Le Roi s'amuse est un drame romantique en cinq actes et en vers de Victor Hugo, représenté pour la première fois à Paris, le 22 novembre 1832 à la Comédie-Française.
Le héros principal en est le bouffon Triboulet, personnage historique sous le règne de Louis XII et François Ier. À travers la bouche de Triboulet, Hugo dénonce la société de l'époque.
After Napoleon III seized power in 1851, French writer Victor Marie Hugo went into exile and in 1870 returned to France; his novels include The Hunchback of Notre Dame (1831) and Les Misérables (1862).
This poet, playwright, novelist, dramatist, essayist, visual artist, statesman, and perhaps the most influential, important exponent of the Romantic movement in France, campaigned for human rights. People in France regard him as one of greatest poets of that country and know him better abroad.
Me gustó, a pesar de ser un tema que por lo general me hace enojar xd pero estuvo tan bien desarrollado que solo sentí pena por Triboulet y su vida. Pero en fin la venganza al final solo trae más cosas negativas y supongo que después de lo que pasó lo habrá aprendido. También me pareció interesante la parte de la censura, que al día siguiente de salir esta obra la hayan censurado, puedo imaginarme por qué según la época y lo que leí pero igual que injusto xd
Diciamolo subito: l'unico motivo che mi ha spinto a leggere questo dramma di Victor Hugo è perché da questo testo Giuseppe Verdi trasse una delle sue opere più riuscite, nonché una delle mie preferite, il Rigoletto. L’opera teatrale suscitò a Parigi grande scandalo, tant’è che ebbe un'unica rappresentazione, poi la censura di re Luigi Filippo ne impedì la mise en scène per offesa al decoro e alla morale, nonostante la censura stessa fosse stata abolita, sulla carta, dalla Rivoluzione di Luglio. Certo, è innegabile che la trama peschi a piene mani nel torbido: stupri, raggiri, rapimenti, vendette, assassinî, corpi esanimi trascinati sul palco dentro un sacco come se si trattasse di ortaggi o farina; persino per i rilassati costumi odierni i temi sono forti, figuriamoci 180 anni fa.
Conoscendo già abbastanza bene il Victor Hugo romanziere, devo confessare che le mie aspettative non erano altissime e, soprattutto, temevo non potesse reggere il confronto con la frizzante passionalità di Verdi. Mi sono dovuto ricredere. Se è innegabile che nei suoi romanzi storici Hugo tende ad una prolissità descrittiva a volte ai limiti del sopportabile, qui il problema non si pone: il testo teatrale, per sua natura privo di ogni qual sorta di descrizione, non solo è ottimo, coinvolgente ed asciutto, ma riesce a tirar fuori il meglio della poetica dell'Autore. Inoltre, leggendolo in francese ho potuto apprezzare con non poca sorpresa che i monologhi sono tutti scritti in rima!
Nonostante Verdi abbia anche lui dovuto sottostare al giudizio della censura, quella austriaca, apportando notevoli modifiche all'ambientazione della storia, mi ha incredibilmente stupito notare come non solo la trama, ma perfino i dialoghi del dramma originario siano spesso quasi identici alla sua versione musicata, motivo per cui, leggendo il testo teatrale, nella mia testa risentivo le arie dell'opera, la qual cosa non ha fatto che accrescere il mio piacere nella lettura.
E se in Notre Dame de Paris la parola chiave era la fatalità, qui è la maledizione ad essere al centro della tragedia; anche se, mi sorge il dubbio che in entrambi i casi Hugo ci abbia voluto in realtà dire che, possiamo chiamarla fatalità, maledizione, destino o fato avverso, ma alla fin fine siamo noi stessi, con le nostre azioni e le nostre scelte, i fautori della nostra triste sorte.
Pues... obrita corta en cinco actos donde se giran las tornas y en la que como siempre, el palo se lo llevan los más inocentes (ella en este caso).
**Alerta Spoiler!!
Sí, esta bien escrita, y sí, puede que no sea justo darle dos estrellas, pero no me gusta cuando los aprovechados se salen con la suya... Que el bufón se lo merecía, sí. Blanca, no. Y el rey y los nobles... todos unos desgraciados malnacidos.
Entretenida y ligera obra de teatro que recoge en sus páginas la trágica historia de Triboulet, un triste bufón jorobado cuyo único tesoro era el amor de su joven hija a la cual insiste en vengar por haber sido mancillado su honor.
La venganza no hizo sino incrementar su dolor fatalmente.
Una obra de teatro en la que, como bien dice el título, el rey se divierte sin pensar con quién ni a quién haga daño. Una obra con moraleja porque, por muy cerca que estés del rey, no te puedes librar de su influencia. Y no digo más, que es muy cortito y que merece la pena leerlo.
Decidí leer El rey se divierte antes de asistir a una representación de la ópera de Verdi que se basa en esta obra: Rigoletto. Nada que decir, el genio de Victor Hugo es de por sí impresionante y, en esta obra cada detalle está minuciosamente cuidado, con una apertura y cierre perfectos alrededor de un gran personaje, que causa las más diversas e intensas emociones en el lector-espectador: el bufón Triboulet.
"Vosotros me hicisteis perverso y me vengo de vosotros. Pero no es vivir mezclar la hiel en el vino con que los otros se embriagan, pasar por un genio maléfico en los festines, turbar la dicha de los que gozan, desear el mal ajeno y guardar y esconder tras burlona sonrisa un odio eterno que me envenena el corazón."
I loved this great tragedy very much, partly because Verdi's opera "Rigoletto", which is based on the plot of this play, is one of my favorite operas of all time. The play discusses various themes and points, such as immorality, love, lust, revenge, sacrifice, and the harsh nature of reality.
Une mise en scène de l'enfermement et de la destruction de soi par la vengeance. Le spectacle de la déchéance de Triboulet est d'autant plus insoutenable pour le lecteur que la victime est son propre bourreau. Hugo parvient ainsi à créer un personnage suscitant horreur et pitié dans le même temps ; son ambigüité le rend alors d'autant plus malaisé à appréhender et complexifie le jugement moral sur ses actions. Triboulet n'est pas seulement le "destructeur", il est le "décréateur", celui qui anéantit ce qu'il a lui-même créé au seul contact de sa main funeste. L'atmosphère de la pièce se fait au fil des actes de plus en plus oppressante, ce qui se traduit par une exigüité et un dénuement croissants des espaces représentés sur scène pour aboutir, au comble du désespoir, au plus grand signe du malheur : l'absence de lumière, les ténèbres du chaos. En somme, cette pièce retrace la chute d'un monstre qui s'accomplit en tant que tel, sous le regard impassible de la juste Providence.
Un po' meno fatalista rispetto ai romanzi, anche in quest'opera teatrale Hugo mette in scena un destino avverso: quello di Triboulet che, cadendo nella sua stessa trappola, è condannato a cadere sotto l'arroganza del potere. Prevaricatore, sprezzante, bugiardo, impunito, il potere è mostrato sotto la peggiore luce possibile e non stupiscono le ripetute censure che in epoca monarchica quest'opera ha dovuto subire. Uno Hugo meravigliosamente tragico e poetico, la cui lettura si accompagna perfettamente con l'ascolto dello splendido Rigoletto di Verdi.
Pièce décevante. Un roi libidineux convoite la fille de son bouffon. Ce dernier refuse de rester sans rien faire pour défendre du déshonneur la seule personne à laquelle il tient sur Terre. Ça aurait pu être beau, exaltant mais je me suis ennuyé. L'écriture est soignée, peut-être trop, ça manquait de dérapages, de tripes. Pas de passions, pas de sublimation des pulsions vengeresses, juste un vague espoir avorté.
i’m obsessed w triboulet. so terrible, so bad, so sad. read the play on google translate bc i couldn’t find an english version which was def weird but worth it. interesting stuff on being bad, on what makes us bad (class), on disability, and prob other stuff too. so sad. excited to see verdi’s opera in la now this summer.
Mi incuriosiva leggere l'opera ispiratrice del Rigoletto e devo dire che Victor Hugo non delude minimamente. Un dramma teatrale ben congegnato e altrettanto ben scritto.
Triboulet, un homme laid et bossu, est le bouffon du roi François Ier. Ce dernier est un roi jeune homme, séducteur et inconséquent. Triboulet a une fille, Blanche, qu'il cache aux yeux du monde dans une maison qu'il lui interdit de quitter. Elle fait tout de même la rencontre du roi, sans connaître son titre. Le roi la séduit, l'enlève, la viole, mais Blanche tombe tout de même éperdument amoureuse de lui. Furieux, Triboulet engage un tueur à gage, Saltabadil, pour tuer François Ier (sans que le tueur à gage ne connaisse son identité), tandis qu'il envoie Blanche loin de Paris. Satlabadil fait séduire le roi par sa soeur, mais les deux hésitent à le tuer. Saltabadil propose un pari : si quelqu'un frappe à la porte avant minuit, ce sera lui qui sera tué à la place du roi. Blanche (qui n'était en fait pas partie) entend la conversation, et décide de se sacrifier pour celui qu'il aime. Lorsque Saltabadil confie le cadavre dans un sac à Triboulet, celui-ci se rend compte qu'il ne s'agit pas du roi mais de sa fille, qui vit pourtant encore. Dans un dernier élan d'amour, il l'étouffe et elle meurt.
Ce qui est notable dans la pièce, c'est dans un premier temps le couple Triboulet/François Ier et surtout la relation Triboulet/Blanche. La relation entre Triboulet et François Ier est houleuse, même avant la séduction de Blanche. Triboulet est certainement jaloux du roi, mais déteste surtout son inconséquence, son badinage, ses vers médiocres qu'il écrit pour séduire toutes les femmes. Son projet de régicide rappelle le peuple qui tue son roi. Mais Triboulet n'a pas de grandeur, c'est un homme rabougri, aigre, et renfermé sur lui-même.
Le bonheur de Triboulet est sa fille, Blanche. Leur relation est quasi incestueuse : Triboulet enferme Blanche, la retire aux yeux du monde, pour mieux la garder pour lui. Blanche est naïve, et ne se rebelle pas contre son père, même si elle tente tout de même d'échapper à son influence. Blanche ressemble à Esmeralda en cela que les deux sont folles amoureuses d'un homme qui est simplement un séducteur qui veut leur retirer leur vertu.
Triboulet est-il un bon père ? Non. C'est un père aimant, mais bien trop aimant. Il a une obsession pour Blanche, il voit en elle son joyau, la seule chose qu'il a jamais réussie dans sa vie, et il ne la laisse jamais vivre. Dans la préface de Lucrèce Borgia, Hugo dit que Le roi s'amuse présente un Triboulet transcendé par le sentiment paternel, qui de petit le rend grand, de laid, beau. Mais ce n'est pas ce qu'on ressent dans la pièce : cet amour incestueux est certes touchant, mais ne rend pas grand Triboulet qui étouffe (littéralement dans la dernière scène) sa fille. C'est peut-être pour cela aussi que la pièce a été mal reçue, et qu'encore aujourd'hui elle n'a pas beaucoup de succès.
Les parents obsessionnels sont d'ailleurs nombreux chez Hugo : la sachette de Notre-Dame, Triboulet, Lucrèce Borgia (peut-être d'autres). Hugo a lui-même eu des relations compliquées avec ses parents, et sera très proche de ses enfants. Il faudrait creuser davantage...
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TL;DR: Rigoletto se mea en la cara de Victor Hugo pero está bien, me gustó.
Duro de cojones. Victor Hugo no falla, es lo que hay.
Los personajes son complejos y tienen muchas motivaciones a la vez. Triboulet es un instigador con los nobles y el rey porque odia a los poderosos y su moral corrupta, pero a la vez es un padre cariñoso y un hombre que solo busca algo de consuelo y amabilidad en el mundo.
Blanca tiene pocas apariciones, pero es un buen personaje. Adora a su padre pero también quiere al rey, aunque sabe que es un promiscuo. Creo que decide evitar su muerte porque sigue teniendo sentimientos de cariño hacia él y también porque es consciente de que no se va a casar con ella, así que ahora que está deshonrada genuinamente no le queda nada por lo que vivir. La muerte (y sobre todo la muerte ennoblecida por el amor) es un camino más dulce que llevar una vida de oprobio como la que ha llevado su padre. Por un momento no es una girl’s girl con Magdalena, pero después se compadece de ella y aprecia que se haya negado a matar al rey sin siquiera saber quién era.
El rey es un hijo de la gran puta pero bueno, es esperable. Es gracioso que defienda a Triboulet de los nobles cuando se ríe de estos. Un cabrón pero con sentido del humor!
Es una obra muy efectista y muy romanticona. Se nota que es de 1832, tiene esa vibra decimonónica dramática. Un poco innecesario prolongar tanto el final. Estuvo bien que apareciese el pueblo pero tenía que haber acabado con el monólogo desesperado de Triboulet, lo del médico random le quitó Pathos al final.
En resumidas cuentas, si bien Giuseppe Verdi se folla a Victor Hugo (lo siento pero esta obra no puede competir con Rigoletto), está bien. No veo que los personajes estén mucho más desarrollados que en la ópera si soy sincera, pero leer esta obra es un buen complemento si te gusta Verdi.
Je crois que c'est la première fois de ma vie que je n'aime pas un Hugo. La pièce a d'ailleurs été un flop à sa sortie vers 1832, et aussi lorsque Hugo a tenté de la faire rejouer dans les années 1880, alors qu'il était déjà une légende.
La pièce commence avec le bouffon, un bossu, qui amuse le roi en médisant contre les gentilshommes de la cours (Acte I). Insultés, les nobles décident de kidnapper Blanche, 15 ans, fille du bouffon, pour la donner à violer au roi (Acte II).
Le viol prend l'Acte III en entier. Il est traité comme un interminable gag. Dans cette pièce, le "grotesque" de Hugo, c'est le viol.
L'Acte IV, c'est Blanche qui s'excuse d'avoir été violée et d'avoir ainsi déshonoré son père qui, évidemment, est la véritable victime dans cette histoire là. *Cringe*
L'Acte V explique le plan du bouffon pour faire assassiner le roi. Blanche apprend le plan et s'arrange pour le déjouer en se faisant assassiner elle-même à la place. Parce que la vie d'un violeur vaut plus que celle de sa victime, right?
Et ça, c'est sensé être la partie "sublime" de la pièce.
Bref, ne cherchez pas l'auteur des Misérables dans cette histoire, il est absent. J'ai été soulagé d'apprendre que même le public de Hugo avait trouvé que ça valait bien une huée, alors que l'auteur était jugé intouchable.
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despite its dated themes, slow pacing (as for verdi's rigoletto) and its 19th century humor that can give modern audiences quite the ick, le roi s'amuse is a must-check for its overall historical context (and if you're looking for an insight of VH's plays in general). the plot isn't all that impressing, but the nuances can really get to you. triboulet is so easy to hate, yet the more you hate him the more pitiful he gets (lol). his decline is so tragic and humane i couldn't help but kinda grow fond of the guy. while still hating him. does that make sense? plus, love how the relationships are established in a basis of power, control, and manipulation; it's never healthy, it's provocative and immoral. very victor hugo.
i'm also crazy for how VH mocks the monarchy at every possible opportunity. if it's roasting rich people i'm all for it xd very very yummy play
Victor Hugo’s five-act play “Le Roi s’amuse” reads smoothly and interestingly in Frederick L. Slous’s blank-verse English translation, which I read in a fine-looking digitized 19thcentury edition. It’s not nearly as imposing as Hugo’s great long novels, and is mainly of interest as the source text for Verdi’s ripely tragic “Rigoletto,” but it has a high degree of melodramatic momentum and a satisfying measure of Romantic morbidity. Recommended.
No soy muy aficionada a leer obras de teatro, de hecho esta la he leido para un club de lectura y la verdad, me ha gustado bastante, con una trama interesante, esta novela corta, se lee de manera ágil y me ha resultado bastante divertida.
La trama está dividida en 5 actos, y cada uno tiene 4 o 5 escenas cada uno, todas ellas muy cortas y debo decir, que realmente El rey se divierte mucho.
That's the story of Triboulet, the jester of his majesty Francis I, king of France, written as a five-act play. And yet there is almost no amusement, as the main character "hates the king because he is king; hates the nobles because they are nobles and hates men because they don't all have a hump-back", not to mention that the play was banned after only one representation...
Court et cruel, les personnages sont plus attrayants que le récit plein d'invraisemblances. La scène du meurtre est néanmoins très réussie. Pas la pièce la plus intéressante de Victor Hugo, on comprend en la lisant pouruoi elle a mis du temps à sortir de l'oubli.
Un drama en 5 actos, nos muestra que el amor se da hasta en una persona despreciada y baja, que la venganza puede ser desviada por el amor que una persona le otorga a otra sin merecerlo.