Romantique et candide, Florence croyait dur comme fer que son premier amour durerait toujours. Mais la vie s’est vite chargée de lui prouver que la réalité n’est pas comme dans les films. Au fil de ses rencontres, elle échafaude une théorie sur l’amour. Même si elle veut continuer d’y croire, Florence se bute au mur des ruptures, et se laisse doucement aller au cynisme et à la désillusion. Mais lorsqu’on lâche prise, le courant finit bien par nous mener quelque part...
Une série de sketchs tragi-comiques pour rêver à l’amour ou se remettre de ses peines.
Avant de lire tout roman de Chick Lit, il faut définir nos attentes. Est-ce que l'on cherche un livre qui va nous conforter avec notre éternel célibat? Est-ce qu'on veut un livre qui va nous faire rêver (même si on n'y croyait plus, promis juré) au prince charmant? Est-ce qu'on veut un rappel qu'une fille ordinaire, comme on en croise tous les jours, comme nous, peut trouver le grand amour?
Ceci étant dit, je devrais peut-être suivre mes propres conseils. En achetant ce roman, j'avais l'impression que je choisissais un livre à la frontière entre la Chick Lit et la Littérature. Je m'attendais à quelque chose qui allait aborder l'amour et le célibat de façon nouvelle (le titre me promet une théorie, tsé), de façon drôle et légère. En fait, c'est bourré de lieux communs. «Quand ça va être le bon, tu vas le savoir.» «Des fois ça vaut la peine d'attendre.» «Il faut que tu apprenne à te connaître et à t'aimer avant que quelqu'un puisse t'aimer.» Etc. Etc. Et, malgré tout, Florence, le personnage principal, a eu neuf (9) amants. En dedans de 207 pages. On va lui donner une chance, ça représentait dix ans de sa vie. Quand même. Elle avait du trafic devant sa porte, pour une fille qui se plaint du célibat. Niveau de crédibilité: moyen.
En plus, à la fin du roman, elle est en couple. Ce qui présente l'un des grands problèmes des Chick Flicks et de la Chick Lit: la fille est en couple, ça va bien, il n'y aura plus de rupture, parce que le roman est terminé. Mais, dans la vraie vie, comment sait-on que le roman est terminé, que c'est lui, le bon, et qu'il n'y en aura plus, de rupture?
Et la fameuse théorie du drap contour... ça faisait un bien beau titre. Très attrayant. Très intriguant. Pour pas grand-chose. En fait, l'idée n'était pas mauvaise, mais avec le «hype» que ça avait généré... je ne pouvais qu'être déçue.
Je m'attendais au genre de roman que j'aimerais écrire. Quand j'ai lu le titre et le résumé, je me suis dit que peut-être que Valérie Chevalier m'avait coupé l'herbe sous le pied et que le sujet était déjà exploré. Heureusement (ou malheureusement), non, ce n'est pas le cas. Ce que ça veut dire? «Va-t'en écrire, paresseuse.»
J'ai lu ce roman en quelques heures à peine et j'avoue avoir été sincèrement déçue. Je me sentais détachée des personnages tout au long de cette lecture et le ton m'a franchement déplu.
Quétaine et pré-mâché, je m'attendais à plus. Les nombreuses allusions au poids des femmes m'ont aussi dérangée. Dommage, parce que la forme a un petit quelque chose d'intéressant, malgré les nombreuses comparaisons convenues et les "réalisations" de Florence qui n'en sont pas vraiment.
Si j’ai pris la peine de le relire, c’est que c’était un coup de coeur; et je peux confirmer que ce l’est toujours. « La théorie du drap contour », c’est mon roman feel-good. Ce sont des chapitres très courts, comme des scènes qui rappellent les moments-clés dans nos relations amoureuses. Une histoire toute simple qui me ressemble et qui me met un baume sur le coeur. Florence, amoureuse en série, nous raconte les petits moments anodins de ses relations qui l’ont marquée et qui aujourd’hui la rendent heureuse ou bien triste/nostalgique. Attention, car ce n’est pas une lecture pétillante (malgré sa belle couverture jaune!), mais bien un roman à lire dans un mood léger (et surtout pas en pleine peine d’amour! - à lire quand on en est guéri.e)!
Roman dévoré en quelques heures. L’histoire est légère et n’a rien de punchant. Ce fut tout de même plaisant de suivre les aventures d’une éternelle c’elibataire!
Un vrai cas de "c'est pas toi, c'est moi". Mauvais pairage entre la fille et le livre. J'aurais davantage aimé dans la vingtaine. Je manque cruellement de romantisme... et d'intérêt pour les histoires d'amour!
Livre de poche — Malheureusement, ce n’était pas un roman pour moi. Ce n’était pas l’écriture ni l’histoire. Peut-être que je l’aurais plus apprécié à un autre moment de ma vie, mais j’ai arrêté ma lecture parce que comme DP le dit si bien, lire doit être un plaisir et ici le coeur n’y était pas!
J’ai abandonné m’a lecture au bout de 80 pages. J’ai lu quelques passages de la fin pour voir à quoi ça ressemblait.
Je n’ai pas été capable d’embarquer dans l’histoire. Je n’ai pas vraiment aimé l’écriture de l’autrice. Pourtant, j’ai entendu beaucoup de bien d’elle!
Ce roman n’était pas pour moi. J’essaierai un autre de ses romans pour me faire une meilleure idée du type d’autrice qu’elle est et si j’aime ou non.
J’ai vraiment aimé! La lecture se fait très facilement et rapidement. J’ai adoré suivre les histoires d’amour du personnage. Par contre, attention, tu ne vas pas apprendre une théorie qui va révolutionné ta vie.
Oui, j'ai été divertie (pendant les courtes heures qu'a durée ma lecture, parce c'est très léger en texte pour un livre de 210 pages), mais c'est pas mal ça. Il n'y rien de révolutionnaire dans ce livre, ni les figures de style, ni les conclusions. J'apprécie le format en petits chapitres courts et la narration à la 2e personne, mais là s'arrête l'originalité.
En général, l'auteure a su éviter les écueils habituels de ce type de littérature, mais les trois exceptions sont marquantes pour moi.
D'abord, à la page 85, une amie lui demande d'être sa demoiselle d'honneur, mais elle l'avertie qu'elle devrait perdre du poids parce qu'elle ne veut pas d'une "demoiselle d'honneur toutoune". Heille, même en blague, si une amie me disait ça, je lui dirais qu'elle peut se la mettre où je pense sa robe en taffeta! C'est tellement gratuit cette soudaine grossophobie!
Ensuite, j'ai été plutôt contente de voir qu'on évite ici la fausse/l'insidieuse culpabilité d'avoir couché avec quelqu'un (et même plusieurs quelqu'uns) en sachant que ça ne mènerait nulle part. Tout allait bien jusqu'à la fin où on parle alors de l'ami Andréanne qui, ELLE, est une vraie libertine tandis que la personnage principale n'a pas couché avec tant que monde ça au fond, hein? HEIN? Bravo, on était presque "home-free", mais il fallait juger l'amie avant. *soupir*
Enfin, chaque fois qu'on présente un homme dans le livre, c'est immédiatement suivi d'une description de son parfum. Je comprends, moi aussi ce sont les odeurs qui me frappent, mais la 3e fois que ça arrive, c'est déjà lourd. La 4e fois, c'est agaçant. Alors on ne parle pas de toutes les fois d'après! Varier un peu la formule n'aurait pas fait de tort. Ça donne l'impression que les description sont du copier-coller. En plus, dans la vie, on ne remarque pas toujours la même chose chez les nouvelles personnes.
Enfin, ce n'est pas un mauvais livre au fond, mais les choses qui m'agacent, m'agacent vraiment. Il est déjà dans la boîte qui s'en va à la librairie d'occasion.
J'avais bien été prévenu que ce livre n'était pas renversant, mais je voulais le lire tout de même. Ma lecture a été à la hauteur des commentaires que j'avais eu précédemment. C'était fade. Je ne me suis pas attachée à la narratrice. Certains détails comme l'odeur des hommes qu'elle rencontre ne me rejoignais pas du tout. J'ai trouvé les relations étrangement construites et je n'ai pas aimé la morale très assumée de la fin. Ça se lit, mais ce n'est pas palpitant.
Awn j'ai adoré ce livre, que j'ai dévoré en une seule journée ! Une vraie lecture bonbon. Une série d'anecdotes sur la vie amoureuse de Florence, le personnage principal. Ça m'a beaucoup fait pensé à son plus récent roman, les certitudes vagabondes, mais avec un peu moins de maturité. J'ai été agréablement surprise de constater l'évolution de l'auteure dans sa vision de l'amour. Bref, c'était un bon moment passé. Je lirai les autres assurément !
Roman bonbon ❤️ Ça se lit super rapidement et j’ai eu de nombreux fous rires au fil de ma lecture. Ça fait du bien à l’âme et c’est facile de s’identifier à Florence, amoureuse en série. Comme le dit si bien la quatrième de couverture, on y retrouve « Une série de sketchs tragi-comiques pour rêver à l’amour ou se remettre de ses peines. ».
Tant pis pour l’examen de demain I guess🤷🏻♀️ J’ai dévoré le livre tout d’un coup dans l’autobus… Je pense que j’avais besoin de lire ça! J’me suis juste arrêtée pour manger, alors j’imagine que ça en dit beaucoup. Je sais pas quoi ajouter de plus. C’est bien écrit, j’ai noté pleins de petits passages que j’aimerais relire plus tard et j’me sens bien!✨
J'ai vraiment aimé car je savais qu'il ne fallait pas que je m'attende à un roman d'amour qui coupe le souffle. C'est léger, sa se lit super bien (et vite), et sa replonge dans des souvenirs de nos anciennes conquêtes pour qui on est contente d'être passée à autre chose! Un petit livre qui se lit bien sur une plage, ou le soir, après le travail, avec le vidéo du feu de foyer à la télé (mon cas)!