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Les Racines du mal

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635pages. poche. broché. Andreas Schaltzmann est persuadé que les habitants de la planète Vega sont installés dans son quartier, à Vitry-sur-Seine, et étendent leurs ramifications jusqu'aux plus hautes sphères de l'État. Paranoïaque, l'homme décide de vider ses comptes en banque et ses chargeurs de revolvers ; il se lance dans une cavalcade meurtrière à travers la France. Arrêté, il apprend qu'on lui attribue des crimes qu'il n'a pas commis. Un trio de scientifiques persuadés de son innocence traquera les véritables tueurs grâce à un ordinateur de type supérieur, baptisé "neuromatrice" qui fonctionne comme un cerveau humain mais à une vitesse surmultipliée. Ce roman atypique débute à la manière d'un périple de tueur en série pour s'orienter vers un récit prospectif où éléments philosophiques, sociologiques et scientifiques viennent s'imbriquer dans l'action. Le XXIe siècle, selon Maurice G. Dantec, ne sera pas une promenade de santé dans la mesure où (dit-il) "l'humanité ne s'attaque pas aux racines du mal qui la ronge". -Lisa B.

752 pages, Mass Market Paperback

First published January 1, 1995

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388 people want to read

About the author

Maurice G. Dantec

23 books61 followers
(English version below) Maurice Georges Dantec naît à Grenoble le 13 juin 1959, au sein d'une famille communiste, d'un père journaliste scientifique et d'une mère couturière et employée de service de la Ville d'Ivry-sur-Seine. Il passe la majeure partie de sa prime enfance dans cette ville, en pleine banlieue « rouge ». À l'âge de 5 ans, de violentes crises d'asthme vont éveiller en lui « d’atroces angoisses de mort imminente », dont le souvenir va hanter son adolescence. Ces problèmes de santé et la séparation de ses parents vont le conduire à vivre avec sa mère et sa soeur durant plus de 5 ans dans les Alpes, près de Grenoble, sa ville natale.

Après une scolarité brillante, il entre en 1971 au lycée Romain-Rolland, où il rencontre Jean-Bernard Pouy, futur créateur du Poulpe, qui amplifie son attirance déjà bien ancrée envers les littératures "marginales" américaines de l'époque (roman noir, écrits psychédéliques, science-fiction). Très tôt, il devient également un fervent lecteur de Nietzsche et Gilles Deleuze. À la fin des années 1970, une fois le bac en poche, il débute des études de lettres modernes qu'il abandonne rapidement pour fonder les groupes de rock « État d'Urgence », puis "Artefact" . Durant les années 1980, il continue ses aventures musicales tout en travaillant en tant que concepteur-rédacteur dans la publicité.

Après avoir créé, en 1991, sans succès, une société de communication multimédia, il décide de se « mettre à écrire sérieusement », tout en travaillant dans une agence de télémarketing. Sur recommandation de Jean-Bernard Pouy, il soumet en 1992 à Patrick Raynal, directeur de la collection Série Noire, un « volumineux et impubliable manuscrit de cinq cents feuillets de deux mille signes » : l’éditeur , qui voit en lui "les signes d'un phénomène littéraire", l’encourage alors vivement à lui livrer un autre ouvrage.

Maurice Georges Dantec was born in Grenoble, France on June 13th, 1959, within a communist family. His father was a scientific journalist and his mother a dressmaker, employees in the service of the City of Ivry-sur-Seine. He spent the majority of his childhood in the "red" suburbs. At the age of 5 years, a series of violent asthma attacks awakened his mind with the dreadful anxiety of imminent death, a memory that haunted him into adolescence. These health problems greatly affected him, along with the separation of his parents, and he lived with his mother and sister for more than 5 years in Alps, near Grenoble, his home town.

After primary schooling, Maurice entered the secondary school Romain-Rolland in 1971, where he met Jean-Bernard Pouy, future creator of the Octopus, who amplifies his growing attraction towards American "marginal" literature (black novel, mind-expanding writings, science fiction). Very early, he also became a fervent reader of Nietzsche and Giles Deleuze. At the end of 1970’s, once the receptacle in pocket, it starts studies of modern letters which he leaves fast to found the groups of rock " urgent State ", then "Artefact". During 1980s, it continues its musical adventures while working as concepteur-editor in advertising.

Having created unsuccessfully, a society of multimedia communication, while working in an agency of telemarketing , in 1991, he decided to write seriously. On recommendation of Jean-Bernard Pouy, he submitted some of his writing in 1992 to Patrick Raynal, manager of the collection Thriller. It was a huge, unpublishable handwritten manuscript of five hundred pages. Instead of rejection, the editor saw in Maurice "the signs of a literary phenomenon" strongly encouraging him to create other works.

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Displaying 1 - 28 of 28 reviews
Profile Image for Frédéric.
1,969 reviews86 followers
March 20, 2018
2,5*

I don't know what to make of this one.

Yet it started very well, really. In 1993 a man suffering from severe hallucinations goes on a killing spree. With the help of a "neuro-machine" three scientists supposed to help the Police determine that some of the murders imputed to the man are probably from somebody else.

Several years layer some new murders put two of the scientists back in business, more unofficially.

Up till there it's all good. I have a little problem with the "neuro-machine"- basically an über I.A. due to the time frame of the book: the action takes place between 1993 and 2000-the book being published in 1995- and I think that's too close for comfort. I could have bought it 15/20 years later but not in 5 years' time after 1995. But I can oversee it. The rest is good. Well written, with a real style and sense of pacing. We're about 50% of the book.

Then things go haywire. It looks like Dantec didn't know how to structure the sum of what he wanted to say and  where he wanted to go, and went in every direction all at once.
The basic line of the plot is still there but the author digresses with his opinions on the Balkan wars- hot at the time of writing- already expressed in his former novel, mystical and scientific views of the Creation and the roots of evil. All are interesting and respectable in their own right but the end result is a bit indigestible, which I deeply regret because I don't doubt Dantec's sincerity.

I also think Dantec is a bit OTT with the pure evilness of the other side. I don't dig books on serial killers much - I just can't go through their psychosis, totally alien to me- but the idea of a goes way beyond what my feeble mind can process. Just as I have great difficulties with the level of perversion/planification involved-again, too alien for me- and can hardly believe a serial killer would articulate his deeds so clearly. But maybe it's just me, too naive to know what evil lurks in the hearts of men...

As said above I don't know what to make of this book: an anticipation thriller with political and social issues. A good style and good ideas, maybe too much, but a too heavily handed demonstration in the second half.
Profile Image for Pierre Fortier.
436 reviews5 followers
August 2, 2015
Que pensez de ce livre? Tout au long des 750 pages, je me suis posé la question. Tantôt, j'étais plongé dans l'univers de la physique quantique, de l'instinct et des éons; d'autre fois, je me promenais en pleine recherche d'un tueur en série complètement hystérique, paranoïaque, maniaque et violeur, un méchant malade!. Tout ça sous la supervision d'un ordinateur hyper puissant (presque trop), une neuromancienne qui a la capacité incommensurable de tout gober, de digérer et de se restituer en un être plus savant, avec une conscience supra-normale.Et ça se promène de tout bord tout côté, des religions, des sectes,de la philosophie, de la cosmologie au chercheur menteur, à une histoire d'amour prévisible, à tout mais à rien. Comme si l'auteur ne sachant plus trop vers où se diriger, nous perdait pour qu'on le croit génial. Rien à voir avec La Pendule de Foucault d'Umberto Eco. À ni rien comprendre, ou presque, avec un sous-entendu constant d'une violence à la limite du supportable. Pensez aux films "Saw", Silence des Agneaux et The Matrix, mélangez tout ça, ajouter beaucoup de science fiction, de logiciels extra performants et vous fermez le livre en vous posant la question: génial? incohérent? tape-l'oeil? masturbation intellectuelle sado-maso? Je ne le sais toujours pas. Tantôt je volais dans les hautes sphères d'un génial auteur, souvent dans la prétention encyclopédique d'un musicien qui a voulu mettre 4 refrains dans la même chanson. Confus
Profile Image for Mehdi.
325 reviews22 followers
March 23, 2015
There is no reason this book should be 750 pages...
Profile Image for Dalila.
15 reviews1 follower
September 22, 2023
Aspira ad essere una sorta di trattato ma l'unica cosa riuscita è la parte del racconto dalla prospettiva di uno psicotico.
Profile Image for Atef Attia.
Author 6 books283 followers
October 25, 2013
Avec son deuxième roman, Dantec signe probablement l'un de ses livres les plus ambitieux et les plus ''intéressants'': un livre hybride entre le polar noir et l'anticipation.

Polar d'abord parce qu'il reprend tous les éléments d'une enquête menée par un jeune ingénieur un peu borderline sur des meurtres atroces (même pour les standards de Dantec). A ce titre, et rien que pour cette partie-là, l'auteur s'impose encore une fois comme un surdoué du récit et la tension à 5000 volts. Rien que par son introduction, en deux phrases, il nous plonge en caméra embarquée dans la tête d'un tueur en série fou, dans sa dernière ligne droite. Un trip hallucinant et un parcours sanglant qui nous est décrit du point de vue (et dans la logique) du tueur lui même (largement inspiré de Richard Chase, le vampire de Sacramento) et qui nous accroche à fond, au moins durant les 200 premières pages, intenses, hallucinées et explosives.

Puis, au détour d'une ligne, on glisse subrepticement dans la science fiction, presque sans s'en rendre compte. Par quelques touches discrètes, loin de l'armada high tech qu'il déroulera dans ses prochaines publications, il nous place dans un quotidien familier avec juste ce qu'il faut de décalage pour bousculer un tantinet son lecteur. Là ou il assume par contre ce registre, c'est dans la description de cette ''neuromatrice'', l'intelligence artificielle aux capacités inimaginables qui sert d'outil et d'analyse des différentes variables de cette enquête compliquée. En 1995, Dantec fait ainsi preuve d'un flair certain concernant l'importance et la place des A.I dans un futur proche, un don qui relève presque de la prescience. Il parle de l'avènement des réseau sociaux, de la réalité alternée, de la connexion neuronale avec le monde virtuel (qui a dit Matrix?) et j'en passe. Bref, la marque des grands génies de la SF.

Mais ''Les racines du mal'' n'est pas que ça. Il ne se contente pas seulement d'être ce bijou hybride racontant une enquête tortueuse et sombre avec tous les ingrédients du thriller pur et dur. Non, nous sommes bien chez Dantec, et ce n'est pas exactement ce qui l'intéresse.

Poussant le bouchon encore plus loin que dans son précédent ouvrage (Sirène Rouge), les racines du mal se présente avant tout comme une réflexion presque définitive sur la nature humaine, et sur le mal absolu qu'elle peut engendrer. Comme toujours chez Dantec, il mêle théories de l'évolution, philosophies nietzschéennes, préceptes religieux, témoignages historiques pour pondre ses réflexions sur le sujet. Le tout est lourdement documenté, décortiqué, analysé avec un soin quasi obsessionnel, et si le dosage n'est pas toujours très réussi (certains passages sont vraiment harassants) il n'en demeure pas moins diablement fascinant. Les réflexions prennent si souvent le dessus et s'étalent tellement que livre lorgne volontiers vers l'essai pur et simple. Une constante dorénavant pour Dantec.

En définitive, ''Les Racines du Mal'' est un fabuleux pavé qui peut au choix, soit attirer soit rebuter les amateurs, souvent pour les même raisons. Il reste cependant un preuve indéniable du génie tourmenté de son auteur, alors à quelques années de l'explosion vers les sommets avec son ''Babylon Babies''. Fascinant, dans tous les sens du terme.
Profile Image for Angrom.
45 reviews1 follower
February 23, 2017
Grand livre. Polar qui commence classiquement (une première partie très brillante) et qui glisse peu à peu vers le roman d'anticipation (très légèrement, tout reste crédible). J'ai aimé le côté bien sick de certains meurtres (certaines descriptions sont vraiment difficiles à encaisse, on se demande ce que Maurice Dantec avait dans le crane pour imaginer ça). Le seul défaut du livre est sans doute d'être un peu long (750 pages tout de même) mais autrement c'est du tout bon.
Profile Image for Anja Trevisan.
91 reviews17 followers
April 9, 2023
UP DEL LIBRO: il primo capitolo e l’ultima parte; la trama, materiale per un film di fincher o villeneuve; il club di assassini seriali sul dark web; la copertina; la parte del diario di irene.
DOWN DEL LIBRO: alcuni dialoghi sono fastidiosi è poco realistici; la chimica tra i due ricercatori è praticamente zero; la neuro matrice fa TUTTO, quindi il viaggio del protagonista in sé è abbastanza irrilevante.
in sintesi si poteva fare di meglio.
Profile Image for Agnesca.
41 reviews14 followers
June 2, 2010
Je viens de le commencer, et ça m'a l'air spécial tout ça, très spécial.. Pas sûr que j'aille jusqu'au bout, en tout cas en faisant sûrement de la lecture rapide sur certains passages !
Profile Image for Alain.
20 reviews3 followers
August 22, 2011
This must be the best book I ever read.
Profile Image for Samuel Veissiere.
3 reviews
March 9, 2021
On voit, dans le chaos légèrement bâclé de la fin de Racines du Mal, que Dantec sombrait déjà dans la folie. Ce qui me fascine, c’est que cette folie qui était déjà sous-jacente chez l’auteur est aussi la folie, déjà bien en place en 1994, des “ruines post-nucléaires” de la pensée et subjectivité occidentale qui avait déjà brulé le Christ, la sagesse des Hébreux, et les structures d’aide mutuelle de la famille, de l’aristocratie, des petits commerces, etc.

La pensée de Dantec nous offre quelques pistes pour tracer la génealogie de celle des nouveaux complotistes d’extrême droite à la Alex Jones qui ont émergés du populisme Trumpien et post-Trumpien; mais aussi celle de l’extrême gauche identitaire, ou encore du New Age anti-science, etc.

Jones et Dantec ont tous deux ont une structure de personnalité légèrement schizoïde et profondément romantique qui les poussent à obséder sur le chaos et créer des patterns parfois bizarres, parfois brillantes pour trouver un sens et un ordre au monde. Tous deux sont terrifiés par le chaos qu’ils perçoivent et construisent eux même, et se raccrochent à un pseudoréalisme transcendental dans lequel une ultime vérité cosmique est accessible “au de la des portes de la perception”, ce qui les poussent à une lecture naive de la Kabbale, des Sufis, de Jung, Huxley, Leary, Reich, etc, et à employer des métaphores vides comme “quantiques”, “ADN”, “DMT”, “Fractales”, etc. Ça, c’est la première phase de development contemplatif du système de pensée schizoïde romantique qui cherche une vérité ultime. En Occident, c’est le début de la pensée “post-nucléaire” des années 1960-1990, qui sera finalement récupérée par une commercialisation organique et repackagée en New Age. Les penseurs comme Dantec et Jones sont trop intelligents — mais aussi trop méconfiants et paranos — pour s’adonner au New Age commercial, donc ils passent à la deuxième phase. Au fil d’une lecture naive de “symboles” en vrac de la Kabbale aux anciens Zoroastriens, Templiers et compagnie, il se mettent a percevoir des “signes” et traces de la presence d’une Elite-cognisante-de-la-Realité-Ultime. Pour ceux qui en arrive là, plusieurs trajectoires narratives deviennent possible, des Illuminati aux Reptiles Aliens et Annunakis, jusqu’au complot antisemite et la Cabbale de Pedophiles. Notons que les dernières théories du complot comme Q-Anon rassemblent toutes ces possibilités dans un seul récit très simple.
L’Elite est parfois bienveillante, et parfois maléfique. C’est elle qui brule le Christ (toujours l’image des Christs en feu), où elle qui le reveille; toujours avec le sang des enfants. A partir des années 90, tant dans la folie de Dantec que dans celle de l’Occident, la pensée converge vers une vérité de plus en plus maléfique, de plus en plus simple, de plus en plus antisemite. Il est possible que le philosemitisme de Dantec l’aurait protégé contre les conclusions perverses de cette folie narrative. Mais la folie de Dantec, maintenant profondément ancrée dans le virus de la folie collective, était visionnaire, auto-réalisatrice.
Profile Image for Gennaro Duello.
Author 7 books21 followers
March 22, 2023
Dalla mia recensione su Fanpage.it: https://www.fanpage.it/cultura/le-rad...

Dantec il musicista punk morto nel 2016, poco amato dalla critica francese come romanziere (fintanto che era in vita, il copione è uguale per tutti) ma molto coccolato dal pubblico, mischia con questo romanzo il grande polar francese, la fantascienza e, attraverso abbondanti digressioni fatte da un punto di vista in prima persona, la filosofia. Il romanzo si apre con un incipit fulminante: “Andreas Schaltzmann si è messo ad ammazzare perché il suo stomaco marciva”. Seguono quindi cento pagine serratissime che ci mostrano come agisce e cosa pensa quest'uomo. La cosa più interessante, oltre alla violenza incredibilmente gratuita, è che Schaltzmann non è machiavellico, calcolatore e freddo come si conviene a un assassino seriale. Lui non ha alcun tipo di premeditazione, uccide in preda ai suoi deliri, nati da violenze familiari indicibili.

Nella seconda parte, entra in scena il narratore: un ricercatore e ingegnere di altissimo livello, Arthur Darquandier, incaricato di lavorare al caso insieme a una squadra improvvisata di esperti criminologi su cui primeggia il fascino diafano di Svetlana Terekhovna. Pagina dopo pagina abbandoniamo il noir e scivoliamo nella fantascienza e nella narrativa d’anticipazione e quasi non ci facciamo caso. Alcuni omicidi, infatti, non sembrano essere stati fatti da Schaltzmann, nonostante le autorità abbiano frettolosamente addossato ogni responsabilità a lui che, intanto fuggiasco, morirà suicida.

Come trovare la verità? Darquandier sta lavorando a una ‘neuromatrice’, una complessa intelligenza artificiale dalla rapidità di calcolo e sviluppo inimmaginabili, in grado di analizzare comportamenti, prefigurare scenari, connettersi direttamente con l’ambiente circostante. Il romanzo, lungo 638 pagine e diviso in quattro parti ed un epilogo, si legge che è un piacere inerpicandosi in una risoluzione che, per come eravamo partiti, sembrava impossibile da immaginare. E non sono forse queste le letture migliori?


Profile Image for Anne Charlotte.
203 reviews3 followers
Read
November 5, 2023
Je me suis arrêtée au bout du premier tiers de ce beaucoup trop long livre qu'on m'avait recommandé, je ne sais pourquoi d'ailleurs...
Il a certaines qualités : il est très bien écrit quand il plonge dans un cerveau si malade, il aborde aussi le complotisme avec clarté qui fait écho à notre époque. Mais dès que ça vire à la science-fiction, tout s'effondre : l'intrigue enfle en technotruc indigeste et chiant. Et l'auteur n'a pas pu s'empêcher de saboter la suite avec un passage sur les pires atrocités nazies en Roumanie, si je me souviens bien, puis on passe à la plage australienne et au LSD. N'importe quoi.

J'ai bien mieux à lire, pas question de perdre mon temps.
Profile Image for Guitare Jazz.
47 reviews
January 8, 2020
Dès sa première semaine de parution, je me suis empressé de le lire. Un peu déstabilisé au début, car il est différent de son premier livre. Après avoir saisie où tout ça s'en allait, je fus captivé. À la mi-chemin entre le polar et l'anticipation, l'intelligence artificielle y joue un grand rôle. / When the book was on the shelf at the library, I run to buy this book. I got a little deception when I try to understand where all this story goes. Once I got the big picture, I was into the action. I really enjoy this story half-way to polar and anticipation. AI is a important character.
Profile Image for Jean-Rémy Duboc.
Author 0 books1 follower
January 28, 2023
Assez bien écrit, ça se lit plutôt bien.
Une intrigue intéressante, des scènes-choc viscérales et très mémorables. L'élément science-fiction est intéressant, mais mériterait d'avoir une place plus centrale et significative dans l'histoire.
C'est plus un prétexte pour saupoudrer des réflections philosophiques un peut partout, surtout dans la deuxième partie. Et ces réflections sonnent un peut creux, plutôt prétentieux.
Pour cette raison et à cause de certaines de ses prises de positions plus que limite, je ne lirais pas les autres livres de Dantec.
6 reviews
September 22, 2025
Le storie si intrecciano ma non si capisce mai quale sia il vero punto.
Che il passato condiziona forzatamente il futuro? Che il male ritorna amplificato?
Peccato, buoni spunti ma che non si concretizzano in nulla. La classica scappatoia utilizzata da molti scrittori: non scelgo e lascio tutto aperto, così il lettore sceglie al mio posto.
Profile Image for ValentinaMeana.
153 reviews6 followers
April 21, 2023
1/2 un buon romanzo, scritto, sicuramente con buone premesse ma dalle troppe idee e argomentazioni. Trama interessante, ottimi personaggi, ambientazioni adeguate ma epilogo? Non proprio ben riuscito.
A breve recensione completa su LDFO.
Profile Image for Jérémie Moenne Loccoz.
117 reviews5 followers
September 30, 2015
Après une première partie exceptionnelle, ou l'auteur décrit avec un humour au vitriol une série de meurtres commis par un détraqué dont la perception du monde est purement jouissive, j'ai eu énormément de mal à accrocher à la suite. J'aurais dû m'arrêter après les 100 premières pages et je mettais un 4/5.
J'ai trouvé le personnage principal fade, la facette SF mal exploitée et il m'a fallu faire un effort de volonté pour arriver au bout de ce pavé, confronté a des longueurs comme autant de col hors catégorie à affronter. C'est dommage, d'autant plus que l'intrigue n'est pas inintéressante.
Profile Image for Alessandro Balestra.
Author 37 books43 followers
August 28, 2016
Il romanzo ha un incipit molto particolare e innovativo con un serial killer tutto preso da ipotetiche cospirazioni aliene e neonaziste, poi il tutto diventa un thriller tutto sommato ordinario con qualche elemento futuristico. La narrazione è un tantino lenta e prende ritmo solo verso la fine. Francamente mi aspettavo qualcosa di più.
7 reviews
August 3, 2011
Un livre que je trouve beaucoup trop long et dont la fin manque de suspense et de piment.Les points positifs sont le faits que l'on se rend compte du chaos qui règne chez certaine personne malade et du fait que s'il on se fait kidnapper il ne faut penser qu'à fuir et ne croire personne.
Profile Image for Barbara .
43 reviews8 followers
December 15, 2015
Un thriller con una trama e dei personaggi geniali. Un autore che meriterebbe 5 stelle per varietà e ingegnosità che ha messo in questo libro, davvero unico, molto originale, peccato sia così prolisso e lento da uccidere anche il lettore più motivato.
La metà delle pagine sono abbastanza inutili.
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