« CHERCHE LE SANG ET TU TROUVERAS L’ÉTERNITÉ… DU MAL. »
HIVER 1448. Dans une Roumanie déchirée par la guerre, le prince Vlad, dit Dracul, échappe de peu à la mort. Une rencontre va tout changer : l’énigmatique impératrice de Bohème, Barbara de Cilli. Obsédée par l’alchimie, la magie et le sang, elle entraîne Vlad dans la quête initiatique du Graal. Celui du Diable. ÉTÉ 1944. Des partisans anti-allemands terrorisent la région des Balkans, se comportant comme des vampires. Tristan Marcas et Laure d’Estillac vont à nouveau plonger dans l’occulte, au coeur des soubresauts d’un conflit mondial à son paroxysme.
Éric Giacometti et Jacques Ravenne, qui ont déjà fasciné plus de 3 millions de lecteurs, reviennent avec un nouvel opus de la saga historique du soleil noir, sous le signe de la naissance de Dracula…
« Un thriller saignant à souhait, qui se dévore en une nuit » Télé 7 jours
On se retrouve aujourd'hui avec la suite des aventures de Tristan Marcas, notre célèbre antiquaire de guerre. Sixième tome de la saga du Soleil Noir, Le Graal du diable nous entraîne au plus profond de la Transylvanie.
Alors que Tristan échappe une fois de plus à la mort, sa bonne étoile n'étant jamais loin, il va se retrouver bien malgré lui entraîné dans une chasse au trésor qui va défier son entendement. Retrouvé par le commissaire Montalivet et désireux de retrouver Laure en Suisse pour filer le parfait amour, il va apprendre que cette dernière est non seulement détenue au Lebensborn, cette pouponnière à enfants nazis, mais également enceinte de lui. Il va donc tout faire pour la libérer, même accepter de travailler de nouveau pour Himmler. Ce dernier a en effet un objectif en tête : retrouver le Graal du diable, cette relique qui pourrait donner un second souffle au troisième Reich, alors en déclin. En parallèle, nous suivons l'existence de Vlad Dracul, en 1449, qui ne rêve que d'une chose, reprendre le trône à son frère. Pour cela, il va devoir s'allier à Barbara von Cilli, impératrice de Hongrie. Ensemble, ils vont se mettre à la recherche de ce qui leur apportera pouvoir et jeunesse éternelle, le Graal du diable.
Vampirisme, sacrifices de sang et mythe du Graal renversé, cette course à la relique ancestrale est fascinante. Giacometti et Ravenne nous font voyager en Transylvanie, ponctuant leur récit de faits réels et historiques, y mêlant habilement quelques clefs ésotériques. Tristan Marcas et Laure d'Estillac ne rêvent que d'une vie enfin calme et loin de la guerre, et alors que les forces allemandes reculent de plus en plus, cet espoir se trouve enfin à portée de main. A suivre au prochain tome...
Lu dans le cadre du Prix des lecteurs Livre de poche 2024 polar/thriller
Cette lecture partait avec des a priori négatifs : elle fait partie d'une série (drôle d'idée pour une sélection), il y a des vampires et des nazis, de l'ésotérisme... pas forcément ma tasse de thé !
Finalement, le côté vampires et nazis ne m'a pas gênée, les chapitres s'enchaînant assez facilement. On alterne entre deux époques (1448 et la guerre de 39/45) avec un fil rouge : la quête de la jeunesse éternelle via le sang. Certains passages m'ont fait penser au Da Vinci code, forcément avec un focus sur le Graal.
Ce n'était pas gênant de ne pas avoir lu les tomes précédents (même si les notes de bas de page les conseillant m'ont vite fatiguée), mais de ce fait les personnages principaux ne sont pas forcément beaucoup creusés puisque les lecteurs habituels les connaissent déjà. J'ai même eu du mal à comprendre pourquoi Tristan Marcas faisait autant d'enquêtes impliquant Himmler tout en étant "résistant", mais bref. Laure, sa compagne, est quant à elle sans cesse ramenée à son statut de femme enceinte : elle ne sert pas à grand-chose dans ce tome.
Voilà, ce n'était pas aussi difficile que je l'escomptais mais pas un coup de cœur non plus. Surtout que la fin est assez ouverte, évidemment pour lire la suite. Je ne serai pas de la partie, désolée !
Pendant l'été 1944, Marcas et Laure se retrouvent de nouveau en compagnie de SS pour résoudre le mystère des "vampires" qui sévissent en Roumanie, dans la région du Banat.
En 1448, on suit Vlad Dracul, qui après avoir échappé de peu à la mort, rencontre l’Impératrice Barbara von Cilli. Elle va l'entrainer dans la quête du Graal du Diable.
J'ai apprécié ce tome, comme toujours entre deux temporalités. Le fait que le livre traite de personnages ayant vraiment existé est toujours très intéressant.
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On retrouve Tristan et Laure dans les positions bien difficiles ou on les avait quittés. Et pour se retrouver ils vont devoir une fois de plus pactiser avec le diable, et même peut-être avec les vampires... Pas le meilleur tome de la série. Les passages historiques sur Vlad ne m'ont pas trop intéressés, et pour la ligne de temps principale, j'ai trouvé certains personnages bien trop caricaturaux pour être intéressants. Mais on se laisse facilement embarquer par l'histoire et c'est finalement un page turner assez efficace !
Histoire avec beaucoup de suspense. Très bien écrit, j’ai lu le livre d’un trait. Il faut encaisser la première partie très violente avant que l’histoire commence vraiment .
Le graal du diable d’Eric Giacometti et Jacques Ravenne, présentation Une femme, Nada la Noire, est à l’origine de massacres qui font peur, à l’été 1944 dans le territoire du Banat. Elle assassine toute une famille et laisse une petite fille survivante, Inge.
C’est la déroute pour l’armée allemande.
Paris, la milice procède à de nombreuses exécutions.
Avis Le graal du diable d’Eric Giacometti et Jacques Ravenne Le lecteur retrouve ses deux héros fétiches, Laure d’Estillac et Tritan Marcas dans une quête qui va leur faire vivre des moments inoubliables.
Comme à leur habitude, les deux auteurs mélangent deux époques, pour mon plus grand plaisir car avec eux, même si c’est romancé, les faits relatés peuvent être véridiques. 1944, la Seconde Guerre Mondiale est sur sa fin et les Allemands subissent déroutes sur déroutes. Hitler a failli être assassiné et les coupables de cette opération sont poursuivis pour être punis. Mais les Allemands ne renoncent pas. Ils vont commettre de plus en plus d’exactions pendant ces derniers mois et les populations vont souffrir tant et plus. Certains pays proches de l’Allemagne, où vivent des Allemands, croient encore en leur Fûhrer. Mais ils sont nombreux à se soulever. Ce sont des pays où les légendes, les peurs sont bien présentes, notamment, Nada la Noire, qui boit le sang de ses ennemis, comme les vampires. Le parallèle est donc trouvé pour revenir en arrière et raconter l’histoire de Vlad Dracul, le prince honni, le prince qui a été éjecté par son frère du royaume. Pour Vlad, c’est une vie d’errance, de cadavres pour survivre et surtout une quête demandée par une femme, laquelle ne veut pas renoncer à son pouvoir de régner et surtout de rester belle, immortelle.
Laure est enceinte. Elle a été enlevée par les Allemands et enfermée dans un centre dédié au renouvellement de la race aryenne. Les jeunes femmes blondes, correspondant au modèle allemand, doivent donner naissance à des enfants qu’elle n’élèveront pas. D’ailleurs, après l’accouchement, elles ne seront plus suivies. Ces femmes sont endoctrinées. Ce centre veut que le bébé de Laure arrive à son terme. Ils prennent donc soin de son foetus, pas forcément de la jeune femme, qui n’hésite pas à se rebeller même si elle sait qu’elle sera punie. Toutefois, Laure prépare minutieusement son évasion.
De son côté, Tristan avait été arrêté à Paris. Il a vécu plusieurs jours dans une prison et il est l’ombre de lui-même. Il pense être exécuté mais il est sauvé par une femme. Avant de mourir, elle lui donne une carte prémonitoire. Des membres de la Résistance vont sauver Tristan et l’exfiltrer. De retour en Suisse, son objectif est de sauver Laure et quoi de mieux que de reprendre contact avec Himmler. Avec ce dernier, c’est donnant donnant. Oui, Laure sera sauvée mais Tristan doit aider un SS en résolvant une énigme. La vie de Laure et Tristan est tout de même en danger, entre les SS et ce qu’ils vont découvrir.
Petite histoire concernant cette lecture. J’ai dû commencer ce roman alors que j’en avais un en cours. Mais une intervention d’une journée sur une copropriété m’a empêcher de retourner au bureau pour prendre quelques affaires donc un livre. Donc, j’ai commencé Le graal du diable alors que ce n’était pas prévu. Je l’ai continué jusqu’à la fin. Mais ma lecture a été bouleversée et je le relirai pour bien me rappeler certains faits. En tous les cas, cela ne change absolument pas mon sentiment quant à ce nouvel opus.
Habituée depuis de nombreuses années au style des deux auteurs, je sors ravie de ma lecture, encore une fois. Ils manient avec dextérité des éléments historiques à la sauce Giacometti et Ravenne. Ce roman aborde deux thèmes que j’affectionne plus particulièrement, la Seconde Guerre Mondiale, car je ne connais pas encore tout, et les vampire. C’est prenant, le lecteur s’attache, encore une fois, au héros et espère une suite. Car comment est composée la famille Marcas, entre Tristan, ici, et Antoine, le célèbre enquêteur de l’autre série. Tristan et Antoine sont, tous les deux, experts pour résoudre des énigmes où leur intelligence, leurs connaissances, sont mises à rude épreuve. Pas un coup de coeur, comme je l’ai expliqué plus haut.
Génial...comme toujours cette dualité entre 2 période de l'histoire...qui explique ce qu'il y a eu avant impacte le présent. Et toujours apprendre des anedoctes historiques. Hâte de lire la suite. La famille Marcas est une famille d'Indiana Jones.
J’ai aimé suivre l’histoire et l’évolution de Tristan Marcas tout au long de la saga du soleil noir. J'ai bien aimé ma lecture de ce roman mais ca ne sera pas un coup de cœur. Dans ce tome, il y a beaucoup de rebondissement du coté de Tristan avec Laure d’estillac. Cette dernière se retrouve dans un hôpital loin de Tristan. Dans le roman, on parle de vampire au final, on en parle tellement peu. J'aurai aimé que les auteurs en parlent beaucoup plus de cette partie la et donc un peu déçu. J’adore la plume des auteurs mais a certains moments le fait de changer de point de vue entre les époques parfois me trouble et je reste perplexe.
Marcas nous emmène encore une fois dans une aventure décapante On ne peut pas le lâcher C’est juste génial Comme à chaque fois je regrette d’avoir terminé ce récit captivant !