Compiled by three leading experts in the psychological, sociological, and criminal justice fields, this volume addresses timely questions from an eclectic range of positions. The product of a landmark conference on gangs, Gangs and Society brings together the work of academics, activists, and community leaders to examine the many functions and faces of gangs today. Analyzing the spread of gangs from New York to Texas to the West Coast, the book covers such topics as the spirituality of gangs, the place of women in gang culture, and the effect on gangs of a variety of educational programs and services for at-risk youth. The final chapter examines the gang-photography phenomenon by looking at the functions and politics of different approaches to gang photography and features a photographic essay by Donna DeCesare, an award-winning journalist.
Julia Kristeva is professor emerita of linguistics at the Université de Paris VII and author of many acclaimed works. Her Columbia University Press books include Hatred and Forgiveness (2012); The Severed Head: Capital Visions (2014); and, with Philippe Sollers, Marriage as a Fine Art (2016).
This is my go to source for introductory linguistics. The prose is clean and explicative. Three main sections: introduction to linguistics (theory), the history of language (multicultural reference, from primitive to structural linguistics), language and languages (semiotics). Third section has a nice 8-page section on Psychoanalysis and Language, which distills the shift Freud initiated primarily with the study of dreams and how that differs from the linguistic turn which followed him.
Organizando mis apuntes de la carrera me he topado con este libro que leí/estudié en cuarentena, pues el profesor decidió no dar clase online. Muy recomendable para iniciarse en el ámbito de la Lingüística. Mencionar también lo increíble que es Kristeva y la cantidad de ámbitos que domina, simplemente wow.
Ce livre offre un compte rendu exhaustif et sommaire du questionnement humain sur le langage. Il s’amorce en nous donnant les outils terminologiques essentiels pour nous orienter, avant de brosser un portrait historique des pensées sur le langage à travers les diverses civilisations jusqu’aux derniers aboutissements de la linguistique moderne, pour aboutir sur la nécessité que nous l’imposerait la psychanalyse et la sémiotique de disposer d’une conception plus englobante du langage que celle dont dispose la linguistique.
Personnellement, j’y ai trouvé le livre dont j’avais besoin pour disposer d’un point de vue global et compétent sur la linguistique en plus de pouvoir m’initier à l’auteure qu’est Kristeva et dont la réputation un tant soi peu sulfureuse de « féministe-postmoderne » m’intriguait.
En fait, comme la plupart des auteurs qui lui sont associés à tord et à travers comme étant « postmodernes », que ce soit Lyotard, Foucault, Derrida ou même Deleuze, elle expose ses idées brillamment, précisément, avec une irréprochable rigueur. Pour ce qui est de son positionnement féministe, il n’apparaît jamais dans ce livre.
Par contre, elle assume très clairement, et de manière même un peu insistante, un impératif de « matérialisme », à partir duquel elle semble repousser toute tentative de réflexion d’ordre philosophique vers l’idéologie, et elle m’apparaît aussi croire religieusement au postulat psychanalytique selon lequel la certitude de l’individualité consciente n’est qu’une illusion et que la vérité demeure dans l’inconscient. Ces deux positionnements ne sont jamais défendus. Ils sont simplement donnés et répétés avec constance. Mais, la situation est peut-être moins due à une naïveté de sa part qu’à la conséquence d’assumer l’absence de conscience individuelle de même que tout recours aux idéologies philosophiques...