En se penchant un peu en arrière, il voyait, derrière le dos de Solange, la jeune femme qui était assise à côté d'elle ; adossée dans son fauteuil, elle écoutait, bouche entrouverte et les yeux clos. Elle n'était pas jolie, mais Costals la désirait : 1° parce qu'il trouvait convenable que, dans la même minute où il caressait pour la première fois une jeune personne, il en désirât une autre; 2° parce que, donnant l'apparence du sommeil, il était impossible qu'elle ne levât pas en lui la pensée d'abuser de ce sommeil; 3° parce qu'il lui semblait que, pour éprouver une telle extase d'un phénomène aussi insipide que cette musique, il fallait qu'elle fût détraquée ; or, il n'aimait que les filles saines et simples, comme Solange, c'est pourquoi cela lui était agréable d'avoir envie d'une femme détraquée.
Henry de Montherlant (1895-1972) fut romancier, dramaturge, essayiste et poète. Il était membre de l’Académie française et peut être considéré comme un des plus grands écrivains du XXe siècle, à l’égal d’un Proust ou d’un Céline.
Livre lu dans le cadre d'un cours sur le roman d'amour par lettres. Ce roman épistolaire est le premier tome de la tétralogie du même nom.
Si je dois être tout à fait honnête, je dois avouer que le bouquin ne me bottait pas des masses au premier abord, et pourtant... je l'ai adoré. Je l'ai lu quasiment d'une traite, et j'en suis ressortie assez perturbée et pleine de questions.
Au delà du fond, sur lequel je reviendrai, sa première originalité est sa forme, puisque même si principalement sous forme de lettres, il contient également des passages linéaires, ce qui permet de nous ancrer plus profondément dans l'histoire en brisant la discontinuité forcée de l'épistolaire.
Oui, je sais, vous vous en foutez comme de votre premier dentifrice, mais ma prof de littérature comparée, elle, serait fière de moi.
Outre ce détail que vous avez probablement déjà oublié, et comme dit plus haut, ce qui m'a vraiment plu dans Les Jeunes Filles c'est que j'en suis ressortie pleine de questions, sur moi, mes amours, et les relations amoureuses en général.
A plusieurs reprises, pendant ma lecture, je me suis identifiée au personnage principal, Costals, pourtant loin d'être élégant. Je l'ai compris, souvent, même si je n'ai parfois vu en lui qu'un goujat vaniteux. Je me suis un peu moins retrouvée chez les femmes qui l'entourent, peut-être parce qu'à aucun moment elles ne sont dépeintes avec grâce. Quand l'une n'est que sublime, l'autre semble aussi vilaine qu'intelligente. Elles sont humaines et fragiles, et je n'ai pas voulu les accompagner sur ce chemin.
Si tu lis cette phrase, c'est que je ne t'ai pas encore trop ennuyé, tu auras donc le droit à un bonbon. Reprenons.
Ce qui plait - ou déplait - dans ce roman de Montherlant, c'est que l'auteur fait un récit honnête, qui ne tombe pas toutefois dans une quelconque extravagance, si ce n'est un poil de misogynie. On y parle de sentiments, et pourtant il n'a rien de niais.
Je vous le conseille vivement, si vous n'êtes pas rebutés par une littérature quelque peu classique, et par des propos qui le sont un peu moins.
هيييح ، أولًا أنهيته بدافع الغيظ و ليس التشوق و الإعجاب ..
كما أنها لا تُعد رواية ، فكان يقطع الكلام و الحوار ليعرض تأملاته و أفكاره .. و كان السؤال الذى يتكرر فى عقلى : لماذا بنات حواء بهذا الغباء -___- ؟!
و أقول لـ نفسى هذا الكاتب يبالغ ، لكنه للأسف على حق فالنماذج موجودة بكثرة النساء يتشابهن فى كل العالم .. و لكن كـ عمل أدبى ، رائع و أعجبنى بـ شدة حديثه عن طريقة فهم المرأة للسعادة و طريقة فهم الرجل لها و أعجبنى كيف يفهم تفكير النساء :3 و بالطبع سأبحث عن باقى السلسة لأقرأها :3
و أنا أكره الرجال أمثال هذا الكاتب الذى يرى أن : " المرأة خُلقت للرجل ، و الرجل خُلق للحياة " و ما أهلكنى ضحكًا الجملة التى سمعتها فى السنافر عندما كان يصف نفسه :3
و أردت أن أقولها بشدة : " يمكننى أن أذكر لك عديد من الصفات الأخرى ، لكننى أنسة محترمة :3 "
لا عجب أنه مات منتحرًا بعد أن سخرت منه فتاة شابة =D
أعتقد بأنه يجب عليّ أن أكمل السلسلة كي أفهم مونترلان أكثر.. لقد أغضبني عندما قال "خلقت المرأة للرجل، وخلق الرجل للحياة" لأن المرأة هي الحياة بذاتها أعجبني أسلوبه الأدبي أقتبس منه: -التقوى يجب أن تكون صامتة.ألم يكن صمت موسى أمام الله أعظم صيحة من صيحات الصلاة.؟!. -الأهل يفتخرون بإنجاب الولد ويتغنون به كلما سنحت الفرصة، وعندما يأتي دور تربيته بشيء من الذكاء يتقاعسون تاركين له الحبل على الغارب. -ماحيلتنا بالناس ماداموا ينجبون أولاداً ثم لايعرفون مايفعلون بهم؟ -إنّ الولادة تستأثر بكل مالديهم من العناية والوجدان والجد ، أما التربية فتجري بخفة واستهتار وغباء مطبق. -إنّ الحب الأشد احتداماً والأوطد ولاء هو الأقدر على الزهد وعلى التضحية. -أصعب مافي الإحسان أن المرء مكره على الاستمرار فيه. ليس في الحياة سوى عذاب واحد حقيقي هو عزلة القلب.
Διαβάζοντας το κείμενο του οπισθοφύλλου του βιβλίου Τα κορίτσια (εκδόσεις Ίνδικτος, 2006) του Ανρί ντε Μοντερλάν με έκανε να το αποκτήσω αμέσως. Πώς θα σας φαινόταν η ύπαρξη ενός δημοφιλούς συγγραφέα της δεκαετίας του ΄20 που ακριβώς εξαιτίας της δημοφιλίας του πλημμυρίζεται από γράμματα φανατικών θαυμαστριών που θέλουν να επικοινωνήσουν μαζί του; Είναι τα κορίτσια και αυτός είναι ο Κοστάλς που τον χαρακτηρίζει η αδιαφορία.
Μία εκ των κοριτσιών η Αντρέα Χακεμπό είναι αυτή που τον κατακλύζει με γράμματα στα οποία του εκφράζει πολύ συχνά τη μοναξιά της, τον έρωτά της και επιμένει με πολλά περισσότερα γράμματα όταν βλέπει πως δεν υπάρχει απάντηση από αυτόν. Μέχρι που ο Κοστάλς θα αποφασίσει να της απαντήσει.
«Μόνο ένα πράγμα με στηρίζει: η ύπαρξή σας. Μόνο εσείς μου δίνετε την ισορροπία που χρειάζομαι ως γυναίκα».
Ça va être un peu long mais je me dois d’exprimer toute l’amertume que j’éprouve face à ce roman : je n’y ai rencontré que des propos qui se croient inhérents à une quelconque vérité universelle sur les femmes. Le titre est trompeur : on en apprend beaucoup moins sur lesdites “jeunes filles” que sur un certain type de masculinité qui ne sait s’exprimer qu’en haïssant son contraire, une “féminité” qui n’en est pas une, qui n’est qu’un reflet inversé de la personnalité masculine la plus cruelle et vaniteuse. C’est bien là que l’auteur commet une erreur grossière : cette opposition inégale entre le protagoniste d’une part, Costals, espèce de Don Juan qui vit en toute autonomie et obtient tout ce qu’il veut dans le plus grand désintéressement, et ces “jeunes filles” d’autre part, qui ne peuvent obtenir de bonheur qu’à travers l’homme qu’elles désirent désespérément. D’accord, Montherlant a été conditionné par le contexte fortement patriarcal de son époque. Toujours est-il que tous les propos terrifiants - qui font de ce livre un “classique” - sont le fruit d’une décontextualisation des phénomènes sexistes, qui sont dès lors placés sur le plan de l’absolu, de l’inchangeable. Le seul bien que fait ce livre est d’assumer que les comportements qu’il soutient sont immoraux parce que déséquilibrés. Il continue toutefois de ne pas les prescrire, au travers du plus pûr égoïsme de l’oppresseur qui sert son intérêt. On se posera enfin des questions sur la nature d’un tel livre : défouloir de haine ? Manuel de cruauté envers les femmes ? Fiction réductrice, utopique pour les uns et dystopique pour les autres (“autres” serait surtout au féminin) ? Je n’ai qu’une seule réponse, qui englobe toutes les autres : infamie.
ياه ، ما أجمل هذه الرواية ههههههه .. لأني ( نسوية ) فقد لعنت من الصفحة الأولى هذا التبجح الذكوري الغبي ، ولكن حقاً بعد ذلك اصطادتني الصفحات حتى آخر كلمة .. يالهذا الجنون الذي قرأت ! ، لم أضحك كثيراً على كتاب كما ضحكت على هذا ، ولم ألعن أبطال رواية كما لعنت أبطالها ، وبالأخص ( أندريه ).
إن هذه النماذج موجودة حقاً بيننا ، إني أرغب في إطالة النظر إليها لشدة ما تضحكني / تقززني ، لأن (لا رحمة لمن لا كرامة له ) !
Ma première lecture a bien déjà vingt-cinq ans. Toujours, l'exergue de l'Arétin, « Tout le temps qui n'est pas consacré à l'amour est perdu » ; le flottement, tout du long, entre Costals et Andrée, me retrouvant alternativement dans l'un puis dans l'autre, et qui est bien la preuve qu'ici homme et femme ne sont pas tant des sexes que des types psychologiques, et que la critique de misogynie à l'encontre de Montherlant est absurde ; Andrée est tout de même bien foldingue ; Thérèse est à cet égard un modèle de compétition, avec une belle scène d'hystérie mystique dans sa dernière lettre.
À l'occasion aussi, la dimension jovienne de Costals, et qui prend, aujourd'hui que Jupiter est à nouveau remis au goût politique du jour, une valeur d'illustration : Jupiter est celui qui rapte, qui ravit, puis qui se lasse et abandonne, sûr de sa force et son droit sur les êtres.
Dieu merci, c’est fini. Le début était absolument les géni-al ; les lettres qui précèdent la première narration sont passionnantes. Mais elles représentent 50 pages... C’était un réel combat pour finir ma lecture tellement tout traîne infiniment en longueur !
Les 50 premières pages sont ok (et encore, j’étais bien énervée par certains propos sexistes même si je sais que ce roman a été écrit en 36) puis après j’ai pas pu m’empêcher de sauter des passages tellement je me suis ennuyée. Une étoile pour le sexisme, l’ennui et le fait que ce soit un pote de Matzneff.
j'aurais mis 3.5 si la misogynie avait été modérée et rattachée au personnage, et non pas l'expression du sexisme profond de l'auteur. Comme d'habitude, les auteurs les plus talentueux ne peuvent écrire les femmes qu'en tant qu'extension de l'homme (euphémisme, je sais). Visiblement, il ne leur trouve de la profondeur que dans cette caractérisation objectifiante.
Ho comprato questo libro per curiosità, interessato dal modo di scrivere "misogino" dell'autore,caratteristica che però non riesco a vedere nel protagonista Pierre Costals, un romanziere si libertino, ma con una sua morale e logica tanto chiara quanto complessa che però non credo sfoci nella misoginia.
Ho decisamente apprezzato la caratterizzazione del personaggio, annoiato distaccato e disilluso, in cerca di uno svago intellettuale e ovviamente sessuale che però contrasta con la dolcezza paterna con cui tratta il figlio il quale però è visto come uno svago, relegato nelle ore di compagnia. O anche il contrasto tra i rapporti epistolari con le ammiratrici, in cui vediamo un Costals freddo e in alcuni punti ai limiti della scortesia, con il suo rapporto con la cocotte con cui si intrattiene. E' inoltre da porre un'ulteriore nota alla contestualizzazione, è un libro della prima metà del '900 in cui traspare una società con una maturità sessuale che mi ha sorpreso per via delle dichiarazioni di una delle ammiratrici, e di un capitolo in cui troviamo articoli di una rivista di annunci matrimoniali, peraltro, interessanti anche le differenze tra gli "iscritti" maschili e femminili.
Fetele Henry de Montherlant (RAO, 2000) 26 IX 1926 – 1 iunie 1927 / Paris
Citate:
“Izolarea de lume nu li se potriveste decat firilor stranii si puternice, si chiar si lor – numai cu conditia sa fie relativa si nu permanenta. Ceilalti o platesc scump. Nu te inchizi la tine in camera fara consecinte neplacute. Nu traisti in izolare fara consecinte neplacute. Nu-ti trimiti la plimbare semenii fara conseinte neplacute. Si e bine sa fie asa, deoarece izolarea de lume – cand nu e dictata de inalte ratiuni intelectuale sau spirituale – n-are cel mai adesea drept cauza decat lenea, egoismul, neputinta, pe scurt “teama aceea de-a trai”, despre care nu s-a spus inca indeajuns cat de mult ocupa printre relele ce deznadajduiesc omenirea.” 20 “Stiu ca e o imprudenta: totdeauna o fapta buna pe care i-o faci unei femei e o imprudenta.” 26 “Nu cred ca m-as necaji daca te-as pierde: m-ar amuza sa am un gol de umplut. Si totusi as fi multumit sate pastrez.” 26 “Si-mi e penibil sa cred ca o fata ca dumneata ar putea ramane toata viata straina de geniul Angliei.” (scris de un francez) “Sa fii iubit mai mult decat iubesti e unul din calvarurile vietii. Deoarece asta de sileste fie sa te prefaci ca impartasesti un sentiment pe care de fapt nu-l ai, fie sa-l faci pe celalalt sa sufere prin raceala si respingerea ta. (...) concluzie: niciodata n-ar trebui sa-i spunem cuiva ca-l iubim fara a-i cere iertare.” 37 “Persoana care ma admira (ca scriitor) risca sa-mi ia libertatea. Mi-e teama pana si de cei care ma inteleg, de aceea imi petrec timpul incurcand pistele: cele ale vietii mele private, dar si ale personalitatii pe care-o exprim prin cartile mele.” 38 “Cunosc bine dragostea; e un sentiment pentru care nu am nicio stima. De altfel, in natura nici nu exista; e o inventie a femeilor. De s-ar pune un premiu pe capul meu, m-as simti mai in siguranta in tufisuri, ca o salbaticiune haituita, decat adapostit in casa unei femei care ma iubeste. Exista in sa si afectiunea amestecata cu dorinta, mare lucru. In fiecare din cartile pe care le-am publicat vei gasi, sub o forma sau alta, afirmatia asta: Dar niciodata nu-i vorba de dragoste. Ci de un compus de afectiune si dorinta, care nu-i dragoste. Dar Ei bine, nu-i dragoste. N-am chef. Femeile nu inteleg nimic din toate astea.” 39 “Umilinta unui barbat lucid, care nu se stie atat de frumos, nici atat de meritos si gaseste ca e ceva ridicol in faptul ca pana si cele mai marunte gesturi ale sale, cuvinte, taceri etc., provoaca fericire sau nefericire. Ce putere nedreapta i se atribuie!” 40 “... catelusul e pentru femei un surogat de copil.” 51 “Un om lipsit de copilarii e o fiara.” 72 “Dumneata esti absurda, biata mea copila, ca-mi dai puterea sa-ti fac rau. Stii cu as vrea eu sa fii? Sa-ti spun toate rautatile din lume, sa te jignesc groaznic, fara ca lucrul asta sa te doara catusi de putin.” 72 “Frigul e o boala a planetei.” 76 “Sau precum tinerii kabili. Un kabil mi-a povestit ca, la el in sat, cand baietii ajungeau la cincisprezece ani si nu se insurasera, erau trimisi de parintii lor la Alger, ca sa nu le mai tulbure pe tinerele fete din sat. Iar atunci cand se intorceau pentru cateva zile acasa (cu prilejul vreunei inmormantari, nunti ori sarbatoarea Aid-ului), trebuia, in timp ce mergeau de colo-colo, sa rosteasca cu glas tare , pentru ca fetele, auzindu-i, sa se ascunda. Intr-atat un baiat era pentru ele o ispita. Pe viitor, si eu am sa strig , pentru ca fetele s-o rupa la fuga. Ori, mai curand, am sa tiu in mana o haraitoare, ca leprosii...” 78 “Scrie-mi orice, numai scrie-mi. Fie si un plic gol, asa cum maresalul de Luxembourg ii cerea lui Rousseau, ca sa stiu ca traiesti.” 99 “Ceea ce izbeste cel mai mult in conceptia pe care omul – barbatul – si-o face despre fericire e ca aceasta conceptie nu exista. Alain a scris o carte intitulata: . Numai ca nicaeri in ea nu-i vorba despre fericire. Lucru intru totul semnificativ. Cei mai multi dintre barbati nu au nicio conceptie despre fericire. (...) Dar se intampla si ca barbatul sa aiba o conceptie pozitiva asupra fericirii. Atunci fericirea inseamna pentru el satisfacerea vanitatii.” 104-105 “Ah! Nu o femeie va intreba, precum tanarul de adineauri: Femeia n-are nevoie de explicatii. A trai, pentru ea, iseamna a simti.” 106 “O femeie iti va spune ca e fericita, tot asa cum cum iti va spune ca ii e cald sau ca ii e frig. ” 106 “Singura soarta fericita pentru o femeie e o casatorie fericita. (...) Baiatul stie ca viitorul va fi ceea ce va voi el; fata stie ca viitorul ei va fi ceea ce un barbat va voi.” 107 “... dupa parerea lui (a barbatului), femeie nu poate fi fericita fara sa fie si proasta.” 109 “ Ce-i cumplit e ca femeia ar visa – naiva si neputincioasa – sa poata face pentru un barbat ceea ce barbatu poate pentru ea. Femeile se marita deoarece e singura cheie ce le poate da fericirea, in timp ce barbatii se insoara pentru ca Pierre si Paul fac la fel; se insoara din obisnuita, de nu cumva din zapaceala.” 110 “... se vorbeste curent de animatoare, in timp ce mult mai mult ar trebui sa se vorbeasca de animatori.” 111 “Nu numai ca nu merge in acelasi ritm, iar cererea si oferta nu concorda intre ele. Barbatul nu poate avea altceva fata de femeie decat dorinta, care o ucide pe femeie; femeia nu poate avea altceva fata de barbat decat duiosie, careia barbatul nu-i poate face fata; din fericire exista copilul care, atat vreme cat are nevoie de ea, absoarbe surplusul.” 111 “Natura m-a facut barbat, adica o specie fara dragoste.” 111 “Sa ne intre bine in cap ca eternite este anagrama lui etreinte (imbratisare).” 173 “ (...) e greu sa nu apreciezi modestia autentica. Sentimentul lui era asadar in parte bun, in parte rau. Ca trei sferturi din sentimenele noastre. Ceea ce nu-i pe gustul societatii, care vrea genuri bine determinate, ca sa ne recunoastem in ele. Dar e, in schimb, pe placul naturii, care nu indrageste nimic mai mult decat confuzia.” 177 “Antichitatea si Evul Mediu au fost detinatoarele unui spiritualism pe care nicio religie si nicio filosofie nu s-au priceput sa le continue, nici sa le transforme.” 180
Caracterizare: Costals: “... intr-atat de lipsit de tact...” 65 “Esti barbatul cel mai corect...” 70 “Si totusi esti fiinta cea mai loiala, cea mai nobila din cate exista.” 70 “Ce nesuferit esti!” 71 “... un barbat de-o loialitate desavarsita...” 71 “... un prieten minunat...” 71 “... prea gentil...” 71 “Exasperant mai poti fi!” 72 “... geniu bun si patern...” 73 “... esti bun...” 76 “cat esti de rautacios!” 76 “De ce-oi fi tu asa misto?” 142
Bom romance, não incrível, sobre um escritor vagamente canalha lidando com três ou quatro mulheres apaixonadas por ele. É um romance sobre a friend-zone -- um homem que friend-zona uma mulher. Tem bons momentos, boa percepção psicológica, vá, mas a trama depende de você acreditar que alguém supostamente tão experiente com mulheres cometeria a gaucherie de ficar saindo, mais de uma vez, contra a vontade, meio que por vergonha de dizer não, com uma mulher na qual ele não tem o menor interesse, nem sequer físico. Enfim. É o primeiro de quatro romances, mas não tenho certeza que vá ler os outros.
de la difficulté de composer une relation lorsque sa moitié est dépendante, en a une obligation sociale et une sociabilisation qui la rend toute vulnérable. description provocante qui ne résume pas bien toute la difficulté de ce roman, entre un homme résolu à vivre à son avantage mais avec ses élans de conscience. très perceptif aussi au-delà de tout essentialisme de genre sur des relations de pouvoir entre tempéraments différents.
Di Montherlant vorrei leggere qualcos'altro (ma è praticamente introvabile) prima di emettere giudizi. Questo suo mi è piaciuto abbastanza, e dimostra un certo coraggio alla Laclos nell'autocompiacimento del cinico personaggio maschile.
Ενώ σου βγάζει την αίσθηση ότι διαβάζεις κάτι ωραίο τελικά είναι μια κοινοτοπία με έναν πρωταγωνιστή που είναι αντιπαθητικός και μεγαλομανής και δύο γυναίκες που είναι υστερικές και απελπισμένες. Ο έρωτας δεν νομίζω να είναι μια τέτοια παρωδία.