En su larga vida la institución matrimonial no ha permanecido inmutable. ¿Qué influencia tuvieron en su conformación la Iglesia y la sociedad feudal?
En esta obra ya clásica, el gran historiador francés Georges Duby demuestra una vez más que la historia no sólo se escribe desde los sucesos relevantes y espectaculares como las guerras, las conquistas o los descubrimientos, sino también desde el estudio de lo cotidiano.
El caballero, la mujer y el cura aborda la conformación del sistema matrimonial del Occidente cristiano y cómo la unión conyugal se convierte en reflejo del equilibrio de poderes de la sociedad feudal: la relación entre señores y vasallos reproducida en la relación marido-mujer y el papel ordenador, en lo moral y en lo jurídico, de la Iglesia.
Pero la unión conyugal controlada por el clero no logra imponerse más que tras una larga lucha entre los señores feudales y la Iglesia que culmina en el siglo XII. Ésta es también la historia de ese conflicto, que desemboca en un nuevo equilibrio y el surgimiento de una renovada moral del matrimonio.
L'argomento è interessante, ma il saggio si occupa di un territorio ristretto e, quindi limitato a pochi casi documentati che, sostanzialmente, vengono ripetuti più volte per riempire le pagine. Alla fine del saggio non si ricava alcuna idea su ciò che realmente ha rappresentato e le conseguenze di quel movimento che, nell'arco di un paio di secoli, avrebbe eliminato il matrimonio dei preti e la sacralizzazione del matrimonio civile da contratto tra privati quale era di fatto prima.
À sa sortie en 1981, "Le Chevalier, La Femme et le Prêtre" était très actuel en tant que la réflexion sur la condition féminine. Le gouvernement de Charles de Gaulle en exile à Londres avait accordé le vote aux femmes en France juste 27 ans auparavant. Le livre décrit le bras de fer entre les nobles et les prêtres catholique au sujet des lois et coutumes qui gouvernaient le mariage au sein de la noblesse. Duby couvre la période de 990 à 1234 la date où les décrétales de Grégoire IX ajoutent les mariage aux sept sacrements de l'Église. Les problèmes étaient évident aux yeux de tout le monde. Les femme n'avaient aucun droit la société. Elles étaient seulement des vaches reproductrices qui donnaient des héritiers aux nobles et ainsi s'assuraient de la succession chez les familles nobles. Seulement deux critères existaient dans le choix d'une épouse: (1) elle devait être de la noblesse et (2) la fécondité était un exigence absolue. Si la femme n'enfantait pas dans les délais raisonnables le marie la répudierait immédiatement. Après un premier échec on favorisait une jeune veuve qui avait déjà fait ses preuves de fécondité. Faute de jeune veuve à la portée de main, on enlevait la femme de quelqu'un d'autre. On reléguait les femmes infertiles aux cloitres. La vie était difficile aussi pour les jeunes garçons de la noblesse. Parce que l'on ne voulait pas diviser les successions, on permettait seulement au fils ainé de se marier. Les autres fils devaient aussi rentraient dans les ordres ou rester célibataires. Bref, c'était la barbarie total. Cet état des choses déplaisait fortement aux clercs mais ils avait d'autres priorités. Il voulait que les pratiques du clergé soient plus rigoureuses. Notamment un mouvement qui visait a empêcher les prêtres d'avoir des concubines débutait à la fin du Xe siècle. Un deuxième problème était que l'Église romaine catholique n'était pas certain que le mariage était de son ressort. On croyait plutôt que la matière était de juridiction profane car les saints écrits semblaient permettre aux gens mariés de se faire baptiser mais qui interdisaient aux chrétiens de se marier après la baptême. Autrement dit, même si les pratiques étaient abominables, l'église ne croyait pas avoir droit à y légiférer. Pourtant Jésus a dit catégoriquement que le lien conjugal était indissoluble. Il fallait choisir entre deux positions contradictoires qui se trouvaient dans le nouveau testament. Pendant les onzième et douzième siècles, les prêtres se penchaient graduellement ver la doctrine que le mariage était un sacrement chrétien que l'on ne pouvait pas rompre. En 1234 le pape Grégoire a finalement tranché sur la question et le mariage est devenu un sacrement indissoluble de le l'Église. Duby ne dit pas quand les pratiques se sont finalement alignées avec le dogme. Il remarque cependant qu'après la décision du pape Grégoire en 1234 que les nobles trouvaient souvent les moyens de détourner les lois de l'église et de répudier leurs pour des raisons parfaitement injustes. La conjoncture historique favorisaient cependant le changement. La population s'augmentait rapidement en France au XIIIème siècle. On mettait des nouvelles terres en friches et les familles nobles croyaient qu'elles pouvait se permettre de donner des terres aux fils puinés.. Le défi auquel Duby faisait face était que seulement les clercs savaient écrire. Donc l'historien ne peut connaitre le phénomène que de leur point de vue. La situation des femmes était certainement déplorable mais on ne sait pas du tout ce qu'elles pensaient. Duby clôt son livre avec ces mots: "Il faudrait ne pas oublier ce que les hommes ont fait aux femmes. On en parle beaucoup. Que sait-on d'elles." (p. 203)
Originally published in French in 1981, and in English translation in 1983, this book examines aristocratic and religious conceptions of marriage in France between roughly 900 - 1200. His technique is a close analysis of surviving written accounts - treatises, letters, family histories - and so necessarily focuses on the social elite, the families of kings and great lords. Not being a specialist in this period, most of the names slid off me; but Duby excels at drawing overarching lessons and trends from his materials.
In brief, Duby identifies the period as starting with different theories of marriage (and men's sexual behavior generally) held by elite families and the church, driven by different concerns. Nobles wanted heirs as well as sexual pleasure, and so were prepared to set aside wives and remarry for heirs or political advantage, take concubines, and valued a certain degree of consanguinity as a guarantee of common interests. Churchmen, in contract, tended to regard sex as a necessary evil, wanted nobles to not marry relatives but otherwise stay married, and wanted priests to be celibate.
According to Duby, those conflicting goals reached greatest tension in the years around 1100, with heads of the great families marrying off their daughters for family advantage, but not letting younger sons marry at all in an effort to keep amassed family holdings from getting broken up. By 1200, rapid economic growth provided economic surplus that allowed family chiefs to relax a little and let younger sons start marrying. Duby also suggests that the social unrest provoked by unmarried younger sons - whose main hope of advancement was to abduct a maid from a higher-status family - helped drive the shift in attitudes.
One amusing, counter-intuitive aspect of the whole period is the assumption, in church law but also implicitly in family chronicles, that sex among unmarried men (and the women they slept with) was no big deal, while enthusiastic sex within marriage, for purposes beyond procreation, was sinful and suspect. A second, unamusing but pervasive theme in the period - Duby calls it out repeatedly - is the gross misogyny with which churchmen, nobles, and men in general regarded women of all social classes.
În toamna anului 1095, papa Urban al II-lea se află în Auvergne, la Clermont, pe hotarele meridionale ale zonei de influenţă capetiană. De luni întregi, izgonit din Roma, străbate cu mare pompă, escortat de cardinalii săi, sudul Galiei. Se simte aici la largul lui. Fusese stareţ la Cluny: comunităţile de călugări ale congregaţiei împînziseră ţinutul. Aici se desfăşoară, cu cele mai bune rezultate, acţiunea în fruntea căreia se pusese de mai bine de douăzeci de ani papalitatea: reformarea Bisericii, cu alte cuvinte purificarea întregii societăţi. Este vorba de a-i pregăti pe oameni să înfrunte necazurile care îi aşteaptă, sfîrşitul lumii, de a-i aduce, cu voie sau fără voie, pe calea binelui, de a îndrepta strîmbătăţile, de a preciza îndatoririle fiecăruia. De a formula mai ales interdicţiile generale, valabile pentru orice om. Această mare redresare a început prin epurarea corpului ecleziastic. Trebuia început aşa, cu oamenii aceştia care, slujitori ai lui Dumnezeu fiind, dau pilda; trebuiau vindecaţi de o dublă corupţie: simonia — învăţaţii vremii numeau astfel intervenţia ilegitimă a puterilor laice, şi în mod deosebit a puterii care procură bani, în alegerea cîrmuitorilor Bisericii; nicolaismul — prin care se cade să înţelegem relele moravuri, gustul pentru plăcerile lumeşti şi, înainte de toate, fireşte, gustul pentru femei. A venit acum vremea de a-i constrînge la rîndul lor şi pe profani, de a le impune felul de viaţă despre care preoţii spun că este plăcut lui Dumnezeu. Sarcina devine şi mai grea. într-adevăr, pretutindeni oamenii se arată recalcitranţi, iar principii laici îi susţin în împotrivirea lor. în primul rînd împăratul, apoi ceilalţi regi, fiecare pe teritoriul pe care Cerul li-1 hărăzise, îi obligă, asemenea lui Carol cel Mare, ai cărui moştenitori se consideră, să menţină aici, în lumea aceasta, ordinea socială.
"El matrimonio es un instrumento de control, y los dirigentes de la Iglesia lo utilizaron para enfrentarse a los laicos y con la esperanza de subyugarlos. Los dirigentes de los linajes lo utilizaron de otra manera para mantener intacto su poder. [...] Los sacerdotes y los guerreros reunidos bajo la autoridad del príncipe terminaron por ponerse de acuerdo sobre lo que debía ser el matrimonio para que no fuera perturbado el orden establecido. La sociedad y el cristianismo se habían transformado juntos. Uno de los modelos no fue vencido por el otro: se combinaron".
Con estas palabras, el gran historiador francés Georges Duby (Paris, 1919 - Le Tholonet, 1996) resume de manera contundente la materia tratada en esta obra que, finalmente, he terminado de leer.
A lo largo del trabajo, Duby nos comparte su reconstrucción, a partir de los archivos, de las prácticas matrimoniales en un período de transformación posterior a la denominada «revolución del año mil». Aquí nos encontramos con que la iglesia intentaba mantener el control sobre las personas y consolidar su poder por medio de la regulación del comportamiento de la sociedad y, sobre todo, de las clases dirigentes.
La obra se concentra en los cambios que se produjeron en los siglos XI, XII y principios del XIII, tomando como fundamento el contenido de varios archivos de la región norte de Francia, a partir de los cuales se reconstruyen los procesos tratados. Duby recurre a las genealogías, a los relatos apoteósicos e incluso a la literatura, textos destinados a educar a las clases dirigentes desde una edad temprana. Muchos de los escritos consultados son relatos ficticios o que contienen elementos imaginarios para lograr su cometido. Muchos otros se refieren a crónicas a las que puede atribuirse cierta verosimilitud y que Duby tiene el cuidado suficiente para cuestionar y aventurar hipótesis interesantes pero contenidas dentro de las posibilidades permitidas por la naturaleza de sus fuentes.
Resulta por demás interesante observar cómo varios aspectos de los rituales matrimoniales del occidente actual —incluyendo nuestra propia cultura en ese espectro— tienen su origen en este proceso de transformación, que Duby analiza, reconstruye e interpreta. Un aspecto clave es el recurrente cuestionamiento sobre lo que creemos saber de las mujeres del período: se les menciona, se habla de ellas, pero principalmente se les señala. Y aun cuando se habla de cierto poder femenino, de manera general las mujeres son reveladas como un recurso de fundamental importancia para la sociedad feudal estudiada pero realmente es poco lo que se comprende sobre ellas fuera de su papel como recursos, objetos o incluso chivos expiatorios. Si bien la misoginia característica de la sociedad en que vivimos no tiene su origen en la Francia medieval, definitivamente sí fue donde recibió un gran impulso mediante los cambios impuestos por los dirigentes y los servidores de la iglesia, auspiciados por los escritos de «grandes» teólogos —como San Agustín, por mencionar uno—, sobre los fundamentos y las prácticas del matrimonio.
Punto importante a destacar: el matrimonio y su fenomenología le incumbe a la iglesia porque se trata de tener control sobre los príncipes, se le regula no por principio divino sino por su poder para administrar las herencias y mantener las riquezas dentro de los confines de los linajes establecidos. Incluso una cuestión tan controversial como el incesto se verá afectada, aún en sus definiciones, conforme sirva a los intereses de la gente en el poder. La consanguinidad, se rescata del texto, no representa un problema cuando no hay conflicto de intereses entre las clases dominantes y no hay herencias en juego.
Aún cuando me considero admirador de Duby y de sus trabajos, que han inspirado y alimentado la investigación histórica medieval europea durante varias décadas, debo admitir que me tomó más de un año terminar de leer este libro, dejando pasar hiatos considerables, debido a la muy peculiar forma de escribir del autor —o quizás, mejor dicho, de la forma en la que se le traduce. Sin embargo, habiendo encontrado momentos en los cuales me sentía mejor predispuesto a asimilar dichas peculiaridades, es menester destacar que se trata de un trabajo excepcional y por demás muy interesante; no obstante considero que se trata de una lectura hasta cierto punto difícil. Recomiendo la obra especialmente como ejercicio de reflexión, partiendo de aquello que podamos considerar similitudes entre nuestra vida cotidiana y la que se asoma en el trabajo del autor, para cuestionarnos sobre la naturaleza del matrimonio y reflexionar qué significado —o significados— tienen para nosotros en estos tiempos en los que los cambios ocurren aceleradamente.
The mutations of marriage in the eleventh and twelfth century.
A somewhat difficult matter to trace, because all the records, of course, come from priests, bishops, and other clerks. Which is to say, from one side of the marriage debate. The nobles wanted to go merrily on with their own practices, including abduction, repudiation, and concubinage. And the clergy, many of whom were not too keen on this whole sex business, were trying to drag into somewhat in conformity into their own notions of proper marriage.
They won, on the whole. Abduction steadily decreased, no doubt aided by rules that a betrothed woman, at least, could not marry her abductor. Repudiating a wife first revolved around claims of adultery, since a man could repudiate her on his oath that she had, but it had the disadvantage that bishops who were willing for them to separate were not as willing to permit a remarriage. (For the man. Since women were weak and licentious beings, they found it much easier to remarry.) They went for incest next, especially since the Church had set absurdly wide relations for incest, and indeed was more often complaining of incestuous unions when the same unions were also bigamous; when the Church cranked them down, many people were quite unhappy. But repudiations, even of barren wives, definitely declined.
Even the marriage ceremonies changed. In the beginning, they -- for those with property -- consisted of a formal reading of the documents where the property arrangements were set out, and a rather frolicsome conducting the bride to her marriage bed. The Church introduced a blessing between them -- perhaps aping royalty, where the bride had to be crowned queen -- and then the marriage vows, which had, of all things, to be spoken by the bridegroom and the bride themselves. And then they insisted that it was the vows that did it. . . which meant that some concubines were declared wives, not chance lovers, since the man and woman had joined together of their will.
It was a troubled time. There were a lot of heresy afloat, many of which revolved about marriage and regarding it as intrinsically sinful. And therefore were notorious for their sexual practices, because if there was no licit way to engage in sexual intercourse, you might as well go whole hog.
Comme toujours avec Duby, le style demeure lourd mais le sujet et la dimension sociale de cet ouvrage en particulier n'en demeurent pas moins d'un intérêt tout particulier.
En effet, Duby analyse l'évolution du mariage dans la société médiévale aux XIe et XIIe siècles. Il nous montre comment l'aristocratie et le clergé en avait une vision bien différente et que les deux groupes étaient constamment dans une lutte pour imposer la sienne. On sait que c'est celle du clergé qui a prévalu mais lentement et difficilement.
Tandis que le clergé cherchait à donner une structure morale au mariage, l'aristocratie y voyait un moyen très concret de former des alliances et surtout d'acquérir des territoires. Pour le clergé, le mariage parfait était d'ailleurs celui dénué de son aspect sexuel sauf lorsque celui-ci avait pour but la procréation, et encore. Mais pour l'aristocratie, le mariage était avant tout la manière d'obtenir des terres ou de forger des alliances (préférablement les 2). Et c'était généralement la femme qui apportait les biens, ce qui les a mécaniquement transformé en cible pour les hommes qui cherchaient à se les approprier. On tombe alors dans une dynamique où la femme était guère plus qu'un objet que l'on enfermait lorsqu'elle n'était pas mariée afin que sa famille la garde "pure" pour un mariage "utile" et, une fois qu'elle était mariée, elle était de nouveau enfermé afin de s'assurer que personne ne la prendrait ou aurait des enfants avec qui remettrait en cause la légitimé de la descendance du mari. Enfin, elle pouvait de nouveau être enfermée si on estimait qu'elle devait encombrante et qu'on s'en séparait car on avait trouvé une autre femme qui pouvait apporter des terres. Bref, on peut difficilement parler d'un destin enviable et Duby souligne bien qu'à travers les sources, on parle bien peu de ces femmes qui sont pourtant si centrales.
En plus de ces considérations, l'auteur expore les notions de validité du mariage. Ce dernier pouvait en effet facilement être caractérisé d'invalide lorsque cela arrangeait les uns et les autres s'il n'était pas consommé ou si les 2 membres du couple se trouvaient être trop proches en degré de consanguinité ou d'affinité (ce que l'on découvrait souvent par "hasard" lorsqu'on voulait se débarrasser d'une épouse). Finalement, la notion de consentement des 2 partis s'est imposé ainsi que d'un âge "légal" pour fournir son consentement mais il était facile de contourner ces règles et il arriva plus d'une fois qu'une fille de 1 an "consente" à un mariage futur.
Comme on le voit, on est bien loin de l'image idéalisée que nous avons parfois de la société chevaleresque. Ici, l'enlèvement et le viol sont choses communes et acceptées pour se procurer une épouse qui apportera des terres et assurera la descendance. Ces choses sont peu à peu devenues moins acceptables et moins pratiquées mais jamais totalement éradiquées. On sait malheureusement bien peu de choses sur ce que les femmes elles-mêmes pensaient de cet état de fait.
Toujours est-il que cet ouvrage de Duby offre un regard très complet sur la société médiévale du XIe et du XIIe siècles en se focalisant sur l'institution du mariage et de son rapport entre le chevalier, le prêtre, et la femme. Difficile de ne pas changer son regard après l'avoir lu.
Fue muy interesante leer a lo largo de esto 13 capítulos cómo era visto el matrimonio, el clérigo y sobre todo, la mujer en aquellos años. Me alegra ver cómo han cambiado los tiempos y que las mujeres ya tenemos voz. Dentro de estas páginas, tachan la unión de los sexos como algo repugnante, casi casi como si el matrimonio fuera algo del demonio. Aquí algunas de las frases o párafos que me sorprendieron: "Se aventura mucho más lejos cuando anuncia que en la «hora de la resurrección, el sexo será abolido y la naturaleza unificada. En el seno de la natura, la fractura es la que separa los sexos; el fin del mundo anulará la bisexualidad; anulará más exactamente lo femenino: cuando las luces se desencadenen, se habrá terminado con esta imperfección, esta mancha sobre lo límpido de la creación que es la feminidad. Juan Escoto lo dice formalmente: «El hombre será entonces como lo que hubiera sido de no haber pecado»." "Adúltero o no, el matrimonio pertenece al mal. Se oye de nuevo la palabra de san Jerónimo: «Quien ama demasiado a su esposa es adúltero»." Tachan la unión de los sexos como algo repugnante.
After what can only be described as an overdosis of Georges Duby this semester (reading big parts of almost all his works, a paper, and 1 of 2 essay questions on the exam as well as lectures) I can only say that while man is certainly brilliant and funny (i also hate battles and I mean I think about this iconic line daily: Il est même étrange que j’aie tant tardé à m’inquiéter de l’histoire des femmes. Pourquoi? Parce que je suis un homme?) enough is enough
Well, I liked it. Having read it for a course on the middle ages in college, it was actually a fairly easy and informative read. Quite fascinating, actually.
Mucho texto para decir que el matrimonio se lo inventaron en el camino 😅 Ya en serio, interesante información de cómo el matrimonio mutó a través de los años hasta cimentar sus bases.
Mediante el análisis de fuentes escritas, Duby logra explorar la institución del matrimonio medieval cristiano, con sus vicisitudes y transformaciones propias del proceso de consolidación de la Iglesia como cabeza secular y religiosa, durante y luego de la reforma gregoriana.
Este es un libro fundamental para comprender tanto la evolución del matrimonio como, en menor medida, el rol de la mujer dentro de la familia en la Francia feudal.
L'indagine del Duby, pur limitata nel tempo - secoli X-XII - e nello spazio - Francia del nord - illustra l'evoluzione che in quell'epoca investì il matrimonio da fatto esclusivamente profano a sacramento della Chiesa - con l'accettazione, non senza resistenze, da parte dei cavalieri, perché solo dei nobili abbiamo qualche notizia, della progressiva ingerenza della Chiesa nei fatti riguardanti il matrimonio, non perdendo tuttavia esso il suo scopo ultimo di controllo sociale e perpetuarsi delle strutture economico-sociali dominanti, anzi rinforzandolo in un modello che resisterà nei secoli. Ma di qualunque specie fosse il matrimonio, profano o sacralizzato, del terzo elemento di esso, la donna, poco si sa, sacrificata com'era a un ruolo di fattrice di cui l'uomo si serviva per portare avanti la stirpe.
This is an interesting look at the Church's and the aristocracy's view of marriage as it evolved over several centuries in medieval France. The Church viewed marriage as, quite literally, a necessary evil. The aristocracy saw marriage as a way to foster alliances and protect property. (Sons of concubines couldn't inherit, but sons of wives could.) Both used marriage as a means of social control of both women and men.
Not the most fun read. (just goes on and on). Interesting in terms of the ideas. Enlightening to see where and how Church comes (well, came) in, into the equation along with marriage.
What a wonderful book! What erudition, what insight. His books are totally superlative, his acute analysis and wholly novel way of looking at the Middle Ages make for scintillating reading.