Mieux comprendre les liens familiaux et mieux les vivre. La famille est par essence sous tension car s'entrecroisent en elle l'identité et la différence, la protection et la liberté, la transmission et la séparation.
Comment composer avec les départs et les arrivées? Comment transmettre et recevoir? Quelle est la valeur des liens de sang ?
Cet essai aborde l'ensemble des thématiques qui traversent, un jour ou l'autre, chaque membre d'une même famille. Il est question de répartitions des tâches et des biens, de rapports hiérarchiques, de protection et de violence, des nouvelles façons de faire famille comme de la persistance des schémas traditionnels.
En mêlant souvenirs intimes, pop culture, classiques de la philosophie et études sociologiques récentes, Sophie Galabru permet à chacun de comprendre ses liens familiaux et de mieux les vivre.
Dans cet essai ultra accessible, la philosophe Sophie Galabru s’empare d’un sujet aussi vaste que complexe : celui de la famille. Elle interroge les liens à l’œuvre dans les relations familiales qui oscillent entre projet commun et recherche de liberté. Une excellente réflexion pour survivre au Noël en famille !
Enfonce des portes ouvertes, beaucoup trop de références de films à mon goût, j’en connais aucun quasiment. Analyse approfondie des liens familiaux assez conservateurs, je ne me suis pas sentie représentée. Peu de nuance, soit famille violente, soit famille parfaite. Mais quelques passages éclairants sur la désacralisation du lien du sang, et de ce du qu’est la famille. Elle interroge les liens parentaux une fois que l’enfant a grandi. Est ce qu’on doit qqch à nos parents ?
Accepter la plasticité relationnelle des membres de notre famille; c’est fluctuant entre haïr et aimer. « Famille je vous haime »
Difficile de noter un tel livre : réflexion brillante sur la famille, les liens qui unissent ou désunissent, l’évolution dans la société contemporaine… Mais les écrits philosophiques ne sont pas mes lectures préférées donc je mets une note très neutre. Je garderai en tête les analyses très intéressantes et je note cette jolie phrase en conclusion : « Lieu d’accueil de la vie, la famille ne doit pas en abandonner le mouvement ni l’ouverture, malgré sa mission d’instruction et d’éducation »