In this 1876 "Mission Impossible" tale of intrigue set in Russia, a traitor has inspired the fierce Feofar Khan to invade Siberia and foment a rebellion. A sinister plot to assassinate the Czar's brother, the Grand Duke, is discovered but all telegraph lines have been cut. Only one of the Czar's couriers is qualified to handle the dangerous and arduous mission to warn the Siberian Governor General of the impending invasion... Michael Strogoff.
Verne wrote about space, air, and underwater travel before people invented navigable aircraft and practical submarines and devised any means of spacecraft. He ranks behind Dame Agatha Mary Clarissa Christie as the second most translated author of all time. People made his prominent films. People often refer to Verne alongside Herbert George Wells as the "father of science fiction."
Oohhhh la belle aventure 😍 il faut dire que je ne suis jamais déçu par Jules Verne. On le classe très souvent dans les livres pour jeune lecteur mais je trouve que ses aventures et toutes les recherches qu’il a fait ont une exigence et une complétude purement destinées aux adultes. Ses descriptions, ses recherches sur les us et coutumes, ses études géographique et historiques sont pointues et exigeantes.
Bref, il n’y a ,tout de même, pas d’âge pour se lancer et lire 😊. On suivra ici Michel Strogoff coursier du Tsar détenteur dans d’un laissé-passé pour franchir la Russie occidentale vers la Russie orientale à travers la Sibérie. Porteur d’un message qui pourrait changer le visage de la guerre et de l’invasion des Tartares.
C’est haletant, prenant, les pages de tournent sans fin. C’est parti pour le Tome 2 👍🏼
Me ha alegrado leer este libro, porque hace poco viajé en el transiberiano de Moscú a Irkuts y lago Baikal y es bonito leer una novela que transcurre en esta zona. Me pareció entretenido y lo he leído en francés sin mayores problemas, lo cual me alegra bastante. La única pega que le pongo es al final que está un poco traído de los pelos y además parece que Julio Verne tiene mucha prisa en terminarlo en unas cuantas frases. Evidentemente también tiene el típico maniqueísmo del bueno, super bueno y el malísimo que condensa todos los defectos. Sin embargo, hay que tener en cuenta la época en que se escribió y que es un libro infantil.
Leí de pequeña varios de sus libros y los disfruté mucho, pero este se me había escapado. Me ha parecido interesante también de saber de paso sobre la existencia de Madame de Bourboulon que junto a su marido Alphonse viajó desde Pekín a Moscú y después a París por tierra y barco en 1861.
Un libro bastante aburrido,de ritmo lento y con un final predecible y muy poco creíble. Leí el libro esperando algo de acción y aventura,pero apenas conseguí acabarlo. Lo hubiera dejado a la mitad si no hubiera sido una lectura obligada por mi profesor.
Beautifully translated into Victorian cough-cough English. I re-read this Verne classic just because I had never actually read the original cover to cover, and it was a giant laugh; I can understand Verne's success as an adult author in those less informed, less jaded times.
A principios del siglo XIX un conflicto ha estallado en la parte oriental del Imperio Zarista. Un vengativo ex-militar ruso, Iván Ogareff, ha convencido a varios khanes tártaros del Turquestán para lanzarse a conquistar Siberia. Su objetivo es ocupar Irkutsk, la capital rusa de ese territorio, en la que gobierna el Gran Duque, el hermano del Zar. Desde Moscú se han enviado mensajes telegráficos a Irkutsk, pero es muy probable que no hayan llegado. No queda más remedio que enviar a un hombre para que recorra esos más de cinco mil kilómetros que separan las dos capitales. Ahí entra nuestro protagonista. Miguel pertenece al cuerpo de élite de los correos del Zar. De treinta años, robusto y decidido (¿os acordáis de la descripción de Rambo que hace el Coronel Trautman en "Acorralado", y la que hace del robot Kyle Reese en "Terminator"? Pues así es nuestro protagonista), deberá hacer su viaje de incógnito, haciéndose pasar por un comerciante, no se sabe en quién se puede confiar y quién estará con los enemigos. En el viaje se irá encontrando con más personas que, por diversas circunstancias, también van hacia Irkutsk: los corresponsales Jolivet y Blount, pareja cómica y, sobre todo, a Nadia Fedor. Nadia es una joven que va en busca de su padre, exiliado en Siberia. Miguel la ampara y le propone hacer el viaje juntos, haciéndose pasar por hermanos, así él la ayudaría a llegar a su destino y ella le serviría de tapadera para su misión. Cuando se vayan adentrando en los territorios en los que ya ha estallado el conflicto, toda precaución es poca...
Julio Verne aparca por un momento las innovaciones tecnológicas o el estudio científico y se concentra en la narración aventurera. A ver, también demuestra sus conocimientos geográficos, pero lo importante son las vicisitudes de los personajes y, muy especialmente, los sentimientos que todas estas circunstancias despiertan. Verne incide en este tono más emotivo y lo hace con gran maestría, sin duda alguna, una de sus mejores novelas. Veremos como sigue en la segunda parte.
Una primera mitad cargada de hazañas heroicas y perpecias maravillosas; una segunda mitad con desgracias inmisericordes; una héroe que queda ciego y aún así acomete gestas imposibles, aunque luego se revela que fingió su ceguera todo el tiempo; todo concluido con un deus ex machina. Supongo que fue la respuesta de Verne al auge del romanticismo. La mención de que Harry Blount y Alcide Jolivet pretenden viajar a China tras el final parece indicar que tal vez Verne consideró incluirlos en Tribulaciones de un chino en China (una historia más en la línea común de Verne), pero creo que ese no fue el caso.
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Ένα από τα αριστουργήματα της παγκόσμιας λογοτεχνίας που δεν πρέπει να λείπει από κανένα σπίτι βιβλιοφάγου. Είναι το αγαπημένο μου από τον Ιούλιο Βερν και όσα χρόνια κι αν περάσουν, υπάρχει διάθεση να το διαβάσω ξανά!
"Omsk est la capitale officielle de la Sibérie occidentale. Ce n’est pas la ville la plus importante du gouvernement de ce nom, puisque Tomsk est plus peuplée et plus considérable, mais c’est à Omsk que réside le gouverneur général de cette première moitié de la Russie asiatique.
Omsk, à proprement parler, se compose de deux villes distinctes, l’une qui est uniquement habitée par les autorités et les fonctionnaires, l’autre où demeurent plus spécialement les marchands sibériens, bien qu’elle soit peu commerçante cependant.
Cette ville compte environ douze à treize mille habitants. Elle est défendue par une enceinte flanquée de bastions, mais ces fortifications sont en terre, et elles ne pouvaient la protéger que très-insuffisamment. Aussi les Tartares, qui le savaient bien, tentèrent-ils à cette époque de l’enlever de vive force, et ils y réussirent après quelques jours d’investissement.
La garnison d’Omsk, réduite à deux mille hommes, avait vaillamment résisté. Mais, accablée par les troupes de l’émir, repoussée peu à peu de la ville marchande, elle avait dû se réfugier dans la ville haute.
C’est la que le gouverneur général, ses officiers, ses soldats s’étaient retranchés. Ils avaient fait du haut quartier d’Omsk une sorte de citadelle, après en avoir crénelé les maisons et les églises, et, jusqu’alors, ils tenaient bon dans cette sorte de kreml improvisé, sans grand espoir d’être secourus à temps. En effet, les troupes tartares, qui descendaient le cours de l’Irtyche, recevaient chaque jour de nouveaux renforts, et, circonstance plus grave, elles étaient alors dirigées par un officier, traître à son pays, mais homme de grand mérite et d’une audace à toute épreuve.
C’était le colonel Ivan Ogareff.
Ivan Ogareff, terrible comme un de ces chefs tartares qu’il poussait en avant, était un militaire instruit. qui était d’origine asiatique, il aimait la ruse, il se plaisait à imaginer des embûches, et ne répugnait à aucun moyen lorsqu’il voulait surprendre quelque secret ou tendre quelque piège. Fourbe par nature, il avait volontiers recours aux plus vils déguisements, se faisant mendiant à l’occasion, excellant à prendre toutes les formes et toutes les allures. De plus, il était cruel, et il se fût fait bourreau au besoin. Féofar-Khan avait en lui un lieutenant digne de le seconder dans cette guerre sauvage.
Or, quand Michel Strogoff arriva sur les bords de l’Irtyche, Ivan Ogareff était déjà maître d’Omsk, et il pressait d’autant plus le siège du haut quartier de la ville, qu’il avait hâte de rejoindre Tomsk, où le gros de l’armée tartare venait de se concentrer.
Tomsk, en effet, avait été prise par Féofar-Khan depuis quelques jours, et c’est de là que les envahisseurs, maîtres de la Sibérie centrale, devaient marcher sur Irkoutsk.
Irkoutsk était le véritable objectif d’Ivan Ogareff."
Les aventures de Michel Strogoff, courrier du czar qui doit rejoindre le grand duc de Russie à l'autre bout de cet immense pays. Un mélange, habituel pour Verne, d'événements extraordinaires, géographie, héros paysans. Le style est clair, simple, et très attachant (on dit comme ça ?). La partie finale devient une épopée mouvementée où les vertus des héros sont mises à l'épreuve.
Très ancien dans sa conception, j'avoue, mais très fascinante quand même.