- On est où là?- Vous voyez bien. Dans une cage de verre.- Qu'est-ce qu'on fout là?- Ca si je le savais...Un homme et une femme se retrouvent prisonniers dans une cage, quelque part dans l'univers. Au-delà de la difficulté de se comprendre et de s'aimer, ils vont devoir résoudre une question l'humanité mérite-t-elle d'etre sauvée?
Bernard Werber's "Ants" trilogy made him one of France's most popular science fiction novelists in the 90s. Werber began studying journalism in 1982 in Paris, where he discovered the work of sci-fi writer Philip K. Dick. In 1991 he published the novel Les Fourmis (Empire of the Ants), a complex fantasy novel in which ants were the heroes and humans the pesty antagonists. The novel became a cult hit across Europe, and Werber followed it with two other books in the same vein: Le Jour des Fourmis (Day of the Ants,1992) and La Révolution des Fourmis (Revolution of the Ants, 1995). His other books include L'Empire des Anges (Empire of the Angels, 2000) and L'Arbre des possibles (The Tree of Possibles, 2002).
Tres interesant, oui, mais aussi tres agacant. Troisieme personne mais assez distant et le scenario pas terrible. Berk. Interesting yes but very annoying. Third person but not very close. Just an irritating plot.
Nos Amis les Humains es una obra de teatro breve, plagada de diálogos interesantes y adultos, de ironías y reflexiones. Si bien la historia no ofrece mucho más que entretenimiento, hay en ella factores que te empujan a imaginar que el libro es algo más y que tiene algo por lo que merece la pena leerlo.
This is a very short book in which we follow two characters, a man and a woman, who've been captured by aliens. They are locked up together in a glass cage and they are going to try to figure out why they are here. The book talks about a lot of interesting subjects such as the animal condition and the human nature. It also makes you think about the legibility of humanity : if humanity were in danger, what are the pros and cons in saving it ?
I really enjoyed it, it made me think a lot about the subjects discussed. I read it pretty fast and I won't mind reading it again.
The story is just ok, BUT - I would highly recommend this to French language learners ready to go beyond the “reading children’s books” stage. It’s mostly dialogue (reads more like a play), there are pretty much only two characters, and the setting is sparse = it’s easy to follow. The pages fly by and make you feel like you’re crushing it even if you’re reading slowly :)
Bon... Décidément le théâtre de science fiction ça ne doit pas être pour moi. Cette pièce se veut drôle mais ne l'est pas. Contient des références moyennes, des réflexions de comptoir... Bref. C'est franchement pas génial.
Having previously read and mostly disliked the Fourmis series, I wasn't expecting much from this. I bought it in a hurry at a train station bookstore and was already halfway through it by the time my train set into motion. It surpassed my (low) expectations, but not by much. I liked the premise, which Werber had hinted at several times in his previous books (humans abducted by aliens as specimens of their species and put in a glass box to be observed), and there were a few times when I thought the dialogue would take a genuinely interesting turn. And then it fell just short.
Of course, a book I had the time to read three times on a three hour train trip on which I also slept can't be expected to explore its subject very deeply, but I felt like it didn't even try.
Werber just lightly juggles with the too many subjects that could have, individually, made this a genuinely thought provoking book, and eventually chooses to focus on a rushed romance between the two cardboard characters.
This is my other complaint: the dialogue, and dialogue is very important here as the book is written in a not-quite-screenplay form, constantly feels forced and unnatural, something I'd also noticed in Werber's previous books. While the scientist character could, I guess, be expected to speak somewhat rigidly, the tiger tamer, who is supposed to make a bold contrast with him, uses painfully correct, starched grammar punctuated with awkward slang and childish swear words that made me picture the author blushing as he typed them. At no point in the book was I able to forget that those two characters were just Werber speaking through paper dolls.
I can't say I hated this book, but I gave it away as soon as I got off my train (having already read it three times anyway - I suspect I became more critical with each reading).
J'ignorais qu'il s'agissait d'une pièce de théâtre avant de commencer ma lecture. Un homme (scientifique misanthrope) et une femme (dompteuse de tigres romantique) se retrouvent enfermés et observés par des extraterrestres dans une cage étrange quelque part dans l'univers. On les informe que la Terre a été détruite et un débat s'ensuit entre les deux derniers humains pour décider s'il vaut la peine ou pas de perpétuer l'espèce. Voici le problème: ces deux caricatures de personnages ont été évidemment crées pour avoir des points de vue tout à fait opposés, ce qui donne comme résultat des réflexions clichés qui manquent tellement de profondeur. En plus, le style d'écriture est vraiment trop simpliste.
Un huis clos philosophique à la sauce Werber ! Je retrouve avec plaisir cet auteur que j'adore mais cette fois dans un format un peu différent puisque c'est du théâtre. Je me suis rapidement plongée dans ce dialogue assez court mais d'un telle profondeur. L'auteur vous amène de façon subtile et assez humoristique à vous poser des questions existentielles sans que vous ne vous en rendiez compte. Des questions qui vous font tout remettre en question surtout que dans ce petit livre, c'est l'humanité qui fait face à un procès qui décidera de son extinction ou de sa seconde chance. Avec Bernard Werber, vous pouvez toujours vous attendre à être surpris mais aussi à ne jamais finir un de ses livres sans avoir la tête remplie de questions et c'est ce qui fait entre autre que j'adore sa plume !
Intrigante pièce de théâtre sans grande profondeur.
Le décor, une cage pour deux humain-de-compagnie, une femme et un homme, a l'avantage de rendre le lecteur perceptif. Les deux personnages tentent une justification de leur état domestiqué qu'ils réfutent par un droit à la liberté et s'opposent de différences intrinsèques à travers l’éternel différence apparente entre émotivité et rationalisme.
Malheureusement, Werber ne nous donne que peu à manger, et le fond – ce qui devrait être le plus important dans un tel texte – est bien vite oublié.
Avoir un autre point de vue sur l'humanité. J'ai beaucoup aimé ce livre pleines de réflexions simples, d'exemples et d'humour. Il nous livre une vérité sur la condition humaine, et animale... A lire absolument! Il se lit d'une traite.
2,5. "Nos Amis les Humains" de Bernard Werber est le livre par lequel j'ai décidé d'aborder l'oeuvre de l'auteur. Ayant beaucoup de ces romans dans ma PAL (une quinzaine...), j'ai voulu commencer par un roman court qui se lirait assez vite. Au final, j'ai porté mon dévolu sur cette pièce de théâtre, d'un peu moins de 200 pages,qui semblait être une réflexion sur la nature humaine.
On va suivre dans cette pièce un homme et une femme qui ont été emprisonnés dans une salle, sans qu'ils sachent pourquoi ni comment. Le premier élément positif, c'est que les quelques rebondissements de l'intrigue tiennent en haleine le lecteur (ou le spectateur) pendant toute la pièce. Le deuxième, c'est que j'ai apprécié la plume de Bernard Werber, directe et efficace ; même si ici je n'ai testé que sa plume de dramaturge, je pense autant aimer celle du romancier.
Cette lecture s'est révélée divertissante, mais sans plus, et cela à cause de plusieurs points.
Tout d'abord, j'ai trouvé que le cadre de l'histoire et les différents effets théâtrales étaient un peu déjà-vu (notamment lorsque l'on brise le quatrième mur). De plus, ce que l'histoire apporte d'original (et que je ne peux pas révéler au risque de spoil) ne m'a pas convaincu. J'ai trouvé ces éléments un peu trop "kitsch", rendant ce qui se passe sur scène moins convaincant (à mes yeux). Même chose pour les pastiches de célèbres citations : une fois c'est drôle, quatre c'est un peu lourd. Dernier point, et le plus important : les personnages m'ont été très antipathiques tout au long du récit. Certes on apprend à les connaître au fur et à mesure, et on s'attache (un peu) à eux, mais j'ai passé l'essentiel du récit à ne pas les apprécier.
Certains passages m'ont en revanche bien plus, notamment la scène du procès contre les humains ; bien qu'on ne parte pas dans de la grande philosophie, Werber crée une scène atypique qui maintient l'attention, et qui permet de rappeler certaines choses sur la nature humaine.
Alors oui, je n'ai pas tout aimé dans cette pièce, mais ça a été un plutôt bon moment de lecture. Je ne peux pas totalement juger ce livre en tant que tel, car une pièce de théâtre est faite pour être jouer, et l'appréciation de celle-ci avec la mise en scène, les acteurs et les décors est encore différente. Ce qui est sûr, c'est que je vais poursuivre ma découverte de l'auteur avec ces romans, pour savoir ce qu'il peut nous proposer d'autres.
Мне тут совершенно случайно ��казали, что у нас идет спектакль на Верберскую пьесу "Наши друзья человеки", а я случайно решила ее прочитать.
Мне пьеса почему-то напомнила классическую английскую пьесу Джона Осборна "Оглянись во гневе" 1978 года. Общего в них ничего нет, но после нескольких страниц я подумала именно о ней. Там был озлобленный молодой человек и его дурнушка жена с нереализованными возможностями в неблагоприятном окружении, а здесь мизантроп и наивная гордячка, запертые в одной клетке. Они вдвоем - единственные действующие лица пьесы. Неприязнь, ненависть, апатия, гнев, паника, симпатия и сотрудничество - вот, что происходит между двумя "человеками", которые по воле случая оказались в роли животных, над которыми оба из них до этого издевались. Смена ролей, которая заставляет понять и прочувствовать ощущение и поведение животных, которые оказываются во власти (и под гнетом) человека.
Я всегда любила читать пьесы. Хотя бы по банальной причине - там сплошные диалоги и нет длинного повествования. Поэтому они читаются легко и быстро. К тому же они чаще всего короткие. Правда все пьесы, которые я читала оставляли после себя ощущение: "Поговорили и разошлись. А что это было?" Но я ни в коем случае не подразумеваю это в негативном смысле. Это особенность этого жанра. Вербер тоже отлично смог его передать. Хотя по стилю пьесу можно соотнести с его новеллами.
Excellent, un huit clos ou l'on retrouve plusieurs mécanismes de l'humain, de l'humour mais aussi et surtout beaucoup de questionnement quant a notre conditions. Le dénouement, bien qu'il ne soit pas le seul intérêt de ce théâtre m'a été tres agréable. Une critique de notre société très juste et qui permet de remettre en questionnement nos fonctions, a fortiori au propos de notre rapport a la race animale. Si vous avez aimé cette pièce, je vous conseille de regarder le court métrage de Werber également qui s'inscrit dans la meme optique du "regard sur soi-meme".
A desultory conversation between a man and a woman trapped by aliens in a glass cage, with a more or less predictable ending. Some clever dialogue, but I never felt much sympathy for either character. Werber's anti-species-ist philosophy is in full force. Mildly amusing.
Oddly enough, I happened to keep a business card from a Parisian shop called "Adam and Eve" as the bookmark.
Hyper déçue par ce livre de Bernard Werber (j'avais adoré la trilogie des fourmis). C'est un livre plutôt "creux". L'idée est intéressante mais peu développée, les sujets sont effleurés. On baigne dans les clichés, les lieux communs. On reste sur sa fin avec une sensation d'inachevé. Je ne me souvenais même plus de l'avoir déjà lu ! Vite lu, vite oublié !
It was interesting and quriky but as Bernard Werber’s novels often do, sometimes it’s not all that pleasant to read as a woman. It feels like the story was not in depth enough considering the topic is very profound, but since it’s not a novel but a drama, that’s understandable
Lu il y a très longtemps, je n'en avais pas gardé de souvenirs. C'est normal ! Deux humains se retrouvent dans un espace qu'ils ne connaissent pas, ils discutent, abordent des conversations pseudo philosophiques de bas étages et la chute survient, rapide et attendue. Mmmmbof.
On dit toujours que les livres sont mieux que les adaptations filmographiques. Pour celui-ci, c'est l'inverse! Si vous avez aimé le film, passer votre chemin.
Mon premier Werber mais sans doute pas le meilleur... J'ai trouvé cela relativement enfantin, même si ça se lit bien. Pas de quoi crier au génie non plus.