On her own at 18, Miss Liberté will not be satisfied with a small bit of happiness. Her love must be perfect. Enter Horace, the headmaster of a college, married to a professional woman, his dreams farther and farther out of reach.
Alexandre Jardin, né le 14 avril 1965 à Neuilly-sur-Seine, est un écrivain et un cinéaste français.
Il est le fils de Pascal Jardin, écrivain et scénariste et le petit-fils de Jean Jardin (1904-1976), homme politique, éminence grise de Pierre Laval. Il a 2 frères et une demi sœur. Il se marie à l'âge de 23 ans et a cinq enfants.
Il écrit à 20 ans son premier roman, intitulé Bille en tête (1985) (prix du 1er Roman en 1986). Il obtient en 1986 son diplôme de Sciences po. Il est réalisateur de plusieurs films dont Bille en tête ou Fanfan, mais a aussi été, à l'époque chroniqueur au Figaro.
En 1988 il reçoit le prix Fémina pour son livre : Le Zèbre. Ouvrage qui sera adapté au cinéma par Jean Poiret en 1992 (avec Thierry Lhermitte dans le rôle principal).
Il a été chroniqueur littéraire pour Canal+ dans l'émission Nulle part ailleurs (avec Philippe Gildas et Antoine de Caunes).
En tant qu'écrivain, ses principaux thèmes sont l'amour à la Feydeau et la pédagogie. Il aborde la peur de la monotonie et le regain de la première flamme amoureuse. Une particularité remarquée, des enfants émerveillés sont souvent mis en scène.
En 1999, il est à l'origine de la création de l'association « Lire et faire lire » avec le journaliste Pascal Guénée.
En 2002, il poursuit son engagement associatif avec la création de l'association Mille Mots pour laquelle des bénévoles retraités interviennent en prison. Il est également parrain de l'association Unis-Cité qui propose un service civil volontaire aux jeunes âgés entre 18 et 25 ans.
En 2004 il écrit une série d'ouvrages destinés aux adolescents, Les Coloriés.
Il publie le 1er avril 2008, Chaque femme est un roman, une série de portraits de femmes.
Son dernier roman, Quinze ans après, sort en Octobre 2009 chez les Éditions Grasset.[
Ik ben niet zeker of ik deze zoektocht naar ‘liefde als een kunstwerk of anders niks’ zo geweldig vind. Wat gezocht taalgebruik en hoogdravende woordkeuze die zeggenskracht missen. De herhaalde scènes zijn storend. Het idee aan de basis schept verwachtingen, maar lost ze wat mij betreft niet in. Geschreven door iemand die geen hoge dunk van het huwelijk heeft.
L’écriture de Alexandre Jardin m’emmène toujours dans une forme de poésie de la vie , j’adore. L‘histoire néanmoins a manqué de cohérence, l’amour soudain est décrit comme fort mais n’est pas ressentit comme tel. Une vision du sentiment de l’amour intéressante, presque abstraite, qui souhaite représenter la fugacités à travers une jeune femme, de quoi réveiller certains vieux endormis dans leur vie . 22 ans après ce livre, les choses ont changé je trouve; dans ce livre on est fasse à quelqu’un dont la vie semble déjà écrite, et ça paraît difficile pour lui de se renouveler. Aujourd’hui les gens ont moins peur de prendre leur vie en main et « d’écouter leurs désirs ». J’ai quand même apprécier lire ce livre, c’est surtout à la fin qu’on ressent une réelle forme d’amour de la part de liberté envers Horace et c’est certainement le moment qui m’a le plus touché.
Difficile à noter : le début est extraordinairement bien rédigée avec les missives de cette inconnue si impertinente et passionnée, mais, une fois que les masques sont tombés, Liberté est bien trop utopique à mon goût.
« Liberté savait que sa passion non diluée, pure de toute médiocrité, exerçait une incroyable force d’attraction ; mais elle n’était pas prête à se contenter d’une petite part de bonheur, achetée sans effort. […] Liberté préférait une seule journée parfaite, 24 heures heures abouties à un quart de siècle de bonheur factice. » (p. 62)
« On ne le dira jamais assez : tout idéal est une tyrannie » (p. 99)
==> L’auteur a changé la fin entre version éditée grand format et celle de poche : quel audace !
Lu en une journée, aprèm et soir. Histoire qui tient en haleine, du genre « J’ai envie de savoir la suite ». Personnages tendant vers l’extrême qui parle à mon (grand) côté « Vivons à fond - sinon quelle vie ? » Mais sympathique de voir que c’est au final une folie, que trop c’est trop (à un moment), avec une fin ma foi plutôt belle.
Divertissant, enchanteur, et très bien écrit pour ne pas gâcher le reste (c’était obligé vu le récit).
Surprised by the ending and the storyline in the last chapters. I was engaged in some chapters while others were challenging to read. I was puzzled by the story what kept me reading and finished the book.
Ce livre était absolument affreux. Il n'y avait pas d'histoire et le livre commençait avec un marriage stable. Pourquoi? Ou est le conflit? J'ai eu du mal à tourner les pages de ce livre.
Le français est merveilleux, je l'adore. L'histoire, pas tant que ça, même si j'aime le côté philosophique. Je n'aime pas la direction que l'histoire a pris.
J’aurais pu mettre plus si la différence d’âge n’avait pas été aussi grande, elle m’a dégoûtée et empêchée d’entrer vraiment dans l’histoire, mais du potentiel donc 2/5
Liberté a dix huit ans et elle refuse ce que la plupart des gens tolèrent, un amour imparfait. Horace, est proviseur de lycée, marié dans l'ennui et l'indifférence, et il n'attend que son arrivée pour s'éveiller à la folie la plus délirante. Ensemble ils tenteront d'atteindre l'amour idéal, un chef d'œuvre sinon rien.
✏️ Douze ans que Mademoiselle Liberté attendait que je la sorte de ma PAL. Douze ans et bien des pages tournées depuis... C'est sûrement ce qui explique ce rendez-vous manqué entre l'héroïne éponyme d'Alexandre Jardin et moi.
Et pourtant comme j'aurais aimé lire ce roman au moment où je me le suis acheté. Conseillée par celles qui savaient. Portée par d'autres idéaux amoureux, d'autres sentiments que je pensais inaltérables. Aujourd'hui malheureusement il fait flop dans mon cœur.
Divertissant, certes. Intéressant, c'est évident. Mademoiselle Liberté est une réflexion sur l'amour parfait, terni par le quotidien et le non entretien du couple. Mais n'était-ce pas déjà le cas de Fanfan ? (Que je n'aime pas particulièrement non plus d'ailleurs...). Même si Alexandre Jardin se répète le sujet est universel et passionnant, mais le problème c'est qu'il est incarné ici par un duo insupportable et arrogant, dont les exubérances m'ont fatiguée de pages en pages. J'ai refermé le livre, heureuse de les quitter, eux et leur ego trip de la surenchère.
J'ai vraiment aimé. (Car j'aime Amour et c'est un chef d'oeuvre de l'autre côté de l'amour en vrac, à l'instar de nos contemporains. Désirs non-négociables. La vie est trop courte pour être petite). Une passion véritable est fille de l'imagination! Inventions, rébondissement qui donnent aux sentiments ce parfum de roman qui ensorcelle! La force des personnages et de leur passion te fait rever et vivre cette folie qui s'est née en classe! Il te va. Horace est son professeur. L'esprit de Liberté est superieur à sa grande beauté. Aprés avoir lu les grands classiques, portant le lourd nom de Byron, penser ennuyait Ses 18 ans, elle préférait sentir. Choisir ses paroles, mesurer ses pas, dîner avec l'ombre de l'autre, tomber dans sa demesure est tout ce qu'on désire! Pas trop courant, tout ça... Madame, Je n'ai pas voulu que dure plus longtemps mon secret qui, en se perpétuant, pourrait vous laisser croire que j'ai le projet de vous voler votre mari. Une livre qui inonde des sentiments. Liberté fait mourir sur place. Pourquoi ne savons nous faire de notre vie un plaisir? Pourquoi se consumer à la pépère quand on a le goût des incendies? Incapable de refroidir plus longtemps son sang, il versait de l'alcool fort dans chaque instant. Une fin qui te fait recommencer le livre <3 les grand amours!
Effectivement j'avais déjà commencé ce livre il y a quelques années et j'avais abandonné, je ne sais pas trop pourquoi. Peut être à cause des grandes envolées lyriques qui font peur au début ! Et puis finalement cette fois, je me suis accrochée et j'ai fini par vraiment apprécier le style qui me paraissait si lourd au début. Même si je crois que je n'ai jamais lu de roman contenant autant de points d'exclamations ! Finalement on s'attache vraiment à ces 2 personnages en se demandant ce qu'ils vont bien encore inventer...
Quand au fond, ça fait tout de même réfléchir sur le couple, la routine... (putain, 8 ans !) Pendant longtemps le message n'est pas particulièrement positif mais finalement je crois que j'aime bien la fin (du poche) et je vois tout de même beaucoup d'optimisme dans le message de l'auteur.
Bref j'ai aimé :) Et presque envie de le relire encore une fois là pour savourer à nouveau le style.
Je crois aussi que j'ai un autre Jardin qui traine à la maison, il faudra que je lui donne sa chance !
C'est troublant, parce que dans la fin initiale, la femme meurt et j'adooore cette fin. Un an plus tard quand il a sorti l'édition poche, il a décidé que la femme ne mourrait plus... j'ai été profondément déçue, moi qui venait d'acheter l'édition poche et qui aussitôt dans l'autobus m'était rendue à la fin pour la relire. Mais bon près de 10 ans après cette mésaventure, je ne sais plus trop ce que je pense de ce livre...
Top review is 1 star saying the person had never taken drugs but it felt like a bad trip and I completely agree and that’s why I’m giving 5 stars. Jardins writing is so incredible it’s like reading one long poem and the plot is completely chaotic and crazy but I love how unique it is. Also should be read in French to have the complete experience
" Il n'avait pas compris que s'affronter, c'est déjà une façon d'être ensemble." " L'amour ne vit que du bonheur léger qu'il y a à donner à l'autre une part du ciel." " Elle espérait de l'inespéré, désirait ce qu'on n'ose vouloir."
Fidele a lui-meme, Alexandre Jardin a utilise des personnes extraordinaires en quete d'un amour non traditionnel. De plus, c'est un rappel qu'un peu de piquant dans une vie de couple aide a surmonte la monotonie.