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Section de Recherche de Paris #1
La Conjuration primitive
Et si seul le Mal pouvait combattre le Mal ?
Une véritable épidémie de meurtres ravage la France.
Plus que des rituels, les scènes de crimes sont un langage.
Et les morts semblent se répondre d’un endroit à l’autre.
Plusieurs tueurs sont-ils à l’œuvre ? Se connaissent-ils ?
Et si c’était un jeu ?
Mais très vite, l’hexagone ne leur suffit plus :
l’Europe entière devient l’enjeu de leur monstrueuse compétition.
Pour essayer de mettre fin à cette escalade dans l’horreur, une brigade de gendarmerie pas tout à fait comme les autres et un célèbre profiler, appelé en renfort pour tenter de comprendre.
De Paris à Québec en passant par la Pologne et l’Ecosse, Maxime Chattam nous plonge dans cette terrifiante Conjuration primitive, qui explore les pires déviances de la nature humaine.
Une véritable épidémie de meurtres ravage la France.
Plus que des rituels, les scènes de crimes sont un langage.
Et les morts semblent se répondre d’un endroit à l’autre.
Plusieurs tueurs sont-ils à l’œuvre ? Se connaissent-ils ?
Et si c’était un jeu ?
Mais très vite, l’hexagone ne leur suffit plus :
l’Europe entière devient l’enjeu de leur monstrueuse compétition.
Pour essayer de mettre fin à cette escalade dans l’horreur, une brigade de gendarmerie pas tout à fait comme les autres et un célèbre profiler, appelé en renfort pour tenter de comprendre.
De Paris à Québec en passant par la Pologne et l’Ecosse, Maxime Chattam nous plonge dans cette terrifiante Conjuration primitive, qui explore les pires déviances de la nature humaine.
462 pages, Paperback
First published May 2, 2013
73 people are currently reading
1328 people want to read
About the author
Maxime Chattam
85 books998 followersEnfant discret, Maxime Chattam grandit en région parisienne. Il n'est pas particulièrement brillant à l'école mais se passionne pour le cinéma. A quatorze ans, après avoir regardé le film 'Stand by Me', il se met à le réécrire en rajoutant des péripéties. Il découvre le livre 'Le Seigneur des anneaux' et les romans de science-fiction de Stephen King notamment. Il suit le cours Simon, devient figurant dans un spectacle de Robert Hossein, et joue dans plusieurs téléfilms. Son premier livre, plein d'humour, s'intitule 'Le Coma des mortels'. Il fait plusieurs petits boulots et reprend ses études de lettres modernes à la fac. Pour se faire connaître du milieu du livre, il entre à la FNAC, mais n'a toujours pas envoyé de manuscrit aux maisons d'édition. Il suit une formation de criminologie pendant un an où il étudie la psychiatrie criminelle, la police technique et scientifique et la médecine légale. Il assiste même à des autopsies et rencontre des spécialistes pour préparer son roman. Toujours libraire, il consacre ses week-ends à son projet de thriller. Il rédige 'L' Ame du mal' en 2001 et l'envoie à trois maisons d'édition. Un soir, Michel Lafon le contacte et lui propose de signer un contrat. 'In Tenebris' sort en mars 2003 alors qu'il est déjà en train d'écrire 'Maléfices'. Cette même année, il achève le troisième opus de la trilogie 'Maléfices'. Il publie en 2005 'Le Sang du temps'. En tout, Maxime Chattam signe cinq romans et parvient à réaliser son rêve d'enfant.
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 232 reviews
January 20, 2022
Premier Maxime Chattam et je ne voulais pas de fantastique. Suite aux recommandations des copines (UC le sang) je me lance avec la conjuration primitive. Bien glauque, bien retournements de situations, tout ce que j'aime.
Bon, je connaissais déjà la réputation du monsieur comme étant un des pires quand il était question de crimes et de choses glauques. Dans ce livre, on est servis. Pour les amateurs de boucheries criminelles (dans les thriller hein), c'est un régal, il est à la hauteur de sa réputation. De plus, le dénouement était assez inventif et le plot twist (la mort d'Alexis) au milieu de l'histoire qui m'a faite hurler. J'étais amusée parce que c'est absolument inattendu (oui, c'est le but vous me direz) mais en même temps, on se demande si un auteur osera vraiment le faire. Le fameux "Non, il osera pas. Mais non... il va le faire ?!!". Si, Maxime Chattam a tué son personnage principal et salement. C'est abominablement jouissif et il le sait ce malandrin.
Les points négatifs sont moins nombreux mais prennent l'avantage, surtout quand ils concernent les thrillers, genre littéraire que j'aime d'amour. Tout d'abord, et c'est très personnel, si je n'ai pas vu le plot twist venir, j'ai en revanche compris très rapidement une des ficelles utilisées par les criminels. Ce n'est pas un vrai point négatif parce qu'il fallait y penser et que certains font abstraction facilement pendant leur lecture mais ça faisait tellement sens (les alarmes) et voir les flics patauger pendant plusieurs pages alors que sous leur nez, ça m'a un tantinet soûlée qu'on se le dise.
Ensuite, et c'est le plus gros hic, c'est le personnage principal. Vous me direz, il meurt, inutile d'en faire des caisses. Sauf qu'on est en sa compagnie pendant un long moment et c'est sincèrement gênant d'avoir un protagoniste pareil. Je ne connais pas plus que cela monsieur Chattam ni la place qu'il accorde aux femmes dans ses écrits mais je suis globalement fatiguée de lire des thrillers avec des personnages féminins si peu voire mal considérés, quand bien même l'auteur embrasse le point de vue de ses personnages.
Pour donner le contexte, il s'agit d'une scène d'autopsie.
Si j'ai manqué une clef de lecture, dites-moi mais là, pour moi, c'est trop ronflant, très cliché et lourd dans le style Alexis est un homme hétéro qui aime les femmes, il ne les considère qu'en morceaux de corps. D'autant plus qu'un autre personnage important est porté aux nues, décrit d'une façon presque romantique, bien différente de Ludivine. On ne s'attarde pas sur son petit cul bien moulé, ni sur ses pectoraux saillants. Lui avait droit aux regards qui pénètrent, aux mains calleuses qui ont vécu, etc. Pour dire, j'en étais à marquer les passages avec un post-it "pas très hétéro" à chaque fois qu'Alexis s'attardait sur Mikelis. Comme s'il était obligé de sur-performer l'hétérosexualité pour qu'on sache. J'ignore si c'était la volonté de Chattam de proposer un héros bien marqué, bien hétéro cliché et le rendre de fait détestable ou s'il voulait donner un autre tournant au personnage. Cependant, on peut écrire des personnages masculins hétérosexuels sans trop en faire...
Bon, je connaissais déjà la réputation du monsieur comme étant un des pires quand il était question de crimes et de choses glauques. Dans ce livre, on est servis. Pour les amateurs de boucheries criminelles (dans les thriller hein), c'est un régal, il est à la hauteur de sa réputation. De plus, le dénouement était assez inventif et le plot twist (la mort d'Alexis) au milieu de l'histoire qui m'a faite hurler. J'étais amusée parce que c'est absolument inattendu (oui, c'est le but vous me direz) mais en même temps, on se demande si un auteur osera vraiment le faire. Le fameux "Non, il osera pas. Mais non... il va le faire ?!!". Si, Maxime Chattam a tué son personnage principal et salement. C'est abominablement jouissif et il le sait ce malandrin.
Les points négatifs sont moins nombreux mais prennent l'avantage, surtout quand ils concernent les thrillers, genre littéraire que j'aime d'amour. Tout d'abord, et c'est très personnel, si je n'ai pas vu le plot twist venir, j'ai en revanche compris très rapidement une des ficelles utilisées par les criminels. Ce n'est pas un vrai point négatif parce qu'il fallait y penser et que certains font abstraction facilement pendant leur lecture mais ça faisait tellement sens (les alarmes) et voir les flics patauger pendant plusieurs pages alors que sous leur nez, ça m'a un tantinet soûlée qu'on se le dise.
Ensuite, et c'est le plus gros hic, c'est le personnage principal. Vous me direz, il meurt, inutile d'en faire des caisses. Sauf qu'on est en sa compagnie pendant un long moment et c'est sincèrement gênant d'avoir un protagoniste pareil. Je ne connais pas plus que cela monsieur Chattam ni la place qu'il accorde aux femmes dans ses écrits mais je suis globalement fatiguée de lire des thrillers avec des personnages féminins si peu voire mal considérés, quand bien même l'auteur embrasse le point de vue de ses personnages.
Alexis fixa un bref instant la silhouette athlétique de la jeune femme. Son jean moulant lui sculptait un cul admirable, et ses seins jaillissaient sous son pull Abercrombie. Il adorait la regarder. Pourtant, ce matin-là, même la plastique de Ludivine ne parvint pas à lui arracher un rictus de réconfort.
Alexis nota le pubis finement épilé, sans savoir pourquoi son regard s'était promené là.
Pour donner le contexte, il s'agit d'une scène d'autopsie.
Si j'ai manqué une clef de lecture, dites-moi mais là, pour moi, c'est trop ronflant, très cliché et lourd dans le style Alexis est un homme hétéro qui aime les femmes, il ne les considère qu'en morceaux de corps. D'autant plus qu'un autre personnage important est porté aux nues, décrit d'une façon presque romantique, bien différente de Ludivine. On ne s'attarde pas sur son petit cul bien moulé, ni sur ses pectoraux saillants. Lui avait droit aux regards qui pénètrent, aux mains calleuses qui ont vécu, etc. Pour dire, j'en étais à marquer les passages avec un post-it "pas très hétéro" à chaque fois qu'Alexis s'attardait sur Mikelis. Comme s'il était obligé de sur-performer l'hétérosexualité pour qu'on sache. J'ignore si c'était la volonté de Chattam de proposer un héros bien marqué, bien hétéro cliché et le rendre de fait détestable ou s'il voulait donner un autre tournant au personnage. Cependant, on peut écrire des personnages masculins hétérosexuels sans trop en faire...
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February 9, 2020
Mais quel délice! J'ai rarement été stressé comme ça dans un policier. Oufff! Un vrai de vrai, solide, bien bâtit, personnages incroyables, une course contre la montre à un rythme effréné, essouflant. Sujets poignants, voire traumatisants face à la rage humaine. Un chef d'oeuvre.
March 13, 2025
" L'umanità stava attraversando un periodo di profonda crisi, e nessuno sembrava pronto ad ascoltarla. Era alle soglie di un grande sconvolgimento che tutti liquidavano con un cenno del capo, come se fosse solo una coincidenza, un epifenomeno privo di conseguenze. La società nel suo complesso sembrava preferire nascondere la testa sotto la sabbia e concentrarsi sull'ossessione del consumo, frustrata dalle ricorrenti crisi economiche."
Assassini, stupratori, pedofili e pervertiti. L'autore non si è fatto mancare nulla in questo romanzo che non cela la violenza nelle parole ma al contrario la esplicita con immagini crude e raccapriccianti.
La disturbante crudeltà umana sorregge un'idea di desolazione ideologica che a mio parere viene ben definita nella citazione che ho riportato, tratta dalla riflessione personale di uno dei protagonisti.
Non conoscevo l'autore, il libro mi è stato regalato, ma non mi ha convinto a continuare nella lettura del secondo capitolo.
Assassini, stupratori, pedofili e pervertiti. L'autore non si è fatto mancare nulla in questo romanzo che non cela la violenza nelle parole ma al contrario la esplicita con immagini crude e raccapriccianti.
La disturbante crudeltà umana sorregge un'idea di desolazione ideologica che a mio parere viene ben definita nella citazione che ho riportato, tratta dalla riflessione personale di uno dei protagonisti.
Non conoscevo l'autore, il libro mi è stato regalato, ma non mi ha convinto a continuare nella lettura del secondo capitolo.
January 14, 2025
Un thriller crudo, angosciante con un ritmo forsennato e una serie di personaggi promettenti.
“Loro” è una storia che vede il suo avvio in Francia e si dilaga come un’epidemia in tutta Europa, un virus del male in cui numerosi seriali iniziano a colpire simultaneamente in paesi diversi con modalità diverse, ad unirli in simbolo che lasciano sul corpo delle vittime: *e.
Ludvine Vanker e la sua squadra dovranno iniziare una corsa contro il tempo, un giro tra i paesi coinvolti per trovare chi si cela dietro i nomi affidati a questi seriali: Il Fantasma, la Bestia, il Conte.
“Loro” è un romanzo che entra subito nel vivo coinvolgendo il lettore in un’indagine che procede come un razzo lanciato a folle velocità nello spazio.
Mai un punto vuoto, mai una pagina noiosa, nessun inciampo e un filo conduttore tetro, crudo e ricco di tensione e colpi di scena.
Credo che l’unico grande spoiler sia nella costruzione della copertina, ma non dirò di più.
La cosa che più ho apprezzato maggiormente è la presenza di un criminologo nella squadra che riesce a dare un quadro lucido e sempre puntuale della psiche dei vari seriali, è un plus questo per indagare il fondale psichico dell’anima più nera e di ciò che il male può architettare per diventare più forte nella società.
La cosa invece che ho meno apprezzato è il finale molto cinematografico, esageratamente hollywoodiano, sicuramente in linea col significato intrinseco del romanzo ma un po’ “too much”.
Maxime Chattam ha indubbiamente scritto un thriller meraviglioso, finalmente una storia degna di questo nome e con tutte le carte in regola per stupire e agire sull’inconscio con tensione e attese febbrili.
Chi decide però di avvicinarsi a questa lettura deve avere bene in mente che non ci sono filtri in questa vicenda e ogni avvenimento è descritto in tutta la sua crudezza e questo può sicuramente disturbare anche i lettori più allenati al genere.
Quindi ottimo thriller, un po’ esagerato sul finale ma decisamente (in alcuni momenti esageratamente) crudo, violento, brutale e feroce.
“Loro” è una storia che vede il suo avvio in Francia e si dilaga come un’epidemia in tutta Europa, un virus del male in cui numerosi seriali iniziano a colpire simultaneamente in paesi diversi con modalità diverse, ad unirli in simbolo che lasciano sul corpo delle vittime: *e.
Ludvine Vanker e la sua squadra dovranno iniziare una corsa contro il tempo, un giro tra i paesi coinvolti per trovare chi si cela dietro i nomi affidati a questi seriali: Il Fantasma, la Bestia, il Conte.
“Loro” è un romanzo che entra subito nel vivo coinvolgendo il lettore in un’indagine che procede come un razzo lanciato a folle velocità nello spazio.
Mai un punto vuoto, mai una pagina noiosa, nessun inciampo e un filo conduttore tetro, crudo e ricco di tensione e colpi di scena.
Credo che l’unico grande spoiler sia nella costruzione della copertina, ma non dirò di più.
La cosa che più ho apprezzato maggiormente è la presenza di un criminologo nella squadra che riesce a dare un quadro lucido e sempre puntuale della psiche dei vari seriali, è un plus questo per indagare il fondale psichico dell’anima più nera e di ciò che il male può architettare per diventare più forte nella società.
La cosa invece che ho meno apprezzato è il finale molto cinematografico, esageratamente hollywoodiano, sicuramente in linea col significato intrinseco del romanzo ma un po’ “too much”.
Maxime Chattam ha indubbiamente scritto un thriller meraviglioso, finalmente una storia degna di questo nome e con tutte le carte in regola per stupire e agire sull’inconscio con tensione e attese febbrili.
Chi decide però di avvicinarsi a questa lettura deve avere bene in mente che non ci sono filtri in questa vicenda e ogni avvenimento è descritto in tutta la sua crudezza e questo può sicuramente disturbare anche i lettori più allenati al genere.
Quindi ottimo thriller, un po’ esagerato sul finale ma decisamente (in alcuni momenti esageratamente) crudo, violento, brutale e feroce.
September 16, 2021
Wahhhhh!!!
Ça fait un bon bout que j'avais pas lu de Chattam et wow toujours aussi intense et bien recherché !
Quelle histoire de fou, de malade !!!!
Difficile de lâcher quand l'action pogne 😲
J'ai eu un bon moment de tristesse à un certain moment (...) mais que dire du clin d'oeil de la fin !!!! 🥰
Le premier d'une trilogie que je vais continuer rapidement assurément en plus qu'on me dit que le 2 est encore plus fou!!!!!!!!
Je recommande évidemment !!!!!
Ça fait un bon bout que j'avais pas lu de Chattam et wow toujours aussi intense et bien recherché !
Quelle histoire de fou, de malade !!!!
Difficile de lâcher quand l'action pogne 😲
J'ai eu un bon moment de tristesse à un certain moment (...) mais que dire du clin d'oeil de la fin !!!! 🥰
Le premier d'une trilogie que je vais continuer rapidement assurément en plus qu'on me dit que le 2 est encore plus fou!!!!!!!!
Je recommande évidemment !!!!!
February 10, 2014
Une lecture sensationnelle, mais ô combien éprouvante ! À ne recommander qu'aux grands amateurs de thrillers qui donnent des sueurs froides et qui ne tourneront pas de l'oeil en lisant l'étendue des scènes immondes. Diantre, c'est TERRIBLE ! Terrible, mais qui tient en haleine.
July 17, 2020
Bardzo dobry thriller, bardzo dobrego autora. Z Maximem Chattamem miałem do czynienia przy innym jego cyklu, tj. Trylogia Zła, już wtedy Autor pokazał się z najlepszej twórczej strony, poza drobnymi mankamentami i leciutko słabszym trzecim tomie to był bardzo dobry cykl. Przeglądając rekomedacje, opinie i recenzje natrafiłem na „Plugawy Spisek” będący pierwszym tomem innego cyklu Chattama - Ludivine Vancker.
Jak pisała @EpidermaS (GoodReads) Chattam jest jakością i w pełni się z tym zgadzam. Napisać tak rasowy thriller, brutalny, trzymający w napięciu do tego stopnia, że czytane jest z podkurczonymi palcami u stóp i zaciśniętymi pięściami (ok, jedną nie, trzeba trzymać książkę). Do ostatniej strony. To jest naprawdę sztuka i umiejętność tworzenia historii, opowiedzenia jej w taki sposób, żebyś czytelniku nie mógł i nie chciał odpuścić (sławne „jeszcze jeden rozdział i idę spać”. Powodzenia spać po tej lekturze…).
Redakcyjnie super! Trzy główne części książki ON, ONA, ONI to kapitalne posunięcie pozwalające na śledzenie historii z różnych perspektyw, tak ważnych dla fabuły jednocześnie powodujących niezły zamęt w umyśle czytelnika. Główni bohaterowie Alex, Ludovine, inni policjanci i makabryczna sprawa, która spędza sen z powiek nawet… Policji w Krakowie :) A i zahaczenie o drugą wojnę, nazistów, eksperymenty i dzisiejszą moc internetu w zakresie choćby „organizowania się” zwyrodnialców. Ale cicho już, żebym za dużo nie napisał. Fabularnie historia jest kapitalna. Wątek kryminalny wpleciony w konwencję thrillera jest bardzo dobrze napisany. Autor odkrywa przed nami karty stopniowo, pozwalając najpierw lekko pogubić się w domysłach. Tak jakby Chattam rzucał czytającemu wyzwanie: Wiesz co będzie dalej? Zgadłeś? No to potrzymaj mi piwo.
Mamy więc scenerię międzynarodową, od żandarmów Francuskich, przez Kraków i kopalnię soli w Wieliczce, aż po Kanadę. Dołóżmy do tego autentyczne techniki i taktyki policyjne, w tym metody badawcze i mamy naprawdę dobrze przygotowaną bazę do takiej powieści. Bohaterów w powieści Maxime Chattam stworzył kapitalnych. Charyzmatycznych i dociekliwych policjantów, rodzinnych z własnymi obawami, namiętnościami, lękami i pełnym profesjonalizmem oraz, co jest bardzo ale to bardzo potrzebne w thrillerze „nie odpuszczaniem sprawy do końca”. Niestety nie mogę o nich napisać zbyt dużo, mogę tylko skomentować to poniższym obrazkiem…
Książka jest brutalna, ale nie w taki sposób jak to czasem czyni choćby Chris Carter w swojej serii o Robercie Hunterze (skądinąd też bardzo dobra). Opisy zwyrodnialskich akcji mamy opowiedziane niejako PO zdarzeniu, przez policję, trochę to zmiękcza przekaz, ale pomysłowość Autora jest imponująca z lekkim „czy wszystko z panem w porządku Panie Autorze? Czytał Pan kroniki policyjne czy należałoby się skierować do specjalisty?”. Thriller ociekający okrucieństwem idealnie wpasowanym w konwencję przedstawionego w nim zła. Jeszcze raz – Chattam brawo!
Co jest dla mnie jednak niezrozumiałe, to tytuł powieści, w książce tego sformułowania nie użyto ani jeden raz. No nie wiem pewnie wydawca chciał zrobić coś w stylu odpychająco zachęcającego tytułu. Szkoda, że tej serii za bardzo nie ma na ledżimi, będzie trzeba kupić papierową, co też nie jest takie proste – z jakiegoś powodu w księgarniach bytność tej książki jest mocno ograniczona, ale nie tracę ducha. Po takim dreszczowcu (tak, gorzej brzmi) chyba zabiorę się za następny.
To bardzo dobra i mocna lektura.
17.07.2020 r.
Jak pisała @EpidermaS (GoodReads) Chattam jest jakością i w pełni się z tym zgadzam. Napisać tak rasowy thriller, brutalny, trzymający w napięciu do tego stopnia, że czytane jest z podkurczonymi palcami u stóp i zaciśniętymi pięściami (ok, jedną nie, trzeba trzymać książkę). Do ostatniej strony. To jest naprawdę sztuka i umiejętność tworzenia historii, opowiedzenia jej w taki sposób, żebyś czytelniku nie mógł i nie chciał odpuścić (sławne „jeszcze jeden rozdział i idę spać”. Powodzenia spać po tej lekturze…).
Redakcyjnie super! Trzy główne części książki ON, ONA, ONI to kapitalne posunięcie pozwalające na śledzenie historii z różnych perspektyw, tak ważnych dla fabuły jednocześnie powodujących niezły zamęt w umyśle czytelnika. Główni bohaterowie Alex, Ludovine, inni policjanci i makabryczna sprawa, która spędza sen z powiek nawet… Policji w Krakowie :) A i zahaczenie o drugą wojnę, nazistów, eksperymenty i dzisiejszą moc internetu w zakresie choćby „organizowania się” zwyrodnialców. Ale cicho już, żebym za dużo nie napisał. Fabularnie historia jest kapitalna. Wątek kryminalny wpleciony w konwencję thrillera jest bardzo dobrze napisany. Autor odkrywa przed nami karty stopniowo, pozwalając najpierw lekko pogubić się w domysłach. Tak jakby Chattam rzucał czytającemu wyzwanie: Wiesz co będzie dalej? Zgadłeś? No to potrzymaj mi piwo.
Mamy więc scenerię międzynarodową, od żandarmów Francuskich, przez Kraków i kopalnię soli w Wieliczce, aż po Kanadę. Dołóżmy do tego autentyczne techniki i taktyki policyjne, w tym metody badawcze i mamy naprawdę dobrze przygotowaną bazę do takiej powieści. Bohaterów w powieści Maxime Chattam stworzył kapitalnych. Charyzmatycznych i dociekliwych policjantów, rodzinnych z własnymi obawami, namiętnościami, lękami i pełnym profesjonalizmem oraz, co jest bardzo ale to bardzo potrzebne w thrillerze „nie odpuszczaniem sprawy do końca”. Niestety nie mogę o nich napisać zbyt dużo, mogę tylko skomentować to poniższym obrazkiem…
Książka jest brutalna, ale nie w taki sposób jak to czasem czyni choćby Chris Carter w swojej serii o Robercie Hunterze (skądinąd też bardzo dobra). Opisy zwyrodnialskich akcji mamy opowiedziane niejako PO zdarzeniu, przez policję, trochę to zmiękcza przekaz, ale pomysłowość Autora jest imponująca z lekkim „czy wszystko z panem w porządku Panie Autorze? Czytał Pan kroniki policyjne czy należałoby się skierować do specjalisty?”. Thriller ociekający okrucieństwem idealnie wpasowanym w konwencję przedstawionego w nim zła. Jeszcze raz – Chattam brawo!
Co jest dla mnie jednak niezrozumiałe, to tytuł powieści, w książce tego sformułowania nie użyto ani jeden raz. No nie wiem pewnie wydawca chciał zrobić coś w stylu odpychająco zachęcającego tytułu. Szkoda, że tej serii za bardzo nie ma na ledżimi, będzie trzeba kupić papierową, co też nie jest takie proste – z jakiegoś powodu w księgarniach bytność tej książki jest mocno ograniczona, ale nie tracę ducha. Po takim dreszczowcu (tak, gorzej brzmi) chyba zabiorę się za następny.
To bardzo dobra i mocna lektura.
17.07.2020 r.
March 6, 2025
La prima parte..wow..devastante avevo la pelle d'oca per tutto il tempo..le ultime due parti..meh..belle ma sono un pò più scarse rispetto la prima.
Comunque è un bel thriller, sicuramente ti lascia con il fiato sospeso...per un terzo 😝
Comunque è un bel thriller, sicuramente ti lascia con il fiato sospeso...per un terzo 😝
May 29, 2019
Solidny, thrillerowaty kryminał. Może chwilami trochę zbyt górnolotny i napuszony pod względem stylu i narracji, a cała ta mroczność wydaje się nieco naciągana, ale nie przeszkadzało to w odbiorze całości. Książka wybrana, żeby przetestować autora, autor trafia na listę do kontynuowania.
July 26, 2022
Une excellente lecture pleine d’actions, de plot-twist et très addictif avec une écriture décrivant d’une manière brut et psychologique chaque action.
February 26, 2022
Moins enthousiaste que pour le 1er tome de la trilogie du mal très certainement à cause d’un twist qui m’a perturbée. Mais ce n’est qu’un premier tome et je lirai la suite.
December 31, 2018
Ah, Maxime...
Après avoir été définitivement guéri de sa plume par le très banal ''In Tenebris'', j'avais promis que l'on ne m'y reprendrait plus. J'avais décidé de me passer du méga surestimé Chattam et ma foi, ma vie de tous les jours n'en a pas pâti... Mais c'était sans compter l'appel irrésistible du mal... ou des ténèbres comme aime le répéter si bien notre ami Max. J'avais du temps libre et j'avais cet audio book de sa toute nouvelle trilogie ''le section de recherches'' (rien à voir avec la série TF1), alors bon...
D'ailleurs, amusons-nous un peu et comptons le nombre de fois ou le mot MAL apparait dans ces pages. Ou ''Ténèbres'' si vous voulez. Eh ben, y'en a un paquet. Tout ça pour vous dire, si vous ne l'avez pas déjà compris que ce livre va parler.... du MAL... le Maaaaaaaaaaaal !! Mais attention hein.. le Mal, le vrai, bien méchant, celui qui fait peur, tu vois ?
Bref, dans ses efforts continus de pousser le bouchon plus loin (il n'est pas le seul, ça semble une contrainte pour tous les auteurs de thrillers pour arriver à se démarquer de la ribambelle de thrillers qui sortent un peu partout), Max concocte un plan diabolique -je veux dire encore plus diabolique que tous les plans diaboliques qui ont précédé- et imagine une épidémie de Serial Killing qui se propage par delà les frontières. Un scénario qui pue le too much mais qui est pourtant basé sur un argument pas si débile que ça, comme l'explique très bien le criminologue du roman, le mystérieux et charismatique Mikélis : la société évolue, les crimes sont de plus en plus atroces, les sérial killers sont légion, sans compter les copycats... il n'est pas étonnant qu'un jour arrive ou tous ces tarés se réunissent pour créer une guilde et imposer un nouveau règne.
Comme toujours chez Chattam, tout est extrêmement bien documenté, précis, pointilleux. Criminologue lui-même, il sait très bien de quoi il parle et de ce point de vue, ses romans sont impeccables, celui-ci ne dérogeant pas à la règle. Le problème c'est que Maxime.. eh ben, c'est Maxime et depuis ses tout premiers romans, il traine toujours les mêmes tares et les mêmes limites.
Comme toujours, malgré ses airs de roman hyper sérieux et son sujet gravissime, La conjuration primitive est tout ce qu'il y a de plus scolaire : le schéma adopté dans la narration est on ne peut plus balisé : le jeune flic ambitieux, le vieux briscard récalcitrant qu'on sort de la retraite, la traque méthodique, les turning points savamment distillés pour tenir en haleine... Rien de bien révolutionnaire (même un si une conclusion de première partie est pas mal trouvée). L'auteur essaie de faire la différence en se vautrant dans les descriptions graphiques des crimes perpétrés par ses monstres, avec moult détails et longueurs... pour faire immersif quoi. Entre chaque meurtre, les flics passeront plusieurs pages à s'interroger sur les racines du mal et sur la nécessité, pour traquer les monstres, d'en devenir un aussi. Là non plus, rien de bien nouveau. Ca commence même à être redondant, voir gonflant tellement l'auteur semble souligner au feutre rouges de passages qui sont évidents.
Le pire dans les livres de Chattam, et dans ce roman, c'est que comme à l'accoutumée, il est beaucoup plus doué pour faire monter les enjeux et la pression qu'à tenir concrètement ses promesses. En clair, il se fait très souvent dépasser par son propre récit et galère ensuite pour assurer. Sa conjuration primititive, son asso' des serial killers, ses monstres tueurs et son bad guy de l'ombre, tout ça c'est bien, à condition que ça mène quelque part. Hélas, tout ça est vite expédié tout comme son final qui avait tout pour être un survival sanglant et féroce à la hauteur de la mise en place jusque là. A la place, Chattam nous boucle ça par dessus la jambe et nous gratifie au final d'un Deus ex Machin proprement ridicule. Tout ça pour ça... oué. Sinon, y'a Joshua Brolin qui fait une apparition. Pour ce que j'en ai à foutre...
PS 1: pour lire le thriller définitif sur un sujet similaire, allez voir ''les racines du mal'' de Maurice G.Dantec. Un roman qui avait tout dit... en 1995.
PS2: les fans de Chattam, ne me lynchez pas. Je suis un type sympa en général :/
Après avoir été définitivement guéri de sa plume par le très banal ''In Tenebris'', j'avais promis que l'on ne m'y reprendrait plus. J'avais décidé de me passer du méga surestimé Chattam et ma foi, ma vie de tous les jours n'en a pas pâti... Mais c'était sans compter l'appel irrésistible du mal... ou des ténèbres comme aime le répéter si bien notre ami Max. J'avais du temps libre et j'avais cet audio book de sa toute nouvelle trilogie ''le section de recherches'' (rien à voir avec la série TF1), alors bon...
D'ailleurs, amusons-nous un peu et comptons le nombre de fois ou le mot MAL apparait dans ces pages. Ou ''Ténèbres'' si vous voulez. Eh ben, y'en a un paquet. Tout ça pour vous dire, si vous ne l'avez pas déjà compris que ce livre va parler.... du MAL... le Maaaaaaaaaaaal !! Mais attention hein.. le Mal, le vrai, bien méchant, celui qui fait peur, tu vois ?
Bref, dans ses efforts continus de pousser le bouchon plus loin (il n'est pas le seul, ça semble une contrainte pour tous les auteurs de thrillers pour arriver à se démarquer de la ribambelle de thrillers qui sortent un peu partout), Max concocte un plan diabolique -je veux dire encore plus diabolique que tous les plans diaboliques qui ont précédé- et imagine une épidémie de Serial Killing qui se propage par delà les frontières. Un scénario qui pue le too much mais qui est pourtant basé sur un argument pas si débile que ça, comme l'explique très bien le criminologue du roman, le mystérieux et charismatique Mikélis : la société évolue, les crimes sont de plus en plus atroces, les sérial killers sont légion, sans compter les copycats... il n'est pas étonnant qu'un jour arrive ou tous ces tarés se réunissent pour créer une guilde et imposer un nouveau règne.
Comme toujours chez Chattam, tout est extrêmement bien documenté, précis, pointilleux. Criminologue lui-même, il sait très bien de quoi il parle et de ce point de vue, ses romans sont impeccables, celui-ci ne dérogeant pas à la règle. Le problème c'est que Maxime.. eh ben, c'est Maxime et depuis ses tout premiers romans, il traine toujours les mêmes tares et les mêmes limites.
Comme toujours, malgré ses airs de roman hyper sérieux et son sujet gravissime, La conjuration primitive est tout ce qu'il y a de plus scolaire : le schéma adopté dans la narration est on ne peut plus balisé : le jeune flic ambitieux, le vieux briscard récalcitrant qu'on sort de la retraite, la traque méthodique, les turning points savamment distillés pour tenir en haleine... Rien de bien révolutionnaire (même un si une conclusion de première partie est pas mal trouvée). L'auteur essaie de faire la différence en se vautrant dans les descriptions graphiques des crimes perpétrés par ses monstres, avec moult détails et longueurs... pour faire immersif quoi. Entre chaque meurtre, les flics passeront plusieurs pages à s'interroger sur les racines du mal et sur la nécessité, pour traquer les monstres, d'en devenir un aussi. Là non plus, rien de bien nouveau. Ca commence même à être redondant, voir gonflant tellement l'auteur semble souligner au feutre rouges de passages qui sont évidents.
Le pire dans les livres de Chattam, et dans ce roman, c'est que comme à l'accoutumée, il est beaucoup plus doué pour faire monter les enjeux et la pression qu'à tenir concrètement ses promesses. En clair, il se fait très souvent dépasser par son propre récit et galère ensuite pour assurer. Sa conjuration primititive, son asso' des serial killers, ses monstres tueurs et son bad guy de l'ombre, tout ça c'est bien, à condition que ça mène quelque part. Hélas, tout ça est vite expédié tout comme son final qui avait tout pour être un survival sanglant et féroce à la hauteur de la mise en place jusque là. A la place, Chattam nous boucle ça par dessus la jambe et nous gratifie au final d'un Deus ex Machin proprement ridicule. Tout ça pour ça... oué. Sinon, y'a Joshua Brolin qui fait une apparition. Pour ce que j'en ai à foutre...
PS 1: pour lire le thriller définitif sur un sujet similaire, allez voir ''les racines du mal'' de Maurice G.Dantec. Un roman qui avait tout dit... en 1995.
PS2: les fans de Chattam, ne me lynchez pas. Je suis un type sympa en général :/
May 13, 2013
C’est avec un immense plaisir que je me suis plongée dans ce thriller de Maxime Chattam. En effet, s’il s’agit d’un de mes auteurs préférés, je l’ai avant tout découvert avec la saga fantastique Autre-Monde. Côté Thriller, je n’avais lu que La trilogie du mal, trilogie que j’avais beaucoup aimé, même si elle m’avait donné quelques sueurs froides.
J’ai retrouvé l’écriture habile de Maxime Chattam, toujours aussi fluide en étant d’une précision incontestable dans les faits. Ce que j’apprécie dans les romans de Maxime Chattam, c’est ce crescendo dans le suspens et dans l’angoisse. Le lecteur s’il est embarqué dès le début de l’histoire, se laisse tout d’abord porter par l’enquête policière, classique pour de fil en aiguille, se faire embarquer dans un thriller angoissant à souhait et ne plus pouvoir lâcher son livre.
Ici l’horreur est vraiment intense, il ne s’agit pas d’un seul criminel mais de plusieurs psychopathes, très imaginatifs dans les sévices qu’ils infligent à leurs victimes. La section de Recherche de la Gendarmerie de Paris ne sait plus ou donner de la tête. Les enquêteurs sont complètements largués.
Ce roman est divisé en trois partie. La première intitulée simplement "Lui", retrace l’enquête mené par Alexis Timée. Il décide de contacter un célèbre criminologue à la retraite pour les aider. Si ce dernier refuse au premier abord, il finit par céder devant la recrudescence des crimes. Alexis est un gendarme acharné, il est précis et méticuleux, il est célibataire, assez solitaire et fait toujours passer son boulot en premier.
La seconde partie s’intitule "elle". Elle retrace cette fois-ci, l’enquête menée par Ludivine, l’une des co-équipière d’Alexis. Elle va faire preuve à son tour d’acharnement pour traquer "La Bête", jusqu’en Pologne. C’est à partir de cette partie que l’enquête prend un autre tournant. Tout s’accélère pour devenir encore plus noir, plus sombre, plus terrible.
La dernière partie intitulée "Eux", emmène nos enquêteurs jusqu’au Québec, dans un piège terrible. Je n’en dirais pas plus sur l’enquête et les faits. La fin de la première partie est vraiment au dessus de tout ce que j’aurai pu imaginer. Je ne veux pas en dire plus, mais accrochez-vous, car je ne m’attendais vraiment pas à ça ! Quant à la dernière partie, l’angoisse est totale, on se demande comment notre équipe de gendarmes va pouvoir s’en sortir, le suspens est terrible.
J’avoue que la nuit qui a suivie la lecture de cette dernière partie, j’étais tellement énervée que j’ai eu du mal à m’endormir et que je me suis réveillée en sursaut et en sueur, persuadée que l’un des criminels avait pénétré chez moi… Il faut dire que Maxime Chattam a le don de nous faire entrer dans le livre, on y plonge les yeux fermés. Il nous fait entrer dans ce qu’il existe de plus noir de l’âme humaine.
Je me suis attachée au duo d’inspecteur Alexis et Ludivine. Ils sont tous les deux des pommés de l’amour et de la vie, leur boulot compte plus que tout, en fait, on pourrait dire qu’ils sont mariés avec ce dernier, l’enquête toujours avant la vie. Mikelis, le profiler, quant à lui, en profiler surdoué, est par moment aussi sombre que les criminels, on a par moment du mal à le cerner, puis on comprend peu à peu pourquoi il a fini par abandonner ce métier difficile.
Il s’agit vraiment d’un énorme coup de coeur pour moi, un polar mené de main de maître comme je les aime. A lire de tout urgence.
La conjuration Primitive a été publié aux Editions Albin Michel en mai 2013.
http://milleetunepages.com/2013/05/13...
J’ai retrouvé l’écriture habile de Maxime Chattam, toujours aussi fluide en étant d’une précision incontestable dans les faits. Ce que j’apprécie dans les romans de Maxime Chattam, c’est ce crescendo dans le suspens et dans l’angoisse. Le lecteur s’il est embarqué dès le début de l’histoire, se laisse tout d’abord porter par l’enquête policière, classique pour de fil en aiguille, se faire embarquer dans un thriller angoissant à souhait et ne plus pouvoir lâcher son livre.
Ici l’horreur est vraiment intense, il ne s’agit pas d’un seul criminel mais de plusieurs psychopathes, très imaginatifs dans les sévices qu’ils infligent à leurs victimes. La section de Recherche de la Gendarmerie de Paris ne sait plus ou donner de la tête. Les enquêteurs sont complètements largués.
Ce roman est divisé en trois partie. La première intitulée simplement "Lui", retrace l’enquête mené par Alexis Timée. Il décide de contacter un célèbre criminologue à la retraite pour les aider. Si ce dernier refuse au premier abord, il finit par céder devant la recrudescence des crimes. Alexis est un gendarme acharné, il est précis et méticuleux, il est célibataire, assez solitaire et fait toujours passer son boulot en premier.
La seconde partie s’intitule "elle". Elle retrace cette fois-ci, l’enquête menée par Ludivine, l’une des co-équipière d’Alexis. Elle va faire preuve à son tour d’acharnement pour traquer "La Bête", jusqu’en Pologne. C’est à partir de cette partie que l’enquête prend un autre tournant. Tout s’accélère pour devenir encore plus noir, plus sombre, plus terrible.
La dernière partie intitulée "Eux", emmène nos enquêteurs jusqu’au Québec, dans un piège terrible. Je n’en dirais pas plus sur l’enquête et les faits. La fin de la première partie est vraiment au dessus de tout ce que j’aurai pu imaginer. Je ne veux pas en dire plus, mais accrochez-vous, car je ne m’attendais vraiment pas à ça ! Quant à la dernière partie, l’angoisse est totale, on se demande comment notre équipe de gendarmes va pouvoir s’en sortir, le suspens est terrible.
J’avoue que la nuit qui a suivie la lecture de cette dernière partie, j’étais tellement énervée que j’ai eu du mal à m’endormir et que je me suis réveillée en sursaut et en sueur, persuadée que l’un des criminels avait pénétré chez moi… Il faut dire que Maxime Chattam a le don de nous faire entrer dans le livre, on y plonge les yeux fermés. Il nous fait entrer dans ce qu’il existe de plus noir de l’âme humaine.
Je me suis attachée au duo d’inspecteur Alexis et Ludivine. Ils sont tous les deux des pommés de l’amour et de la vie, leur boulot compte plus que tout, en fait, on pourrait dire qu’ils sont mariés avec ce dernier, l’enquête toujours avant la vie. Mikelis, le profiler, quant à lui, en profiler surdoué, est par moment aussi sombre que les criminels, on a par moment du mal à le cerner, puis on comprend peu à peu pourquoi il a fini par abandonner ce métier difficile.
Il s’agit vraiment d’un énorme coup de coeur pour moi, un polar mené de main de maître comme je les aime. A lire de tout urgence.
La conjuration Primitive a été publié aux Editions Albin Michel en mai 2013.
http://milleetunepages.com/2013/05/13...
July 16, 2016
Mocne. To było mocne. Chattam jest jakością. Nie bałam i nie boję się tego stwierdzenia.
Przepiękna dedykacja, co rzadko zdarza się w thrillerach. „Milczenie owiec” na liście utworów polecanych do lektury. Nawiązanie do Palahniuka. To wszystko sprawia, że czytelnik czuje się dopieszczony. „Plugawy spisek” nie jest zbiorem ciekawych pomysłów wciśniętych między okładki. To ewidentna całość, którą doprawiają wspomniane wcześniej smaczki. Absolutnie ujął mnie podział książki na części. Dwa punkty widzenia. Męski i żeński. Tak odmienne, a tak podobne. A sam przeskok z części pierwszej („On”) na drugą („Ona”)? Tego chyba nikt się nie spodziewał. Polska, Kraków, Wieliczka! Do tego ten podwójny mord w kopalni… Życzę autorowi, żeby motyw został doceniony, bo naprawdę zasługuje na uwagę. To było chore, przerażające i zaskakujące jednocześnie. I o to chodzi w thrillerze. Ponadto rewelacyjnie nakreślone postacie i równie rewelacyjny klimat. A język! Nie wiem, komu dziękować bardziej za fragment: „Niebo nie mogło się zdecydować. Ołowiane chmury piętrzyły się coraz gęstszą warstwą, lecz deszcz nie spadał” – autorowi czy tłumaczce.
Skoro było tak super, to czemu nie dałam książce mocnej dziesiątki? Przede wszystkim dlatego, że mam traumę po „Drapieżcach”. Jeśli w jakiejkolwiek książce Chattama znajduję nawiązania do „Drapieżców”, to mną telepie. I o ile samo słowo „drapieżca” nie wywołuje we mnie zniechęcenia (a wierzcie, że w „Plugawym spisku” występuje naprawdę często), to już różnego rodzaju schematy czy wzory postaci nawiązujące do wspomnianej wcześniej pozycji naprawdę źle mi się kojarzą. Przy okazji – „Plugawy spisek”? Serio? Nie było bardziej badziewnego tytułu? Nie uważam też, żeby dobrym posunięciem była epicka strzelanina, bo nie ma tym polega potęga talentu Chattama. Zdarzyła się – ok. Biorąc pod uwagę okoliczności, nie dało się jej uniknąć. Jednak nie za to doceniam autora i jakoś nie za bardzo podobało mi się, że wdeptuje w nurt czysto sensacyjny. Nie odpowiadało mi też „rozproszenie” winnych. Nie ma jednego mordercy (to nie spojler, bo wiadomo to od początku), przez co uwaga czytelnika kierowana jest z jednej sylwetki na drugą, a w efekcie żadna nie zostaje rozebrana na części pierwsze. Z drugiej strony było to też ciekawe zagranie psychologiczne. Zło nie ma jednej twarzy. To byt. Demon. Jest wszędzie. Można go uśpić, ale nie pokonać.
Chattam jest potężnym hipnotyzerem. Jako jeden z niewielu pisarzy sprawia, że odkładając książkę, jeszcze przez długi czas o niej myślę. I próbuję wypłynąć z mroku, w którym autor zatapiał mnie stopniowo z każdą kolejną stroną.
Zło jest rozsiane.
Tkwi w każdym z nas.
Lepiej go nie szukaj.
Bo znajdziesz.
Przepiękna dedykacja, co rzadko zdarza się w thrillerach. „Milczenie owiec” na liście utworów polecanych do lektury. Nawiązanie do Palahniuka. To wszystko sprawia, że czytelnik czuje się dopieszczony. „Plugawy spisek” nie jest zbiorem ciekawych pomysłów wciśniętych między okładki. To ewidentna całość, którą doprawiają wspomniane wcześniej smaczki. Absolutnie ujął mnie podział książki na części. Dwa punkty widzenia. Męski i żeński. Tak odmienne, a tak podobne. A sam przeskok z części pierwszej („On”) na drugą („Ona”)? Tego chyba nikt się nie spodziewał. Polska, Kraków, Wieliczka! Do tego ten podwójny mord w kopalni… Życzę autorowi, żeby motyw został doceniony, bo naprawdę zasługuje na uwagę. To było chore, przerażające i zaskakujące jednocześnie. I o to chodzi w thrillerze. Ponadto rewelacyjnie nakreślone postacie i równie rewelacyjny klimat. A język! Nie wiem, komu dziękować bardziej za fragment: „Niebo nie mogło się zdecydować. Ołowiane chmury piętrzyły się coraz gęstszą warstwą, lecz deszcz nie spadał” – autorowi czy tłumaczce.
Skoro było tak super, to czemu nie dałam książce mocnej dziesiątki? Przede wszystkim dlatego, że mam traumę po „Drapieżcach”. Jeśli w jakiejkolwiek książce Chattama znajduję nawiązania do „Drapieżców”, to mną telepie. I o ile samo słowo „drapieżca” nie wywołuje we mnie zniechęcenia (a wierzcie, że w „Plugawym spisku” występuje naprawdę często), to już różnego rodzaju schematy czy wzory postaci nawiązujące do wspomnianej wcześniej pozycji naprawdę źle mi się kojarzą. Przy okazji – „Plugawy spisek”? Serio? Nie było bardziej badziewnego tytułu? Nie uważam też, żeby dobrym posunięciem była epicka strzelanina, bo nie ma tym polega potęga talentu Chattama. Zdarzyła się – ok. Biorąc pod uwagę okoliczności, nie dało się jej uniknąć. Jednak nie za to doceniam autora i jakoś nie za bardzo podobało mi się, że wdeptuje w nurt czysto sensacyjny. Nie odpowiadało mi też „rozproszenie” winnych. Nie ma jednego mordercy (to nie spojler, bo wiadomo to od początku), przez co uwaga czytelnika kierowana jest z jednej sylwetki na drugą, a w efekcie żadna nie zostaje rozebrana na części pierwsze. Z drugiej strony było to też ciekawe zagranie psychologiczne. Zło nie ma jednej twarzy. To byt. Demon. Jest wszędzie. Można go uśpić, ale nie pokonać.
Chattam jest potężnym hipnotyzerem. Jako jeden z niewielu pisarzy sprawia, że odkładając książkę, jeszcze przez długi czas o niej myślę. I próbuję wypłynąć z mroku, w którym autor zatapiał mnie stopniowo z każdą kolejną stroną.
Zło jest rozsiane.
Tkwi w każdym z nas.
Lepiej go nie szukaj.
Bo znajdziesz.
November 22, 2024
Noioso e caotico con personaggi piatti che non trasmettono niente
June 22, 2025
J’ai beaucoup aimé l’intrigue de ce roman, y’a des plot twist que j’avais pas vu venir ! C’est difficile de poser ce livre tellement il tient en haleine, mais je mets 4 étoiles et pas 5 parce que j’ai quand même un peu de mal avec la violence qui y est décrite, ça fait beaucoup à encaisser (surtout pour le meurtre dans la mine de sel lol). Mais en tout cas j’ai vraiment apprécié les différentes parties lui / elle / eux. Merci Sarah de me l’avoir offert hihi 🫶🏼
August 5, 2025
Trop bien, j’ai adoré !
L’enquête est chouette, dynamique et les plots sont vraiment pas mal et plutôt inattendus. On est vite plongé dedans et on a envie de savoir la suite, j’arrivais plus à décrocher.
J’al trouvé le clin d’œil de la fin à un personnage d’une autre série de livres de l’auteur excellent ! Ça m’a fait trop plaisir d’en re entendre parler ici. J’ai hâte de lire les autre tomes de la série Ludivine Vancker, j’espère qu’on pourra s’attacher un peu plus aux personnages de par leur histoire, ça m’a un peu manqué dans ce premier livre.
L’enquête est chouette, dynamique et les plots sont vraiment pas mal et plutôt inattendus. On est vite plongé dedans et on a envie de savoir la suite, j’arrivais plus à décrocher.
J’al trouvé le clin d’œil de la fin à un personnage d’une autre série de livres de l’auteur excellent ! Ça m’a fait trop plaisir d’en re entendre parler ici. J’ai hâte de lire les autre tomes de la série Ludivine Vancker, j’espère qu’on pourra s’attacher un peu plus aux personnages de par leur histoire, ça m’a un peu manqué dans ce premier livre.
July 19, 2020
Époustouflant. Du premier jusqu'au dernier mot, pas un seul instant de temps mort. Un rythme effréné d'une captivante intrigue, à l'imagination folle. Le thriller atteint la perfection.
June 1, 2022
4,5 ⭐️
Oj joj, panie Chattam robi pan to niezmiernie dobrze.
Oj joj, panie Chattam robi pan to niezmiernie dobrze.
June 17, 2021
Excellent roman! Très bien écrit!
August 1, 2025
Il male esiste e in questo libro possiamo toccarne l’essenza, male allo stato puro. Lettura incalzante ma terribilmente disturbante, sicuramente non adatto a tutti. A me è piaciuto tantissimo e lo consiglio vivamente agli amanti del genere
August 4, 2023
Je vous le disais en story début juillet : j’ai lu mon premier Maxime Chattam. Et très certainement mon dernier. Je n’ai pas du tout accroché au style. Chose rare : c’est le premier tome d’une trilogie et je n’ai clairement pas envie de lire la suite pour savoir ce que vont devenir nos héros.
•
Dans « La conjuration primitive » une équipe spéciale de la police est chargée d’enquêter sur des meurtres en séries survenus aux quatre coins de la France par différents meurtriers. Des meurtres d’une horreur absolue, d’une cruauté sans nom. Mais il est bien difficile de trouver des indices, il faut donc appel à un retraité pour les aider. Tout s’accélère quand le même type d’horreur arrivent dans différents pays d’Europe.
•
Sur le papier cela avait tout pour le plaire. C’était sans compter les descriptions à vomir des crimes, c’était malsain au possible et totalement gratuit. Trop de détails ne rend pas service à l’histoire à mon goût, ça avait un côté voyeur et surenchère. J’ai bien failli fermer le livre avant la fin.
•
Heureusement la deuxième partie se penche un peu plus sur l’enquête et a été plus facile à lire jusqu’aux révélations finales et ses retournements de situation que je n’avais pas vu venir (mais ça reste quand même bien tiré par les cheveux).
•
Vous l’aurez compris, ce n’est pas à un livre que je vous recommanderai pour une fois, bien au contraire et un auteur que je raye de ma liste : je reconnais un certain truc dans l’écriture et l’imagination mais ce n’est pas pour moi.
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Dans « La conjuration primitive » une équipe spéciale de la police est chargée d’enquêter sur des meurtres en séries survenus aux quatre coins de la France par différents meurtriers. Des meurtres d’une horreur absolue, d’une cruauté sans nom. Mais il est bien difficile de trouver des indices, il faut donc appel à un retraité pour les aider. Tout s’accélère quand le même type d’horreur arrivent dans différents pays d’Europe.
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Sur le papier cela avait tout pour le plaire. C’était sans compter les descriptions à vomir des crimes, c’était malsain au possible et totalement gratuit. Trop de détails ne rend pas service à l’histoire à mon goût, ça avait un côté voyeur et surenchère. J’ai bien failli fermer le livre avant la fin.
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Heureusement la deuxième partie se penche un peu plus sur l’enquête et a été plus facile à lire jusqu’aux révélations finales et ses retournements de situation que je n’avais pas vu venir (mais ça reste quand même bien tiré par les cheveux).
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Vous l’aurez compris, ce n’est pas à un livre que je vous recommanderai pour une fois, bien au contraire et un auteur que je raye de ma liste : je reconnais un certain truc dans l’écriture et l’imagination mais ce n’est pas pour moi.
May 26, 2025
Il thriller più brutto letto in vita mia? Probabilmente sì. Nel caso me ne venisse in mente uno più brutto aggiornerò la recensione.
Non so nemmeno da dove iniziare. Dalla scrittura? Terrificante: infinite e inutili descrizioni che a volte proprio partono per la tangente e ci si ritrova con 234786 sinonimi della parola "rosso" nel giro di un paio di pagine, perché dire troppo spesso "sangue" è peccato. "Abissi argentei di tenebra" per non dire "occhi". La sensazione è che l'autore voglia infilare alta (medio-alta, dai) letteratura (senza però esserne effettivamente in grado) in un libro (ma pure in un genere) dove invece andrebbero curate maggiormente altre cose (il 97% delle deduzioni fatte dagli investigatori sono basate sul nulla più totale). Poi ci sono dei passaggi dove davvero l'imbarazzo regna sovrano: c'è una sola scena di sesso ma vi giuro che è la peggior scena di sesso che leggerete in un thriller. Vi dico solo che contiene la frase "La sua vagina era una guaina delicata che affilava sempre più la lama dell’orgasmo, fino ad arroventarla". Ma c'è di peggio: tutto ruota attorno a sto simbolo che viene lasciato dagli assassini. Un simbolo che potrebbe davvero voler dire QUALSIASI cosa, ma a un certo punto un "esperto" ci spiega il preciso significato di questo simbolo. Basandosi su cosa? Esatto: sul nulla o quasi! Tutto a caso, tutto per caso. Non sto manco a dirvi come ne esce la parte dedicata al profiling degli assassini... ma sappiate che ne esce peggio delle vittime di sti assassini. E sappiate che il libro non parte malissimo eh, ma da lì in avanti è un costante peggioramento. La trama è una così grande cazzata che se uno non lo legge non ci può credere. Non voglio dilungarmi troppo (già l'ho fatto), ma non posso non citare l'ottima idea di spoilerare una cosa importantissima direttamente in copertina. . PS: i personaggi son tutti terrificanti, sia i buoni che i cattivi. Cattivi che sembrano delle entità sovrannaturali ma poi vengono beccati in un secondo e di solito il confronto con l'autorità si chiude in mezza paginetta e in modo vergognoso.
Insomma, bello dai!
Non so nemmeno da dove iniziare. Dalla scrittura? Terrificante: infinite e inutili descrizioni che a volte proprio partono per la tangente e ci si ritrova con 234786 sinonimi della parola "rosso" nel giro di un paio di pagine, perché dire troppo spesso "sangue" è peccato. "Abissi argentei di tenebra" per non dire "occhi". La sensazione è che l'autore voglia infilare alta (medio-alta, dai) letteratura (senza però esserne effettivamente in grado) in un libro (ma pure in un genere) dove invece andrebbero curate maggiormente altre cose (il 97% delle deduzioni fatte dagli investigatori sono basate sul nulla più totale). Poi ci sono dei passaggi dove davvero l'imbarazzo regna sovrano: c'è una sola scena di sesso ma vi giuro che è la peggior scena di sesso che leggerete in un thriller. Vi dico solo che contiene la frase "La sua vagina era una guaina delicata che affilava sempre più la lama dell’orgasmo, fino ad arroventarla". Ma c'è di peggio: tutto ruota attorno a sto simbolo che viene lasciato dagli assassini. Un simbolo che potrebbe davvero voler dire QUALSIASI cosa, ma a un certo punto un "esperto" ci spiega il preciso significato di questo simbolo. Basandosi su cosa? Esatto: sul nulla o quasi! Tutto a caso, tutto per caso. Non sto manco a dirvi come ne esce la parte dedicata al profiling degli assassini... ma sappiate che ne esce peggio delle vittime di sti assassini. E sappiate che il libro non parte malissimo eh, ma da lì in avanti è un costante peggioramento. La trama è una così grande cazzata che se uno non lo legge non ci può credere. Non voglio dilungarmi troppo (già l'ho fatto), ma non posso non citare l'ottima idea di spoilerare una cosa importantissima direttamente in copertina. . PS: i personaggi son tutti terrificanti, sia i buoni che i cattivi. Cattivi che sembrano delle entità sovrannaturali ma poi vengono beccati in un secondo e di solito il confronto con l'autorità si chiude in mezza paginetta e in modo vergognoso.
Insomma, bello dai!
June 6, 2014
Premier Thriller de Maxime Chattam que je lis, et je ne suis absolument pas déçue !! Je suis fan à 200 %
D'abord, les personnages sont super ! Je me suis même attachée à Alexis et ses collègues, même Mikelis, qui est étrange et intriguant, à la limite entre le Bien et le Mal.
L'histoire est vraiment excellente ! Je n'avais vraiment pas prévue cette fin-là... j'en avais prévue une, mais absolument pas ça
L'écriture de Maxime Chattam est toujours aussi fluide et surtout addictive ! Et il arrive même à nous faire visualiser les scènes... même si pour certaines scènes, on s'en passerait bien (oui, je suis une âme sensible lol).
Son thriller est à la fois gore par moments, mais aussi très sombre, vu le thème du Mal, qui est abordé dans ses romans. Tout s'enchaîne parfaitement et on a des réponses au compte goutte et tout se mets en place au fur et à mesure... il se passe toujours quelque chose, que ce soit niveau action ou niveau des recherches de la Gendarmerie. Et ce thème du Mal, est vraiment bien abordé ! D'ailleurs, je me suis aussi demandé, comme quelque fois les personnages l'ont également fait : "C'est possible que ce soit à ce point-là ?"... les méchants de l'histoires sont vraiment horribles. Il ne vaut mieux pas croiser leur chemin...
D'abord, les personnages sont super ! Je me suis même attachée à Alexis et ses collègues, même Mikelis, qui est étrange et intriguant, à la limite entre le Bien et le Mal.
L'histoire est vraiment excellente ! Je n'avais vraiment pas prévue cette fin-là... j'en avais prévue une, mais absolument pas ça
L'écriture de Maxime Chattam est toujours aussi fluide et surtout addictive ! Et il arrive même à nous faire visualiser les scènes... même si pour certaines scènes, on s'en passerait bien (oui, je suis une âme sensible lol).
Son thriller est à la fois gore par moments, mais aussi très sombre, vu le thème du Mal, qui est abordé dans ses romans. Tout s'enchaîne parfaitement et on a des réponses au compte goutte et tout se mets en place au fur et à mesure... il se passe toujours quelque chose, que ce soit niveau action ou niveau des recherches de la Gendarmerie. Et ce thème du Mal, est vraiment bien abordé ! D'ailleurs, je me suis aussi demandé, comme quelque fois les personnages l'ont également fait : "C'est possible que ce soit à ce point-là ?"... les méchants de l'histoires sont vraiment horribles. Il ne vaut mieux pas croiser leur chemin...
November 30, 2017
Une intrigue unique et surprenante, des détails macabres et qui vous retournent l'estomac... un excellent Chattam !
December 5, 2024
Super thriller ! Cependant quelque longueur et la fin un peu prévisible. Toutefois, enfin un thriller qui m’a tenu en haleine jusqu’à la fin, ça faisait longtemps.
June 22, 2023
« Puis, une fois tout cela évacué, une fois l'esprit libéré des contingences de la vie réelle, dans cette semi-torpeur, antichambre du sommeil, ce début d'obscurité pour l'âme, venaient alors les morts. »
Glaçant. Ce terme décrit plutôt bien ce roman de Maxime Chattam. On y trouve en son sein le pire de l’humain. Des meurtriers sans foi ni loi commettent des crimes barbares, inhumains. Très graphique, ce livre n’est pas à mettre entre toutes les mains.
L’enquête se déroule d’abord en France, puis déborde ensuite à l’étranger. L’avancée de cette investigation se fait aux côtés de Ludivine, Alexis, Segnon, Mikelis et d’autres personnages qui ne m’ont pas vraiment marquée autant que ces quatre-là, que j’ai trouvé attachants.
Il est agréable de suivre leur progression, mais aussi leurs états d’âme. Tout au long du roman, ils font face à des horreurs plus terribles les unes que les autres. Maxime Chattam parvient à nous tenir en haleine à l’aide de retournements de situation plutôt inattendus qui en feront voir de toutes les couleurs à nos protagonistes.
Ce qui m’a plu, dans ce roman, c’est qu’on plonge de plus en plus au sein d’une obscurité à la fois oppressante et obsédante.
Glaçant. Ce terme décrit plutôt bien ce roman de Maxime Chattam. On y trouve en son sein le pire de l’humain. Des meurtriers sans foi ni loi commettent des crimes barbares, inhumains. Très graphique, ce livre n’est pas à mettre entre toutes les mains.
L’enquête se déroule d’abord en France, puis déborde ensuite à l’étranger. L’avancée de cette investigation se fait aux côtés de Ludivine, Alexis, Segnon, Mikelis et d’autres personnages qui ne m’ont pas vraiment marquée autant que ces quatre-là, que j’ai trouvé attachants.
Il est agréable de suivre leur progression, mais aussi leurs états d’âme. Tout au long du roman, ils font face à des horreurs plus terribles les unes que les autres. Maxime Chattam parvient à nous tenir en haleine à l’aide de retournements de situation plutôt inattendus qui en feront voir de toutes les couleurs à nos protagonistes.
Ce qui m’a plu, dans ce roman, c’est qu’on plonge de plus en plus au sein d’une obscurité à la fois oppressante et obsédante.
June 16, 2024
TW DU LIVRE : v!ol, p€doph!l!e, gore
wow. ce livre représente l’excellence à mes yeux. un génie de psychologie, d’enquête, avec tout autant de dénonciation, et de représentation derrière. le personnage d’Alexis m’a tellement plu, j’ai aimer etre dans sa tête et dieu sait que je déteste les points de vus masculins. la plume de Maxime Chattam est tellement entraînante. si j’ai eu peur de ne pas l’apprécier au départ par son trop grand nombres de détails, j’ai ensuite été charmée. il m’a entrainé dans son univers, j’y ai plongé à pieds joints, et j’étais incapable de m’en détacher. une fois que tu commences, tu ne peux pas t’arrêter. parce que l’écriture est trop excellente, et l’enquête si bien ficelée. je sais pas si j’arriverais a mettre des mots personnels sur ce que j’ai ressenti durant cette lecture mais elle a remue et changé quelque chose en moi c’est sur et certain. j’ai éprouvé tellement d’empathie, de tristesse et de colère pour ces criminels : jamais je n’avais été aussi profondément touchée et remuée dans toute ma profondeur humaine.
wow. ce livre représente l’excellence à mes yeux. un génie de psychologie, d’enquête, avec tout autant de dénonciation, et de représentation derrière. le personnage d’Alexis m’a tellement plu, j’ai aimer etre dans sa tête et dieu sait que je déteste les points de vus masculins. la plume de Maxime Chattam est tellement entraînante. si j’ai eu peur de ne pas l’apprécier au départ par son trop grand nombres de détails, j’ai ensuite été charmée. il m’a entrainé dans son univers, j’y ai plongé à pieds joints, et j’étais incapable de m’en détacher. une fois que tu commences, tu ne peux pas t’arrêter. parce que l’écriture est trop excellente, et l’enquête si bien ficelée. je sais pas si j’arriverais a mettre des mots personnels sur ce que j’ai ressenti durant cette lecture mais elle a remue et changé quelque chose en moi c’est sur et certain. j’ai éprouvé tellement d’empathie, de tristesse et de colère pour ces criminels : jamais je n’avais été aussi profondément touchée et remuée dans toute ma profondeur humaine.
January 15, 2022
Saisissant dès le début, c'est une histoire déstabilisante sur la façon dont les fantasmes poussant des individus aux crimes les plus sordides transforment psychologiquement les enquêteurs chargés de les arrêter, tout en déclenchant une réflexion profonde sur le rôle et la puissance de la violence atavique dans notre vie moderne. Le roman met parfaitement en lumière le double danger que court l'enquêteur : à la fois de perdre matériellement sa vie, et d'être sournoisement amené dans une surenchère de délires du fait de devoir penser et réfléchir comme un tueur en série. La lutte pour empêcher la déviance de s'approprier son quotidien. Le rythme est envoûtant, les personnages sont bien explorés et évoluent au fil de l'histoire à travers des arcs narratifs bien conçus qui les obligent à se confronter à ce qu'ils croyaient être des certitudes. Un seul petit défaut : la réaction d'un personnage après un événement traumatique semble manquer d'un trait spécifique auquel on aurait pu s'attendre vu les prémisses. Mais c'est 5/5 sans hésiter !
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