In My Room

by Guillaume Dustan

En mi cuarto es un clásico de la literatura gay y un libro de culto. Polémico, provocativo, explícito, con una carga sexual explosiva y una intensa fuerza literaria. En esta novela autobiográfica, Guillaume Dustan, pseudónimo tras el que se esconde un miembro de la judicatura francesa seropositivo y homosexual, cuenta en primera persona, casi a modo de diario, sin tabúes, con una energía arrolladora y una escritura sin ataduras, su paseo por el infierno de las drogas, el sexo sin freno y las relaciones sentimentales tortuosas. En mi cuarto no es solo uno de los mejores ejemplos de literatura gay, es también la historia hipnótica y sobrecogedora de un hombre desesperado que haría lo que fuera por ser amado. Críticas:
«Más allá de la polémica está su fuerza literaria.»
Le Monde «El mejor escrito de su generación.»
Vice

Genres: Queer, LGBT, France, Fiction, Gay, Novels

128 pages, Paperback

First published January 1, 1996

Reviews

[David_e · Rating 3 out of 5]

Pornografía autodestructiva rociada de éxtasis y drogas varias.

[César Jiménez · Rating 5 out of 5]

Sexo explícito, drogas y el VIH como tema de fondo. Deja mucho a la reflexión de como se vivía el VIH en esa época. Un libro de culto. Escrito en 1996, fue pura provocación.

[Louise · Rating 3 out of 5]

2.5/5

Ce n'était pas mauvais, mais ce n'était pas non plus bien. Je ne vois pas vraiment ce que livre peut m'apporter à part que maintenant j'en sais probablement beaucoup trop sur la sexualité de Guillaume Dustan. Si encore les sujets du SIDA et de sa santé mentale avaient été plus abordée, j'aurais sûrement donné une meilleure note, mais ici l'auteur ne se concentre que sur sa relation avec Stéphane et quelques autres hommes seulement sous le prisme du sexe. Ce livre n'est ni plus, ni moins que de l'auto-pornographie.

[Justine Lie · Rating 4 out of 5]

Lecture périlleuse dans le métro

[Fau · Rating 3 out of 5]

Read (in english) for a queer theory class. Most pornographic thing I have ever come across. The syntax and short sentences + the deadline I was working with made the reading experience feel like a fucking race. I think rushing through it was the best way to read it as it adds to the succession of intense overwhelming experiences of the main character.

I practically got attacked by this book & i think had i read it in french i would have hated it

[Élo Rage]

Bon, première fois que j'essaie de donner mon avis sur un livre. Ce sera plus un retours d'expérience qu'un "j'aime/j'aime pas" mais c'est mieux que rien. J'essaie de l'envisager comme des notes de lectures pour un futur moi-même, car c'est le seul set-up qui me fait dire des choses. J'espère que je serai capable de faire ce genre d'exercice avec tous les livres que je vais lire à partir de maintenant.

J'ai terminé ce livre il y a un peu plus d'une semaine après avoir été aspiré dans une sorte de spirale durant laquelle j'ai bouffé le dernier tiers. À la suite de ça, j'ai ressenti une sorte de vide qui serait un peu l'équivalent intellectuel d'un arrière-gout bizare.

Cette lecture m'a donné l'impression de me cogner contre un mur de nihilisme dont je ne savais torp que penser. Le style de l'autofiction ou l'auteur dissèque ses actions et affects de façon désincarnée créé un décalage qui m'a provoqué un certain inconfort. J'étais à la fois fasciné et attristé par cette description froide et distante des moindres détails d'une sexualité pd en plein cœur de l'épidémie se SIDA.

D'une certaine façon, le livre m'a intéressé en tant que document historique TPG. La gène que j'ai pu ressentir en le lisant m'a servi d'avertissement contre le fait de trop idéaliser la marginalité fantasmée des sexualités pd passée. La sensation de vide m'a semblé incompatible avec toute perspective d'une sexualité révolutionnaire et émancipatrice.

Une autre origine de la gène qu'il ne faut pas oublier je pense, est le lien que j'ai pu faire durant ma lecture et quelques unes de mes expériences passées. Ce ton distant centré sur la pratique sexuelle mais qui écarte les personnes a pu me rappeler de manière caricaturales comment j'ai pu abordé certaines relations suivies. Relations durant lesquelles j'avais l'impression de ne pas considérer assez l'autre personne, ce qui pouvait aboutir à des cœurs brisés.

Bref, une lecture pas forcément agréable, mais que je suis content d'avoir fait car elle a ouvert la porte à de nombreuses réflexion personnelles et politiques, que ce soit avec ou contre le livre.

[heyyonicki · Rating 5 out of 5]

Une belle et grande surprise. C'est un roman que j'ai essayé de faire durer malgré sa petite taille. L'écriture semble suivre la pensée de l'écrivain, la ponctuation est quasi inexistante dans certains dialogues. C'est un produit de son époque, d'un point de vue de la forme déjà, et aussi peut-être un peu trop quant à la sensibilité douteuse de l'auteur au sujet du racisme, qui décrit quelques-uns de ses amants étrangers avec un vocabulaire peu acceptable aujourd'hui. Ces courts passages restent à peu près lisibles en gardant en tête que ce livre à été écrit dans un contexte différent du notre. À part, cela, j'en garde un très bon souvenir et ai grande hâte de lire d'autres livres du même auteur.

[Jacob Binder · Rating 4 out of 5]

What a wild book. Tonally unromantic, but almost entirely about sex and drugs. It reads like the closed captions of a porn video but told from the first-person. I am not sure if I should interpret Dustan's minimalist tonal choices as a kind of emotionally-muted, detached reckoning with the narrator's death drive, or as a type of accounting, an unfiltered, detail-based account of the sex lives of HIV positive gay men in 1990s Paris. I guess it is both, or neither. It is what one makes of it.

"The next week, his test results come back negative. I tell myself I did the right thing not coming in his ass. And then I feel alone. Disappointed. And then alone." (Ch. 14).

[Paco Montañez · Rating 1 out of 5]

Una de las cosas más miserables que he leído en mi vida, y cuyo único valor es la capacidad del autor para presentarse a sí mismo como un ser despreciable sin mucho pudor al respecto.

[Cait · Rating 3 out of 5]

so much bum sex

[Jessica · Rating 3 out of 5]

Au travers d’une écriture précise, chirurgicale, G Dustan raconte sa vie dans le milieu gay hard. Le livre est particulièrement réussit car le parallèle avec la psychologie de l’auteur, sa détresse intérieure, est claire sans jamais être dite.
Derrière les descriptions d’accessoires, de soirées & partenaires, de positions, il traite en filigranne la peur de la solitude, la peur de la mort, les mécanismes parfois pervers de l’amour... Et le fait que plus l’angoisse grandit plus l’extrême devient salvateur. Poignant.

Quelques citations :

"Le problème c'est qu'avec le nouveau je m'ennuie, il ne me fascine pas, l'autre, il était fou et je l'aimais, c'est toujours le moins fou qui est fou du plus fou, et le plus fou est fou de lui-même apparemment. Elle me dit qu'on ne peut pas y échapper, c'est comme ça, soit on est raisonnable et on se met avec un normal, et on s'ennuie, soit on se met avec un fou et il veut vous vitrioler et on s'amuse"

"On rentre rarement seul si on persiste jusqu'à tard et qu'on n'est pas trop déprimé. Si on ne se dit pas qu'on s'est déjà fait tous les mecs bien qui sont sur place. Ou tous ceux qu'on sait qu'on peut se faire. Mais souvent on peut se faire ceux qu'on pensait ne pas pouvoir se faire. On progresse."

"Les gens de la nuit sont les plus civilisés de tous. Les plus difficiles. Chacun fait plus attention à sa conduite que dans un salon aristocratique. On ne parle pas de choses évidentes la nuit. On ne parle pas de boulot, ni d'argent, ni de livres, ni de disques, ni de films. On agit seulement. La parole est action. L'oeil aux aguets. Le geste chargé de sens."

[Joseph · Rating 4 out of 5]

this book was outstanding. it's hard to imagine what it's like to be a true sex pig if you aren't one. this was a testament to just that. one thing that i enjoyed from this book was that it left me understanding the emptiness that many gay men cope with. interestingly, this person didn't know he was lonely or empty. this book is not for the squeamish.

[Jude Jones · Rating 4 out of 5]

REREAD. I forgot how beautifully this book ends and I again find myself moved by the hedonistic optimism of Dustan at a time when both the ability to have fun and the ability to simply pursue pleasure became so restricted, so frowned upon.

[Rafael · Rating 4 out of 5]

Intense, almost pornographic.

[Camille · Rating 4 out of 5]

L'expérience du roman autopornographique est décidément très intéressante, et rendue très vivante par un auteur talentueux, que j'aurais aimé connaître plus tôt.

[Mondrian Lanouette · Rating 3 out of 5]

Déprimant au maximum, mais parfois, comme dans ce cas-ci, ça fait un bon livre.

[Neodoro · Rating 5 out of 5]

rip guillaume dustan t’aurais trop aimé el chorro

[mephitique · Rating 3 out of 5]

dans ma chambre ne va nulle part ailleurs, c’est une boucle infinie de baise précisément contée avec détachement, un portrait d’une sexualité pédé dans le marais en plein milieu de l’épidémie du VIH/sida où la violence et l’absurdité se mêlent en nihilisme assumé. les personnages sont décrits pour leur apparence seule et leur capacité à bien ou mal baiser, le compas moral du narrateur est absent, seules subsiste sa peur d’être seul et la connaissance de sa perte entamée, dans tous les sens du terme
il y a beaucoup de passages très racistes dans ce livre. je continue avec je sors ce soir et plus fort que moi, so far je pense qu’on prête plus à guillaume dustan que ce qu’il n’a vraiment apporté mais ça reste des lectures importantes dans la littérature queer française

[Alberto Rodriguez De Tena · Rating 3 out of 5]

Me ha parecido interesante ser el observador de todo el mundo del protagonista. Un mundo donde el sexo y las drogas son las necesidades básicas y principales, y el resto queda relegado a un segundo plano. Ha habido puntos del libro que me he sentido agobiado por el desenfreno y el ritmo de los personajes.
Eso sí, la traducción del libro al español es horrible. Y lo que no me ha gustado es la falta de crítica o visión simple de todas las consecuencias del desenfreno de vivir en ese mundo. Final muy abrupto

[Typhon · Rating 2 out of 5]

Guillaume baise beaucoup parce que Guillaume a peur de la mort et qu'il est séropositif. Guillaume évite le pathos (ok), Guillaume évite l'humour (bon), Guillaume parle crûment de ce qu'il fait quand il baise avec des mecs.
J'imagine que dans les années 1990 c'était novateur d'écrire pour parler de fisting et de drogues à longueur de pages, de se montrer en tant que gay en train de jauger les mecs à la longueur de leur bite.

[supermanax · Rating 4 out of 5]

"Le problème c'est qu'avec le nouveau je m'ennuie, il ne me fascine pas, l'autre, il était fou et je l'aimais, c'est toujours le moins fou qui est fou du plus fou, et le plus fou est fou de lui-même apparemment. Elle me dit qu'on ne peut pas y échapper, c'est comme ça, soit on est raisonnable et on se met avec un normal, et on s'ennuie, soit on se met avec un fou et il veut vous vitrioler et on s'amuse"

[Ram Dass · Rating 3 out of 5]

Il y a des romans qui vieillissent mal, comme celui-ci.

Ce roman ou autobiographie pornographique au style littéraire singulier a des passages intéressants car ils racontent une époque noire, sordide, mêlant peur et vie à mille à l’heure - hélas, une époque où on écrivait impunément « Chinetoque », « Je me dis qu’ils n’auraient pas dû les laisser entrer, ça ambiance bizarre avec les beurs ».

Dommage.

[Freddy Veloz · Rating 3 out of 5]

Una pornovela bastante explícita sobre la vida sexual de Guillaume Dustan. La obra me interesó originalmente por la fama que se ha ganado Dustan como uno de los últimos escritores malditos. Y aunque ciertamente tiene un estilo crudo que deja filtrar de vez en cuando sus emociones profundas, creo que esperaba un poco más tomando en cuenta su fama.

[JR · Rating 2 out of 5]

2.5
“I feel like calling him again. Like telling him I want you. I want your skin. Something that excites him. For him to tell me to come over. I’d lord over his bed with the remote control, facing the big TV. We’d try to find ourselves. Demons”

[dale · Rating 4 out of 5]

i wonder if i'd like this as much if it was written in English, i get the feeling that i might not and i'm not sure why
great for what it is which is autopornobiography

[Drmanhattan]

Hmmm

[Sarah Cummins · Rating 3 out of 5]

Fine

[Alma Hernández · Rating 3 out of 5]

Seulement du sexe. Du sexe, plaisir et autodestruction, produit de l'exclusion et la perdue des futurs perdus.

[javi · Rating 4 out of 5]

tan íntimo y tan público. tan aséptico y tan sensual

[En Terapia · Rating 3 out of 5]

Execelente manual para saber penetrar y ser penetrado analmente