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Llovió todo el domingo

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Arnold Spitzweg, alsaciano de origen y parisiense de adopción, es un sencillo empleado de Correos que, con el tiempo, ha aprendido a rellenar su soledad con el sabor de pequeños placeres que nos dan tregua en las inclemencias de la vida y logran hacernos, fugaz pero incuestionablemente, felices. A Spitzweg le gustan los comienzos de las novelas de Simenon, los aromas y sabores de las brasseries, pasear a ciertas horas por París y viajar a las playas de Ostende, aunque sólo sea por el placer de regresar. También mantiene un discreto idilio con una compañera de trabajo, pero trata de guardar las distancias con la pasión, porque conoce las virtudes de la templanza . Por eso lleva una existencia deliberadamente contenida en los márgenes de lo anodino. Aun así su melancólico hedonismo nos induce a plantearnos, en la vorágine diaria, el sentido real de cada uno de nuestros esfuerzos cotidianos.

120 pages, Paperback

First published December 31, 1996

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About the author

Philippe Delerm

144 books92 followers
Philippe Delerm est né le 27 novembre 1950 à Auvers-sur-Oise. Ses parents étant instituteurs, il passe son enfance dans des «maisons d’école» : à Auvers, Louveciennes, Saint-Germain. Études de Lettres à la faculté de Nanterre, puis nommé professeur de lettres en Normandie. Il vit donc depuis 1975 à Beaumont-le-Roger (Eure), avec Martine, sa femme, également professeur de lettres et illustrateur-auteur d’albums pour enfants.

http://www.mercuredefrance.fr/auteur-...

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Displaying 1 - 29 of 29 reviews
Profile Image for Alma.
751 reviews
September 29, 2022
"O senhor Spitzweg poderia fazer de conta que cada bairro de Paris é uma aldeia, que o seu, em particular... Mas saibam que este género de cliché bucólico-urbano não está no temperamento de Arnold Spitzweg. Não, o que lhe agrada é mais impalpável; em Paris, o senhor Spitzweg sente-se no coração das coisas. Se lhe perguntarem porquê, adoptará um ar doutoral, quase agressivo, as mandíbulas cerradas, um trejeito de denegação nos lábios:
- Porque é aí que as coisas acontecem, ora essa."
Profile Image for Noe.
39 reviews1 follower
September 30, 2019
Cuando me enteré de este libro dije: ¡Es para mí!. Pues me encanta escribir como eje principal sobre la cotidianeidad.
Pero la verdad, a mi criterio este libro estuvo en la cuerda floja todo el tiempo entre lo cotidiano-ordinario y el aburrimiento.

Si bien la vida solitaria, melancólica y monótona del protagonista intenta dejarnos como enseñanza el saber valorar cada pequeño momento por más insignificante que parezca, sentí que sólo fue eso; "un intento" y que en su lugar en vez de sentir valoración por la vida, nos trasmite conformismo y desazón.
Una historia muy corta, (unas 120 páginas), para leer en un día o dos.
Está narrado en tercera persona, hecho que sí veo como un acierto porque genera en el lector un distanciamiento y desapego que de algún modo concuerda con el del señor Spitzweg y sus ciertos momentos de murria taciturna.

Un vistazo antropológico y sociólogico sobre la mediocridad, el desinterés, la falta de aspiraciones... al que para mi gusto, le faltó historia, conexión y ritmo. Cabe mencionar, que posee muchas bonitas y poéticas escenas sobre la naturaleza y el comportamiento social e individual.

"Sí, tengo memoria pero porque no tengo recuerdos"
12 reviews
March 24, 2008
This is a slim volume written by an author already known for his observations of the small, but pleasuable aspects of everyday life (see his La Première gorge de bière). In M. Spitzweig, a lonely Parisian postal worker, Delerm wishes to show us that in even the most mundane and uneventful of lives the everyday contains nuggest of beauty, pleasure and happiness. M. Spitzweig experiences all of the above when he's dining alone at a restaurant where he knows the habits of the waiters, or knowing that he will always find the same blind accordianist playing in a particular subways station.
The problem for the reader is that these events are not nearly as pleasurable as they are for M. Spitzweig himself. While Delerm's book might encourage us to look closer at the small pleasures in our own lives, I continually found myself wishing that my life would never be as boring as M. Spitzweig's.
Profile Image for Baci.
21 reviews
May 2, 2010
lu ce soir d'une traite le temps d'un retour en avion.

inapable de dire si j'ai aimé ou été saoulée.
je mettrais pile la moyenne du coup.
c'est joli cette lenteur, et plein d'images très belles et poétiques
mais cette langueuer est aussi un peu longue et ne mène à quasi rien.
bizarre sensation.
Profile Image for MountainsInMyHead.
52 reviews2 followers
December 26, 2017
"Entre huit heures dix et neuf heures moins le quart, c'est le métro du soir. Entre le stress de la journée, la solitude de plus tard, entre la course des branchés, les vociférations lugubres des perdus nocturnes, l'anonymat devient vivant et chaud. On ose parfois dire des choses qu'on n'a jamais dites à personne. Sur tout, surtout sur rien, la vie et puis tout ça... Et même quand on ne parle pas, il y a cette façon de s'asseoir à côté, de se tenir debout à la barre d'appui. Séparés mais ensemble. Monsieur Spitzweg prend le métro du soir pour aller nulle part." (p.34-35)
"Monsieur Spitzweg ne pose pas la casserole sur la table au début du repas. Il prend d'abord son entrée, puis se relève pour aller chercher le plat de résistance à la cuisine. Même chose pour les fruits. Après le café, il fume un cigarillo, rêvasse, le regard perdu juste au-dessus des arbres, les jambes allongées vers la fenêtre. Il peut bien s'accorder quelques minutes avant d'aller faire sa vaisselle."(p.44-45)
"Passage Jouffroy, il y a cette étonnante boutique de cannes : baroques à pommeau sculpté, de la gueule béante d'un ours à la tête de Wagner ébouriffée, classiques, si parfaites, ébène lisse ou bambou nervuré. Monsieur Spitzweg se surprend à désirer boiter. La boutique qui vend des photos, des affiches de cinéma, les jouets minuscules de Pain d'épices, la désuette véranda de l'hôtel Chopin. Sur tout cela flotte l'idée délicieuse de passage. C'est bien d'être un passant, quelque part dans Paris. Mais c'est encore mieux d'être un passant dans un passage. Tout ce qui est goûté ne peut être compté - on n'est pas même un grain de sable, il n'y a pas de plage.
Passage des Panoramas, monsieur Spitzweg se dit qu'il faut absolument aller un soir dans ce restaurant de chanteurs... Il remet l'idée à plus tard. La galerie Colbert est plus solennelle, avec la vitrine de la Bibliothèque nationale. Mais bientôt lui succède le passage des Deux-Pavillons, tarabiscoté, minuscule - un bonheur."(p.52-53)
"Oh ! il y eut de jolis jours ! Un dimanche, à midi, à la Foire à la ferraille et aux jambons de Chatou, ils s'éloignèrent de la foule, et piochèrent à deux dans une barquette de frites, en marchant près de la Seine. Un samedi de février au Père-Lachaise. Clémence n'aurait jamais cru que la tombe de Jim Morrison eût davantage de visiteurs que celle de Chopin. Et puis cette complicité nouvelle, au bureau de la rue des Saints-Pères. Clémence et Arnold n'avaient rien dit à leurs collègues. Ils n'arrivaient jamais ensemble, affectaient de se saluer avec une délicieuse réserve, et ce premier sourire à la dérobée... Le monde tenait là, dans cette hypocrisie à la cantine, ce silence au café du coin, boulevard Saint-Germain."(p.66)
"C'était un peu excessif, bien sûr. Mais dans la vie de Clémence Dufour, il y avait quand même pas mal de vaisselles, de patins à l'entrée du salon, de "petits coups à donner" sur la table, avant de mettre le couvert. A l'inverse, elle trouvait à monsieur Spitzweg trop de cendres de Ninas éparpillées, de traces de dentifrice sur la joue, de journaux oubliés qui déteignent sur la toile cirée.
De toutes petites choses qu'on ne dit pas, bien sûr, dans l'ivresse des premiers temps. Mais de toutes petites choses accumulées depuis vingt ans, sans aucune contestation, dans l'impunité redoutable de la solitude. Ils renoncèrent bientôt à l'idée de vivre continuellement ensemble. Il valait bien mieux se voir dans des moment privilégiés.
- Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le quotidien, c'est ce qu'il y a de plus difficile à partager.
Monsieur Spitzweg assenait ça tranquillement en plongeant sa cuillère à café dans le confiturier, et Clémence Dufour se demandait bien d'où il pouvait tirer une telle sagesse.
Pour l'ordre, le rangement, Arnold et Clémence avaient deux tempéraments radicalement opposés. Monsieur Spitzweg était rangeur du dehors, enfournait au hasard des placards tout ce qui dépassait, courrier, factures, bouteilles entamées. Clémence Dufour au contraire aimait classer en profondeur, savoir que l'invisible était domestiqué dans les dossiers, les boîtes, les armoires."(p.68-69)
"Ils ne gardèrent donc que des instants privilégiés, de plus en plus instantanés, de moins en moins privilégiés. Ils renoncèrent à se toucher. Un soir de juin, près des fontaines fraîches du Trocadéro, ils se parlèrent longuement de l'amitié après l'amour, convinrent enfin que c'était difficile. Rentré chez lui, monsieur Spitzweg posa sur sa platine le CD du concerto pour piano n°21 de Mozart, mouvement lent. Il tira son fauteuil vers la porte-fenêtre ouverte. Des enfants jouaient encore dans le square. Il se sentait très bien, très triste. Plus tard, il se versa deux larmes de porto dans le verre doré."(p.69-70)
"Mais le marché de l'avenue de Saint-Ouen est un joli point d'équilibre. Arnold Spitzweg achète des cerises Napoléon. Il aime bien cette presque acidité du jaune brillant qui se confond avec le rose. Le vendeur lui propose d'en croquer une et Arnold se laisse faire. Il opine du chef.
- Un peu plus d'un kilo ! Je laisse quand même ?
- Laissez.
Ce que monsieur Spitzeg préfère, c'est le sac de papier brun, avec son motif imprimé en vert et rouge : des pommes, une banane, quelques fraises, et le slogan : "Mangez des fruits". C'est bon d'arpenter les étals en croquant des cerises. Arnold achète un artichaut - il aime bien le cérémonial de l'artichaut, la longueur de la cuisson, le dépouillement des feuilles, puis le rituel de l'assiette relevée, un couteau en-dessous pour accueillir la vinaigrette, avec le fond qui reste toujours un peu poilu. "(p.72-73)
This entire review has been hidden because of spoilers.
Profile Image for Alberto Messina.
46 reviews
August 14, 2018
Solitudine. Ciò che permane dalla lettura di questo romanzo, scritto tra l'altro in terza persona espediente che aumenta tale sensazione, è un senso di non vissuto ed estraneità. Il protagonista, che si fa oggetto narrativo, vive una vita "non vita" in cui tutto diventa abitudine e di una calma che rasenta il tedio. Un libro veloce alla lettura, ma che a tratti diventa freddo secondo me. Si spera in un colpo di scena, in un barlume di vita o speranza che è vacuo, lasciandoti cosi con un vuoto.
Profile Image for Pierre Fortier.
436 reviews5 followers
October 13, 2014
La vie simple à Paris. La vie où l'on apprécie son quartier, sa routine, son café. La vie en toute quiétude, poétique et minimaliste. La vie d'Arnold Spitzweg, vieux garçon, seul, mais heureux.
Profile Image for Elprimordial Sorel.
193 reviews23 followers
February 26, 2019
"Siempre siente como un cosquilleo al ver el letrerito de la señorita Clémence Dufour. «Dufour» no es un apellido muy afortunado, desde luego. Digamos que ése es el lado ingrato del personaje. La cuarentena un pelín amarga, un cuerpo delgado que tira más a seco que a esbelto, una tez mayormente pálida porque acaba de teñirse con un tinte muy oscuro. Pero luego está el lado Clémence, el jardín secreto. Unos ojos grises, cambiantes, en la mirada una dulzura cansada, casi melancólica. Una profunda afición al arte y a las cosas hermosas de la vida en general: únicamente con Clémence Dufour ha comentado Arnold sus aficiones pictóricas. Cierta elegancia, un tanto encastillada tal vez en ínfimos detalles, la manera de anudarse el pañuelo a lado, de cambiar de reloj en función del color del jersey... Pero ello revela también una auténtica delicadeza".

"Clémence le hacía vivir alegrías que hasta entonces no había experimentado; pero cada rayo de luz arrojaba sombra sobre una costumbre o un objeto querido".

"La historia de Clémence sigue ahí, como una astilla que va hundiéndose. Pero no es más que una historia; ha pasado, principio y fin. El señor Spizweg está hecho para el presente. Sigue un poco turbado: felicidad, esperanza, futuro, memoria, las palabras grandilocuentes, todas las palabras que lastiman y que creía enterradas para siempre, le dejan una huella, un eco. Es como si Clémence Dufour hubiera arrojado una piedra al agua: las ondas se amplifican para luego espaciarse. El canal recobrará su quietud, ha de ser así".

"Arnold esgrime una sonrisa un poco boba. Le gustaría contestar, pero ¿el qué? la vida le ha dado un papel sin palabras. Arnold suspira".

"En el fondo de su humildad, el señor Spitzweg triunfa. Piensa sencillamente que si le entraran ganas de sentarse a la orilla de un río, no necesitaría pretender pesar".
Profile Image for Φερειπείν.
509 reviews11 followers
September 8, 2021
Έργα και ημέρες του αξιότιμου κυρίου Σ. Φιλίπ Ντελέρμ.

Σ’ αυτό το αριστουργηματικό βιβλιαράκι του Φιλίπ Ντελέρμ που μυρίζει Παρίσι τόσο έντονα ώστε ολοκληρώνοντάς το κατεβάζεις βαλίτσες από το πατάρι και ετοιμάζεσαι για ένα καφέ στη Μονμάρτη, ο κύριος Σπιτσβέκ, ήρωας του μυθιστορήματος είναι ένας σχολαστικός παρατηρητής της καθημερινότητας. Στερείται αυθορμητισμού σε γενικές γραμμές και απολαμβάνει τις συνήθειές του σαν από υποχρέωση στον εαυτό του αλλά και στην ίδια την κοινωνική έκφραση της προσωπικής του ζωής. Προβάρει τις αντιδράσεις του συχνά ώστε να εξασφαλίσει μια προκαταβολική ένδειξη της έκβασής τους. Ο λόγος του Ντελέρμ ρέει τόσο αρμονικά, υποκύπτοντας στη δημιουργική ενορχήστρωση της εκφραστικής του καλλιέργειας, χωρίς την “ξιπασμένη”(ας μου συγχωρεθεί ο όρος) και πλέον υπερχειλίζουσα σε χρήση μεταμοντέρνα φόρμα της αοριστολογίας. Μέσα σε μια ελαφρώς μελαγχολική και άκρως ρομαντική θέαση της παριζιάνικης ζωής, όπως τη βιώνει ο μοναχικός του ήρωας, ξεκουράζει και τέρπει με τη φροντισμένη του απλότητα. Κατανοητό και πλήρες, συνεπές από την αρχή μέχρι το τέλος στις συνιστώσες του ύφους του. Λεπτοφυής και χωρίς εκφραστικές τυμπανοκρουσίες ο λόγος του είναι δομημένος με μια λογοτεχνική κομψότητα που συνδυάζει αρμονικά το σύγχρονο με κάτι από το χθες. Το “έργα και ημέρες του κυρίου Σ.”είναι μια ευρηματική σύλληψη, μια μελαγχολική αντανάκλαση της καθημερινότητας ανθρώπων που πλησιάζουν στην ηλικιακή τους δύση. Ένα μικρό αριστούργημα! Το αγάπησα για την ειλικρινή του έκφραση, την κομψή λεπτότητα της απόδοσής του, το μη παρωχημένο του ύφος.
Profile Image for Javier Calderón.
Author 12 books171 followers
October 15, 2020
“El señor Spitzweg no coloca la cacerola en la mesa al empezar a comer. Se toma primero su primer plato y luego va a la cocina a buscar el segundo. Con la fruta, lo mismo. Después del café, se fuma un purito y se queda ensimismado, con la mirada perdida por encima de los árboles y las piernas estiradas hacia la ventana. Bien puede concederse unos minutos antes de fregar.”

Esto es lo primero que leo de Delerm, pero me atrae bastante otro título que tiene por ahí: «El primer trago de cerveza y otros pequeños placeres de la vida». «Llovió todo el domingo» (precioso título, que extrae de un fragmento del «Maigret y el hombre del banco» de Simenon) nos retrata a trompicones el pulso cotidiano de Arnold Spitzweg. Tiene fragmentos memorables, y cada pequeño capítulo tiende Delerm a concluirlo con unas líneas climáticas a modo de moraleja íntima (?) o circunstancial (??) que contribuye al retrato psicológico (???) del personaje. En fin, que no ha estado ni mal ni notablemente bien.
Profile Image for Elisala.
998 reviews9 followers
September 20, 2022
Voilà un livre qui l'air de rien m'apparaît bien plus complexe que je ne le pensais. En commençant, on se dit que c'est juste "l'histoire d'un mec" un peu tristoune, voire limite aigri. Et puis ensuite on se dit ah tiens non c'est peut-être une histoire de Paris, une sorte d'hommage caché à la vie à Paris. Puis finalement, peut-être que c'est une petite histoire d'amour. Ah tiens non, c'est en fait bien l'histoire d'un mec.
Au final, c'est sans doute un peu tout ça à la fois, c'est très agréable à lire, ça se lit en un rien de temps mais avec plaisir.
68 reviews
April 6, 2023
Rigtig god. Først synes jeg den virkede lidt moralsk. Men den er fyldt med hverdagspoesi som kendt fra “Den første slurk øl”. Den minder på en god måde om Italo Calvinos, Hr Palomar, men ingen kan skrive så godt, så kort som Delerm.
Profile Image for Wing.
47 reviews5 followers
August 15, 2019
動盪的日子看平淡生活的法國男子日常
Profile Image for AS.
341 reviews4 followers
June 2, 2020
It starts off appealing and funny at times, but it turns really dark after a while.
The author doesn't like his main character very much!
Profile Image for Nine.
143 reviews
March 20, 2022
Une courte histoire douce-amère et pleine de vérité.
Profile Image for Linuet.
28 reviews1 follower
August 17, 2022
Un joli récit. Beaucoup de poésie et douceur. Le vocabulaire très riche et beau.
Profile Image for Eduardo Gavín.
98 reviews5 followers
July 11, 2023
Absolutamente insufrible y pretencioso. Pretende ser delicado e íntimo y es como ver al autor pensar mientras defeca.
Profile Image for Jadou.
27 reviews
July 27, 2023
Je me suis ennuyée.
J’ai bien aimé le côté poétique du roman et la description de Paris mais c’est tout.
Profile Image for Giulia.
4 reviews2 followers
January 16, 2024
Un ritratto che restutuisce scorci di malinconia. La consapevolezza di essere un personaggio silente, la sensazione di essere uno sguardo esterno al fluire del mondo e la percezione di una distanza incolmabile tra sé e gli altri. Questi tratti di Arnold Spitzweg, che sente di essere inevitabilmente solo, sono invece inevitabilmente condivisibili.
Profile Image for Maxime.
3 reviews
August 19, 2016
"J'ai de la mémoire car je n'ai pas de souvenirs."
Profile Image for Agnès.
101 reviews2 followers
April 25, 2017
Belle langue, mais je n'ai pas aimé le côté décousu.
Displaying 1 - 29 of 29 reviews

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