Le chat n'a pas pu empêcher la catastrophe : Zlabya, sa maîtresse adorée, a épousé le jeune homme. Et le jeune homme a emmené Zlabya chez lui et il lui a offert une salle de bains. " Zlabya ! Chez nous, il y avait un piano ! " Voilà le chat épouvantablement triste, d'autant plus qu'il ne peut plus parler et que tout le monde s'en fout.
Et puis, la famille du jeune homme vivant à Paris et n'étant pas venue au mariage, Zlabya et son mari partent en voyage de noces à Paris. Avec le rabbin, sa malle pleine de livres et son chat. Lequel chat, dans sa grande sagesse, sent bien que ça n'emballe pas les jeunes mariés, tout ce tintouin. Bref, après un voyage emmitouflé comme s'il allait affronter les rigueurs du pôle Nord, le rabbin débarque à Paris et découvre la ville, la pluie, la Seine — " Les pauvres, même pas ils ont la mer " — et la transgression, en se tapant une orgie pas cachère du tout un soir de Shabbat.
Pendant ce temps, le chat trouve enfin quelqu'un à qui parler : un chien à peu près aussi joli que lui. Revoilà la smala merveilleuse, avec son rabbin infiniment émouvant et casse-bonbons, et son chat unique dans les annales de la bande dessinée.
Profondeur et légèreté, ironie et tendresse, sensualité du dessin — Sfar sous la pluie, avec ses personnages en détresse, reste à la hauteur de sa réputation de fabuleux conteur.
Joann Sfar (born August 28, 1971 in Nice) is a French comics artist, comic book creator, and film director.
Sfar is considered one of the most important artists of the new wave of Franco-Belgian comics. Many of his comics were published by L'Association which was founded in 1990 by Jean-Christophe Menu and six other artists. He also worked together with many of the new movement's main artists, e.g. David B. and Lewis Trondheim. The Donjon series which he created with Trondheim has a cult following in many countries.
Some of his comics are inspired by his Jewish heritage as the son of Jewish parents (an Ashkenazi mother and a Sephardic father). He himself says that there is Ashkenazi humor in his Professeur Bell series (loosely based on Joseph Bell), whereas Le chat du rabbin is clearly inspired by his Sephardic side. Les olives noires is a series about a Jewish child in Israel at the time of Jesus. Like Le chat du rabbin, the series contains a lot of historical and theological information.
His main influences are Fred and André Franquin as well as Marc Chagall, Chaim Soutine, Will Eisner, Hugo Pratt and John Buscema.
From 2009 to 2010, Sfar wrote and directed 'Serge Gainsbourgh: Une Vie Heroique', a biopic of the notorious French songwriter, of whom Sfar is a self-confessed fanatic. The film, which draws substantially on Sfar's abilities as a comic book artist through its extensive use of fantasy artwork, animation and puppetry, was released in 2010 to general critical acclaim.
Sfar takes the family on an odyssey through Paris. Interesting to see the culture clash between the Parisian, atheistic jews and our beloved Algerian rabbi. The cat gets some competition from a dog. I'm still loving the tone of voice of these comics (especially the cat), the artwork and the insight it offers into a world I'm quite unfamiliar with.
Wyprawa do Paryża, spanie w Kościele, rozmowy kota z psem na temat biskupa będącego rabinem i wiele, wiele innego dobra, jeden z najciekawszych tomów. Sfar robi naprawdę dużo dobrej roboty w tym zakresie.
When the Rabbi's daughter and her new husband decide to go to Paris to visit the young man's parents, the Rabbi insists on being taken with them, along with his cat of course. But when they're about to enter the home of their hosts and he finds out that the in-laws are non-practicing Jews who don't respect any of the Jewish laws, the Rabbi marches off into the night in the pouring rain without a penny in his pocket, taking only his cat with him. All he knows is he's got a beloved nephew with a gift for music living somewhere in the city. Great fun. — June 2011
Peut-être que je n'ai pas saisi la portée de cet album-ci ? Les dessins me plaisent toujours autant, mais le chat du rabbin a perdu son côté sarcastique à tout remettre en question (d'autant plus qu'il a perdu la parole). L'histoire stagne et je ne suis pas rentrée dedans, je ne retrouve pas l'humour ni l'aspect pédagogique de l'ouvrage sur la religion juive qui m'avait tant plu. Un peu déçue du coup.
En esta tercera entrega seguimos viajando a través de la cultura judía y argelina. Con bastantes toques de humor e ironía los protagonistas son puestos en la tesitura de analizar y juzgar diferentes formas de vivir la fe. Como siempre, un texto de tolerancia y conciliación
Je ne savais pas qu'il y avait une bénédiction pour les nourritures non cachères qu'on pouvait réciter avant de les consommer pour éviter un péché: Béni sois-tu, Éternel, notre Dieu, qui nous permet de transgresser l'interdit.
Este libro trata de un gato del rabino pero en un pueblo adoraban a los perros pero los perro se comian la comida,rompian la ropa y prefirieron a los gatos y despues amaron alos gatos pero el gato del rabino era un gato que no molestaba a su dueño por que este gato queria mucho y él tambien lo queria mucho y ellos siempre eran muy unidos.Pero el gato odiaba al pajaro del rabino yun dîa el gato salto hacia donde estaba el pajaro se lo comio y despues el dijo…donde esta mi pajaro y una cosa sorprendentepaso,el gato hablo por que dijo…yo me lo comi y el gato dijo… puedo hablar.Entonces el gato hablo nadie sabe como,despues de que se comio al pajaro ,pero el pajaro,pero el rabino lo agarrò y se lo llevo hacia su hija y le dijo;mira lo que hiso este gato se comio al pobre pajaro,y adematambien habla,Ysu hija le dijo…eso es imposible padre como un gato puede hablar.Pero el gato hablo y dijo…sì yo puedo hablar, y la hija del rabino casi se desmaya pero el padre lo llevo a un lugar de un hombre,que podia saber que le pasaba al gatopero el hombre le hiso tantas preguntas que el gato se enojo y lo raguño y se fueron.
Pero la hija estaba muy triste y llego su padre con el gato y su hija y el siempre estaran unidos y gato se de su casa y vio el hombre que le hiso tantas preguntas y lo persigio ycuando lo alcanso lo patio el hombre al gato y lo dejo en el suelo y siempre ese gato sera El Gato Del Rabino.
À travers les contrastes que lui a offert ce bref exode dans la capitale coloniale, le rabbin acquiert une nouvelle perspective sur sa vie. Tout était si différent à Paris: même les juifs n'y prient pas comme ceux d'Algérie. Et beaucoup ne semblent même pas être pratiquant. Ceux qui ne respectent pas la Torah, qui est le mode d'emploi de l'existence d'un bon juif, devraient donc être plus malheureux que lui. Et pourtant ils ne semblaient pas vivre moins bien que lui. Alors, si l'on peut être heureux sans respecter la Torah, pourquoi se fatiguer autant à appliquer tous ces préceptes qui nous compliquent tellement la vie? Il ne sais pas. Nouvelle sagesse, excès de tolérance, crise de foi? Qui sait?
Étrangement, tant le rabbin que le beau-fils ne sont guère sympathique dans cette histoire. Mais c'est la perspective du chat, qui est le narrateur, qui préfère sa maitresse et la belle-mère. Le récit est plus sombre, tant graphiquement que moralement, dans ce troisième volume. Un peu moins intéressant mais l'histoire reste amusante, intriguante même considérant le force du regard critique que l'auteur porte sur la société et la religion. Mais je n'éprouve toujours pas beaucoup enthousiasme envers ce style graphique, qui est encore un peu brouillon, mais qui me semble tout de même s'améliorer. À moins que je m'y sois simplement habitué. Néanmoins une bonne lecture.
Juro que este es el último tomo del Gato al que promedio para abajo por caprichos y similares (además de que, de los leídos hasta ahora, mi favorito, lejos es el #4). Acá Sfar demuestra que le gusta tirar premisas y entornos simples pero definidos para después pegarle una patada al tablero y revolver el status quo. Por eso me gustó el cambio de escenario a París, y de paso me sirvió para aprender algunas cosas bastante interesantes entre los distintos "judaísmos" del mundo. Entretenido y didáctico, este tomo me dejó con la sensación (esta vez correcta) de que lo mejor estaba por venir.
This visit to Paris was a significant improvement on the previous volume of this series, Le Malka des Lions, but it doesn't quite have the magic of the first volume. The tale is more one of cultural difference and immigration than a metaphysical rumination on religion and philosophy. It will be interesting to see where it goes from here for the last two volumes.
J'ai été un peu déçu par ce troisième tome, je n'ai pas retrouvé ce que j'aimais tant dans les deux premiers. Je l'ai trouvé moins drôle. J'espère que les suivants me plairont plus.
La suite des aventures du chat et de son rabin de maitre, cette fois-ci en France à la rencontre de sa belle-famille. Éducatif, chaleureux, et amusant, un récit enrichissant.