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FAIRE LA ROMANCE
Faire un enfant ou faire la romance?
C'est au coeur de cette question que s'enracine ce récit intime, celui d'une femme qui doute mais qui assume ses contradictions. Une réflexion sur l'amour, la solitude, la sexualité, la maternité, la douceur à apprivoiser, les amitiés grandioses. Et surtout sur le désir brûlant de façonner sa vie soi-même.
«Ce livre, il s'écrit pour m'aider à accepter de ne pas vouloir. Mais aussi, peut-être, pour m'aider à accepter de vouloir. Je suis affaiblie par une incertitude qui ne me ressemble pas. Être mère ou ne pas être mère, c'est, pour moi, une quête identitaire. Et c'est la plus grande question de ma vie. »
C'est au coeur de cette question que s'enracine ce récit intime, celui d'une femme qui doute mais qui assume ses contradictions. Une réflexion sur l'amour, la solitude, la sexualité, la maternité, la douceur à apprivoiser, les amitiés grandioses. Et surtout sur le désir brûlant de façonner sa vie soi-même.
«Ce livre, il s'écrit pour m'aider à accepter de ne pas vouloir. Mais aussi, peut-être, pour m'aider à accepter de vouloir. Je suis affaiblie par une incertitude qui ne me ressemble pas. Être mère ou ne pas être mère, c'est, pour moi, une quête identitaire. Et c'est la plus grande question de ma vie. »
198 pages, Paperback
Published November 6, 2023
204 people are currently reading
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 561 reviews
January 13, 2024
J’avoue être très mitigée quant à ma critique. J’ai pris quelques jours suivant ma lecture pour y réfléchir et tenter d’y voir plus clair, mais en vain. Comme j’écris cette critique, je ne sais toujours pas si j’ai aimé le livre ou non.
D’abord, si je devais mettre une note sur la plume de l’autrice, je donnerais assurément 10 étoiles. Sarah-Maude Beauchesne, ce sont des mots et des tournures de phrases à faire rêver. C’est délicieux à lire et j’en reprendrais toujours plus.
Par contre, j’ai moins accroché à ma lecture. À un point où lorsque mon livre arrivait à échéance à la bibliothèque, j’ai pensé le retourner avant de l’avoir terminé. Je voyais la quantité de pages à finir et ça ne me tentait juste pas… j’ai l’impression d’avoir déjà lu son histoire. C’est peut-être parce que j’aime trop cette autrice? J’ai tout lu, tout vu, tout aimé. J’étais donc déjà au courant de cette réflexion et on dirait que le livre ne m’a rien appris de nouveau, que ce n’était que redondance avec son œuvre Fourchette. Il y avait beaucoup de répétition à même l’œuvre également. Je ne compte pas le nombre de fois où elle mentionne un cunni généreux. Je ne sais pas… toute cette répétition m’a achalée.
Évidemment, Sarah-Maude a toujours vécu une vie diamétralement opposée à la mienne alors c’est certain que c’est plus difficile pour moi de m’y identifier, même si j’admire énormément la femme qu’elle est.
Bref, je vais continuer de réfléchir à ma notation finale. Peut-être qu’elle évoluera au fil des jours lorsque je repenserai à l’œuvre!
D’abord, si je devais mettre une note sur la plume de l’autrice, je donnerais assurément 10 étoiles. Sarah-Maude Beauchesne, ce sont des mots et des tournures de phrases à faire rêver. C’est délicieux à lire et j’en reprendrais toujours plus.
Par contre, j’ai moins accroché à ma lecture. À un point où lorsque mon livre arrivait à échéance à la bibliothèque, j’ai pensé le retourner avant de l’avoir terminé. Je voyais la quantité de pages à finir et ça ne me tentait juste pas… j’ai l’impression d’avoir déjà lu son histoire. C’est peut-être parce que j’aime trop cette autrice? J’ai tout lu, tout vu, tout aimé. J’étais donc déjà au courant de cette réflexion et on dirait que le livre ne m’a rien appris de nouveau, que ce n’était que redondance avec son œuvre Fourchette. Il y avait beaucoup de répétition à même l’œuvre également. Je ne compte pas le nombre de fois où elle mentionne un cunni généreux. Je ne sais pas… toute cette répétition m’a achalée.
Évidemment, Sarah-Maude a toujours vécu une vie diamétralement opposée à la mienne alors c’est certain que c’est plus difficile pour moi de m’y identifier, même si j’admire énormément la femme qu’elle est.
Bref, je vais continuer de réfléchir à ma notation finale. Peut-être qu’elle évoluera au fil des jours lorsque je repenserai à l’œuvre!
January 12, 2024
3.5. J’avais tellement d’attentes envers ce livre, en tant que femme nullipare qui, de temps en temps, a un minuscule doute sur son choix.
Mais le livre ne parle, au final, pas trop de la maternité et du choix qui vient avec. L’autrice en traite dans quelques passages concentrés, puis revient à une longue description de sa vie qui constitue un parfait exemple de la gauche caviar montréalaise (dont je fais sans honte partie), en version hétéro. C’est plus une célébration de la sororité et de la consommation de vin qu’autre chose (qui sont d’excellents sujets littéraires aussi!)
Bref, j’aurais voulu une réflexion plus poussée sur le choix de la nulliparité et de la tergiversation qui vient avec.
Mais le livre ne parle, au final, pas trop de la maternité et du choix qui vient avec. L’autrice en traite dans quelques passages concentrés, puis revient à une longue description de sa vie qui constitue un parfait exemple de la gauche caviar montréalaise (dont je fais sans honte partie), en version hétéro. C’est plus une célébration de la sororité et de la consommation de vin qu’autre chose (qui sont d’excellents sujets littéraires aussi!)
Bref, j’aurais voulu une réflexion plus poussée sur le choix de la nulliparité et de la tergiversation qui vient avec.
January 3, 2025
2.5 ⭐️
Écoutez, je suis bien contente qu'aujourd'hui on se donne le choix en tant que femme d'avoir des enfants ou non, mais les arguments évoqués dans ce récit m'ont particulièrement fait sourciller. Pas vouloir d'enfants pour... attirer l'attention? 🤔 J'ai trouvé cette réflexion un peu curieuse, mais peut-être que c'est un réel argument pour certaines femmes.
Je comprends que je ne comprendrai probablement jamais parce que pour moi j'ai toujours su que j'en voulais des enfants. Plus tard, peut-être adoptés, peut-être avec une mère porteuse. On se sait jamais où la vie nous mène, mais j'en voulais.
Il faut savoir que j'ai vraiment une écoeurantite des gens qui définissent la parentalité comme quelque chose d'absolument négatif, une perte de liberté, une perte de soi. (C’pas de la faute de l’autrice. It’s a me-problem, mais c’est ma revue.) Pour moi, c'est tellement, mais TELLEMENT plus que ça.
Bien sûr que certaines personnes se retrouveront dans ce livre et tant mieux, mais moi ça m'a juste rappelé tous les gens qui me font presque sentir comme une extraterrestre parce que moi je vis très bien la maternité.
(Et oui, j'ai une carrière, des hobbies.. et un enfant. Incroyable, han? 🙃)
J'envie absolument zéro les gens qui boivent leur vin nature toute seule chez eux le soir en écoutant Netflix. Et vous savez quoi? Si j'avais vraiment envie de boire un vin nature le soir en écoutant Netflix, je pourrais le faire. Et oui, même avec un enfant en bas de 2 ans.
Il faut arrêter de penser que quand on a un enfant, tous nos envies et intérêts prennent le bord et que notre vie s'arrête. On reste nous-même... avec un enfant.
Malgré tout ça, bien évidemment qu'on peut ne pas vouloir d'enfants quand même.
Bref, j'ai été gossée, mais en lisant d'autres revues, je vois bien que ça parle beaucoup à d'autres. À vous de juger!
Écoutez, je suis bien contente qu'aujourd'hui on se donne le choix en tant que femme d'avoir des enfants ou non, mais les arguments évoqués dans ce récit m'ont particulièrement fait sourciller. Pas vouloir d'enfants pour... attirer l'attention? 🤔 J'ai trouvé cette réflexion un peu curieuse, mais peut-être que c'est un réel argument pour certaines femmes.
Je comprends que je ne comprendrai probablement jamais parce que pour moi j'ai toujours su que j'en voulais des enfants. Plus tard, peut-être adoptés, peut-être avec une mère porteuse. On se sait jamais où la vie nous mène, mais j'en voulais.
Il faut savoir que j'ai vraiment une écoeurantite des gens qui définissent la parentalité comme quelque chose d'absolument négatif, une perte de liberté, une perte de soi. (C’pas de la faute de l’autrice. It’s a me-problem, mais c’est ma revue.) Pour moi, c'est tellement, mais TELLEMENT plus que ça.
Bien sûr que certaines personnes se retrouveront dans ce livre et tant mieux, mais moi ça m'a juste rappelé tous les gens qui me font presque sentir comme une extraterrestre parce que moi je vis très bien la maternité.
(Et oui, j'ai une carrière, des hobbies.. et un enfant. Incroyable, han? 🙃)
J'envie absolument zéro les gens qui boivent leur vin nature toute seule chez eux le soir en écoutant Netflix. Et vous savez quoi? Si j'avais vraiment envie de boire un vin nature le soir en écoutant Netflix, je pourrais le faire. Et oui, même avec un enfant en bas de 2 ans.
Il faut arrêter de penser que quand on a un enfant, tous nos envies et intérêts prennent le bord et que notre vie s'arrête. On reste nous-même... avec un enfant.
Malgré tout ça, bien évidemment qu'on peut ne pas vouloir d'enfants quand même.
Bref, j'ai été gossée, mais en lisant d'autres revues, je vois bien que ça parle beaucoup à d'autres. À vous de juger!
December 13, 2023
J’ai révisé ma note, parce que le livre m’habite encore, quelques jours après l’avoir refermé. C’est tellement important comme sujet et c’est habilement traité. Je me suis reconnu dans tellement de passages. C’est vrai que de penser à la maternité ça donne l’impression que je devrai recommencer ma vie une deuxième fois.. pis maudit que j’ai pas envie de la recommencer. Pas maintenant en tout cas. Mais je veux des enfants, alors je n’aurai pas le choix de me jeter dans la vide? Fuck. Merci pour ce texte, ça nous fait sentir moins seules, moins seules avec nos pensées envahissantes. Être une femme c’est complexe. On est remplies de contradictions à chaque jour de notre vie et SMB legitimise ces sentiments. Ça fait vraiment vraiment du bien.
December 26, 2023
Ça faisait un bout que j’entendais du bien de ce récit.
On y suit la réflexion de l’auteure oscillant entre son refus de la maternité et son « envie» à la fois. Je me suis reconnue à quelques reprises dans le livre : l’amour de la liberté , de l’écriture et le refus des codes établis.
J’ai trouvé que l’auteure était parfois trop légère dans son propos. Je n’ai pas ressenti le deuil fracassant que j’ai moi-même exploré durant mes constats et mes réflexions sur la maternité.
Je ne suis pas certaine qu’elle réalise l’éternel échos de l’absence même choisie suite à une décision d’être nullipare. Je ne crois pas qu’elle mesure l’ampleur du beau esquivé.
La liberté et l’absence qui cohabitent à la fois à une saveur particulière, moins jouissive que ce que l’on croit. Le constant combat pour trouver un sens, une valeur et un but peut être fastidieux. La marginalité, essoufflante. Ce que l’on vit nous façonne autant que ce que l’on ne vit pas. Ça, je ne le savais pas.
Ce sentiment de ne pas faire partie de la danse cosmique de la vie. Cette impression d’être spectateur du plus magique sans pouvoir l’expérimenter peut nous faire perdre rapidement l’équilibre.
Certainement, nous possédons le temps, la liberté, notre destinée et notre pouvoir créateur. Et il y certes, une certaine jouissance à se faufiler au travers de tous les recoins des pièces de la maison. J’aime être une femme libre.
Nous sommes aériennes , en lévitation, en transparence. Nous sommes surtout épargnée de ces hommes qui aiment mal, qui dominent, qui égratignent. On contrôle le navire. On est notre propre capitaine. Ça, c’est une chance, ou une responsabilité excitante.
La réalité des nullipares est beaucoup plus complexe et vertigineuse que ce que Sarah traite dans son livre. Elle le réfléchit trop simplement à certains moments.
Néanmoins, c’est libérateur et drôlement rafraîchissant qu’une femme s’arrête sur le sujet en toute authenticité.
On y suit la réflexion de l’auteure oscillant entre son refus de la maternité et son « envie» à la fois. Je me suis reconnue à quelques reprises dans le livre : l’amour de la liberté , de l’écriture et le refus des codes établis.
J’ai trouvé que l’auteure était parfois trop légère dans son propos. Je n’ai pas ressenti le deuil fracassant que j’ai moi-même exploré durant mes constats et mes réflexions sur la maternité.
Je ne suis pas certaine qu’elle réalise l’éternel échos de l’absence même choisie suite à une décision d’être nullipare. Je ne crois pas qu’elle mesure l’ampleur du beau esquivé.
La liberté et l’absence qui cohabitent à la fois à une saveur particulière, moins jouissive que ce que l’on croit. Le constant combat pour trouver un sens, une valeur et un but peut être fastidieux. La marginalité, essoufflante. Ce que l’on vit nous façonne autant que ce que l’on ne vit pas. Ça, je ne le savais pas.
Ce sentiment de ne pas faire partie de la danse cosmique de la vie. Cette impression d’être spectateur du plus magique sans pouvoir l’expérimenter peut nous faire perdre rapidement l’équilibre.
Certainement, nous possédons le temps, la liberté, notre destinée et notre pouvoir créateur. Et il y certes, une certaine jouissance à se faufiler au travers de tous les recoins des pièces de la maison. J’aime être une femme libre.
Nous sommes aériennes , en lévitation, en transparence. Nous sommes surtout épargnée de ces hommes qui aiment mal, qui dominent, qui égratignent. On contrôle le navire. On est notre propre capitaine. Ça, c’est une chance, ou une responsabilité excitante.
La réalité des nullipares est beaucoup plus complexe et vertigineuse que ce que Sarah traite dans son livre. Elle le réfléchit trop simplement à certains moments.
Néanmoins, c’est libérateur et drôlement rafraîchissant qu’une femme s’arrête sur le sujet en toute authenticité.
September 17, 2024
Je pensais initialement ne pas avoir besoin de ce livre. Après tout, je souhaite fondamentalement être mère alors pourquoi lire cette remise en questions? Au final, la plume de Sarah-Maude était exactement ce que j’avais besoin. On définit notre propre liberté à travers la sienne et on découvre notre pouvoir de femme. C’est beau, vraiment beau.
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February 28, 2024Vraiment une belle lecture, avec une très belle plume portant sur un sujet d’actualité qui, ma foi, n’est pas assez discuté à mon avis et qui porte vraiment à réfléchir. J’ai dévoré!
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September 8, 20243.5 ⭐️ J’ai décidé de lire ce livre après avoir entendu Sarah-Maude au podcast La vie sociale. Tout d’abord, quelle plume! Toutefois, ça n’a pas été un coup de cœur. J’avais pas nécessairement hâte de me plonger dans la lecture, mais certains passages, surtout vers la fin, ont davantage retenu mon attention. Le truc est que je pensais que le livre porterait principalement sur la maternité et la non-maternité (c'est l'impression que j'avais eue quand les médias en parlait), mais ce sujet met du temps à être abordé. Cela dit, la quatrième de couverture mentionne bien la diversité des thèmes, ce à quoi j'aurais dû me fier davantage. :) Finalement, je dois dire que c’est rafraîchissant d’avoir une auteure comme elle au Québec; ouverte, créative, assumée et franche. Bravo pour ça! 💗
February 1, 2024
Le ton m’a beaucoup gossé, j’ai trouvé que c’était très show off par moment. Par contre les réflexions, du moins les pistes de réflexions sont sincèrement intéressantes. Et ça prend la moitié du livre avant de se plonger vraiment dans les réflexions concernant la maternité…
December 30, 2023
WoW ! J'ai tout aimé, incapable de m'arrêter.
C'était comme si je jasais avec mes bests, juste du baume sur le coeur.
C'était comme si je jasais avec mes bests, juste du baume sur le coeur.
February 20, 2024
Sarah-Maude Beauchesne a clairement l’âme d’une artiste-écrivaine. Elle a une plume romantique (je parle bien ici du courant artistique): à la fois intense, mais douce, puissante et authentique. Et pour cela je la salue car elle a un talent magnifique.
Malheureusement, au-delà de cela j’ai décroché. J’ai l’impression que c’est à cause de nos expériences personnelles qui sont trop différentes. À propos des hommes, du féminisme, de l’amitié, mais surtout de la question de maternité. Je ne me tourmente pas autant l’esprit qu’elle, j’ai des idées quand même très claires sur qui je suis en tant que femme et pourquoi je ne veux pas d’enfants dans ma vie. J’ai trouvé ses interrogations intéressantes, mais ses réflexions sont parfois un peu trop intenses (égocentriques même, mais tser on est quand même dans une autobiographie). Je trouve que parfois elle manque de nuances sur certains aspects (ses réflexions parfois généralisantes sur les hommes m’ont peiné), mais c’est imparfait et elle a le droit de s’assumer, de ressentir et vivre ce qu’elle vit, c’est pourquoi ma note se situe au milieu.
Je ne regrette pas ma lecture de son autobiographie, mais disons que je vais rester davantage avec ses romans si jamais je la recroise. Ses mots sauront certainement se frayer un chemin dans les interrogations de certaines femmes, mais je dois avouer qu’ici je n’avais peut-être pas la même sensibilité qu’elle pour ces sujets touchy.
Malheureusement, au-delà de cela j’ai décroché. J’ai l’impression que c’est à cause de nos expériences personnelles qui sont trop différentes. À propos des hommes, du féminisme, de l’amitié, mais surtout de la question de maternité. Je ne me tourmente pas autant l’esprit qu’elle, j’ai des idées quand même très claires sur qui je suis en tant que femme et pourquoi je ne veux pas d’enfants dans ma vie. J’ai trouvé ses interrogations intéressantes, mais ses réflexions sont parfois un peu trop intenses (égocentriques même, mais tser on est quand même dans une autobiographie). Je trouve que parfois elle manque de nuances sur certains aspects (ses réflexions parfois généralisantes sur les hommes m’ont peiné), mais c’est imparfait et elle a le droit de s’assumer, de ressentir et vivre ce qu’elle vit, c’est pourquoi ma note se situe au milieu.
Je ne regrette pas ma lecture de son autobiographie, mais disons que je vais rester davantage avec ses romans si jamais je la recroise. Ses mots sauront certainement se frayer un chemin dans les interrogations de certaines femmes, mais je dois avouer qu’ici je n’avais peut-être pas la même sensibilité qu’elle pour ces sujets touchy.
February 6, 2025
J’ai TOUT aimé de ce livre, c’est une vraie pépite✨ J’ai reconnu Sarah-Maude Beauchesne à travers ce livre, dans ses tournures de phrases, ses expressions, bref j’adore sa plume. J’ai aimé aussi reconnaître des passages qui me faisaient pensé à ceux écrits dans son livre Fourchette ou bien dans la série. Je recommande c’est une belle hymne à la femme🫶🏻
June 23, 2024
Le review à venir après le book club 📖🤍
Update : Malgré le fait que j’ai pas trop relate à ses réflexions sur la maternité, j’ai vraiment aimé! Ses réflexions sur les relations amoureuses, sur les hommes et sur les amitiés sont vraiment venu me rejoindre. Et la plume de SMB est simplement magnifique. ❤️
Update : Malgré le fait que j’ai pas trop relate à ses réflexions sur la maternité, j’ai vraiment aimé! Ses réflexions sur les relations amoureuses, sur les hommes et sur les amitiés sont vraiment venu me rejoindre. Et la plume de SMB est simplement magnifique. ❤️
February 17, 2024
3.5 (un belle moyenne entre un 4.5 pour le divertissement et un 3.5 pour la réflexion)
D'un côté, j'ai dévoré l'ouvrage en quelques jours, donc clairement, ma lecture m'a plu.
J'ai un faible pour une plume romantique et les histoires d'amour auto-biographiques, et les références épicuriennes québécoises «relatable»* enjolivées ont assurément gardé mon attention....
*mais «relatable»? Pas vraiment, et c'est justement un de mes problèmes avec ce livre. Entre les paniers de frites au Leméac, le vin rouge bu dans les baluchons et les robes Silk à 500$, j'avais de la difficulté à parfois suivre quelle était la vraie intention de l'autrice par cet essai.
Je perdais le cap sur son but énoncé dès la 1ère page du livre, soit de nous partager une réflexion sur la maternité.
J'avais l'impression que l'autrice avait un besoin viscéral prétentieux d'attention, de par sa plume enjolivée et sa glorification du quotidien.
C'était prétentieux. Mais en même temps. Elle l'assume.
Je suis ambivalente. Pourquoi est-ce j'ai ressenti tant d'aversion pour la prétention de l'autrice? Est-ce car, même si je sais que je veux des enfants, certains propos tabous (i.e. perdre de l'attention en ayant un enfant, être trop fatiguée pour se donner comme mère, perdre sa liberté), dans toute leur «je me regarde le nombril» m'ont touchée?
Est-ce que son aplomb, son snobisme et ses ambivalences rendent justement sa réflexion plus vraie et je devrais admirer ça? Devrais-je être respectueuse qu'une femme se se soit livrée à nue dans toute sa prétention et ses traits narcissiques? Peut-être? Mais est-ce que moi j'ai le droit de ne pas vouloir vivre en suivant ses valeurs, qui m'effraient dans leur prétention? Ça, oui.
Sur ce, bien hâte d'en jaser autour d'un vin rouge léger et d'un panier de frites dans une buvette avec mes chums de filles cette semaine ;)
D'un côté, j'ai dévoré l'ouvrage en quelques jours, donc clairement, ma lecture m'a plu.
J'ai un faible pour une plume romantique et les histoires d'amour auto-biographiques, et les références épicuriennes québécoises «relatable»* enjolivées ont assurément gardé mon attention....
*mais «relatable»? Pas vraiment, et c'est justement un de mes problèmes avec ce livre. Entre les paniers de frites au Leméac, le vin rouge bu dans les baluchons et les robes Silk à 500$, j'avais de la difficulté à parfois suivre quelle était la vraie intention de l'autrice par cet essai.
Je perdais le cap sur son but énoncé dès la 1ère page du livre, soit de nous partager une réflexion sur la maternité.
J'avais l'impression que l'autrice avait un besoin viscéral prétentieux d'attention, de par sa plume enjolivée et sa glorification du quotidien.
C'était prétentieux. Mais en même temps. Elle l'assume.
Je suis ambivalente. Pourquoi est-ce j'ai ressenti tant d'aversion pour la prétention de l'autrice? Est-ce car, même si je sais que je veux des enfants, certains propos tabous (i.e. perdre de l'attention en ayant un enfant, être trop fatiguée pour se donner comme mère, perdre sa liberté), dans toute leur «je me regarde le nombril» m'ont touchée?
Est-ce que son aplomb, son snobisme et ses ambivalences rendent justement sa réflexion plus vraie et je devrais admirer ça? Devrais-je être respectueuse qu'une femme se se soit livrée à nue dans toute sa prétention et ses traits narcissiques? Peut-être? Mais est-ce que moi j'ai le droit de ne pas vouloir vivre en suivant ses valeurs, qui m'effraient dans leur prétention? Ça, oui.
Sur ce, bien hâte d'en jaser autour d'un vin rouge léger et d'un panier de frites dans une buvette avec mes chums de filles cette semaine ;)
January 3, 2024
ôde à l'amour.
ôde à la romance.
ôde à la sexualité féminine.
ôde à la féminité.
ôde à la maternité.
ôde à la nulliparité.
ôde à la maturité.
ôde à l'authenticité.
ôde à la vulnérabilité.
gros gros must. ❤️
ôde à la romance.
ôde à la sexualité féminine.
ôde à la féminité.
ôde à la maternité.
ôde à la nulliparité.
ôde à la maturité.
ôde à l'authenticité.
ôde à la vulnérabilité.
gros gros must. ❤️
dnf
February 24, 2024😳😬🫥 ouinnnnnnnn moi j'ai pas connecté pentoute et ça me rends juste anxieuse
January 23, 2024
« Quand je m’imagine mère, j’imagine aussi ma renaissance. Pour moi, c’est intimement lié, l’un ne va pas sans l’autre. J’ai l’impression que je recommencerai ma vie à zéro, que j’entamerais une toute nouvelle existence, que tout ce que j’aurais vécu avant de tomber enceinte serait déconnecté de ce qui se prépare. Et je ne sais pas si j’ai l’énergie de recommencer. Je trouve ça long, deux vies, je trouve ça essoufflant aussi. Je devrais tout apprendre, tout ressentir pour la première fois, et juste d’y penser, le souffle me manque. »
January 22, 2024
J’ai beaucoup aimé les derniers chapitre et la 2e moitié du livre. Un tel point que je bump mon rating original de 4 à 4.5!
January 24, 2024
Percutant
January 9, 2024
Juste merci merci merci 🤍❤️
April 18, 2024
4,5 ⭐️
Gros coup de coeur pour la plume de l’autrice.
Gros coup de coeur pour la plume de l’autrice.
November 12, 2023
Ouf.
C’est le premier mot qui me sort en terminant ce gros coup de cœur. C’est plus qu’un coup de cœur, j’irais même jusqu’à dire que c’est dans mon petit top 10 de vie.
J’ai dévoré ce livre en voulant continuer ma lecture vite vite et toujours m’arrêter pour savourer, relire à voix haute, faire la lecture, recopier, annoter, envoyer des passages en photos à mes amies.
J’ai été touchée, chamboulée, ébranlée, émue et charmée.
Dans ce livre magnifique, l’autrice, Sarah-Maude Beauchesne, aborde de front une grande question existentielle : être ou ne pas être mère. À travers ces questionnements, plusieurs autres font surface : les relations amoureuses et amicales, la liberté, l’apprivoisement de sa solitude, les liens familiaux, le fait d’avoir le choix, l’hétéronormativité, et j’en passe.
Le fait de choisir de ne pas avoir d’enfant est encore tellement tabou en 2023 (surtout pour les femmes), et l’autrice traite avec un doigté impeccable ces questions si délicates et personnelles.
J’ai vraiment adoré ma lecture. Je vais continuer de relire des passages pendant longtemps.
C’est le premier mot qui me sort en terminant ce gros coup de cœur. C’est plus qu’un coup de cœur, j’irais même jusqu’à dire que c’est dans mon petit top 10 de vie.
J’ai dévoré ce livre en voulant continuer ma lecture vite vite et toujours m’arrêter pour savourer, relire à voix haute, faire la lecture, recopier, annoter, envoyer des passages en photos à mes amies.
J’ai été touchée, chamboulée, ébranlée, émue et charmée.
Dans ce livre magnifique, l’autrice, Sarah-Maude Beauchesne, aborde de front une grande question existentielle : être ou ne pas être mère. À travers ces questionnements, plusieurs autres font surface : les relations amoureuses et amicales, la liberté, l’apprivoisement de sa solitude, les liens familiaux, le fait d’avoir le choix, l’hétéronormativité, et j’en passe.
Le fait de choisir de ne pas avoir d’enfant est encore tellement tabou en 2023 (surtout pour les femmes), et l’autrice traite avec un doigté impeccable ces questions si délicates et personnelles.
J’ai vraiment adoré ma lecture. Je vais continuer de relire des passages pendant longtemps.
May 15, 2024
Réflexions sur le concept de non-maternité et le statut de la femme. ❤️
August 3, 2024
Sarah-Maude est sûrement une des personnes que j’admire le plus sur la Terre, mais surtout, je trouve qu’elle écrit tout haut beaucoup de choses que j’aimerais moi aussi dire ou écrire. J’aime sa façon d’écrire et je ne pourrai jamais me tanner de tout ce qu’elle a à dire. C’est rassurant de voir qu’il y a des gens comme nous qui ne vivent pas une vingtaine comme un conte de fée et qui ont aussi de la difficulté à se trouver et à trouver l’amour dans notre monde de fou. Par conte, c’est rassurant de voir qu’elle a trouvé un homme qui lui fait du bien. Pour ce qui est de la maternité, je trouve beau qu’elle soit capable d’exprimer son opinion haut et fort et je lui souhaite de vivre en paix avec son choix peut importe ce qu’il sera. Pour finir, chaque fois je le lis ou j’écoute des choses d’elle, je me dis que j’aimerais avoir une amie comme elle.
August 2, 2025
Un livre qui aurait pu être écrit pour moi, ça fait réfléchir et même pleurer 🥺
April 11, 2024
j’ai eu les larmes aux yeux plus d’une fois mais je sais pas si je suis un bon indicatif
June 23, 2024
Book club material🫣
3,5⭐️
3,5⭐️
January 9, 2024
c’est une magnifique lecture, sincèrement! mais je me suis sentie moins interpellée que j’aurais eu envie de l’être. mauvais timing de lecture? je sais pas. mais j’ai pas eu un « effet wow » comme tout le monde semble l’avoir eu 🥲 ..
May 10, 2024
Je dois dire que mes attentes étaient assez élevées pour ce roman. J’avais hâte de réfléchir sur les thèmes de l’amour, de l’amitié, de la place des femmes et de la sexualité. Par contre, j’ai trouvé que les thèmes étaient abordés en surface dans la première moitié du roman, puisque l’autrice se concentrait sur ses histoires et ses expériences personnelles. C’était difficile pour moi de m’identifier à ses expériences, qui sont très différentes des miennes.
Les derniers chapitres m’ont plu davantage🩷
Malgré le fait que j’ai toujours rêvé d’avoir des enfants, j’étais curieuse d’en apprendre plus sur le désir de non-maternité, une décision tout autant valide qui est encore trop souvent jugée et incomprise. Merci à l’autrice d’avoir mis des mots sur des sentiments partagés, de nous offrir une nouvelle vision de notre avenir en tant que femmes et de nous encourager à s’affirmer dans les différents aspects de notre vie.
March 3, 2024
Le livre qui devrait être lu par toutes les femmes de notre génération.
——
J’ai trouvé qu’il y avait plusieurs longueurs dans la première partie du livre, surtout que plusieurs histoires sont reprises de sa série télé « Les fourchettes ». Ça l’a par contre valu la peine de continuer, car la deuxième moitié m’a complètement renversé.
Sarah-Maude Beauchesne a le talent de rendre chacune de nos interrogations et anxiétés plus romantiques les unes que les autres. Elle nous fait tombé en amour avec la complexité de la femme, empreinte des plus belles contradictions.
Je l’admire pour sa façon de décortiquer les relations. Ca me donne envie d’aller plus loin et d’oublier toute construction sociale.
Elle me fait sentir libre. Libre de vivre à mon rythme, selon mes rêves du moment. Et cela, c’est le plus beau des cadeaux.
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J’ai trouvé qu’il y avait plusieurs longueurs dans la première partie du livre, surtout que plusieurs histoires sont reprises de sa série télé « Les fourchettes ». Ça l’a par contre valu la peine de continuer, car la deuxième moitié m’a complètement renversé.
Sarah-Maude Beauchesne a le talent de rendre chacune de nos interrogations et anxiétés plus romantiques les unes que les autres. Elle nous fait tombé en amour avec la complexité de la femme, empreinte des plus belles contradictions.
Je l’admire pour sa façon de décortiquer les relations. Ca me donne envie d’aller plus loin et d’oublier toute construction sociale.
Elle me fait sentir libre. Libre de vivre à mon rythme, selon mes rêves du moment. Et cela, c’est le plus beau des cadeaux.
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