Les études réunies dans cet ouvrage datent des années 1945-50, à l'exception de la dernière. Depuis quarante ans l'auteur n'a pas ignoré les découvertes et les révolutions conceptuelles dans les sciences biologiques. Il n'a donc pas répugné à reconnaître l'archaïsme de certaines de ses premières positions et propositions. Mais il maintient que « nouvelle connaissance » n'entraîne pas, pour le philosophe, l'abandon du projet inspirateur de La connaissance de la vie : s'interroger sur l'étonnant opportunisme de la relation des vivants avec leur milieux, sur l'originalité de cette présence au monde qu'on nomme la vie, alors même que, selon un grand biologiste français, « on n'interroge plus la vie aujourd'hui dans les laboratoires ».
Non plus sérieusement, il avait l’air assez intéressant, en parlant de science, du vivant, etc, mais en fait c’était incompréhensible. Monsieur Georges il va falloir apprendre à écrire français. Non vraiment j’étais perdue pendant toute ma lecture, heureusement la torture est finie
it is so bad, that i wanna give you a zero. but i can’t, so i give you… a one.
passionnant (la monstruosité et le monstrueux c’est un pur banger) et donne envie de se frapper la tête contre un mur (j’ai zappé l’essentiel des exemples), ça annonce tout à fait ce qui va se passer cette année (hâte)
interesting point canguilhem makes is that life is defined by “a vicariousness of functions, a polyvalence of organs.” Organs can play multiple roles or adapt to new roles in the body, and they can substitute for other organs that have failed to perform their functions. “Life tolerates monstrosity” since organisms can correct for errors in early development even if the resulting organism is deformed in some way. Machines don’t do this, and it’s partly for this reason that there are no 'machine monsters'. there can be no mechanical pathology, or distinction between normal and pathological for machines. i wonder if that point still holds for like AI and computers etc
Pas si bien que ça en l'air en vrai, plagiat des paragraphes 64 et 65 de la Critique de la faculté de juger. Rien retenu si ce n'est qu'un estomac de lapine peut servir d'uterus, ou l'inverse.. . OK le corps a plusieurs formes de finalités, rip Descartes mais what else?
Canguilhem oscille entre des thèses intéressantes et des évidences notables dans ce livre centré sur l'étude du vivant. L'objectif du philosophe est notamment de montrer, dans une langue accessible, que le scientifique ne peut réduire le vivant à une mécanique scientifique, car cela reviendrait à oublier ce qui en fait sa spécificité : la synthèse. Il s'inscrit dans une histoire de l'épistémologie, mais assez maladroitement, en convocant Bachelard, Descartes (qui n'est pas toujours gage de grande philosophie) ou encore Bergson. En somme, les thèses de La connaissance de la vie restent intéressantes, mais le tout est plutôt faible, que ce soit en matière d'arguments ou d'exemples (pour preuve, l'analogie faite entre les concepts et les environnements artificiels et crées par l'homme et l'image du hérisson traversant la route à la fin de la première partie... après que Canguilhem ait tergiversé sur les analogies...).
Alors, c’est clairement pas un livre de chevet. J’estime qu’il peut être très intéressant si on est scientifique, très calé en biologie. Sinon, le vocabulaire et les tournures de phrases ne sont clairement accessible à tous. J’ai rien compris.
Lecture commune avec ma femme et mon fils parce que c’est au programme de son année, une bonne purge avec un style ampoulé, et des termes tellement spécifiques qu’ils demandent une solide connaissance médicale (ou le recours régulier au dictionnaire).
Cependant, les arguments déployés étaient constamment intéressants quand ils étaient compréhensibles.
Au final j’ai le sentiment que Canguilhem était un penseur de haut niveau, mais nettement moins doué en vulgarisation !
imbuvable, il faut minimum bac + 10 en médecine pour comprendre. Propos très problématiques ( ou incompris) notamment au chapitre V et la question des monstres.
It is so bad, that I wanna give you a 0. But that’s not possible so I give you… a 1 Non en vrai j’abuse un peu mais y’a rien qui va. Je peux comprendre la démarche de l’auteur et les messages qu’il a voulu retransmettre, mais la manière dont c’est fait 💀Tout le long, l’auteur balance des références aux travaux d’autres auteurs, de médecins, de chercheurs… Ça rend le truc pas du tout fluide; tu decomprends ce que t’as compris. Et puis les essais sont bourrés d’explications médicales! Je comprends pas pourquoi on donne ce livre à lire ( en l’occurrence en prépa ) à des bougs de 18 ans qui n’ont pas ces références ( et encore pire si t’as pas fait la spé SVT). Y’a quelques passages qui sont intéressants vers la fin du livre (ex: notre rapport à la « normalité ») mais franchement not worth the trouble.
Y'avait plusieurs parties intéressantes, mais seulement lorsque j'étais très concentrée avec un crayon à la main. Mais y'a pleins d'autres moments où je lisais sans comprendre parce que pas assez concentrée, mais aussi parce que certains passages sont vraiment durs... par exemple, il y a des exemples en biologie utilisés qui sont tellement complexes, avec un vocabulaire pas très accessible, qui fait en sorte qu'au final pleins d'idées m'ont échappées. Y'a aussi certains passages ou j'étais pas vraiment daccord mais ça restait intéressant. Mais bon, je comprends pas vraiment pourquoi il est au programme des prépas scientifiques cette année. Certes pour les sujets abordés, mais bon, un peu trop incompréhensible à mon avis.
trop nul. pourquoi il fait que de parler d’autres philosophes/biologistes tout le temps?? c’est juste des résumés de ce qu’ont dit ou écrit plein d’auteurs (avec bien sûr toujours BEAUCOUP de LONGUES citations). et pourquoi il nous fait des études de textes à chaque fois??? on a pas besoin que tu nous explique les textes des autres frere c’est le tiens qu’on lit. si on voulait lire ceux des autres on le ferait. il blablate juste pendant 250 pages sur ce que disent les autres sans jamais aller au bout de ses propres idées. alors qu’un nombre (très petit certes mais quand même) d’entre elles avaient l’air un minimum interessantes. bref, insupportable, beurk. j’ai pas beaucoup aimé.
O livro é bem interessante e apresenta muitos temas essenciais para a biologia. Me fez pensar muito no meu papel como estudante da área e nas perguntas que eu devo ter em mente sempre. Porém, em certos momentos pareceu bastante repetitivo quanto às questões debatidas Agora, essa edição é horrorosa. Tem erro de tradução, erro de digitação, partes que >esqueceram de traduzir< e esses erros realmente atrapalharam a leitura. Preferia ter feito o esforço a mais e lido em francês.
J'ai du lire une partie pour les cours, mais de ce que j'ai lu, je trouve ça intéressant. Mais. Mais. Mais. J'ai rarement lu quelque chose d'aussi difficile et pénible. C'est à la fois un bon défi et un grand découragement. Enfin, je trouve simplement ça peu agréable de sortir systématiquement de la lecture d'un chapitre avec une migraine.
le livre est hyper intéressant, j'ai découvert beaucoup de théories, et j'ai pu réfléchir à certaines idées sur le vivant mais faut parler plus clairement par contre, le livre m'a fait mal a la tête à un point donc compliqué mais j'espère que je vais être plus éclairée au cours de l'année
J’avais à lire certaines parties de ce livre. Je les ai trouvées bonnes avec des concepts intéressants et parfois très abstraits. Le langage et les idées utilisées sont néanmoins parfois très complexes.
reading this out of genuine interest, at your own pace, sounds wonderful, but being forced to read it for school was honestly one of the most traumatizing experiences of my life