’est qu’il ne s’est rien passé. S’il ne s’est rien passé, le sanglier n’existe pas. C’est fou le pouvoir que j’ai. Si je décide qu’il ne m’a pas violée, le viol n’a pas eu lieu. C’est magique. Pas de douleur, donc pas de victime, donc pas de crime. Circulez. » Car dans une seule femme, il y a de multiples autres femmes qui se rencontrent, qui s’éteignent pour laisser la place à d’autres, qui évoluent et raisonnent… et qui meurent parfois.
Au début de la lecture de « Reste », j’ai été saisie par la froideur de l’écriture. Parler d’amour fou avec tant de détachement et si peu de mots m’apparaissaient être un échec. L’écriture était aussi glaciale que le corps sans vie de M. C’était finalement assez logique. Les émotions arrivent quand la narratrice raconte leur histoire en la comparant aux autres vécues et terminées. Par opposition au cynisme de certains passages, le lecteur parvient à ressentir l’amour pour cet homme et à l’imaginer s’épanouir. « La vie de couple, on croit que ce n’est que de l’amour, mais je voudrais avoir accès aux pensées intimes de tous les couples du monde, spécialement ceux qui ont des bébés, même quand ils s’aiment, même quand tout va bien, je suis prête à parier mon clito qu’ils ont tous ces pensées, qu’ils confinent tous à une forme de détestation de l’autre à un moment. »
« Reste » est une injonction, un cri, une supplication… « Je ne t’ai sans doute pas assez remercié, mon amour. On oublie toujours de dire merci, on dit “je t’aime” et on croit que ça suffit. Alors merci, pour tout ce que tu sais déjà, pour m’avoir aidée à réaliser que j’étais autre chose qu’une fille sexy en short, merci d’avoir aimé mes muscles, ma force, mon agressivité, d’avoir ri à mes blagues pas drôles, respecté mon besoin de solitude, merci de m’avoir embrassée en pleine rue, merci pour le cul qu’on a réappris ensemble. Merci pour ta fragilité. Merci d’avoir accepté de te débarrasser avec moi des artifices à la con du manège amoureux, la jalousie, la possession, les preuves à brandir, merci de m’avoir vue comme une alliée, pas comme une adversaire, merci d’être devenu mon meilleur ami. Au revoir, mon amour. »
« Reste » est un roman d’une extrême densité psychologique aux thématiques multiples qui fait réfléchir sur la place des femmes dans la société, sur leurs rapports avec les hommes, sur les frustrations engendrées par ce sexe féminin parfois si difficile à porter. Pour aborder ces situations, Adeline Dieudonné a créé un contexte très dérangeant, une amante qui conserve le corps mort de son homme, qui le voit se décomposer, changer, se métamorphoser. Exprimer autant d’émotions et autant d’idées en si peu de pages relève soit de la folie, soit du génie. Je penche pour le génie. « Reste » est un récit atypique, une beauté noire de cœur de femme. Magistral !
« Reste » raconte l’histoire d’une femme qui retrouve son amant noyé dans le lac où il allait nager régulièrement. « Est-ce que M. s’est rendu compte qu’il se noyait ? Ou était-il inconscient quand c’est arrivé ? Est-ce qu’il s’est noyé parce que son cœur s’est arrêté ou est-ce que son cœur s’est arrêté parce qu’il s’est noyé ? ». Depuis 8 ans, ils se voyaient en cachette. Lui était marié, elle non. Entre eux, pas de vie de couple, pas d’obligations, pas de compromis, pas de promesses inutiles. Ensemble, ils ont simplement profité du temps qui leur était offert. La beauté de l’instant présent. La mort de M. est comme un coup de taser qui fait dérailler le cerveau de la narratrice. Il lui faut encore un peu de temps pour lui dire au revoir, encore un peu de temps pour imprimer son odeur dans ses souvenirs, encore un peu de temps pour se souvenir des contours de son anatomie. Elle décide de ne pas « rendre » le corps, de ne pas signaler son décès sauf à sa femme à qui elle écrit une lettre.
« Reste » est un récit d’à peine 276 pages et pourtant, le nombre de thématiques abordées par Adeline Dieudonné est impressionnant. La façon dont elle dit les choses, sans fioritures, grâce à une écriture qui va « à l’os » des émotions, à l’origine des problématiques est spectaculaire de maturité. Elle aborde sans ambages ce qu’est être une femme, une maîtresse et une mère aujourd’hui. Je peux vous dire que cela décoiffe et que cette liberté de ton fait un bien immense ! Dans cette période où « le politiquement correct » est de mise et où les « senseurs de la pensée » font loi, que c’est jubilatoire de lire un texte qui s’embarrasse si peu des conventions sociales ! C’est comme si elle réglait ses comptes avec certaines idées bien pensantes sur le fait d’être fille, d’être mère, d’être femme, d’être amante et le poids que la société fait porter sur chacune d’elles.
La mère d’abord, puisque la narratrice S. est maman. Avant d’être la maîtresse de M. elle a vécu d’autres vies. Voilà par exemple ce qu’elle dit sur la période post-accouchement et le fameux congé de maternité. « J’emmerde le post-partum. J’emmerde les hormones. Si on avait inversé les rôles, si Romain avait dû prendre ma place, il aurait aussi fini à moitié dingue. On nous vend ça comme les plus belles semaines de notre vie, on appelle ça un “congé”, veinardes que nous sommes. Et moi j’y avais cru. J’avais imaginé des journées à ronronner, l’enfant tendrement endormi dans son couffin en osier, le soleil oblique éclaboussant un plaid en cachemire blanc, l’odeur de la lessive fraîche, moi m’abandonnant aux œuvres complètes de Dostoïevski en écoutant Bach. Mon cul. » Comment te dire Adeline que je suis tellement d’accord avec toi !! Une belle arnaque ce truc-là !
Si « Reste » relate une histoire d’amour qui se termine subitement, le roman décortique également les précédentes relations de la narratrice pour marquer toutes les différences entre cette histoire là, précieuse, irremplaçable et toutes les autres. Ainsi, par le biais de sa narratrice, Adeline Dieudonné explore le statut de femme. La lucide : « Je ne pense pas qu’on m’ait appris à me taire. Simplement, on ne m’a pas appris à parler. Et on m’a dissuadée d’essayer. J’ai compris très tôt que pour être aimée des hommes il fallait éviter de leur prendre la tête, éviter d’être une chieuse, une grande gueule, une mégère. » Celle qui se protège face à la brutalité masculine : « Ici l’homme plus grand, plus large, plus lourd n’a pas écouté. Il avait entendu, sans aucun doute possible, mais il n’a pas écouté. Ce n’était plus un homme que je sentais contre moi et en moi mais une masse de muscles furieux. Un sanglier. C’est là que j’ai commencé à avoir peur. J’ai pensé : “On peut raisonner un homme, pas un sanglier.” » Celle qui déforme la réalité pour survivre : « Aussi, c’était une façon de ne pas en faire un salaud. Si ça n’est pas grave, c’est qu’il ne s’est rien passé. S’il ne s’est rien passé, le sanglier n’existe pas. C’est fou le pouvoir que j’ai. Si je décide qu’il ne m’a pas violée, le viol n’a pas eu lieu. C’est magique. Pas de douleur, donc pas de victime, donc pas de crime. Circulez. » Car dans une seule femme, il y a de multiples autres femmes qui se rencontrent, qui s’éteignent pour laisser la place à d’autres, qui évoluent et raisonnent… et qui meurent parfois.
Au début de la lecture de « Reste », j’ai été saisie par la froideur de l’écriture. Parler d’amour fou avec tant de détachement et si peu de mots m’apparaissaient être un échec. L’écriture était aussi glaciale que le corps sans vie de M. C’était finalement assez logique. Les émotions arrivent quand la narratrice raconte leur histoire en la comparant aux autres vécues et terminées. Par opposition au cynisme de certains passages, le lecteur parvient à ressentir l’amour pour cet homme et à l’imaginer s’épanouir. « La vie de couple, on croit que ce n’est que de l’amour, mais je voudrais avoir accès aux pensées intimes de tous les couples du monde, spécialement ceux qui ont des bébés, même quand ils s’aiment, même quand tout va bien, je suis prête à parier mon clito qu’ils ont tous ces pensées, qu’ils confinent tous à une forme de détestation de l’autre à un moment. »
« Reste » est une injonction, un cri, une supplication… « Je ne t’ai sans doute pas assez remercié, mon amour. On oublie toujours de dire merci, on dit “je t’aime” et on croit que ça suffit. Alors merci, pour tout ce que tu sais déjà, pour m’avoir aidée à réaliser que j’étais autre chose qu’une fille sexy en short, merci d’avoir aimé mes muscles, ma force, mon agressivité, d’avoir ri à mes blagues pas drôles, respecté mon besoin de solitude, merci de m’avoir embrassée en pleine rue, merci pour le cul qu’on a réappris ensemble. Merci pour ta fragilité. Merci d’avoir accepté de te débarrasser avec moi des artifices à la con du manège amoureux, la jalousie, la possession, les preuves à brandir, merci de m’avoir vue comme une alliée, pas comme une adversaire, merci d’être devenu mon meilleur ami. Au revoir, mon amour. »
« Reste » est un roman d’une extrême densité psychologique aux thématiques multiples qui fait réfléchir sur la place des femmes dans la société, sur leurs rapports avec les hommes, sur les frustrations engendrées par ce sexe féminin parfois si difficile à porter. Pour aborder ces situations, Adeline Dieudonné a créé un contexte très dérangeant, une amante qui conserve le corps mort de son homme, qui le voit se décomposer, changer, se métamorphoser. Exprimer autant d’émotions et autant d’idées en si peu de pages relève soit de la folie, soit du génie. Je penche pour le génie. « Reste » est un récit atypique, une beauté noire de cœur de femme. Magistral !
May 5, 2025
Eine große Liebe nicht loslassen zu können, kann sicher ein ergiebiges Motiv für einen Roman sein, aber was die Autorin sich hierbei gedacht hat, also bei dem total skurrilen Einfall, dass die Liebende ihren verheirateten und nun plötzlich verstorbenen Lover (der aussieht wie Alain Delon) bei sich behält, bis er zu verwesen beginnt, erschließt sich mir nicht. Sollte es humorvoll sein? Keine Ahnung, nach Lachen war mir gar nicht.
Ich kürze das hier ab: ich fand das weder unterhaltsam, noch spannend, noch inspirierend und ich hab es nur beendet, weil ich es als Hörbuch hatte. Sprachlich ist es ok, das hat die Autorin ja nicht verlernt, aber die Geschichte, echt Bullshit …
Ich kürze das hier ab: ich fand das weder unterhaltsam, noch spannend, noch inspirierend und ich hab es nur beendet, weil ich es als Hörbuch hatte. Sprachlich ist es ok, das hat die Autorin ja nicht verlernt, aber die Geschichte, echt Bullshit …
July 14, 2024
Das wirkliche Leben hatte mich ja nicht so vom Hocker gehauen, gut, dass ich es nochmal mit der Autorin versucht habe, denn dieses Buch hat mir sehr gefallen. Ein ziemlich irrer Plot (Road Trip mit Leiche), der intelligent erzählt ist (Briefroman), wobei vor allem die Konversationsrichtung spannend ist: Gestorben ist ein verheirateter Familienvater während eines Kurztrips mit seiner jahrelangen Geliebten - diese schreibt die Erzählung als Briefe an seine Frau/Witwe und verhandelt dabei feministische und gesellschaftliche Themen.
Mehr zum Buch in unserer ausführlichen Besprechung @ Papierstau Podcast: #301: Eklig, aber gut
Mehr zum Buch in unserer ausführlichen Besprechung @ Papierstau Podcast: #301: Eklig, aber gut
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November 28, 2023Steengoed, absurdistisch (hardop gelachen om de geit) maar ook vaak ineens heel ontroerend. Met rake observaties over al dan niet clandestiene relaties.
June 16, 2024
Heel goed boek. Ga ik zeker nog boeken van lezen.
November 3, 2023
Très partagée sur la notation de ce roman. Cette histoire bien que fort bien écrite, est assez dérangeante. Le périple de cette femme qui ne veut pas quitter son amant mort par accident est très étrange. Le roman est raconté via deux lettres écrites à la femme de son amant. A la fois l’amour décrit est compréhensible, à la fois ses errances après sa mort sont perturbantes. Je dirai 3,5 étoiles.
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November 7, 2025DNF @ p. 34. It’s bleak that women are still writing these books where it’s supposed to be this feminist revelation that the book is saying - the stereotypical life of a wife/mother is not as fulfilling as I expected, the patriarchal confines I thought I could be happy in were actually bad…… blah blah blah blah blah.
Look. Having just watched the Selling Sunset season 9 reunion I am sympathetic to the bleak bleak fact that women are still being taught, and still believe and even might want to believe, this kind of oppressive bullshit.
But if all this book is saying is that (and it’s all it seems to be saying), I know it already, I’ve heard versions of this story a million times before… I don’t want to say this book doesn’t have value because clearly (bleakly) this is a message that many women & people throughout the world haven’t heard enough and haven’t yet learned for themselves. That isn’t enough to make ME want to keep reading it though.
Look. Having just watched the Selling Sunset season 9 reunion I am sympathetic to the bleak bleak fact that women are still being taught, and still believe and even might want to believe, this kind of oppressive bullshit.
But if all this book is saying is that (and it’s all it seems to be saying), I know it already, I’ve heard versions of this story a million times before… I don’t want to say this book doesn’t have value because clearly (bleakly) this is a message that many women & people throughout the world haven’t heard enough and haven’t yet learned for themselves. That isn’t enough to make ME want to keep reading it though.
December 27, 2024
Eine verstörende Erzählung, die jedoch auf seltsame Weise faszinierend ist.
September 24, 2023
Si je dois bien reconnaître la qualité de l'écriture, le talent de l'autrice pour dérouler le récit par petits bouts et nous tenir en haleine, je n'ai malgré ça pas du tout accroché à ma lecture. C'était le premier livre que je lisais d'Adeline Dieudonné, et je n'ai pas réussi à dépasser le côté bizarre, sordide, qui est a priori caractéristique de ses romans et en tout cas très prégnant ici. Tout le long, je me suis demandé ce que je lisais, et pourquoi ça me paraissait si peu crédible. Ne pas y croire m'a empêchée aussi d'entrer en empathie avec l'héroïne, dont le parcours ouvre des réflexions sur le deuil, l'amour et le besoin de solitude qui auraient pourtant pu me parler. J'y suis restée complètement hermétique.
March 26, 2025
Adeline Dieudonné hat mit diesem Buch ein Szenario geschaffen, was zeitgleich unvorstellbar und doch irgendwie auch so gut nachvollziehbar ist. Absolut crazy, welche Stories der Kopf dieser Autorin spinnt. Eine gute Mischung aus Faszination, verstörenden Szenen und Spannung.
October 3, 2024
Wie das wohl ist, wenn jemand stirbt, den Mann man aus tiefstem Herzen liebt? Ist dann die Liebe weg? Vergangen? Genauso wie der Körper vergeht? Oder ist sie noch da wie die Erinnerung, die ewig bleibt?
M. und seine Geliebte verbringen mal wieder ein Wochenende in den Bergen, in einem kleinen Chalet. M. Stirbt beim morgendlichen Baden im See. Seine Geliebte ist außer sich vor Schmerz und Trauer. Sie kann sich nicht von ihm trennen, möchte nicht, dass man ihn ihr wegnimmt. Und so behält sie es für sich. Sie bleibt bei ihm, und er bleibt bei ihr und sie schreibt ihre gemeinsame Geschichte in Briefe an seine Frau.
Über der Handlung hängt ein Grauschleier. Die Geliebte will nicht, dass die Beziehung endet, nicht über den Tod hinaus. Wir sind dabei, wie sie versucht sich jede Zelle und jede Pore von M. einzuprägen. Nach und nach merken wir, dass es hier nicht um eine Affärehandelt, sondern dass die Beziehung für beide existenziell war. Der moralische Kompass wird weg gelegt, ein Urteil über Liebende nicht gefällt. Das Ausmaß, das ihre Trauer annimmt, ist sicherlich unangemessen, aber irgendwie auch nachvollziehbar.
In fein gewebten Sätzen erzählt sie seiner Frau, wie sehr sie ihn geliebt hat, ohne dass sie ihr seine Liebe nimmt. Es gibt keine Eifersucht und keine Dramen, kein Leid und keine Besitzansprüche. Sie betont mehrfach, dass die von ihr selbst gewählte Einsamkeit die Grundlage für die acht Jahre währende Beziehung war.
Dieudonné hat eine kontemplative Erzählweise mit einem Spannungsbogen verknüpft der unaufhörlich auf das Ende zusteuert. Unsere ich Erzählerin startet ein paar schräge Aktionen. Man möchte die Protagonistin gleichzeitig trösten, sie anschreien und sich erschöpft neben sie setzen. Die Szenen, in denen wir Zeugen sind, wie sie mit dem Leichnam umgeht, sind voller Zärtlichkeit, auch wenn der Zustand des Körpers immer mehr vergeht.
Das hier ist kein Krimi, auch kein Horrortrip, sondern eine Reflexion der Vergänglichkeit des Seins und der Liebe zu dem, was bleibt. Der Roman transportiert intensive Gefühle, die zwischen Empathie und Ablehnung schwanken. In diesem besonderen Falle bin ich sehr froh darüber, dass es noch keine Lektüre gibt, die Gerüche wiedergibt 😉
Dieses Buch hat von Anfang an eine Melodie und so verwundert es auch nicht, dass der passende Soundtrack gleich mitgeliefert wird.
Eine große Leseempfehlung für alle, die die Liebe feiern und keine Angst vor Tabus haben.
M. und seine Geliebte verbringen mal wieder ein Wochenende in den Bergen, in einem kleinen Chalet. M. Stirbt beim morgendlichen Baden im See. Seine Geliebte ist außer sich vor Schmerz und Trauer. Sie kann sich nicht von ihm trennen, möchte nicht, dass man ihn ihr wegnimmt. Und so behält sie es für sich. Sie bleibt bei ihm, und er bleibt bei ihr und sie schreibt ihre gemeinsame Geschichte in Briefe an seine Frau.
Über der Handlung hängt ein Grauschleier. Die Geliebte will nicht, dass die Beziehung endet, nicht über den Tod hinaus. Wir sind dabei, wie sie versucht sich jede Zelle und jede Pore von M. einzuprägen. Nach und nach merken wir, dass es hier nicht um eine Affärehandelt, sondern dass die Beziehung für beide existenziell war. Der moralische Kompass wird weg gelegt, ein Urteil über Liebende nicht gefällt. Das Ausmaß, das ihre Trauer annimmt, ist sicherlich unangemessen, aber irgendwie auch nachvollziehbar.
In fein gewebten Sätzen erzählt sie seiner Frau, wie sehr sie ihn geliebt hat, ohne dass sie ihr seine Liebe nimmt. Es gibt keine Eifersucht und keine Dramen, kein Leid und keine Besitzansprüche. Sie betont mehrfach, dass die von ihr selbst gewählte Einsamkeit die Grundlage für die acht Jahre währende Beziehung war.
Dieudonné hat eine kontemplative Erzählweise mit einem Spannungsbogen verknüpft der unaufhörlich auf das Ende zusteuert. Unsere ich Erzählerin startet ein paar schräge Aktionen. Man möchte die Protagonistin gleichzeitig trösten, sie anschreien und sich erschöpft neben sie setzen. Die Szenen, in denen wir Zeugen sind, wie sie mit dem Leichnam umgeht, sind voller Zärtlichkeit, auch wenn der Zustand des Körpers immer mehr vergeht.
Das hier ist kein Krimi, auch kein Horrortrip, sondern eine Reflexion der Vergänglichkeit des Seins und der Liebe zu dem, was bleibt. Der Roman transportiert intensive Gefühle, die zwischen Empathie und Ablehnung schwanken. In diesem besonderen Falle bin ich sehr froh darüber, dass es noch keine Lektüre gibt, die Gerüche wiedergibt 😉
Dieses Buch hat von Anfang an eine Melodie und so verwundert es auch nicht, dass der passende Soundtrack gleich mitgeliefert wird.
Eine große Leseempfehlung für alle, die die Liebe feiern und keine Angst vor Tabus haben.
January 19, 2024
Stel, je hebt al jaren een affaire met een getrouwde man. Tijdens een weekendje samen krijgt hij een hartaanval en sterft.
Ik vermoed dat er heel wat boeken verder zouden gaan over het feit dat je niet wil dat die affaire uitkomt, dat je geweten begint op te spelen, dat je een uitweg zoekt of een goed verhaal wil opdissen,...
Gelukkig is dit geen doorsnee boek van dertien in een dozijn.
Adeline Dieudonné blijft volledig trouw aan haar hoofdpersonage en de liefde die dat personage voelt voor haar minnaar.
Dat personage weet namelijk dat ze haar minnaar moet afgeven, aan zijn vrouw die wel recht heeft om te rouwen en dat wil ze niet.
De liefde die zij en de minnaar deelden was zo puur en zo echt voor haar dat ze besluit het levenloze lichaam van haar geliefde mee te nemen, zodat hij toch bij haar kan blijven. Al was het maar voor even. Terwijl ze herinneringen ophaalt, schrijft ze een brief aan zijn vrouw.
Echte aanrader dit. Hoewel ik niet helemaal mee was met het einde, maar dat is bijzaak.
Er is ook een fijne, begeleidende playlist op Spotify.
Ik vermoed dat er heel wat boeken verder zouden gaan over het feit dat je niet wil dat die affaire uitkomt, dat je geweten begint op te spelen, dat je een uitweg zoekt of een goed verhaal wil opdissen,...
Gelukkig is dit geen doorsnee boek van dertien in een dozijn.
Adeline Dieudonné blijft volledig trouw aan haar hoofdpersonage en de liefde die dat personage voelt voor haar minnaar.
Dat personage weet namelijk dat ze haar minnaar moet afgeven, aan zijn vrouw die wel recht heeft om te rouwen en dat wil ze niet.
De liefde die zij en de minnaar deelden was zo puur en zo echt voor haar dat ze besluit het levenloze lichaam van haar geliefde mee te nemen, zodat hij toch bij haar kan blijven. Al was het maar voor even. Terwijl ze herinneringen ophaalt, schrijft ze een brief aan zijn vrouw.
Echte aanrader dit. Hoewel ik niet helemaal mee was met het einde, maar dat is bijzaak.
Er is ook een fijne, begeleidende playlist op Spotify.
November 11, 2023
Ce nouveau roman d’Adeline Dieudonné garde un style assez addictif, mai la fièvre ressentie avec La vraie vie et la puissance de cette voix enfantine, n’ont pas été retrouvées avec Reste. Pourtant le personnage principal de cette nouvelle histoire est bien décrit, bien travaillé. On fait le tour de toute sa vie et on parcourt l’analyse de tous bons et mauvais moments. Mais l’histoire me semblait un peu improbable. Il y avait aussi plusieurs longueurs. Cela reste un roman plaisant, fort, féministe, qui porte une voix qui va mal et fait le bilan de sa vie, à la disparition de son grand et unique amour.
April 21, 2025
Hab noch nie so ein makabres Buch gelesen. Das war auf eine ganz andere Art abgründig aber SO. GUT. Sehr beeindruckend, mit Sicherheit aber auch polarisierend. Eine sehr feinfühlige Geschichte einer Frau, die endlich lernt, selbstbestimmt zu leben und dabei die Liebe ihres Lebens verliert. Mich hat’s sehr berührt. Und der Schreibstil ist einfach großartig!
November 17, 2024
Absurd, grappig en dieptriest. De combinatie die nergens op lijkt te slaan en tegelijkertijd helemaal klopt in dit boek.
Is dit boek iets voor jou?
JA, als je eens iets ´anders´ wilt lezen. Een vrouw die dagenlang met het lijk van haar minnaar loopt te zeulen zodat ze hem niet moet loslaten is op z´n minst ´anders´ te noemen.
NEE, als je niet houdt van grafische beschrijvingen van al het onaangename dat bij de dood komt kijken. Ook nee als je nu al weet dat je nooit medelijden kunt opbrengen voor een minnares.
Is dit boek iets voor jou?
JA, als je eens iets ´anders´ wilt lezen. Een vrouw die dagenlang met het lijk van haar minnaar loopt te zeulen zodat ze hem niet moet loslaten is op z´n minst ´anders´ te noemen.
NEE, als je niet houdt van grafische beschrijvingen van al het onaangename dat bij de dood komt kijken. Ook nee als je nu al weet dat je nooit medelijden kunt opbrengen voor een minnares.
March 27, 2024
Een ongewoon mooi boek. Ondanks het lugubere van drie dagen rondzeulen met een lijk, is er op geen enkel moment sprake van sensatiezucht. Het gaat om Liefde, de gevoelens van een vrouw die uitgepuurd worden.
May 5, 2023
3,5 stars.
Comme dans son précédant ouvrage, j’ai dévoré les pages. Elle a une fluidité dans son écriture qui donne envie de continuer et d’avancer. Mais le tout sans être obsédé par l’histoire. C’est assez complexe à expliquer mais je ne me suis pas ennuyé en lisant ce roman mais j’en avais clairement rien a faire des persos et de l’histoire. C’était pareil avec Kerozene. Assez déçu
Comme dans son précédant ouvrage, j’ai dévoré les pages. Elle a une fluidité dans son écriture qui donne envie de continuer et d’avancer. Mais le tout sans être obsédé par l’histoire. C’est assez complexe à expliquer mais je ne me suis pas ennuyé en lisant ce roman mais j’en avais clairement rien a faire des persos et de l’histoire. C’était pareil avec Kerozene. Assez déçu
January 12, 2025
C'était vraiment pas mal, l'ambiance était chargée, derangeante et j'ai été pris de dégoût à plusieurs reprises mais les émotions m'ont rattrapé vers la fin. J'étais triste pour M et sa maîtresse et encore plus pour sa famille à lui.
J'ai écouté la bande son du livre après ma lecture et elle a confirmé ce sentiment de tristesse, presque de solitude, comme si j'avais moi aussi dit au revoir à M.
J'ai écouté la bande son du livre après ma lecture et elle a confirmé ce sentiment de tristesse, presque de solitude, comme si j'avais moi aussi dit au revoir à M.
February 6, 2025
4,5/5
J’ai versé ma petite larme à la fin j’avoue.
J’ai adoré le livre, même si j’ai eu énormément de mal avec la thématique, qui est la mort. Mais tout ce qui gravite autour frôle le génie.
J’ai versé ma petite larme à la fin j’avoue.
J’ai adoré le livre, même si j’ai eu énormément de mal avec la thématique, qui est la mort. Mais tout ce qui gravite autour frôle le génie.
June 24, 2023
Pénible... Cette lecture a été pénible.
Je n'ai pas retrouvé cette plume qui me faisait dévorer les pages de "La vraie vie" et Kérozène", si bien que j'avais lu les deux ouvrages en une journée.
Ici, il m'a fallu plus d'une semaine pour avancer à travers une histoire qui n'avance pas, avec des personnages extrêmement peu attachants et sous un format qui ne m'a pas convaincu du tout.
Le pitch, prometteur, aurait peut-être mieux été adapté à une nouvelle ?
Dans tous les cas, ces 180 pages m'ont semblé 450.
Je n'ai pas retrouvé cette plume qui me faisait dévorer les pages de "La vraie vie" et Kérozène", si bien que j'avais lu les deux ouvrages en une journée.
Ici, il m'a fallu plus d'une semaine pour avancer à travers une histoire qui n'avance pas, avec des personnages extrêmement peu attachants et sous un format qui ne m'a pas convaincu du tout.
Le pitch, prometteur, aurait peut-être mieux été adapté à une nouvelle ?
Dans tous les cas, ces 180 pages m'ont semblé 450.
January 21, 2024
I really didn’t enjoy this book. Its very morbid. I would not recommend it to anyone. The main character is unlikable and completely nuts ! The writing is fine and it’s suspenseful in an odd way. I dont usually dislike a book so much and usually dont finish… I admit in the end I was really speed reading to get it over with ! I hesitate to put stars at all … personally I would just not recommend it, but its a question of taste …
January 18, 2025
Eine Totenklage: nachdem der Geliebte überraschend stirbt, möchte die Frau sich nicht von ihm trennen. Ein makabrer Roadtrip folgt. Sie resümiert ihr bisheriges Beziehungsleben.
Schwindelerregend. Teilweise sehr rasant, dass ich fast den Überblick verlor.
Den Humor vom Klappentext habe ich nicht gefunden. Der wäre hier für mich auch fehl gewesen.
Schwindelerregend. Teilweise sehr rasant, dass ich fast den Überblick verlor.
Den Humor vom Klappentext habe ich nicht gefunden. Der wäre hier für mich auch fehl gewesen.
April 30, 2023
Je n'ai pas accroché, je l'ai trouvé long, je l'ai terminé car il ne fait que 180 pages autrement il aurait été inachevé. J'ai préféré les autres livres de cette autrice.
July 30, 2024
Depuis huit années, une femme partage une relation amoureuse avec son amant. Lors d’un week-end, le pire arrive puisque ce dernier décède. Fait original, cette femme décidera de rester un certain temps avec le cadavre de son amant qu’elle se refuse à laisser partir.
Le récit d’une folie passionnelle touchante qui nous transporte entre le passé et le présent, pour revenir sur leur histoire avant ce drame. Grace à la forme épistolaire, nous revenons sur les événements au travers des lettres que cette femme destinent à l’épouse de son amant.
Un résumé qui peut paraître incongru, mais c’est un récit passionnant, bien mené et intriguant qui amène à la réflexion sur le rôle de l’amante. Un rôle qui convenait à notre protagoniste mais qui lui posera des problèmes à la suite de la mort de son amant, puisqu’elle mesurera qu’elle n’a pas de légitimité comparé à l’épouse. Qu’il s’agisse des funérailles ou de son deuil, malgré tout l’amour qu’elle a pu lui porter, elle sera mise de côté.
Un livre aussi étrange que doux que j’ai beaucoup apprécié. Je vous le conseille ne serait-ce que pour son côté inédit, sa sensibilité et son écriture.
Le récit d’une folie passionnelle touchante qui nous transporte entre le passé et le présent, pour revenir sur leur histoire avant ce drame. Grace à la forme épistolaire, nous revenons sur les événements au travers des lettres que cette femme destinent à l’épouse de son amant.
Un résumé qui peut paraître incongru, mais c’est un récit passionnant, bien mené et intriguant qui amène à la réflexion sur le rôle de l’amante. Un rôle qui convenait à notre protagoniste mais qui lui posera des problèmes à la suite de la mort de son amant, puisqu’elle mesurera qu’elle n’a pas de légitimité comparé à l’épouse. Qu’il s’agisse des funérailles ou de son deuil, malgré tout l’amour qu’elle a pu lui porter, elle sera mise de côté.
Un livre aussi étrange que doux que j’ai beaucoup apprécié. Je vous le conseille ne serait-ce que pour son côté inédit, sa sensibilité et son écriture.
December 12, 2024
Habe das Buch nur gelesen, weil es eine Freundin gelesen hat und jedes Mal, wenn sie davon erzählt hat, hab ich einfach nur gelacht. Die Story von diesem Buch fand ich so absurd, dass ich es selbst lesen musste und überraschenderweise hat es mir mehr gefallen, als ich zuerst gedacht habe.
Neben den absurden und leicht verstörenden Stellen, werden auch ernstere Themen angesprochen, was das Buch tiefgründiger macht, als es vielleicht aussieht.
Wer nach einem schnellen und kurzen read sucht, dem kann ich das Buch nur empfehlen :)
Neben den absurden und leicht verstörenden Stellen, werden auch ernstere Themen angesprochen, was das Buch tiefgründiger macht, als es vielleicht aussieht.
Wer nach einem schnellen und kurzen read sucht, dem kann ich das Buch nur empfehlen :)
August 8, 2025
Eine skurrile Geschichte über eine Affäre, Trauer und das Abschied nehmen. Weniger seltsam als zunächst erwartet und spannend erzählt, wodurch mir der Roman gut gefallen und mich zum Nachdenken gebracht hat.
February 2, 2024
3.5, de schrijfstijl was mijn ding niet (kan ook aan de vertaling liggen). Het verhaal zelf zal me wel nog een tijdje bijblijven.
March 30, 2024
*2,5 ⭐️
Werd er misselijk van 🦷
Werd er misselijk van 🦷
April 9, 2025
Una carta de la amante a la esposa. Un libro sobre el amor y el duelo, perturbador y hermoso a la vez. Siendo esta su tercera novela, me declaro fan de Adeline Dieudonné.
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