Avec Florent, Marie Laberge réussit à boucler chaque destin amorcé dans Gabrielle. Elle ne néglige aucun de ses personnages. Elle donne à chacun leur pleine mesure de vie, grâce à cette écriture reconnaissable entre toutes, qui fait entendre, avec une justesse éblouissante, la parole de toute une société. C’est sur la toile de fond du Québec des années 50 et 60, un Québec en pleine mutation, que la saga s’épanouit. La romancière reprend ici avec force son sujet majeur, le courage des êtres humains bousculés, maltraités par la vie, écartelés, et qui, sans faiblir, avec détermination, cherchent à atteindre le bonheur malgré les épreuves et les préjugés de l’époque. Si le désir, la passion, la sensualité ont conduit Gabrielle et Adélaïde, ces thèmes prennent leur pleine densité dans Florent. Apprendre qui on est, qui on désire et de quelle concupiscence on est habité est essentiel à la conquête du bonheur. Florent est, à ce titre, un hymne au courage.
Marie Laberge est née à Québec (Québec, Canada). Elle étudie chez les Jésuites, puis s'initie à la danse avec Ludmilla Chiriaeff. Après des études en journalisme, qu'elle abandonne en 1970, elle se consacre aux activités théâtrales et entre au Conservatoire d'art dramatique de Québec, d'où elle obtient un diplôme en 1975. Elle joue dans différentes pièces de théâtre à Québec, avant de faire de la mise en scène et de l'enseignement en art dramatique. En 1981, elle quitte Québec et s'installe à Montréal. En 1983-1984, elle enseigne et est directrice du département de théâtre de l'université Laval.
En tant que dramaturge, elle signe vingt pièces, dont la plupart sont jouées au Québec et dans divers pays européens. Parmi les plus notables, soulignons
L'Homme gris, jouée en France, en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Lettonie, dans les langues respectives de ces pays, Oublier (prix de la meilleure production théâtrale de Bruxelles 1987-1988), Aurélie, ma sœur (produite en 1994 au Gate Théâtre de Londres), Le Faucon, présenté en 1996 au Festival des Francophonies en Limousin à Limoges. Elle est aussi scénariste, administre le Théâtre du Trident (1977 à 1980) tout comme le Centre d'études en art dramatique (1978 à 1981), dont elle est la présidente de 1987 à 1989.
Marie Laberge écrit cinq romans avant de rédiger la trilogie intitulée Le Goût du bonheur (Gabrielle, Adélaïde et Florent), qui se vend à plus de 500 000 exemplaires.
En mai et juin 1995, elle rédige le préambule de la Déclaration d'indépendance du Québec en collaboration avec Gilles Vigneault, Fernand Dumont et Jean-François Lisée, entre autres.
En 2006, elle écrit une chanson pour Céline Dion intitulée Le temps qui compte, mise en musique par Jacques Veneruso. Cette chanson parait sur l'album D'Elles, sorti le 21 mai 2007.
Entre 2009 et 2011, Marie Laberge publie un roman épistolaire - Les lettres de Martha - une correspondance qu'elle entretient personnellement 26 fois l'an avec ses lectrices et lecteurs inscrits.
Bien que "Florent" serve assez bien comme troisième tome du "Gout du Bonheur", c'est un roman extravagant qui a trop de visées. Laberge y parle de toutes les questions qui ont préoccupées les intellectuelles féministes pendant le dernier quart du 20e siècle: les obstacles aux femmes dans les professions libérales et dans le monde des affaires, la violence conjugale, le droit à l'avortement, les préjugés phallocrates chez les psychiatres, la justice pour les gais et lesbiennes, l'abus psychologique des enfants et les hommes qui aboutissent trop rapidement. Elle a peut être raison la plupart du temps. Ce qui est certain est qu'elle exprime le consensus du Québec actuelle. Malheureusement elle aborde trop de sujets et la présentation de ses idées en souffrent.
Laberge a le vertu d'être claire dans la questions des priorités politiques. Pour elle l'agenda féministe prime sur la lutte des classes. À plusieurs reprises elle critique les communistes-surréalistes qui ont signé le célèbre manifeste, "Le refus global" et qui d'après elle ont poursuivi le mauvaise objectif.
Il faut reconnaitre que l'intrigue du roman est très mal ficelée . Le protagoniste n'est pas Florent mais Gabrielle l'héroïne du deuxième tome de la trilogie. Malheureusement le surabondance de personnages et intrigues secondaires dans "Florent" finissent par submerger l'histoire de Gabrielle. Avec plus de discipline, Laberge aurait pu mieux finir sa trilogie mais "Florent" déçoit beaucoup.
Beaucoup de longueurs dans ce tome, l'autrice veut aborder trop de thèmes. Certains aspects de l'intrigue ou des personnages m'ont un peu irritée, mais j'ai bien aimé les dernières pages et je suis contente d'être allé au bout de cette saga.
J'ai adoré "Le Goût du Bonheur" - je ne peux même pas faire de différence entre les trois tomes tellement j'ai été embarquée du début à la fin. C'est LA saga que je conseille à tout le monde, et que j'ai relue plusieurs fois !
❤️ Coup de coeur ! Quelle pépite ! Cette saga marque un avant et un après dans ma vie de lectrice. Il y a tant de sujets abordés, tant de réflexions brillantes... Et les personnages ! Adélaïde va me marquer très longtemps, c'est une enfant puis une femme absolument incroyable. Le genre de femme qui mérite un roman. Cette saga n'est pas seulement passionnante, je pense qu'elle peut apporter beaucoup de réponses aux questions que vous pouvez vous poser, consciemment ou inconsciemment.
Autant j'ai adoré Gabrielle et Adélaïde, autant j'ai lu Florent uniquement pour le terminer. Je suis même très déçue, nous ne suivons pas un seul personnage mais tous en même temps. Ce livre aurait pu s'appeler Léa par exemple pour rester dans la même veine de ces femmes exceptionnelles : d'ailleurs l'idée de sa psychanalyse dans la dernière partie du livre était judicieuse. Mais c'est trop, trop de malheurs, de folie, de viol.... J'étais déjà restée très choquée par la fin du tome 2, mais là cette surenchère devient presque ridicule. Trop pour moi. Je laisse même ces personnages sans regrets alors que j'avais été si impatiente de lire le deuxième tome puis le troisième. Je me suis ennuyée, dommage.
3,75 🌟 Je vais aller dans le même sens que les autres reviews; ce livre aurait dû s’appeller Léa. Je comprends qu’elle ne voulait pas l’appeller Adélaïde2 non plus… mais ça traite énormément d’elle pour la majorité du livre. Pas fâchée d’avoir fini cette brique, c’est rare que ça me prend 3 mois terminer un livre disons. Quelle série coup de coeur, comme je n’ai jamais vécu avec aucun autre roman québécois.
3.5 J’ai aimé retrouver les personnages de la trilogie et l’écriture de Marie Laberge. Par contre, je trouve qu’on suivait trop de problématiques/personnages à travers le roman ce qui submergeait l’histoire principale. Ce livre boucle néanmoins bien la trilogie.
J'étais toute triste de refermer ce dernier volet de la trilogie...Je suis très admirative devant l'imagination de cette femme, et sa capacité à faire vivre ainsi une aussi grande famille sur toutes ces années, chacun prenant peu à peu sa place. Superbe !
Si ravie que cette trilogie soit ma première lecture de 2018.
Je crois que c'est la 1ere fois où je lis une auteur qui arrive à faire vivre et à rendre important autant de personnages. Il y a évidemment Adélaïde et Florent que l'on suit pendant 3 tomes mais surtout il y a tous ces femmes et hommes qui se greffent peu à peu et qui remplissent avec autant d'importance les pages.
Ce sont des livres engagés et féministes. La société du début du 20eme siècle fait grincer des dents. Mais Marie Laberge renverse la religion, le patriarcat, l'homophobie et toutes les violences qu'ont subit les femmes dans ce (ici) Québec puritain. On voit des femmes prendre peu à peu le pouvoir, s'autoriser elles-mêmes une sexualité et renverser les codes imposés. Non vraiment de ce côté-là, Le goût du bonheur est une ode aux femmes.
Bien sûr, il y a des passages un peu absurdes comme si Laberge voulait absolument parler de toutes les horreurs que peut rencontrer un humain dans sa vie.
Je recommande cette lecture qui m'a donnée par la même occasion envie de visiter Québec et Montréal !
[ENG/FR] This is everything I love in a great family saga. Laberge intricately weaves in the lives of her amazing characters. Family sagas allow the writer to deal with many themes and subjects, from very different points of view. This last book is quite heavy theme-wise (psychiatry, mental illness, homosexuality in the 1950s, r*pe, sexual assault, antisemitism), and they were only possible to tackle thanks to the two previous books in the series (although the length of the books helps too!). I really am going to miss some of the most complex and intriguing characters I've ever read. Also, I cried my eyes out at the end. ----- Ce roman est tout ce que j'aime dans une bonne saga familiale. Marie Laberge mêle habilement la vie de chacuns de ses personnages, qui sont un plaisir à connaître. Les sagas familiales permettent à l'auteur de traiter énormément de thèmes et sujets variés, mais également une variété de points de vue, et on a alors accès à toutes les interprétations possibles d'un fait (comme la maternité, fil conducteur de la série). Ce dernier tome couvre des thèmes très lourds (la psychiatrie, les maladies mentales, l'hoosexualité dans les années 50, le vi*l, les agressions sexuelles, l'antisémitisme), mais cela n'a été possible que par les deux tomes précédents (même si la longueur des livres aident aussi!). Ces personnages vont vraiment me manquer, car se sont les plus complexes et les plus beaux que je n'ai jamais rencontrés. La fin m'a fait pleuré toutes les larmes de mon corps.
Une œuvre magistrale qui traverse le temps et les émotions.
La trilogie Le Goût du bonheur de Marie Laberge, composée de Gabrielle, Adélaïde et Florent, est bien plus qu’une simple série de romans : c’est une plongée bouleversante dans l’histoire du Québec, dans les réalités sociales d’une époque et dans des destins qui défient les conventions.
À travers ces personnages d’une richesse inouïe, l’autrice nous transporte dans un monde où l’amour, le devoir, les sacrifices et les espoirs s’entrelacent avec une authenticité saisissante. Ce qui me touche particulièrement, c’est la manière dont Marie Laberge met en lumière des formes précoces de travail social, bien avant que cela ne devienne une profession reconnue. Elle donne une voix à ceux et celles qui ont lutté pour un avenir meilleur, tout en nous offrant des histoires d’amour qui bousculent les normes et brisent les moules de leur époque.
J’ai relu cette série à plusieurs reprises, et à chaque fois, je ressens la même intensité d’émotions. L’écriture de Marie Laberge est immersive, poignante et d’une justesse remarquable. Elle nous fait vibrer avec ses personnages et nous pousse à réfléchir sur notre propre histoire collective.
Si vous cherchez une lecture captivante, profondément humaine et empreinte de réalisme, Le Goût du bonheur est un incontournable. Une série qui marque à jamais.
C'est la première trilogie que je lis d'une auteure québécoise. J'avoue être tombée en amour avec les personnages qui s'y trouvent (surtout celui de Jeannine). Au courant de la lecture de "Gabrielle", je me demandais ou allait aboutir l'histoire. Je trouvais que c'était un peu lent au début, mais je me suis habituée à l'écriture et j'ai suivi l'évolution des personnages selon leur place dans le temps. Le goût du bonheur nous explique tellement bien les défis des temps anciens (droit de la femme, homosexualité, religions diverses, etc.) et comment la société a éventuellement changé son point de vue sur ces sujets qui étaient auparavant taboos.
Je suis tombée en amour avec les livres "Gabrielle" et "Adelaide", même si ceux-ci se terminent dans la tragédie. Pour ce qui est du livre "Florent", j'ai pleuré et j'ai ri, j'ai aimé suivre l'évolution émotionnelle de Florent ainsi que les autres personnages, mais j'ai trouvé certaines parties du livre trop longues (psychanalyse à Léa, introduction du personnage de Denis, va et vient (avec Paul) d'Adelaide, et parfois, son incapacité empathique).
Je recommande! Une belle trilogie remplie d'amour, de drame et d'histoire.
J'ai vraiment aimé les 2 premiers tomes de cette trilogie (bien que les fins m'aient causées un peu (beaucoup!) de frustration). J'avais donc très hâte de me lancer dans ce dernier tome qui viendrait clore cette rebondissante histoire qu'est la vie d'Adélaïde, Nic, leur famille et leurs amis. Finalement, j'ai mis du temps à embarquer dans celui-ci. Je trouvais certains passages vraiment trop long. Puis, l'histoire ses mise à devenir plus intéressante, plus importante. Bref, plus comme les deux premiers tomes. J'étais emballée ! Malheureusement ca n'a pas duré... J'ai l'impression que l'auteure à voulue élaborer trop d'histoire. Elle a voulue nous interesser à la vie de chaque personnage mais malheureusement il y en a trop. Et à la fin, le destin de tout le monde est bouclé plutôt rapidement, certains n'ont même droit qu'à une ou deux phrases. Je crois qu'il aurait été mieux de laisser de côté certains personnages secondaires, voir tertiaires, dès le début, pour pouvoir clore comme il se doit l'histoire des personnages principaux.
J'ai tellement aimé cette série. Un voyage dans le passé. Des personnages attachants. De perpétuelles remises en questions sur la place des femmes et sur la religion dans la société d'hier à aujourd'hui. C'était assez percutant de lire sur les passages concernant l'avortement, en même temps que ce droit ait été bafoué aux USA dernièrement... J'adore la force du personnage d'Adélaïde. Sa passion, son engagement auprès de ceux qu'elle aime, son côté entrepreneur. Marie Laberge nous transporte avec succès dans le passé au travers de cette trilogie. Elle nous permet de mieux comprendre l'ambiance qui régnait à l'époque et de mieux comprendre notre histoire. À lire absolument!!
Il y a tout dans ces romans. L’amour, la peine, l’amitié, la famille, la folie, la maladie, le désir, l’homosexualité, la mort, le travail, l’art, la violence. Chaque personnage est sublime et énervant, si vrai d’être si beau et plein de défauts. Les années passent et les enfants grandissent, les parents vieillissent, les relations évoluent, de tendent et se dénouent. On voit l’entrée de la modernité dans la vie de ces personnages qui vivent dans un Québec corseté, où les pressions sociales sont fortes et où petit à petit chacun trouve sa place néanmoins. C’est probablement un de mes romans favoris.
Marie Laberge a fait un travail remarquable avec cette trilogie. Des romans costauds avec beaucoup de sujets tabous et qui peuvent parfois sembler lourds, mais qui nous hantent tous à la suite de notre lecture. Chaque roman m'a laissé dans l'attente du prochain et avec l'impression de faire partie prenante de cette si grande famille. L'autrice détaille si bien les personnages et leur vie qu'on rêve encore des romans même lorsqu'ils sont terminés. J'ai adoré cette trilogie et plus particulièrement le 2e. La fin avec "florent" me laisse sur ma faim, car j'ai l'impression que tous les personnages (et dieu sait qu'ils sont nombreux) n'ont pas tous eu droit à leur fin.
Clap de fin pour cette saga dont les personnages hantent encore la tête quelques jours après avoir fermé le livre. On imagine aisément que leur vie a continué au même rythme que la grande portion que nous avons partagé. Si ce n'est pas de la grande littérature cela reste de la belle littérature, qui transporte, qui entête et qui réjouis. Je libère donc ce 3eme tome sur les étagères de la bibliothèque communale en espérant que d'autres lecteurs le découvriront rapidement. J'y retournerais probablement dans quelques années.
J’ai lu cette trilogie il y a plus de 15 ans, et c’est avec plaisir que je m’y suis replongée. Dans mon souvenir c’était ce tome qui était le plus “plate” mais en relisant la saga, c’est finalement mon préféré. Par contre j’ai trouvé qu’Adélaïde prenait beaucoup de place. La parfaite Adélaïde auquel aucun homme ne résiste... ça m’a lassée. J’aurais préféré que l’emphase soit vraiment sur Florent. De plus, la “psychanalyse “ de Léa traînait en longueur. Malgré ces points j’ai tout de même beaucoup aimé:)
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Cette série se lit comme on regarde un film. On suit ces personnages dans leurs forces et leurs faiblesses. Ce troisième volume plus dense, m’a moins emballée car il y avait des longueurs et parfois les réflexions des personnages sur leur vie m’ont semblé aller trop loin. Pas assez réaliste, il nous arrive de devoir prendre du recul sur ce que nous avons vécu mais pas avec une telle acuité. Il y a des passages un peu trop proches de la psychanalyse. Dans l’ensemble cela reste une bonne saga.
J’ai adoré cette trilogie historique. Il était temps que j’entre dans cet univers de Marie Laberge…20 ans après sa parution. Les personnages m’ont hantée quelques temps après la fin de mes lectures. Je me suis vraiment attachée à leurs histoires. De plus, les femmes ont des rôles importants pour l’époque. Cette lecture a suscité chez moi plusieurs émotions dont la colère en refermant le tome 2. À lire
DNF @ 379 pages. Je suis très déçue de devoir abandonner la lecture de cette trilogie. J’ai *adoré* Gabrielle et Adélaïde et j’avais tant d’espoir pour ce troisième tome. Malheureusement, il ne rencontre pas du tout mes attentes. L’histoire est trop décousue à mon goût: il se passe tout et absolument rien en même temps. J’aurais bien préféré que le livre se concentre sur Léa pour continuer dans la même veine que Gabrielle et Adélaïde.
Cette trilogie est l'histoire d'une vie. de ma vie, je n'ai jamais eu un aussi gros coup de coeur pour des livres, et ce, malgré une deuxième relecture! merci de m'avoir fait vivre ses émotions ainsi que cet amour plus les personnages. J'ai encore pour une fois bien compris ce qu'il représentait.
coup de coeur, je crois que cela me prendra beaucoup de temps pour retrouver quelque chose de semblable.
J’ai adoré mes deux premiers tomes, j’avais hâte de découvrir Florent d’une autre façon qu’au travers des yeux d’Adélaïde, mais j’ai été déçu. J’étais moins captivé par l’histoire que pour les deux autres. Faut dire qu’après avoir lu Adélaïde où il se passe beaucoup de chose et où les personnages évolue beaucoup à travers le temps, j’ai trouvé que Florent était un peu fade.
Le goût du bonheur est une de mes séries préférées. Sa taille peut sembler imposante, mais il se lit très bien. Une histoire complexe remplit de personnages attachants, d'histoires d'amour et de peine. Je ne vous mentirai pas ; il m'a fait pleurer à chaudes larmes à plusieurs reprises. Une série qui en vaut définitivement la peine!
Je fais peu de distinction entre les 3 tomes de Le goût du bonheur car je les ai tous lu d'un coup et que selon moi ils forment un tout. Gabrielle Adélaïde et Florent, une histoire complète, complexe et chamboulante. Ça a été un deuil de les quitter
J ai adore cette trilogie. Ce tome permet de donner une fin a chacun des personnages apparus depuis le 1er. Florent est important mais peut etre pas autant que l ont été Gabrielle et Adélaïde dans les tomes précédents... mais cela permet de n oublier personne.