From the Translator's "Two plagues ravaged Europe in 1848: Asiatic cholera and the fever of revolution. Giono, who in The Horseman on the Roof exposed his hero, Angelo Pardi, to an earlier cholera plague in France, now sets him wandering in the 1848 epidemic of revolution in the north of Italy.
Jean Giono, the only son of a cobbler and a laundress, was one of France's greatest writers. His prodigious literary output included stories, essays, poetry, plays, film scripts, translations and over thirty novels, many of which have been translated into English.
Giono was a pacifist, and was twice imprisoned in France at the outset and conclusion of World War II.
He remained tied to Provence and Manosque, the little city where he was born in 1895 and, in 1970, died.
Giono was awarded the Prix Bretano, the Prix de Monaco (for the most outstanding collected work by a French writer), the Légion d'Honneur, and he was a member of the Académie Goncourt.
I started this book to continue to see Angelo Pardi live and fight and to know how he would love Pauline de Theus. There is no Pauline in this book, just the fighting of the war between Austria and Italy in the 19th century. I'm disappointed, therefore, but I still admire Giono's writing. The expressions and metaphors are unexpected, and the story's rhythm is like a galloping horse. We sometimes find the Chartreuse's atmosphere and the narrator's tender gaze on his hero.
Le Bonheur fou est un excellent roman d'aventure qui relate l'histoire d'un revolutionnaire de métier qui combat pour la cause de la liberation du Piemont contre les Autrichiens qui regnent dans le territoire.
Une expérience de lecture douloureuse, une intrigue si peu organisée que même les historiens de l’unification italienne n’y comprennent rien. Les seuls moments fun c’est les descriptions et les parenthèses diégétique (je veux même pas parler de la fin parce que 1-j’ai rien suivi 2-pour aller où et pourquoi et depuis quand) enft Angelo est juste devenu un big looser tout comme Giono qui pense que Stendhal c’est la vraie vie 😍 Le roman va tellement vite sans pour autant avancer quelque part qu’on en perd le plaisir du rythme et du style de Giono (t’écris qd mm très bien bb dcp je mets ⭐️⭐️⭐️)
Une histoire qui précède celle du Huissard sur le toi traiant le bonheur qui est spécial chez les héros de Giono italiens de piemontais et qui se battent avec ferveur à une gloire chevaleresque et valeureuse où l'idéale vient de la pureté de leur coeur Touchant ce bonheur fou cet idéal où les personnnages sont à la recherche de leur propre chemin et la voie droite
Ayant adoré le hussard et Angelo, j’ai voulu poursuivre le cycle du hussard. Mais j’ai été un peu déçu par ce long roman dans lequel je n’ai pas trouvé la poésie et l’épaisseur humaine que j’aime chez Giono. Un bon roman d’aventure et de batailles.