Deux corps pour une seule âme. Impossible selon vous ? C'est pourtant le fardeau que j'endure suite à la malédiction lancée par un sorcier. Tout ça parce que j'ai eu le cran de refuser ses avances. Pour la peine, je l'ai tué, mais en attendant quelle plaie ! La nuit, je suis Famine, l'un des quatre cavaliers de l'apocalypse, et ex-meurtrière qui s'est reconvertie dans la profession de garde du corps. Et lorsque vient le jour, je me trouve coincée avec l'identité de Samantha, une lycéenne des plus ordinaires. Comme si je n'avais pas déjà suffisamment d'ennuis avec deux vies à mener de front, la Cour des sorciers de Toronto vient de me confier la protection de son lord. Il faut dire que certains de ses dissidents se sont mis en tête de le supprimer. Cette fois-ci, je n'ai pas le droit à l'erreur, même si mon côté humain a choisi le mauvais moment pour s'enticher d'un étrange garçon, le genre craquant, mais véritable nid à problèmes... Je vous le dis : pas facile de gérer deux existences à la fois !
Né en 1977, Stéphane Soutoul se passionne très tôt pour les récits où s'entremêlent l'interdit, le frisson et l'aventure. De cette addiction pour la littérature fantastique, émerge un style partagé entre lumière et ténèbres. Son écriture cristallise sa prédilection pour les univers imaginaires dans lesquels tout peut arriver. Il est auteur notamment d'une série vampirique en cours de publications aux éditions du petit caveau (Le Cycle des âmes déchues) ainsi que d'une future série bit-lit (Anges d'apocalypse) chez Rebelle éditions. Plusieurs de ses textes figurent au sommaire de diverses publications, recueils et anthologies.
C'est un bon premier tome d'urban fantasy. On retrouve les quatre cavaliers de l'apocalypse, mais en version féminine, qui se sont "reconvertis" en citoyennes lambdas. On suit Syldia et Samantha, alias Famine, une héroïne et grande gueule. Ce tome met en place des personnages intéressants et complexes. J'ai envie de lire la suite pour en savoir plus sur eux et mieux comprendre comment s'articule ce monde fantastique. En effet, on retrouve ici aussi bien des vampires, des démons que des sorciers. L'écriture est fluide et globalement ça passe vraiment bien. Le dédoublement de Syldia entre la nuit et le jour est bien mené. On sent les variations de la personnalité de Syldia selon le corps dans lequel elle se trouve.
Maintenant, parlons des choses qui fâchent : la redondance de certains détails qui reviennent 4 ou 5 fois et le côté trop sexualisé du récit. Pas de scènes de sexe, mais au bout de la énième fois, on a compris que notre héroïne plaisait aux hommes et qu'elle le sait, etc. Enfin, le comportement de Syldia que je trouve parfois très adolescent alors qu'elle est supposée avoir plus de 600 ans.
Malgré ces petits défauts, je compte bien lire la suite.
J’ai beaucoup apprécié cette histoire en compagnie de Syldia, Ange de l’Apocalypse aussi connue sous le nom de Famine, et Samantha, une lycéenne dans le corps de laquelle l’esprit de Syldia s’humanise. La nature originale de Syldia et de ses sœurs m’a énormément plu, tout comme le fait que le récit se déroule à Toronto. Stéphane Soutoul prend son temps et n’est pas avare en descriptions, ce que j’ai également apprécié. Le seul point qui m’a déçue a été le personnage de Desmond ; en fait, ça avait très bien commencé, puis une scène m’a déplu. Les différents éléments de l’intrigue s’emboîtent bien et le tout n’est pas sans surprises. J’ai d’ores et déjà entamé le tome 2 et j’espère me réconcilier avec Desmond et voir avancer l’histoire de Samantha et ses rapports avec Nathan (<3).
Anges d’Apocalypse est le roman que vous avez choisi pour moi lors de l’événement mensuel “à vous de piocher”. Sa splendide couverture me poussait à découvrir les mystères qu’il renfermait, et pour le coup, je n’ai pas du tout été déçue du voyage ! Comme avec Si proche de lui, Stéphane Soutoul sait charmer ses lecteurs.
C’est l’histoire de Syldia, une jeune femme aux prédispositions pour le moins étonnantes. Elle n’est autre que l’un des 4 Cavaliers de l’Apocalypse. Elle et ses trois soeurs errent dans le monde depuis 600 ans et sèment la désolation sur leur passage. Mais ça, c’était avant. Depuis, elles essaient de se racheter une conduite. Il y a Jillian, alias Pestilence, Raven, aussi connue sous le nom de Guerre, et Eve, appelée Mort. Syldia, elle, c’est Famine. Elle se nourrit de ses victimes en s’imprégnant de leur énergie, ne laissant sur son passage que des enveloppes vides.
À cause d’une malédiction jetée sur elle, Syldia se retrouve catapultée dans un corps d’adolescente en journée. La nuit en revanche, elle réintègre son identité et travaille comme garde du corps. Suite à un fiasco retentissant, son associé lui propose un jour de veiller à la sécurité du lord de la Cour des sorciers de Toronto. Appâtée par l’argent, Syldia n’hésite pas bien longtemps. Pendant une semaine de tractations, elle doit veiller sur son protégé. En parallèle, son corps d’humaine fait la rencontre de Nathan, un adolescent taciturne qui semble cacher son lot de problèmes paranormaux.
J’aimerais tellement en dire plus, mais si je ne m’arrête pas tout de suite, je suis bien capable de vous dévoiler toute l’histoire. Il faut dire que dès les toutes premières pages, j’avais l’intime certitude que j’allais adorer ce roman. Ayant déjà appréhendé la plume et l’humour mordant de Stéphane Soutoul avec Si proche de lui, je ne me faisais pas trop de souci. Ici, ça n’a pas loupé. Je n’ai pas lu ce premier opus… je l’ai englouti !
Il est rare que j’apprécie les héroïnes. Il y a toujours quelque chose qui coince et qui fait que ça ne passe pas. Mais là… hanlala, qu’est-ce que j’ai adoré Syldia ! Multifacette, vigoureuse, acerbe et hargneuse, on en fait plus beaucoup, des comme elle. Son côté “antihéros” n’a pas été pour me déplaire. Syldia compose avec la vie comme elle peut. Faire partie des Cavaliers de l’Apocalypse, ce n’est pas de tout repos, car elle doit lutter contre sa nature profonde, celle de la Destruction. Heureusement, elle n’est pas seule dans cette lutte, car ses soeurs traversent le même calvaire. Celles-ci démontrent un panel de tempéraments qui les rend attachantes au possible, même si ma préférence va à Syldia, évidemment. Son côté humain lorsque le soleil se lève, la relation qu’elle entretient avec ses parents… tout ça contribue à la rendre proche du lecteur. Même si du haut de ses 600 ans de vie, elle est dotée d’une sagesse et d’un recul notables.
Je ne vais pas m’en cacher, j’ai été légèrement rebutée lorsque j’ai pris connaissance de la malédiction. N’ayant pas lu le résumé (comme d’habitude), je m’attendais à quelque chose d’assez adulte. Lorsque j’ai compris que Syldia devenait Samantha le jour, j’ai été déçue, car je me demandais ce que le mélange Cavalier de l’Apocalypse/adolescente banale allait donner. Contre toute attente, même si cela peut surprendre aux premiers abords, cette alliance fonctionne très bien, car différentes intrigues se mettent en place avant de se rejoindre en apothéose à la fin.
Durant sa mission de protection, Famine fera donc la rencontre de nombreux sorciers. J’ai particulièrement apprécié la tension constante qui imprègne la Cour, sans parler des négociations qui manquent plus d’une fois de tourner au vinaigre. On fait la connaissance de personnages variés. Là encore je pourrais vous parler des heures de Dominika, de Desmond ou de Beranger… Ils sont si fascinants, si… dérangeants et déroutants, par moment ! Stéphane Soutoul a un don inné pour dépeindre les personnalités, en jouant sur la corde sensible et en poussant la chose de façon à parfois nous mettre très mal à l’aise. Il est difficile d’en faire le tour en un seul tome, mais sa manière de les aborder est vraiment réussie. Ils entrent une fois en scène et nous marquent tout le long de notre lecture.
J’avoue être très curieuse sur l’histoire des soeurs de Syldia. Chaque fois qu’elles étaient abordées, je trouvais leur vécu passionnant, sans parler de leurs pouvoirs à faire froid dans le dos. Les Cavaliers de l’Apocalypse… admettez que c’est sacrément culotté de reprendre cette histoire biblique ! Et Stéphane Soutoul l’a fait et réussi haut la main, sans jamais tomber dans les pièges du cliché.
En signant Le Tourment des Aurores, l’auteur met le doigt sur un bon nombre de problématiques que l’on est tous amenés à aborder dans sa vie. Bien qu’introductif, ce roman est bourré d’actions et son intrigue – ficelée avec brio – laisse à peine le temps de reprendre son souffle. Rien n’est introduit par hasard, tout est calculé, avec cette impression d’être entré dans une histoire qui n’a pas fini de nous surprendre.
La plume de l’auteur est comme je m’y attendais. Plus de détails ? Stéphane Soutoul SAIT manier les mots. Tantôt caustique tantôt sérieux, il a su créer un univers à lui tout seul sans se départir de sa poésie. J’admire vraiment ses descriptions et sa façon de brosser un tableau des différents personnages qui entrent en scène. Il a également une facilité étonnante à se mettre dans la peau d’une tueuse de 600 balais. Cela dit, j’ai décelé quelques maladresses (notamment lorsqu’un personnage raconte ce qui a pu se passer avant, le choix du temps n’était pas judicieux), et ce sera le seul reproche que j’aurai à faire. Au-delà de ça, Anges d’Apocalypse se lit merveilleusement bien et presque sans fausse note.
En résumé, les aventures de Syldia ont ravi mon coeur. Dans un Toronto sombre et semé de dangers, Stéphane Soutoul nous laisse nous débattre dans un tourbillon d’émotions. J’ai apprécié l’univers, les nombreuses intrigues qui contribuent à complexifier la trame initiale et surtout les personnages très vivants. C’est une saga avec énormément de potentiel.
J'ai beaucoup aimé cette lecture. Avec les deux personnalités, Syldia/Sam, j'avais un peu l'impression de lire deux histoires en une ^^ C'est bien rythmé et bien mené. L'auteur donne des indices sur ce qui va suivre tout en prenant un malin plaisir à nous piéger.
J'ai adoré le caractère de Syldia. Une autre héroïne qui a son tempérament et qui dit ce qu'elle pense. J'ai hâte de la découvrir dans la suite. Desmond ne m'a pas fait plus forte impression que ça, toute mon attention étant rivée sur Nathan. L'adolescent est touchant.
Je voulais découvrir quelque chose de nouveau, sortir des séries que je connaissais. J'ai été servie. Je retrouverai tout ce petit monde rapidement.
La bit-lit avec moi, ça passe ou ça casse. C'est comme ça, j'ai toujours mes petites exigences et je crois bien que je suis vraiment très (trop ?) exigeante avec ce genre. Avec l'érotisme, ce sont deux genres où il faut vraiment que le contenu soit savamment dosé pour ne pas tomber dans le cliché ou le déjà vu. Et que ça me plaise, of course. Et bien avec Anges d'apocalypse, ça casse. Je ne l'ai même pas fini, et pourtant je n'aime pas abandonner mes lectures, encore moins quand je suis en lecture commune avec une copinaute, mais je ne pouvais pas continuer ma lecture, ce n'était plus possible. Et pourtant, j'en attendais beaucoup ! Une belle couverture, un résumé alléchant, une bonne moyenne sur Livraddict... Bref, je m'attendais à passer un super moment !
L'histoire, c'est celle de Syldia, alias Famine, alias Samantha, un des quatre anges de l'apocalypse biblique qui s'est reconvertie en garde du corps pour êtres surnaturels. Manque de pot, ça c'est pour la nuit, le jour elle est coincée dans le corps de Samantha, une jeune lycéenne, une malédiction causée par un sorcier qui n'a pas supporté leur rupture. Bref, difficile de concilier les deux au quotidien. Je ne peux pas en dire plus, car il ne se passe rien dans ce premier tome, l'auteur prend tout son temps pour installer son univers, un peu comme un didacticiel rébarbatif et qui traîne en longueur d'un jeu-vidéo. J'ai lu dans une chronique que l'action commençait vers la page 300, et sur 425 c'est très peu !
Côté personnage, je ne retiendrais que Syldia, le personnage principal. Elle se la joue badass qui boit du sang, ex-ange apocalyptique qui a des remords, mais cela sonne creux. Même son ton sarcastique ne m'a pas convaincue. C'est un personnage féminin hyper-sexualisé, et les hommes qui l'approche sont tous des clichés sur patte du genre. S'ils ne conviennent pas aux standards de beauté de Syldia, ce sont tous des pervers qui lui reluque les fesses/la poitrine, et le seul qui convient à ses standards la transforme en femme fontaine. Bien sûr, cet homme est inaccessible et elle ne l'aime pas (et il lui rend bien), du moins comme toute bonne bit-lit clichée, pas au début. Je le sais, parce que je me suis spoilé la suite.
Côté écriture, le vocabulaire est assez simple, et j'ai eu l'impression de lire une fanfiction, ce qui n'est pas forcément positif. Je pense que j'aurais pu être plus clémente si c'était le premier roman de l'auteur, mais ce n'est pas le cas. Le tout sonne creux et manque de profondeur, malgré un thème intéressant qui a du potentiel - le tout aurait pu me plaire si l'auteur ne s'était pas enfermé dans les clichés de ce genre littéraire. Ce qui est tout à fait possible, par exemple la saga Anita Blake de Laurell K. Hamilton est bit-lit, mais qui reste loin des clichés et apporte de la fraîcheur en ne plaçant pas le sexe dès le départ. Comme quoi, tout est possible si on s'en donne la peine !
J’ai trouvé au premier abord l’idée vraiment intéressante. Notamment le fait de mettre en avant les cavaliers de l’apocalypse. J’ai vraiment adoré, surtout que ce n’est pas quelque chose de commun en littérature. Apprendre à les découvrir, à les comprendre et à voir qui ces sœurs étaient, était vraiment passionnant. Il faut dire qu’elles ont vécu des choses complètement hors du commun. Nous nous concentrons dans cette histoire sur Famine ou encore Syldia cette jeune femme devenue garde du corps. Elle se fait engager pour protéger un sorcier, une espèce qu’elle avait voulu éviter jusque-là après s’être retrouvé avec une malédiction des plus embêtantes. Mais l’appât du gain est toujours des plus importants, surtout pour cette jeune femme adepte du shopping. Cependant, la malédiction qui pèse sur elle l’oblige à se retrouver piégée dans le corps d’une jeune fille tout à fait banale de 16 ans durant la journée. Aussi elle partage ce travail avec son associé nécromancien durant le long des négociations de paix avec les vampires. Mais notre chère Syldia ne s’attendait pas à tomber sous le charme de deux personnes, une dans chacune de ses deux vies. Desmond un sorcier des plus sexy et Nathan un jeune garçon des plus intrigants.
J’avoue que j’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire, peut-être est-ce dû au fait que je n’arrivais pas bien à mettre en relation les deux vies de notre héroïne ? Je me suis posé beaucoup de questions quant à la logique de cette transfusion d’âme du côté de Sam. Et j’avoue que je suis toujours un peu dans le flou sur certains points. Si elle est dans son corps dès la naissance, que fait-elle toute la journée ? Pleure-t-elle ? Dort-elle autant qu’un bébé ? J’ai eu un peu de mal à visualiser ce qu’il allait se passer. Je suis beaucoup plus rentrée dans l’histoire passé la moitié du roman. Tout s’accélère et j’étais curieuse de voir comment l’intrigue allait se résoudre. Et je dois dire que je ne suis pas déçue même si j’aurais vraiment beaucoup aimé assister au combat final qui a été finalement assez simple.
Syldia et Sam sont deux personnages assez différents et c’était intéressant d’apprendre à les découvrir. Elles évoluent dans deux mondes complètement différents et pourtant si proches. Nathan et Desmond sont aussi deux personnages qu’on a envie de connaître davantage dès le départ de par les mystères qui les entourent. Cependant j’ai trouvé que la tension entre Syldia et le sorcier était peut-être un peu trop présente à mon goût. Leurs relations étaient intéressantes à suivre et à voir évoluer et j’espère que nous en saurons plus bientôt.
Ce roman est donc plein de très jolies idées même si quelques points m’ont perturbé et j’espère avoir la chance de lire le second tome afin de voir si je peux obtenir plus de réponses.
Ce premier tome, comme beaucoup d'autres, pose des bases et des personnages dans un décor dans lequel ils vont évoluer. L'installation est assez longue si on prend en compte que pendant longtemps aucun but spécifique n'est établit. Ce n'est que dans le dernier quart qu'on sait dans quoi on se lance réellement, c'est aussi là qu'on en prend plein la tête. Avant ce qu'on suit n'est pas inintéressant, mais il me manquait un fil conducteur, si bien qu'un léger sentiment de longueur et le sentiment de ne pas apprécier ce que je lisais à fond, se faisaient sentir. Je trouve que l'ensemble est plein de promesses, j'ai aimé certaines choses, mais j'ai besoin d'en découvrir plus. J'ai quand même passé un très bon moment, je termine sur une note positive, la fin pour le moins réussie m'a totalement emballée et je lirai la suite avec plaisir.
En résumé, un premier tome qui m'a conquise. Des personnages attachants dès le début, des relations qui se tissent au fur et à mesure, des sentiments bien calculés et décrits. Un univers connu sur le bout des doigts et très bien amené, qui fait que je frôle le coup de cœur. Quelque chose m'a manqué pour que c'en soit un. Ne me demandez pas quoi, moi-même je le sais pas ! Une aventure que je continuerai avec plaisir. Une fin (enfin les 100 dernières pages) qui est très prenante et qu'on ne veut pas lâcher, avec des révélations auxquelles on ne s'attend pas du tout. Du coup, je suis très, très frustrée de ne pas avoir le tome 2 à portée de mains, car tellement que j'étais prise dedans, j'aurais bien été capable d'enchaîner avec la suite !
"En conclusion, ça a été une très bonne lecture pour moi, je regrette sincèrement de ne pas avoir le tome 2 sous la main, mais comme mon porte-monnaie n’est pas décidé à m’accorder d’autres faveurs pour le moment, je vais m’armer de patience ! C’était un excellent premier voyage, une surprise puisque je ne m’attendais pas à autant apprécier. Vous découvrirez une héroïne complexe qu’on prend réellement plaisir à suivre, une intrigue pleine de rebondissements que vous n’attendrez parfois pas du tout, tout ceci avec de l’humour, et bien plus encore ! C’est un univers très riche et addictif que nous présente Stéphane Soutoul ici ! Foncez, vous allez aimer ! Ce sera un 17/20 pour moi !"
Pour résumé, une mise en bouche qui se fait doucement, un univers bien imaginé et entraînant, une intrigue bien tournée et des personnages travaillés, le tout pour un début de saga prometteur.