En avant pour le dernier round opposant les étudiants de la fac aux gardiens de la tradition des super-héros ! Un mur encercle le campus, l’isolant du reste du monde. Coincée entre les deux camps, la trinité de la Mort ne peut soutenir la jeune génération ouvertement. Entre guerre médiatique et émeutes urbaines, le combat paraît bien inégal. Chance et ses amis auront affaire à un ennemi surpuissant qui n'hésitera pas à faire l’usage d'une arme de destruction massive redoutable : l'oubli.
Florent Maudoux est né en 1979 et a été formé au dessin animé à l’école des Gobelins. Amateur de films hongkongais, ses influences se situent à la croisée des mangas et de l’art classique italien ou encore des illustrateurs anglais du 19e siècle. Ses expériences d’animateur 3D et story-boarder dans l’univers du jeu vidéo (Eden Games), puis d’illustrateur et concepteur de figurines (Rackham), lui permettent de développer son art de la mise en scène, son sens du détail et sa palette de couleurs. Il met aujourd’hui ses qualités au service de la BD notamment avec DoggyBags et Freaks’ Squeele (dont la série à succès Funérailles) à Ankama Éditions pour le Label 619.
He estado a punto de ponerle máxima puntuación por ser el final de una serie de gran calidad pero pesa mucho lo forzado e improbable de muchas de las situaciones, lo que no impide decir que Maudoux da lo mejor de sí mismo para que la cosa quede épica y el dibujo es una gozada. Al final me deja la misma impresión que cuando empecé el quinto tomo, que en estos tres últimos historia principal y tramas secundarias estaban metidas con calzador y apretando la maleta para no perder el metafórico vuelo y así quedan muchos temas sin resolver, sobre todo en rojo y con mayúsculas las relaciones entre los personajes principales y su futuro (el final de Xiong Mao y Sombra es...).
Habrá que verlo desde el lado positivo, como él mismo admite al final del cómic lo más probable es que continúe la serie en el futuro para terminar lo que no ha podido ahora.
Au final, j'ai beaucoup aimé cette série. Drôle, originale dans le traitement des personnages et des intrigues, le cycle se conclut très bien. Graphiquement, c'est efficace, maîtrisé, sans pour autant être un chef d'œuvre. Le style manga à la française, influencé également par le comics, a depuis fait école. Ce cycle fait également partie d'un ensemble plus grand, le "Maudouverse", dont je lirai probablement d'autres histoires !
Bref, « Freaks’ Squeele » partait bien avec son idée d’une école pour Super-Héros. Le mélange ambiance déjantée et un cadre universitaire avec ses problématiques fonctionnait très bien. Malheureusement, l’histoire s’est trop emballée à mon goût et j’ai perdu l’intérêt que je portais à l’intrigue et aux personnages. Les événements s’enchaînent trop vite, les informations nous sont balancées sans préambule et le récit prend des proportions qui rend le tout peu crédible. Il y a des sujets de réflexion qui sont pourtant intéressants et qui sont bien creusés mais cela se perd dans l’action et l’absurdité de la situation. Avec la qualité des graphismes, les thèmes abordés et l’humour, je ne doute pas que ce comics trouvera son public, je n’en fais simplement pas partie.
je viens de finir le le livre et plus d'apprendre que c'était le dernier de la série. Une fin qui manque de structure, ça part dans trop de sens .Un peu décevant pour une finale de série
La fin de cette excellente série n'est peut-être pas au niveau des tomes précédents. Il y a en effet quelques très bonnes idées (les obliterators, la sphère d'oubli,et même la réalité "moins bien"), mais j'ai trouvé l'intrigue peut-être un peu "molle". Cela dit, je regrette - tout en l'approuvant complètement - le choix de l'auteur d'arrêter sa série.
Et ben finalement je suis assez déçue par cette série. J'avais adoré les deux premiers tomes au point de tous mes les acheter, mais j'ai trouvé que le niveau baissait en qualité à chaque fois. Il reste pleins de questions sans réponses. C'était un peu toujours le gros bordel et on comprend pas bien ce qu'il se passe.
La fin était complètement anticlimatique. On reste sur notre faim. Un peu décevant. Je crois que je vais essayer de revendre mes livres, choses que je fais rarement mais si je n'ai pas aimé le livre...