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Pauline

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"Pauline était vêtue de brun avec une petite collerette d'un blanc scrupuleux et d'une égalité de plis vraiment monastique. Ses beaux cheveux châtains étaient lissés sur ses tempes avec un soin affecté ; elle se livrait à un ouvrage classique, ennuyeux, odieux à toute organisation pensante : elle faisait de très petits points réguliers avec une aiguille imperceptible sur un morceau de batiste dont elle comptait la trame fil à fil. La vie de la grande moitié des femmes se consume, en France, à cette solennelle occupation." Aurore Dupin (1804-1876), connue en littérature sous le pseudonyme de George Sand, est une figure centrale de la littérature du XIXᵉ siècle. Elle a activement travaillé à la diffusion d'idées où le progrès, la liberté, l'égalité et la justice le disputent à la place des femmes dans une société qu'elle souhaite entièrement renouvelée.

144 pages, Pocket Book

First published January 1, 1839

19 people are currently reading
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About the author

George Sand

2,859 books915 followers
Amantine Lucile Aurore Dupin de Francueil, best known by her pen name George Sand, was a French novelist, memoirist and journalist. One of the most popular writers in Europe in her lifetime, being more renowned than either Victor Hugo or Honoré de Balzac in England in the 1830s and 1840s, Sand is recognised as one of the most notable writers of the European Romantic era. She wrote more than 50 volumes of various works to her credit, including tales, plays and political texts, alongside her 70 novels.
Like her great-grandmother, Louise Dupin, whom she admired, George Sand advocated for women's rights and passion, criticized the institution of marriage, and fought against the prejudices of a conservative society. She was considered scandalous because of her turbulent love life, her adoption of masculine clothing, and her masculine pseudonym.

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59 (11%)
1 star
12 (2%)
Displaying 1 - 30 of 42 reviews
Profile Image for Alan.
Author 6 books379 followers
May 27, 2020
This novella, bought in Sherbrooke, Quebec last week, at the grand Biblairie GGC, is better than the Victor Hugo short story I bought there six années fa—more subtle analysis of the provincial woman who becomes a star actress, Laurence, and her childhood friend Pauline reacquainted decades later, as well as perhaps the coldest Man of (Dis)Honor I have ever read, Montgenays. Who would believe, in a man apparently so “nonchalant en apparance,” “une résolution si sèche et si cruelle?” (85).
Many historical details bring the past alive, like women forbidden to ride horses in many French towns. The first young woman who rode “une selle anglaise” was treated as if she were a Cossack in petticoats, then the next year all the young women wore Amazonian attire, including the riding crop (62).
The French provincial attitude toward theater turns out to reflect Puritan disdain, or perhaps it’s more bourgeois sanctimoniousness, acting as bohemian. But once Laurence returns famous, everyone lies about rejecting her. Now they say they had often entertained the now-famous actress, and they all recognized that Laurence would go far. Sand calls these false recollections, “toutes ces puerilités”(63).
Pauline’s life achieved meaning by her duties toward her ailing mother, Madame D.
But Sand clarifies the daughter has not a trace of self-abnegation. Rather, she is proud, prouder than her actress friend, though her limited and dutiful life does not display it. Upon the death of Pauline’s mother, Laurence is forced to conclude “que l’exercice de certaines vertus paralyse l’âme des femmes, au lieu de la fortifier”(64).

Meanwhile, Montgenays’ conversation was seen by artists as good in comparison to other rich guys, and he was accepted by the proud because he knew how to flatter them. In short, he was what the world calls “un homme d’esprit,” or what artists and playwrights call “un homme de goût”(77).
Laurence’s mother, Madame S, also lives with her daughter, and in fact, has greater
insight into both Pauline and Montgenays. She suggests her daughter find out if Montgenays really loves Pauline, “les separer; ferme-lui ta porte: ce sera le forcer à se déclarer”(97). The actress urges Pauline to help her at the theater, but Pauline claims illness.
Finally, Laurence accepts her mother has been right, that Montgenays has been play-acting. This leads to my favorite lines, the actress saying, “nous verrons lequel de nous deux sait le mieux jouer la comédie.” Then, her mom warns her, “Prends garde! Tu feras un ennemi mortel, et un enemi littéraire, qui plus est”(104).*
When she acts as if she’s captured by the creep, she acts less well, as if in a bad play. She adds she can’t believe that “la comédie fût plus fatigant à jouer dans le monde que sur les planches!”(106). Her old actor friend Lavallée convinces the creep, so she draws his letters toward herself, to let Pauline off the hook of a man who does not value her.
But Pauline feels the actress has stolen Montgenays, and continues jealous the rest of her life, although she triumphs in a way that may leave herself humiliated.

*Ah, an enemy who writes...I like to think I have been such an enemy, worse than a mortal enemy!
Profile Image for leni swagger.
512 reviews6 followers
July 16, 2023
crossing the name "pauline“ off of my future-baby names-list…
163 reviews5 followers
June 24, 2017
Deux amies, Laurence et Pauline, se retrouvent après plusieurs d’années d’absence. Alors que Laurence est devenue une actrice reconnue à Paris, Pauline est restée en province s’occuper de sa mère. Dès la première visite imprévue de Laurence à la campagne, la jalousie est palpable chez Pauline, un sentiment qui grandira lorsque à la mort de sa mère, Pauline rejoint son amie à Paris. Amoureux de Laurence, le dandy Montgenays courtise Pauline espérant atteindre Laurence : la jalousie grandira entre les deux femmes jusqu’à briser leur amitié.

Pauline est découpée en deux temps : la peinture de la vie provinciale et la vie parisienne. Au sein même de ce découpage se trouve la génèse de cette courte nouvelle, une écriture en deux temps (la première partie au printemps 1832, la seconde en décembre 1839) qui marque une profonde césure. La peinture de l’ennui en province est rédigé de façon assez naïve trahissant une prose qui se cherche ; les tableaux parisiens sont - quant à eux - empreints d’une certaine influence romanesque et écrit par une plume plus expérimentée.
Ce caractère duel de rédaction n’impacte pas la lecture, en revanche l’écriture de l’auteur (entre ennui et mélancolie) est pesante dès les premières pages, auquel s’ajoute l’intrigue assez commune.
Au coeur de cette nouvelle, la jalousie fait le lien entre la première et seconde partie. Sand décline ce sentiment sous ses différents visages : la jalousie de la réussite professionnelle, de la réussite amoureuse, de la réussite sociale… Une fois née chez Pauline, la jalousie envers son amie Laurence ne la quittera plus. Ce dénouement commun s’ajoute au coté sentimental et profondément mélancolique du roman.
Dans sa peinture de la vie en province, l’auteur reprend des thèmes déjà développés dans La Mare au diable tels que l’ennui, des moeurs pesantes et figées dans un milieu étroit, une vie rythmé d’habitudes.
"Ah! je ne savais pas que la comédie fût fatigante à jouer dans le monde que sur les planches!"
Comme dans d’autres de ses récits, Sand s’appuie sur le monde du théâtre et l’artiste pour y louer la liberté de conduite et de parole : Laurence, libérée des moeurs étroites et préjugés de province, est bien plus libre que Pauline. Le personnage de Laurence est probablement miroir reflétant la personne que Sand aspirait à être. Dans sa peinture de la vie parisienne, Pauline apporte une nouveauté dans l’oeuvre de Sand : la comparaison de la vie mondaine avec une pièce de théâtre. Chacun des personnages - en particulier Montgenays - joue des rôles pour arriver à leur fins plutôt que d’être vrai. Seule Laurence, l’actrice, semble être la plus vraie dans ses actions.
Profile Image for Po.
45 reviews1 follower
May 13, 2023
Les écrivains n’aiment vraiment pas les Pauline… à chaque fois elles sont belles mais méchantes et vicieuses. C pas juste. Juste un roman où Pauline est gentille c’est possible svp?
Profile Image for Chutttoi.
13 reviews
June 6, 2025
To be honest, I only read “Pauline” because I didn't have anything else to read. I found it lying under the piles of books scattered around my bed. I wasn't that excited by the summary, but it was short, so I thought it would make a nice quick read.

I was pleasantly surprised, I must say! I'd never read any of George Sand's novels before, but I can tell you that I'm now going to start delving into her work. The story of Pauline and Laurence struck a chord with me. Although the novel was published in 1839, I feel it reflects situations that we can still experience with friends today. George Sand’s writing is also very pleasant without being overly complex.

If you're looking for an enjoyable, quick read to take a break from long, complex novels, I recommend “Pauline”!
Profile Image for Effigia.
145 reviews2 followers
July 15, 2023
ce roman m’a beaucoup donné envie de lire du George Sand

j’ai offert ce livre à ma mere et j’y ai noté :
“Chere Mum,
Voici une petite lecture d’une autrice qui s’est battue pour les femmes que nous sommes.
Bonne fête des mères.”
Profile Image for Chroniques Littéraires.
52 reviews6 followers
August 25, 2014
« Pauline » est un court roman qu’on dévore d’une traite, tant son intrigue est captivante. Le talent d’écrivain de George Sand n’est plus à démontrer, son écriture est fluide et nous entraîne dans son histoire avec curiosité et délice.

Volonté délibérée de l’auteur ? L’histoire est bâtie en miroir, chaque élément possède son strict contraire. Ainsi, le personnage de Pauline, que l’on croit doux et naïf parce que provinciale, se révèle méchant, torturé, jaloux et vindicatif. Sa piété n’est qu’un leurre et sa générosité toute calculée. Au contraire de Laurence, son miroir inversé, qui n’est que douceur, générosité et empathie. Même chose avec les personnages des mères. Autant la mère de Pauline est revêche et campée sur des principes d’un autre temps, autant la mère de Laurence fait preuve de tolérance, d’ouverture d’esprit et de chaleur humaine. Le milieu tant décrié de la ville et des artistes s’oppose à celui de la province, haut-lieu de piété et de morale permanente. Pourtant, là encore, la ville se montre un endroit plus agréable et moins hypocrite que la province, qui se révèle un lieu de commérages et de jugements arbitraires.

J’ai beaucoup apprécié ce parti pris. C’est judicieux et cela sert admirablement l’histoire. Le Bien et la morale ne sont pas forcément là où on le croit, ni là où on le dit. L’apparence la plus pure peut cacher l’âme la plus noire. Avec une nuance toutefois, les sentiments négatifs de Pauline et de sa mère tiennent une part de leur origine, à mon sens, dans l’ignorance et le manque d’ouverture d’esprit propres au milieu provincial de l’époque. Cela n’explique pas tout, naturellement, puisque la personnalité ne dépend pas exclusivement du milieu d’origine, mais cela favorise certains penchants.

La ville contient son lot de perversité, le personnage de Montgenays en est l’illustration parfaite, et écorne, une fois de plus, l’image de nos amis les hommes. Jouer de la naïveté et des sentiments d’une jeune femme inexpérimentée, au cœur pur, n’est pas glorieux, c’est tout simplement cruel.

Ce roman a été écrit par George Sand en deux fois, et deux parties. Le début du manuscrit a été d’abord perdu puis retrouvé des années après. On le ressent dans l’écriture, mais pas négativement. Au contraire, cela sert au récit puisque cela marque deux époques dans le roman : la visite de Laurence en Province (« première partie ») et l’installation de Pauline à la ville (« deuxième partie »).

Vous l’aurez compris, je vous recommande ce livre.
69 reviews1 follower
August 13, 2021
Al poco de empezar con esta corta novela, estaba convencida de que le daría las 5 estrellas de forma merecida. El estilo de escritura de George Sand es precioso, las descripciones de la vida de las mujeres en la época en que se sitúa la acción son evocadoras y logran transportarte en el tiempo y los personajes están bien definidos, con sus luces y sus sombras, con sus ambiciones y sus inquietudes. ¿Qué sucedió? Pues el final.

La novela empieza con el retorno por error de la actriz Laurence a su pueblo natal, en el cual es mal vista a causa de su profesión. Allí se reencuentra con su amiga Pauline, que vive dedicada a su madre enferma, y es esa reunión de las dos mujeres la que desencadena el deseo interior de Pauline de salir del pueblo en que vive y ver mundo, parecerse un poco más a su antigua amiga. La muerte de la madre de Pauline poco después propicia que Pauline se vaya a vivir a París con Laurence, y en ese momento las cosas se tuercen entre ellas.

¡SPOILERS A PARTIR DE AQUÍ!



La aparición del seductor Montgenays en la vida de Pauline es el origen de todos sus problemas, ya que decide abandonar los consejos de su amiga y las personas que la quieren y buscan lo mejor para ella para seguir sus mentiras.

Tal y como se plantea la trama, yo me esperaba que Pauline reaccionase y se reconciliase con Laurence y su familia, abandonando a Montgenays, pero eso no es lo que sucede. Pauline no hace más que obcecarse en su "amor" por Montgenays y su odio y envidia hacia su amiga. No me ha parecido un buen final para la novela de acuerdo con cómo se planteaba. Pese a que el arco negativo de Pauline a raíz de los celos y el rencor está bien elaborado, la decepción que he sentido ha pesado mucho en mí, de ahí la baja valoración que le he dado a esta obra.
55 reviews1 follower
August 19, 2023
I think this is more than “une courte peinture de l’esprit provincial ». It’s easy to feel angry with Pauline, the image of her. But did she have any other choice? She didn’t have much. Life wasn’t generous to her. So she had to feel morally superior to the actress, who unlike her had everything, so that she can find some peace in her. Of course, she was jealous. It’s only human.
Profile Image for Alealea.
648 reviews10 followers
January 15, 2023
Très prenant récit, fluide et sardonique. Mais la lente flétrisssure des caractères en fait un conte bien sombre
Profile Image for Cam’.
44 reviews
April 3, 2023
mouais bof je m’attendais à mieux sincèrement. Je ne suis pas attachée aux personnages, je détestais Pauline même.
1,201 reviews5 followers
May 8, 2022
Publié en 1839, Pauline est aux dires de l'auteur "un plat roman". Quel serait mon bonheur de lire encore et encore des plats romans de cette qualité.
Par le plus grand des hasards, grâce à la surdité du cocher , Laurence, comédienne renommée, se retrouve à Saint-Front, petite bourgade du centre de la France en lieu et place d'être sur la route de Lyon où elle doit donner plusieurs représentations. Or Saint-Front est la ville où Laurence a passé plusieurs années avant de partir à Paris. Elle y avait une excellente amie Pauline. Mais sa carrière de comédienne réprouvée par la bonne société provinciale les a éloignées l'une de l'autre. N'écoutant que son affection Laurence se hasarde chez Pauline...
Quelques mois plus tard, au décès de sa mère, Pauline trouve refuge chez Laurence....
Je me garderai de vous en dire d'avantage. Sachez que lorsque Montgenais entre en scène , la vie de Pauline va basculer pour le meilleur et/ ou le pire .
George Sand nous offre le portrait de deux mondes que tout semble opposer. la société provinciale, catholique, bourgeoise, prête à jeter la pierre à ceux et celles qui vivent différemment d'elle , une société "aux vertus austères de la médiocrité" et la société parisienne accusée de tous les maux mais où l'on peut vivre calmement sans excès au milieu des arts, de la culture et de l'amour de l'autre. Les portraits psychologiques des différents protagonistes sont criants de réalisme, la plume est alerte, fluide , sarcastique voir caustique. Quelle modernité !
Profile Image for Blanche.
291 reviews99 followers
July 7, 2019
C’est la première fois que je lis un texte de Sand dans son intégralité. J’ai beaucoup aimé cette nouvelle qui présente une opposition entre deux femmes. On y retrouve un contraste « classique » dans les romans, entre la femme provinciale qui ne connaît pas le monde et ses usages, et la femme du monde qui est pleinement consciente des mécanismes de la société. C’est un affrontement qui me plaît beaucoup, même s’il est assez topique.

J’ai particulièrement aimé le personnage de Laurence dans cette nouvelle. Je suis assez intéressée par la représentation des personnages de femmes artistes dans les récits (et surtout au XIXe), et découvrir un peu par hasard que l’un des deux personnages centraux de la nouvelle est une comédienne m’a vraiment réjouie.

C’est une lecture assez facile, le style de Sand est très agréable, et il me semble qu’on y retrouve un reflet de la société du XIXe siècle.
Profile Image for Célia ht.
16 reviews
January 10, 2025
J’ai jamais réussi à proprement parler à rentré dans le bouquin : d’où la note.



« Il est des âmes qui ne manquent pas d'élévation, mais de bonté. On aurait tort de confondre dans le même arrêt celles qui font le mal par besoin et celles qui le font malgré elles, croyant ne pas s'écarter de la justice. Ces dernières sont les plus malheureuses; elles vont toujours cherchant un idéal qu'elles ne peuvent trouver, car il n'existe pas sur la terre, et elles n'ont point en elles ce fonds de tendresse et d'amour qui fait accepter l'imperfection de l'être humain. »
96 reviews
September 28, 2025
Well that was horrible. What a boring book. It's basically just text, almost no dialogue, only text and text and text with descriptions, and feelings and thoughts. It jump between characters all the time and at some parts it was hard to understand who it was that was talking or thinking because the perspective jumps several times in one page.
This book is short, but it could have been so much shorter.
It took me days to finish this book because it bored me to sleep all the time.
Yeah, don't read this.
Profile Image for Ève.
9 reviews
January 8, 2021
C'était mon premier roman de Sand. Courte lecture que j'ai assez appréciée, quoique je ne crois pas que ce soit mon genre de récits préféré. L'intrigue, qui nous apprend une leçon de vie présentée de manière un peu brutale (pauvre Pauline!) mais nécessaire, déboule assez rapidement. Je suggère fortement de ne pas lire la présentation de Martine Reid, qui dévoile à mon goût trop d'éléments en lien avec le développement de l'histoire.
This entire review has been hidden because of spoilers.
Profile Image for erine.
9 reviews
December 8, 2025
je ne suis pas fan de l'écriture de george sand, c'est rythmé-mou donc je ne savais pas bien sur quel pied danser. En revanche très intéressant de lire sur une histoire d'amitié aussi tendre et déséquilibré. Cela interroge beaucoup sur la sororité et la jalousie. Point intéressant, l'homme (car il y en a toujours un pour gâché la fête) n'est qu'un "révélateur" du déséquilibre de la relation amical, et n'est pas du tout un déclencheur.
Profile Image for Pauline.
80 reviews3 followers
January 18, 2025
Merci à Martine Reid qui dit très bien ce roman : un duel, en parfaite symétrie, entre le réalisme et le roman sentimental.
Je ne garde que peu d’images de cette histoire, comme si j’étais vraiment dans l’esprit de celle qui porte mon nom. C’est chouette, mais je préfère les bergeries de Sand à ses pièces ouvertement morales.
Profile Image for Elisa.
66 reviews7 followers
April 3, 2022
Very interesting takes on morality, honesty, friendship and the hardships of women. The ending was pleasing, very coherent with the themes of the novel. I love Sand's style of writing and although this story was short, the characters showed a lot of initial depth and growth as the novel progressed.
8 reviews
June 21, 2020
C'est le premier bouquin de George Sand que je lis, j'ai bien aimé le développement des relations parmi les personages
83 reviews
February 1, 2021
Lecture fastidieuse, la langue et le vocabulaire ne m'ont pas plu, ce qui m'a empêché d'apprécier l'histoire qui m'a semblé bien creuse.
Profile Image for eleanor.
95 reviews
May 29, 2021
toujours des lettres... apprendez comment lire !!
Profile Image for Krystel Moncayo.
190 reviews
December 27, 2022
Me parece que la novela tenía más potencial, pero en general estuvo bien.

Me gusta como termina con una moraleja, aunque hubiera preferido un mejor final.
746 reviews
February 24, 2023
3/5 états

Des portraits d'une grande finesse et perspicacité (celui de Pauline surtout)
Et un traitement du thème du théâtre qui complète celui qui en est fait dans La Marquis
30 reviews
January 11, 2024
J’ai pas compris qui était les gentils et les méchants mais bon… j’ai trop de respect pour george sand pour mettre moins de 3 étoiles
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