Justine, une Québécoise de 34 ans, peine à faire le deuil de sa dernière relation et craint de ne jamais avoir d'enfants. Elias, un Libanais de 25 ans, est sur le point de déménager sa vie et ses rêves au Canada. Le hasard les réunit sur une terrasse à Paris. La chimie est instantanée. En quelques mois, leur relation bouleversera radicalement leurs vies. Elle lui proposera un projet qu'il pensait inaccessible. En retour, il imposera des conditions quasi impossibles. Ensemble, ils exploreront jusqu'où leur complicité peut mener…
Né en Abitibi-Témiscamingue, encore habité par la candeur d'un enfant, tout en aspirant à la sagesse d'un moine tibétain, Samuel Larochelle est un hyperactif de l'écriture. Remarqué et apprécié dans le monde des médias, il collabore régulièrement à une quinzaine de publications (dont La Presse, L'actualité, Nightlife, Huffington Post Québec, Échos Montréal) tout en tenant un blogue de critiques et de réflexions culturelles (Sage Gamin). À cause des garçons est son premier roman.
Un livre qui raconte bien l'histoire d'un jeune adulte libanais qui immigre au Qc, et qui peut enfin vivre sa sexualité à 100%. La culture arabe est super bien représentée. J'ai adoré
Ce serait une belle histoire d’amitié avec des personnages qui auraient pu être attachants, mais l’auteur y va un peu fort sur la psycho-pop et les exposés sur les enjeux sociaux à la mode. J’ai complètement décroché quand l’un des personnages principaux a parlé de « les reconnecter à leur parentalité » sans ironie dans un message informel entre amis.
Au début, je n’aurais jamais pensé que l’histoire irait en ce sens. J’ai bien aimé la tournure des événements. Le livre aborde plusieurs sujets tels que l’amitié, l’immigration et l’homosexualité qui sont très bien décrits.
J’ai eu quelque peu de difficulté à complètement embarquer dans l’histoire d’Elias et Justine dans la première moitié du roman. La seconde moitié m’a tenue en haleine. J’avais véritablement envie de connaître le dénouement de leur(s) histoire(s) respectives et commune. Cette seconde moitié du roman m’a permis de m’attacher davantage aux personnages et de me plonger dans leur univers. Mention spéciale à Simon et aux amitiés fortes. J’ai été à la fois troublée et touchée… de malaise, certes, mais également de doux. J’ai découvert des univers notamment culturels, sexuels, géographiques et identitaires qui m’étaient inconnus. J’ai également pu m’identifier aux obstacles de Justine en tant que femme de 34 ans. Un livre emprunt d’espoir.
Déçue de me pas avoir aimé, j'avais de grandes attentes. J'ai accroché complètement aux 100 premières pages, puis c'était terminé.
L'idée était bonne, mais les discussions entre personnages sont très teintées politiquement et je ressentais souvent un sentiment moralisateur / culpabilisateur qui me rendait très inconfortable au courant de ma lecture. Je ne m'attendais pas à ça d'une fiction. J'ai lu les dernières 100 pages en diagonale.
Aussi, j'ai moins apprécié le style d'écriture des dialogues qui est, à mon avis, trop '' bien écrit '' et ne reflète pas la manière de parler au quotidien.
Un de mes coup de coeurs de l’année. Samuel est une personne tellement sympathique et généreuse. J’ai adoré son style d’écriture touchant, poignant, captivant mais sommes toute très agréable à lire. Il parle de sujets super d’actualité, il est super inclusif et il sort beaucoup des standards/stéréotypes de la société, chose que j’adore. Je ne me suis jamais autant attachée à des personnages auparavant.
C’est rare que ça me prends autant de temps à lire un roman. En lisant la bio de l’auteur à la fin du roman, j’ai compris pourquoi j’ai eu autant de difficulté à embarquer dans l’histoire de Justine et Elias. Le livre a été écrit en deux temps et ça se ressent. J’ai adoré la deuxième partie du roman, alors que la première était plutôt longue d’où ma lenteur à le lire, et l’envie de le laisser de côté pour d’autres romans.
Quelle belle lecture! Un livre abordant des sujets comme l’amitié, l’immigration et l’homosexualité. J’en ai tellement appris sur plusieurs aspects! J’ai adoré l’histoire d’Elias et Justine racontée en communion ou en parallèle avec des personnages secondaires super attachants qui m’ont émus et faits rire.
Je mettrais 4.5. Une histoire de relations entre personnes humaines avec un grand H. Des sujets de société qui demandent ouverture. Des tournures de phrases touchantes. J’ai ajouté quelques citations dans mon carnet ❤️. Un très beau moment. Moi aussi M. Larochelle, je suis en amour avec Elias et Justine.
J’ai aimé les personnages du roman. J’ai aimé leur complicité. Comme Justine, je me serais imaginée une âme sœur en Elias…jusqu’à tant que je comprenne que ce ne serait pas possible comme je l’avais imaginé. Une histoire moderne d’amitié, d’amour, d’immigration et de coparentalité :)