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A comme Association #8
Le regard brûlant des étoiles
C’est encore une fois l’heure des adieux, et, alors que Jasper assiste à l’enterrement du Sphinx, il fait la rencontre de Fulgence, le directeur de l’Association. Leur première confrontation ne laisse rien présager de bon : Fulgence semble déterminé à écraser le bureau de Paris pour de mystérieuses raisons que Jasper va s’employer à découvrir. Pour cela, il lui faudra réincarner son précieux Fafnir en corbeau, suivre les conseils d’Ombe, mais surtout compter sur d’improbables alliés alors qu’il affronte vampires, démons et anciens camarades de classe.
Parviendra-t-il à sauver l’Association et à découvrir le secret de ses origines ?
Parviendra-t-il à sauver l’Association et à découvrir le secret de ses origines ?
381 pages, Paperback
First published January 1, 2012
127 people want to read
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Community Reviews
Displaying 1 - 22 of 22 reviews
Read
March 27, 2013Une magnifique saga! et une fin digne de la série! Bravo!
August 21, 2015
W.O.U.A.O.U.H. Voilà ce qui me vient à l’esprit lorsqu’il me faut parler de cette lecture. Je m’étais promis de stopper après le tome 7 afin de me concentrer sur mes examens à venir (shame on me !), et de ce fait, commencer cette lecture la tête plus légère, d’ici quelques semaines. Heeeuuu, il faut savoir que j’ai terminé le tome 7 aux alentours de minuit, et j’ai directement enchaîné avec le tome 8 que j’ai bouclé en… 3 heures. Lâcher ce livre alors que moins de 400 pages me séparaient de la vérité, c’était pas possible. Cette lecture m’a laissée bluffée, soufflée, chamboulée et bouleversée !
C’est le moment. Dans le tome 7, nous avons laissé Jasper en proie à bien des interrogations. Notre héros pense avoir compris d’où il vient. M’ouais. En tant que lecteur, nous ne sommes au courant de rien, même si j’avais de sérieuses hypothèses à ce sujet (demandez à Ophélie du blog Violette Culturelle, j’étais sur une très bonne piste depuis le tome 4 !). Au final, il faut dire ce qui est : j’ai eu beaucoup de flair (huhu).
Au début du roman, Jasper se rend à l’enterrement d’un membre de l’Association. Et après une altercation avec le big boss, il se rend – à la demande d’Ombe – dans l’appartement de cette dernière. Et c’est là que le jeune homme fait une découverte à faire froid dans le dos : dans la chambre d’Ombe, il y a… Ombe. Du moins une fille qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Mais les fantasmagories ne s’arrêtent pas là ! Fulgence, ze big boss, est bien décidé à mettre la main sur Jasper, pour une raison qui échappe à tout le monde. Ce dernier, protégé par Mademoiselle Rose et Walter, s’isole sous la protection des trolls. Et il ne sera pas seul dans cette suite : Nina, Jules et Jean-Lu l’accompagneront. C’est aussi l’occasion de retrouver nos bons vieux trolls : Arglaë et Erglug ! D’autres personnages feront leur retour dans ce dernier opus, et ça promet, croyez-moi !
Quel tome ! Quel final ! Quelle… tristesse, aussi. Cette chronique va être un peu fouillis et mal structurée, car j’ai ressenti tout plein de choses durant ma lecture, et il m’est difficile de démêler mes émotions. Comme vous vous en doutez, j’ai adoré ce roman. Déjà, il est plus gros que les précédents – m’enfin, sans vous mentir je n’ai pas du tout eu l’impression qu’il était plus dense, car je l’ai lu tout aussi vite. On doit assimiler pas mal de choses et comme si ce n’était pas suffisant, sous la couche déjà conséquente de mystères, Erik L’Homme nous met une dernière petite cerise sur le gâteau. Du coup il devient très difficile, voire impossible, de s’arrêter sans connaître le fin mot. À chaque début d’un nouveau chapitre, je me disais : “allez, Letty, celui-là, c’est le dernier et après tu vas te coucher !”. Oui, oui, sauf que chaque chapitre ou presque se terminait par un cliffhanger qui me laissait bouffie de curiosité.
J’ai lu le tome d’une traite, sans m’arrêter et presque sans reprendre mon souffle ! Les aventures de Jasper, depuis le premier opus, sont toutes dotées d’un fort potentiel de dangerosité. Mais ici, on passe un cran au-dessus. Le jeune homme s’apprête à se mesurer à quelque chose de trop vaste pour lui. Et s’il a Mademoiselle Rose, Walter, Nina et d’autres pour lui prêter main-forte, il aime toujours faire les choses en solo (ou avec Ombe). Ce côté solitaire peut déplaire (moi je ne l’ai pas toujours compris), mais ça lui réussit quand même. En fait, Jasper devient même agaçant quand il doit travailler avec d’autres personnes. J’en avais parlé dans ma chronique précédente, et j’en reparle ici, mais je n’ai pas apprécié cet aspect de sa personnalité. Heureusement ça reste le seul mauvais point que je reprocherai à ce personnage, car au-delà de tout ça, il reste unique en son genre, drôle, gauche et brillant !
On ne peut que saluer la relation qu’Erik L’Homme a su tisser entre lui et Ombe. Une relation à la fois fragile et forte, complice et frontale. J’en suis restée baba. Leurs discussions sont toujours empreintes d’émotions, d’un profond attachement et d’amour ! Beaucoup d’amour ! Si je dois retenir la beauté de l’histoire, ce sera surtout pour ces deux personnages-là, pour ce qu’ils partageaient, ce qu’ils traversaient ensemble. Encore une fois, l’hommage à Pierre Bottero est merveilleux.
C’est un ouvrage tout bonnement fabuleux. Les révélations s’enchaînent, et même quand on pense que c’est terminé, il y en a encore ! C’était magnifique de voir tous ces problèmes, tous ces questionnements se dénouer. J’en suis restée comme deux ronds de flancs tellement tout s’imbriquait à merveille. J’avais deviné quelques petites choses assez évidentes, mais ce n’était rien comparé à ce qui résultait de ses révélations. La dernière partie du livre est tellement… remarquable et conclut admirablement bien le dernier tome de la saga.
J’ai l’impression d’en avoir peu dit, au final. Mais il est difficile de démêler tous mes ressentis sans spoiler. Je pense que ce roman est une merveilleuse conclusion. Erik L’Homme a su insuffler du piquant à chacun de ses romans pour les rendre inoubliables. La tragique disparition de son compère Pierre Bottero a changé la donne, mais même seul, il est parvenu à écrire une suite qui tient la route, et pas qu’un peu. Une fin qui m’a donné envie de pleurer. J’ai tellement aimé Ombe et Jasper, j’ai adoré les suivre, assister à leurs drames, les voir se relever, continuer, tomber et s’élever toujours plus haut. Ils sont attachants comme personne, ils sont uniques en leur genre, et on pourrait même les croire vivants. Toujours.
En résumé, le tome 8 clôt une aventure délirante. On pourrait croire que A comme Association n’est fait que pour les enfants, mais la vérité, c’est que cette saga peut toucher n’importe qui. En la commençant, j’étais à des lieues de m’imaginer qu’elle renfermait une telle richesse. J’ai passé un moment merveilleux, avec des auteurs qui savent manier les mots (et les références) comme personne, dans un monde où les créatures que nous connaissons tous prennent une envergure différente. Je suis très triste de quitter Jasper et tous les autres et je remercie de tout mon coeur les auteurs pour m’avoir fait autant rêver. Ça ne m’était pas arrivé depuis longtemps.
Ma chronique : http://april-the-seven.weebly.com/jeu...
C’est le moment. Dans le tome 7, nous avons laissé Jasper en proie à bien des interrogations. Notre héros pense avoir compris d’où il vient. M’ouais. En tant que lecteur, nous ne sommes au courant de rien, même si j’avais de sérieuses hypothèses à ce sujet (demandez à Ophélie du blog Violette Culturelle, j’étais sur une très bonne piste depuis le tome 4 !). Au final, il faut dire ce qui est : j’ai eu beaucoup de flair (huhu).
Au début du roman, Jasper se rend à l’enterrement d’un membre de l’Association. Et après une altercation avec le big boss, il se rend – à la demande d’Ombe – dans l’appartement de cette dernière. Et c’est là que le jeune homme fait une découverte à faire froid dans le dos : dans la chambre d’Ombe, il y a… Ombe. Du moins une fille qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Mais les fantasmagories ne s’arrêtent pas là ! Fulgence, ze big boss, est bien décidé à mettre la main sur Jasper, pour une raison qui échappe à tout le monde. Ce dernier, protégé par Mademoiselle Rose et Walter, s’isole sous la protection des trolls. Et il ne sera pas seul dans cette suite : Nina, Jules et Jean-Lu l’accompagneront. C’est aussi l’occasion de retrouver nos bons vieux trolls : Arglaë et Erglug ! D’autres personnages feront leur retour dans ce dernier opus, et ça promet, croyez-moi !
Quel tome ! Quel final ! Quelle… tristesse, aussi. Cette chronique va être un peu fouillis et mal structurée, car j’ai ressenti tout plein de choses durant ma lecture, et il m’est difficile de démêler mes émotions. Comme vous vous en doutez, j’ai adoré ce roman. Déjà, il est plus gros que les précédents – m’enfin, sans vous mentir je n’ai pas du tout eu l’impression qu’il était plus dense, car je l’ai lu tout aussi vite. On doit assimiler pas mal de choses et comme si ce n’était pas suffisant, sous la couche déjà conséquente de mystères, Erik L’Homme nous met une dernière petite cerise sur le gâteau. Du coup il devient très difficile, voire impossible, de s’arrêter sans connaître le fin mot. À chaque début d’un nouveau chapitre, je me disais : “allez, Letty, celui-là, c’est le dernier et après tu vas te coucher !”. Oui, oui, sauf que chaque chapitre ou presque se terminait par un cliffhanger qui me laissait bouffie de curiosité.
J’ai lu le tome d’une traite, sans m’arrêter et presque sans reprendre mon souffle ! Les aventures de Jasper, depuis le premier opus, sont toutes dotées d’un fort potentiel de dangerosité. Mais ici, on passe un cran au-dessus. Le jeune homme s’apprête à se mesurer à quelque chose de trop vaste pour lui. Et s’il a Mademoiselle Rose, Walter, Nina et d’autres pour lui prêter main-forte, il aime toujours faire les choses en solo (ou avec Ombe). Ce côté solitaire peut déplaire (moi je ne l’ai pas toujours compris), mais ça lui réussit quand même. En fait, Jasper devient même agaçant quand il doit travailler avec d’autres personnes. J’en avais parlé dans ma chronique précédente, et j’en reparle ici, mais je n’ai pas apprécié cet aspect de sa personnalité. Heureusement ça reste le seul mauvais point que je reprocherai à ce personnage, car au-delà de tout ça, il reste unique en son genre, drôle, gauche et brillant !
On ne peut que saluer la relation qu’Erik L’Homme a su tisser entre lui et Ombe. Une relation à la fois fragile et forte, complice et frontale. J’en suis restée baba. Leurs discussions sont toujours empreintes d’émotions, d’un profond attachement et d’amour ! Beaucoup d’amour ! Si je dois retenir la beauté de l’histoire, ce sera surtout pour ces deux personnages-là, pour ce qu’ils partageaient, ce qu’ils traversaient ensemble. Encore une fois, l’hommage à Pierre Bottero est merveilleux.
C’est un ouvrage tout bonnement fabuleux. Les révélations s’enchaînent, et même quand on pense que c’est terminé, il y en a encore ! C’était magnifique de voir tous ces problèmes, tous ces questionnements se dénouer. J’en suis restée comme deux ronds de flancs tellement tout s’imbriquait à merveille. J’avais deviné quelques petites choses assez évidentes, mais ce n’était rien comparé à ce qui résultait de ses révélations. La dernière partie du livre est tellement… remarquable et conclut admirablement bien le dernier tome de la saga.
J’ai l’impression d’en avoir peu dit, au final. Mais il est difficile de démêler tous mes ressentis sans spoiler. Je pense que ce roman est une merveilleuse conclusion. Erik L’Homme a su insuffler du piquant à chacun de ses romans pour les rendre inoubliables. La tragique disparition de son compère Pierre Bottero a changé la donne, mais même seul, il est parvenu à écrire une suite qui tient la route, et pas qu’un peu. Une fin qui m’a donné envie de pleurer. J’ai tellement aimé Ombe et Jasper, j’ai adoré les suivre, assister à leurs drames, les voir se relever, continuer, tomber et s’élever toujours plus haut. Ils sont attachants comme personne, ils sont uniques en leur genre, et on pourrait même les croire vivants. Toujours.
En résumé, le tome 8 clôt une aventure délirante. On pourrait croire que A comme Association n’est fait que pour les enfants, mais la vérité, c’est que cette saga peut toucher n’importe qui. En la commençant, j’étais à des lieues de m’imaginer qu’elle renfermait une telle richesse. J’ai passé un moment merveilleux, avec des auteurs qui savent manier les mots (et les références) comme personne, dans un monde où les créatures que nous connaissons tous prennent une envergure différente. Je suis très triste de quitter Jasper et tous les autres et je remercie de tout mon coeur les auteurs pour m’avoir fait autant rêver. Ça ne m’était pas arrivé depuis longtemps.
Ma chronique : http://april-the-seven.weebly.com/jeu...
November 22, 2020
J'ai tellement envie de pleurer! Non pas parce que j'ai aimé ou détesté la fin de cette saga, mais parce qu'elle est finie!
June 5, 2024
https://leslecturesdecyrlight.home.bl...
A comme Association se conclut avec ce huitième et dernier tome, Le regard brûlant des étoiles. Fulgence, le chef de l’Association, est déterminé à mettre la main sur Jasper pour d’obscures raisons, mais c’est sans compter sur Walter et Mlle Rose, prêts à tout pour protéger leur stagiaire.
Ce roman offre une fin correcte, mais qui, à l’instar du reste de la saga, ne m’aura pas totalement convaincue. La plupart des éléments trouve leur explication, même si d’autres sont passés sous silence, notamment la relation entre Lucile et Nacelnik, évoquée à la fin du tome 4.
J’ai bien aimé le fait que Ralk’, le démon de Mlle Rose, occupe cette fois un rôle majeur dans l’intrigue, il m’a toujours beaucoup amusée et reste fidèle à lui-même. En revanche, d’autres personnages semblent n’être là que pour faire une dernière apparition avant la fin. Le passage sur l’Île-aux-Oiseaux m’a paru très superficiel : les stagiaires y sont envoyés pour être en sécurité, or en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il s’avère que ce n’est pas le cas et ils sont renvoyés au quartier général de l’Association… qui était l’endroit où ils se trouvaient au préalable.
De même, je n’ai pas compris pourquoi Jasper a décidé de réincarner Fafnir en corbeau. Certes, cela permet d’introduire par la suite d’autres éléments de l’intrigue, mais ce n’est pas l’enveloppe la plus discrète qui soit pour un sortilège espion, comparé à son apparence de scarabée, petite et conçue à partir de matériaux aux propriétés utiles en magie.
De manière générale, je suis un peu déçue par la façon dont se conclut cette saga. Les révélations tiennent la route, mais je m’attendais à une fin moins heureuse. Tout le monde semble trouver sa place, et je regrette que Jasper réussisse à garder pour lui le secret de sa véritable nature (qu’il aura été passablement long à admettre…)
J’espérais plutôt une confrontation avec ses proches, en particulier Walter et Mlle Rose, ou quelque chose du genre, mais au final, cette prise de conscience n’aura d’impact que sur lui-même, et guère plus de conséquences qu’elle n’en avait déjà.
En conclusion, A comme Association n’est pas une mauvaise saga, elle m’aura laissé dans l’ensemble une meilleure impression que les deux premiers tomes que je n’avais vraiment pas aimés du tout, mais comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, je pense qu’il y avait matière à puiser dans cet univers une histoire beaucoup plus dense, complexe et captivante. Sympa, donc, mais sans plus.
A comme Association se conclut avec ce huitième et dernier tome, Le regard brûlant des étoiles. Fulgence, le chef de l’Association, est déterminé à mettre la main sur Jasper pour d’obscures raisons, mais c’est sans compter sur Walter et Mlle Rose, prêts à tout pour protéger leur stagiaire.
Ce roman offre une fin correcte, mais qui, à l’instar du reste de la saga, ne m’aura pas totalement convaincue. La plupart des éléments trouve leur explication, même si d’autres sont passés sous silence, notamment la relation entre Lucile et Nacelnik, évoquée à la fin du tome 4.
J’ai bien aimé le fait que Ralk’, le démon de Mlle Rose, occupe cette fois un rôle majeur dans l’intrigue, il m’a toujours beaucoup amusée et reste fidèle à lui-même. En revanche, d’autres personnages semblent n’être là que pour faire une dernière apparition avant la fin. Le passage sur l’Île-aux-Oiseaux m’a paru très superficiel : les stagiaires y sont envoyés pour être en sécurité, or en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il s’avère que ce n’est pas le cas et ils sont renvoyés au quartier général de l’Association… qui était l’endroit où ils se trouvaient au préalable.
De même, je n’ai pas compris pourquoi Jasper a décidé de réincarner Fafnir en corbeau. Certes, cela permet d’introduire par la suite d’autres éléments de l’intrigue, mais ce n’est pas l’enveloppe la plus discrète qui soit pour un sortilège espion, comparé à son apparence de scarabée, petite et conçue à partir de matériaux aux propriétés utiles en magie.
De manière générale, je suis un peu déçue par la façon dont se conclut cette saga. Les révélations tiennent la route, mais je m’attendais à une fin moins heureuse. Tout le monde semble trouver sa place, et je regrette que Jasper réussisse à garder pour lui le secret de sa véritable nature (qu’il aura été passablement long à admettre…)
J’espérais plutôt une confrontation avec ses proches, en particulier Walter et Mlle Rose, ou quelque chose du genre, mais au final, cette prise de conscience n’aura d’impact que sur lui-même, et guère plus de conséquences qu’elle n’en avait déjà.
En conclusion, A comme Association n’est pas une mauvaise saga, elle m’aura laissé dans l’ensemble une meilleure impression que les deux premiers tomes que je n’avais vraiment pas aimés du tout, mais comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, je pense qu’il y avait matière à puiser dans cet univers une histoire beaucoup plus dense, complexe et captivante. Sympa, donc, mais sans plus.
August 21, 2018
Voilà c'est fini, j'ai fini le dernier tome de cette merveilleuse saga qui se finit par ce merveilleux tome. Un dernier tome magnifique (bien que je lui ai préféré tout de même le cinquième) plus épais que les autres (il fait en effet presque le double des autres tomes) mais qui se lit au combien aussi vite. Quel plaisir cela à été tout au long de ma lecture de voir les réponses à nos multiples question trouvé peu à peu réponses ainsi que voire certaine de mes suppositions confirmée. Je ne sais à vrai dire que dire de plus si n'est que la fin est sublime à l'image d'une sublime saga qui m'aura à la fois fait rire : (beaucoup rire en fait sans compté les nombreux sourires) mais aussi rendu triste jusqu'à parfois en avoir les larmes aux yeux. Cela faisait un moment que je n'avais pas autant apprécié une saga de fantasy comme celle-ci qui figure sans aucun doute comme l'un de mes coups de coeur de l'année 2018. je dois bien l'avouer aussi à la fin de cette lecture être un peu triste de quitter des personnages auxquels on finit par s'attacher mais je ne suis pas près d'oublier : Jasper qui a tant évolué tout au long de la saga, Ombe ou il est important de souligner une fois de plus le très bel hommage qu'Éric L'Homme fait à Pierre Bottero dans ce tome ainsi que tous les autres personnages tels que Rose, Walter, Erlug si je ne devais citer qu'eux.
Pour conclure ce huitième tome clos donc avec brio cette merveilleuse saga qui continuera je l'espère d'enchanter de nombreux lecteurs.
Pour conclure ce huitième tome clos donc avec brio cette merveilleuse saga qui continuera je l'espère d'enchanter de nombreux lecteurs.
May 2, 2021
" Il est grand temps de mettre un terme à cette pénible histoire " annonce un personnage sans aucune profondeur dans ce roman peu intéressant. Oui, Fulgence, il était grand temps et, Dieu soit loué, j'ai enfin terminé.
Exagéré-je ? Car uNE FOIS DE PLUS je ne fais plus partie du public ciblé, mais j'imagine que si l'adolescente que j'étais s'était arrêtée au tome 2, c'est qu'il y avait au moins une petite possibilité que ces romans soient... peu... appréciables...
Machin s'avère être un démon ? Machine aussi ? On apprend ça au dernier tome, avec si peu d'informations et précisions ? Pourquoi ? Même si les démons existaient dans notre pauvre monde ça ne serait pas crédible........ Vraiment, tout le long, on ne capte qu'à moitié ce qu'il se passe, et pourtant ça ne vole pas bien haut. Peut-être n'étais-je point concentrée. Peut-être suis-je passée à côté de la moitié de l'intrigue ? Ça sous entendrait que cette saga est ~complexe~ et ~riche~........ ? Une blague...
Oui... une blague... Les relations entre les personnages sont vides, trop rapides, n'ont aucune logique et encore moins sentiment ? Les lieux sont à peine décrits, pas d'atmosphère, rien ? Vraiment ? VRAIMENT ? ET LES DESCRIPTIONS DES PERSONNAGES ??? PARLONS-EN. JASPER UTILISANT LES TERMES "COURBES PARFAITES" POUR PARLER DE SA SOEUR ????????? ON A COMPRIS QUE TON CERVEAU DE PETIT MÂLE ADOLESCENT SE SITUE ENTRE TES JAMBES, PAS LA PEINE D'ÊTRE UN GROS PORC GLAUQUE JUSQU'AU DERNIER CHAPITRE............................
ERIK, VRAIMENT ?????VRAIMENT???????
allez ça dérange et ça dégage bye
Exagéré-je ? Car uNE FOIS DE PLUS je ne fais plus partie du public ciblé, mais j'imagine que si l'adolescente que j'étais s'était arrêtée au tome 2, c'est qu'il y avait au moins une petite possibilité que ces romans soient... peu... appréciables...
Machin s'avère être un démon ? Machine aussi ? On apprend ça au dernier tome, avec si peu d'informations et précisions ? Pourquoi ? Même si les démons existaient dans notre pauvre monde ça ne serait pas crédible........ Vraiment, tout le long, on ne capte qu'à moitié ce qu'il se passe, et pourtant ça ne vole pas bien haut. Peut-être n'étais-je point concentrée. Peut-être suis-je passée à côté de la moitié de l'intrigue ? Ça sous entendrait que cette saga est ~complexe~ et ~riche~........ ? Une blague...
Oui... une blague... Les relations entre les personnages sont vides, trop rapides, n'ont aucune logique et encore moins sentiment ? Les lieux sont à peine décrits, pas d'atmosphère, rien ? Vraiment ? VRAIMENT ? ET LES DESCRIPTIONS DES PERSONNAGES ??? PARLONS-EN. JASPER UTILISANT LES TERMES "COURBES PARFAITES" POUR PARLER DE SA SOEUR ????????? ON A COMPRIS QUE TON CERVEAU DE PETIT MÂLE ADOLESCENT SE SITUE ENTRE TES JAMBES, PAS LA PEINE D'ÊTRE UN GROS PORC GLAUQUE JUSQU'AU DERNIER CHAPITRE............................
ERIK, VRAIMENT ?????VRAIMENT???????
allez ça dérange et ça dégage bye
December 27, 2020
J'ai été un peu déçue par la fin qui manquait un peu de panache à mon goût. Cependant elle reprenait bien les tous les éléments et ne nous laisse pas dans l'incompréhension.
J'ai trouvé également que parfois, l'écriture d'Eric L'Homme était un peu lourde. Dans le sens il en faisait trop. En exemple, les "je t'aime ma soeur/mon frère"...
Et puis je ne sais pas, peut-être que je n'étais pas dans la bonne ambiance mais ce dernier tome m'a paru moins percutant que les autres, alors qu'il est censé être l'apothéose de l'action et de l'intrigue.
Cependant, je trouve les personnages attachants, tous. Chacun avec leurs forces et leur faiblesses, leur part d'ombre et de lumière. De plus, il y a beaucoup d'humour dans cette saga ce qui la rend très agréable à lire :)
Ah je viens de trouver ce qui manquait à cette fin selon moi ! Un retournement de situation ! Qui nous aurait pris de court et déstabilisés !
J'ai trouvé également que parfois, l'écriture d'Eric L'Homme était un peu lourde. Dans le sens il en faisait trop. En exemple, les "je t'aime ma soeur/mon frère"...
Et puis je ne sais pas, peut-être que je n'étais pas dans la bonne ambiance mais ce dernier tome m'a paru moins percutant que les autres, alors qu'il est censé être l'apothéose de l'action et de l'intrigue.
Cependant, je trouve les personnages attachants, tous. Chacun avec leurs forces et leur faiblesses, leur part d'ombre et de lumière. De plus, il y a beaucoup d'humour dans cette saga ce qui la rend très agréable à lire :)
Ah je viens de trouver ce qui manquait à cette fin selon moi ! Un retournement de situation ! Qui nous aurait pris de court et déstabilisés !
July 12, 2021
A la fois chamboulée et transportée par ce dernier tome, je quitte à regret Jasper et les autres membres de l'Association ainsi que tous les personnages secondaires absolument géniaux que l'on croise dans cette aventure rocambolesque et hilarante par moments, notamment les trolls que j'ai trouvé terriblement attachants.
Un tome où l'on obtient enfin la réponse sur la véritable nature de Jasper, un lien surprenant avec Ombe et le pourquoi du comment est révélé et ma fois l'idée est plutôt très bonne. Une petite larmichette et pas mal d'éclats de rire encore, plus quelques saccades du palpitant aux moments d'actions décisives.
Une saga haute en couleurs qui met à l'honneur nombre de créatures fantastiques et avec des personnages que l'on prend plaisir à voir évoluer et à découvrir au fil des tomes. Un final très réussi pour une saga que je relirai avec grand plaisir.
Un tome où l'on obtient enfin la réponse sur la véritable nature de Jasper, un lien surprenant avec Ombe et le pourquoi du comment est révélé et ma fois l'idée est plutôt très bonne. Une petite larmichette et pas mal d'éclats de rire encore, plus quelques saccades du palpitant aux moments d'actions décisives.
Une saga haute en couleurs qui met à l'honneur nombre de créatures fantastiques et avec des personnages que l'on prend plaisir à voir évoluer et à découvrir au fil des tomes. Un final très réussi pour une saga que je relirai avec grand plaisir.
October 6, 2025
Dernier tome de cette saga d'enfance qui, pour être honnête, ne m'a pas grandement intéressé. Les pages se lisent très vite, ce qui est un bon point, mais j'ai trouvé que les relations entre les personnages allaient trop vite.
J'avais beaucoup de mal à avoir de l'empathie pour Jasper, qui passait très souvent d'une ligne à l'autre d'un ado paumé à un connard insensible. Sa relation avec Ombe était aussi... particulière, sans spoiler quoi que ce soit.
Globalement j'ai apprécié ma lecture mais elle m'a laissé un goût de trop peu.
J'avais beaucoup de mal à avoir de l'empathie pour Jasper, qui passait très souvent d'une ligne à l'autre d'un ado paumé à un connard insensible. Sa relation avec Ombe était aussi... particulière, sans spoiler quoi que ce soit.
Globalement j'ai apprécié ma lecture mais elle m'a laissé un goût de trop peu.
January 10, 2023
Une épique conclusion à cette série magnifique. Livre à la poésie enivrante, impossible à lâcher, tout comme les précédents, et qui apporte les réponses à toutes les questions qui me tenaient éveillé. Ces réponses d'ailleurs me poussent à relire toute la série à leur lumière.. ce qui est toujours excellent !
Merci pour ces heures de délices aux côtés d'Ombe et Jasper.
Merci pour ces heures de délices aux côtés d'Ombe et Jasper.
September 3, 2017
Une fin magique, une conclusion inattendue et très adaptée cette saga extraordinaire. Ce livre a été écrit d'une main de maître et l'histoire a été menée d'une façon remarquable.
Je quitte cette univers le sourire aux lèvres.
Je quitte cette univers le sourire aux lèvres.
November 28, 2020
J'ai adoré ce dernier tome ! Pour le coup, l'auteur a pris le temps de nous exposer ce dénouement sans qu'on ait l'impression de prendre l'autoroute malgré les nombreuses actions dans le livre. Une très belle fin, je suis contente d'avoir enfin lu et terminé cette saga :)
June 26, 2015
C’est le dernier tome de la série du coup il est quasiment deux fois plus long et la couverture est joliment piquetée d’étoiles. Comme prévu, on dénoue les fils de l’intrigue, on conclue l’histoire. Sauf que j’avais déjà dénoué une partie des fils de l’intrigue. Ça fait au moins 2 tomes que j’attendais qu’on nous dise untel et untel sont ceci, donc j’ai trouvé l’attente des révélations un peu longue, je l’avais déjà dit au tome précédent, d’ailleurs. Dans ce tome en particulier, j’ai très vite remarqué un détail dont Jasper au mis du temps à se rendre compte, mais ça, c’est le genre de choses dont on peut s’apercevoir sans faire paraître les révélations longues à arriver. À ceux qui ne l’avaient pas vu : …
Et pour revenir aux révélations de façon plus générale, bien évidemment, il y a un peu plus de choses qu’on imaginait, au sujet de bien des personnages, que ce soit Ombe et Jasper, quelques personnages qui étaient déjà douteux, mais aussi d’autres, plus inattendus. Et un point m’a rappelé Phaenomen de l’auteur, même si les situations sont totalement différentes. J’ai également apprécié l’absence de noir et blanc de la fin – en même temps, on est dedans depuis le tout début et même Jasper paraît un peu confus, ce qui le rend bien humain.
En tous cas, il est égal à lui-même, toujours avec ses jeux de mots douteux mais qui me font quand même beaucoup sourire. Avec lui, on retrouve le fameux démon du miroir dont on ne savait pas quoi faire (ben non, il est pas là pour faire beau… belle… miroir dis-moi qui est la plus belle !), ainsi que les trolls, qui sont toujours aussi cocasses. Le traitement de son histoire avec BiduleChouette (Julie, Laura, Lena ? Bernadette ? Je ne me souviens plus du tout) ne m’a pas plus intéressée que ça, elle est un peu développée, mais ce n’est pas de celles qui nous passionnent plus que ça, ce n’est pas l’intérêt du livre. L’histoire qui nous intéresse le plus, c’est celle avec Ombe. Elle est douloureuse, leurs chamailleries sont touchantes et on ne peut pas s’empêcher d’avoir un pincement au cœur à la fin, quand même.
Somme toute, c’est un bon tome pour terminer la série et je ne vais pas en rajouter pour éviter de vous raconter le dénouement !
Et pour revenir aux révélations de façon plus générale, bien évidemment, il y a un peu plus de choses qu’on imaginait, au sujet de bien des personnages, que ce soit Ombe et Jasper, quelques personnages qui étaient déjà douteux, mais aussi d’autres, plus inattendus. Et un point m’a rappelé Phaenomen de l’auteur, même si les situations sont totalement différentes. J’ai également apprécié l’absence de noir et blanc de la fin – en même temps, on est dedans depuis le tout début et même Jasper paraît un peu confus, ce qui le rend bien humain.
En tous cas, il est égal à lui-même, toujours avec ses jeux de mots douteux mais qui me font quand même beaucoup sourire. Avec lui, on retrouve le fameux démon du miroir dont on ne savait pas quoi faire (ben non, il est pas là pour faire beau… belle… miroir dis-moi qui est la plus belle !), ainsi que les trolls, qui sont toujours aussi cocasses. Le traitement de son histoire avec BiduleChouette (Julie, Laura, Lena ? Bernadette ? Je ne me souviens plus du tout) ne m’a pas plus intéressée que ça, elle est un peu développée, mais ce n’est pas de celles qui nous passionnent plus que ça, ce n’est pas l’intérêt du livre. L’histoire qui nous intéresse le plus, c’est celle avec Ombe. Elle est douloureuse, leurs chamailleries sont touchantes et on ne peut pas s’empêcher d’avoir un pincement au cœur à la fin, quand même.
Somme toute, c’est un bon tome pour terminer la série et je ne vais pas en rajouter pour éviter de vous raconter le dénouement !
June 25, 2015
J'ai beaucoup aimé ce livre! J'ai commencé cette série il y a assez longtemps et maintenant je la termine enfin! Je ne m'attendais pas à cette fin mais je dois dire que je n'avais aucune idée de comment cette série allait s'achever!
J'ai découvert cette série parce que je cherchais des livres de Pierre Bottero dont je voulais lire plus. Vers la même époque j'ai acheté un livre d'Erik L'Homme, alors voir ces deux écrivains travailler ensemble m'a certainement donné encore plus envie de lire cette série!
J'ai beaucoup aimé le développement des personnages vers la fin e la série, ils ont grandit et les choses leur apparaisse comme elles sont. Les livre de cette série sont très facile à lire et très intéressant!
J'ai découvert cette série parce que je cherchais des livres de Pierre Bottero dont je voulais lire plus. Vers la même époque j'ai acheté un livre d'Erik L'Homme, alors voir ces deux écrivains travailler ensemble m'a certainement donné encore plus envie de lire cette série!
J'ai beaucoup aimé le développement des personnages vers la fin e la série, ils ont grandit et les choses leur apparaisse comme elles sont. Les livre de cette série sont très facile à lire et très intéressant!
August 29, 2016
"En résumé, ces trois derniers tomes ont confirmé mon amour pour cette saga, que je me ferai un plaisir de relire dès que possible, rien que pour retrouver Jasper avec son humour et ses jeux de mots qui font glousser, Ombe et son caractère tout feu, tout flammes et évidemment, tout l'univers crée autour de l'association, combiné à deux plumes merveilleuses, dont une qui nous a malheureusement quittés trop tôt. Je terminerai cette chronique avec ces simples mots, mais qui veulent tellement : « La vie mérite d'être vécue. Toujours. »"
Chronique complète: http://lireunepassion.blogspot.fr/201...
Chronique complète: http://lireunepassion.blogspot.fr/201...
March 5, 2013
Quelle jolie fin ! J'ai attendu longtemps avant de m'y mettre, ce n'est jamais évident de terminer une série que l'on aime d'amour. Et puis voilà, dernière page tournée, le coeur un peu serré. Au revoir Ombe, au revoir Jasper.
March 29, 2013
un dernier tome encore très agréable à lire même si je trouve que tout se passe trop vite ...
quelques petits oublis par rapport aux tomes précédents m'ont fait "tiquer" sur certaines choses.
Quand même une belle fin pour cette saga :)
quelques petits oublis par rapport aux tomes précédents m'ont fait "tiquer" sur certaines choses.
Quand même une belle fin pour cette saga :)
October 29, 2012
nous avons enfin les réponses à toutes nos questions, avec de l'action et de l'émotion, et un Jasper trop badass lol.
Une jolie fin à la série...
Une jolie fin à la série...
May 27, 2013
Un dernier tour de piste remarquable, touchant et passionnant. A l'image de la série, qui a été magistrale du début à la fin.
April 19, 2017
Est-ce que nos vies ont leur reflet là-haut, dans cette pâle lumière qui effraye tant les ténèbres ? je murmure pour moi seul, en essayant de me tenir droit sous le regard brûlant des étoiles.
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