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Channel Blue
Earth used to be Galaxy Entertainment's most lucrative show. The inhabitants of the Western Galaxy - the saviest, richest demographic in the Milky Way - just couldn't get enough of the day-to-day details of the average Earthling's life.
But Channel Blue's ratings are flagging and its producers are planning a spectacular finale. In just three weeks, their TV show will go out with a bang. The trouble is, so will Earth.
Only one man can save our planet and he's hardly a likely hero...
But Channel Blue's ratings are flagging and its producers are planning a spectacular finale. In just three weeks, their TV show will go out with a bang. The trouble is, so will Earth.
Only one man can save our planet and he's hardly a likely hero...
374 pages, Kindle Edition
First published December 1, 2013
31 people are currently reading
460 people want to read
About the author
Jay Martel
9 books12 followersI'm an executive producer and writer for "Key & Peele," a sketch show on Comedy Central. I've created various TV shows, written screenplays, gardened for Richard Nixon, and was once arrested for confronting Jeb Bush about Florida's death penalty program. I've also written comic pieces for "The New Yorker" and "Rolling Stone." Channel Blue is my first novel. For more info on Channel Blue and my writing, please check out facebook.com/authorjaymartel.
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 82 reviews
October 19, 2015
Actually a very fun book to read, just nothing special about it. Humor is on par with Douglas Adams and Spider Robinson. It has many twists in the plot to keep the story flowing again. As in many humorous science fiction, the characters are fairly thin. I'm glad I read it and would probably read a sequel.
January 26, 2016
Me voici face à un nouveau paradoxe au moment d'écrire ma critique d'un roman : j'ai bien aimé, mais…
Le bandeau-titre disait "Hilarant" et je n'ai "hilaré" (néologisme) autant que ça. Quelques sourires, sans plus.
Oui, c'est loufoque, drôle à la limite, mais de là à hurler de rire, non.
Si le pitch est intéressant et bien raconté, il y a quelques longueurs qui auraient pu être coupées au montage sans nuire au récit… Ajoutons que j'ai trouvé certains dialogues un peu simplistes et plats. Traduction ?? I'don't know…
Le côté moralisateur, en ce qui concerne les travers de l'Homme, était parfois un peu poussé, même si je suis la première à dire que l'Humain est souvent un Crétin et responsable des situations qu'il créé lui-même avant d'accuser l'Autre.
Ce roman SF est en fait une satyre de notre société et des médias que nous consommons en masse, médias qui nous manipulent et nous qui nous laissons faire, tels des veaux en route vers l'abattoir.
Je me suis toujours demandée qui était le pire : les gens qui participent à de la soit-disant télé-réalité ou à ceux qui regardent ces émissions avec des étoiles pleins les yeux ? Pour moi, ce sont les deux.
Quand la télé en arrive à filmer des gens devant leur télé et que des spectateurs regardent ces même gens devant leur télé, on peut se dire qu'on a touché le fond, non ? Vous suivez toujours ?
Ici, l'auteur se plait à critiquer notre société humaine mais aussi les médias et leur course – à n'importe quel prix – à l'audimat au travers du peuple des Édénites, cette société d'extra-terrestres qui ont fait de la Terre un programme de télé-réalité.
Cette société plus évoluée que nous, qui a banni les embrassades à pleine bouche, l'amour, le coït, le sexe, les touches-pipi, les crimes, les défauts, les croyances, la fonction d'uriner, de déféquer et qui ne se reproduit plus que par fécondation extra-utérus; s'emmerde à fond et n'a d'autre choix que de se gaver des milliers de programmes de télé-réalité fait à l'insu de certaines planètes.
Un roman amusant, plaisant, mais qui ne restera pas dans mes annales (pas oublier les deux "n").
La satyre n'était pas mal, la critique de la société était bonne mais elle était servie par une écriture un peu plate, des rebondissements un peu trop nombreux avec trop de retournements de situations et le roman aurait été plus court qu'il en aurait gagné.
Amusant mais rien d'excitant.
Par contre, j'ai bien aimé le final et le clin d’œil de l'arroseur arrosé.
Ça se dit évolué, mais ça vit devant un écran de télé… Trouvant bien entendu que nous sommes des pauvres terricules avec des comportements bestiaux. Fatalement, nous, on baise encore, on se tue et on s'entretue…
Tiens, à un moment, avec leurs questions à la con pour ce pauvre Perry Bunt – le gars qui essaie de sauver la Terre – ils m'ont fait penser à nos explorateurs qui, découvrant d'autres civilisations, les cataloguaient de primitives parce qu'ils ne faisaient pas les mêmes choses que nous.
Le bandeau-titre disait "Hilarant" et je n'ai "hilaré" (néologisme) autant que ça. Quelques sourires, sans plus.
Oui, c'est loufoque, drôle à la limite, mais de là à hurler de rire, non.
Si le pitch est intéressant et bien raconté, il y a quelques longueurs qui auraient pu être coupées au montage sans nuire au récit… Ajoutons que j'ai trouvé certains dialogues un peu simplistes et plats. Traduction ?? I'don't know…
Le côté moralisateur, en ce qui concerne les travers de l'Homme, était parfois un peu poussé, même si je suis la première à dire que l'Humain est souvent un Crétin et responsable des situations qu'il créé lui-même avant d'accuser l'Autre.
Ce roman SF est en fait une satyre de notre société et des médias que nous consommons en masse, médias qui nous manipulent et nous qui nous laissons faire, tels des veaux en route vers l'abattoir.
Je me suis toujours demandée qui était le pire : les gens qui participent à de la soit-disant télé-réalité ou à ceux qui regardent ces émissions avec des étoiles pleins les yeux ? Pour moi, ce sont les deux.
Quand la télé en arrive à filmer des gens devant leur télé et que des spectateurs regardent ces même gens devant leur télé, on peut se dire qu'on a touché le fond, non ? Vous suivez toujours ?
Ici, l'auteur se plait à critiquer notre société humaine mais aussi les médias et leur course – à n'importe quel prix – à l'audimat au travers du peuple des Édénites, cette société d'extra-terrestres qui ont fait de la Terre un programme de télé-réalité.
Cette société plus évoluée que nous, qui a banni les embrassades à pleine bouche, l'amour, le coït, le sexe, les touches-pipi, les crimes, les défauts, les croyances, la fonction d'uriner, de déféquer et qui ne se reproduit plus que par fécondation extra-utérus; s'emmerde à fond et n'a d'autre choix que de se gaver des milliers de programmes de télé-réalité fait à l'insu de certaines planètes.
Un roman amusant, plaisant, mais qui ne restera pas dans mes annales (pas oublier les deux "n").
La satyre n'était pas mal, la critique de la société était bonne mais elle était servie par une écriture un peu plate, des rebondissements un peu trop nombreux avec trop de retournements de situations et le roman aurait été plus court qu'il en aurait gagné.
Amusant mais rien d'excitant.
Par contre, j'ai bien aimé le final et le clin d’œil de l'arroseur arrosé.
Ça se dit évolué, mais ça vit devant un écran de télé… Trouvant bien entendu que nous sommes des pauvres terricules avec des comportements bestiaux. Fatalement, nous, on baise encore, on se tue et on s'entretue…
Tiens, à un moment, avec leurs questions à la con pour ce pauvre Perry Bunt – le gars qui essaie de sauver la Terre – ils m'ont fait penser à nos explorateurs qui, découvrant d'autres civilisations, les cataloguaient de primitives parce qu'ils ne faisaient pas les mêmes choses que nous.
July 7, 2014
Jay Martel's "Channel Blue" is not the most original idea in the SF world, but he more than makes up for it with his execution of the idea. Earth is the ultimate reality TV show, except that we Earthlings don't know it. The rest of the galaxy have been tuning in to our antics for years, and lapping it up enthusiastically. But all good things come to an end, ratings are dropping so the decision is taken to let Earth go out with a bang, the Apocalypse as a rip-roaring end to a long running series. Only one man seems to be able to save Earth, a failed American scriptwriter reduced to teaching, Perry Blunt. He has to come up with a great idea to get the network to reverse their decision, and every idea he comes up with ends in him being beaten up. Martel manages to spin out Blunt's saga, making many good and valid points about the nature of our own ridiculous habits as well as the insatiable appetite for watching people humiliate themselves. It's a good book, hilarious in places, with a solid underpinning of the ridiculousness of our own entertainment systems. As for us being watched from space -- who knows? There must be someone out there meddling in our affairs, otherwise why the rise of Abu Bakr al-Baghdadi, the absurd head of ISIS, pronouncing his Caliphate while setting off a war where all sides will be against him and his rag-tag army. The Galaxy must he laughing their heads off over that one!
July 7, 2015
This was the perfect summer reading book. It was light and funny and weird. I liked the characters and appreciated the playful social commentary. Some have compared this story to Douglas Adams’ Hitchhiker’s Guide. Others have said that this book is nothing like Adams’ work and frankly they’re offended that you even suggested it. I think that both sides are correct. Channel Blue is a wry, clever, and extremely silly sci-fi novel. Sound familiar? However, writing off Martel as an Adams-wannabe isn’t accurate, either. Martel has his own voice and while his style is different from Adams, they’re both very good.
March 30, 2021
This brought me into the world where the frustrations of life become the entertainment and ultimately, the solution. A fun satire on what's important, what's unreal, and how not to give up.
January 25, 2014
Okay, so you know when you're in a bookstore and there's this book and it's like "this could be the next Harry Potter!" and you buy it and then a few days later you're frustrated and annoyed because you didn't pick up the "next Harry Potter" after all, you just read City of Bones.
Yeah, Channel Blue is just like that.
When I started it, I didn't expect it to compare to any book. It just sound cool and was only 70p on Amazon. No expectations whatsoever. I just wanted a new book to read.
The writing jarred me, and just seemed off. I didn't know how, it just did.
Then I read the few reviews on goodreads, most of which compared it to Hitchhiker's Guide to the Galaxy (which, I may add, is one of my favourite books of all time). Suddenly, it all made sense. It was trying to be funny.
The problem with the book is that it tries to emulate Hitchhiker's. It tries to have a deadpan protagonist, the impossibly pretty girl who he has next to no chance with, a somewhat daft concept, and then completely fails in it. It takes itself too seriously. It presents concepts that are unusual, acknowledges that they are unusual, and then tries to find a plausible explanation. You know how when someone tells a joke, and it's kinda funny but not enough to make you laugh, so they try to explain the joke, which is the equivalent of taking the joke and beating it into the ground? Yeah, well this book does that a lot.
I really disliked Perry. It was obvious that he was meant to be presented as your average middle-aged man who is a loser and has no life, but he just came off as creepy. From the get-go, he has this fixation with Amanda Mundo. Like, fixation. She forgets her coat at the first plot point of the novel, so he lies his way into finding out where she works in order to ask her out on a date. Haha, that's not creepy at all! Haha.
The Edenites were pretty eh too. yeAH perfect people with perfect lives who are just bored!!! How Incredibly Interesting!!! Of course I am happy to read pages and pages of backstory and worldbuilding!!! Yay!!!
And the plot was quite repetitive. The world's gonna be destroyed! Perry almost saves it! It fails! The world's gonna be destroyed! Perry almost saves it! It fails! Perry doesn't want to save the world, it's gonna be destroyed! Perry inadvertently almost saves it! It fails! etc. etc.
It feels like Jay Martel had a bunch of ideas for the plot, but instead of picking one, he thought "fuck it, throw 'em all in", and rushed through each one.
In short, it tried to be funny, and failed. It tried to be serious, and failed. It tried to get across and interesting concept, and failed. It tried to be a book I would want to read, and failed. 1/5.
Yeah, Channel Blue is just like that.
When I started it, I didn't expect it to compare to any book. It just sound cool and was only 70p on Amazon. No expectations whatsoever. I just wanted a new book to read.
The writing jarred me, and just seemed off. I didn't know how, it just did.
Then I read the few reviews on goodreads, most of which compared it to Hitchhiker's Guide to the Galaxy (which, I may add, is one of my favourite books of all time). Suddenly, it all made sense. It was trying to be funny.
The problem with the book is that it tries to emulate Hitchhiker's. It tries to have a deadpan protagonist, the impossibly pretty girl who he has next to no chance with, a somewhat daft concept, and then completely fails in it. It takes itself too seriously. It presents concepts that are unusual, acknowledges that they are unusual, and then tries to find a plausible explanation. You know how when someone tells a joke, and it's kinda funny but not enough to make you laugh, so they try to explain the joke, which is the equivalent of taking the joke and beating it into the ground? Yeah, well this book does that a lot.
I really disliked Perry. It was obvious that he was meant to be presented as your average middle-aged man who is a loser and has no life, but he just came off as creepy. From the get-go, he has this fixation with Amanda Mundo. Like, fixation. She forgets her coat at the first plot point of the novel, so he lies his way into finding out where she works in order to ask her out on a date. Haha, that's not creepy at all! Haha.
The Edenites were pretty eh too. yeAH perfect people with perfect lives who are just bored!!! How Incredibly Interesting!!! Of course I am happy to read pages and pages of backstory and worldbuilding!!! Yay!!!
And the plot was quite repetitive. The world's gonna be destroyed! Perry almost saves it! It fails! The world's gonna be destroyed! Perry almost saves it! It fails! Perry doesn't want to save the world, it's gonna be destroyed! Perry inadvertently almost saves it! It fails! etc. etc.
It feels like Jay Martel had a bunch of ideas for the plot, but instead of picking one, he thought "fuck it, throw 'em all in", and rushed through each one.
In short, it tried to be funny, and failed. It tried to be serious, and failed. It tried to get across and interesting concept, and failed. It tried to be a book I would want to read, and failed. 1/5.
November 22, 2017
Turn on the TV at practically any time of day or night on any channel and you have a good chance of seeing some kind of Reality Program. The programs run the gamut from the serious to the insane and cover any number of subjects. People tune in to them in droves and the people who appear on them become stars overnight. But what if the Earth itself was its own reality program? What if the day to day happenings of the people here, no matter how mundane, provide entertainment to extraterrestrial beings?
That is the question posed in Channel Blue.
At one time Earth was Galaxy Entertainment’s highest ranking show. The viewers couldn’t get enough of the backwards little people. But like most audiences, they are fickle and what was once the biggest thing is now at the bottom of the heap. This is what has happened to Earth, aka Channel Blue. With its ratings quickly going down the tube they plan to draw in the viewers once more with an amazing finale. In just three weeks, the TV show will go out with a bang, and unfortunately so will Earth.
One man however can save our planet from it’s final curtain call, but Perry Bunt’s hardly the hero type.
If that last line sounds a tad cliched, that’s probably because it is. Earth is on the brink of destruction and out of the billions of people on the planet the only one who can save us is some nobody. He is your token white man, non-descript and bland. Like most in the anti-hero trope, Perry starts the book with a “I don’t want to do this” approach which evolves in to a “I guess I have to do this” approach which becomes a “I want to do this!” approach. He continues to try and do the right thing which only gets him in to trouble and usually ends with some kind of physical beating for Perry. As the story carries on this becomes tiring, not only for Perry, but for the reader them self.
With Perry in this mad adventure is Amanda Mundo. Hailing from the planet Eden, but looking exactly like any human, she is one of the many many producers of Channel Blue. At first she’s interested in Perry because he’s an ex-script writer and she needs ideas to keep Channel Blue running. The disappointing thing is that eventually she too succumbs to the trope most female characters are subjected to – that of the love interest. Of course she falls in love with Perry and of course they end up together with a happy ending, the story left open-ended for the possibility of a sequel. In it’s predictability it’s almost disappointing.
Now I’m not saying that Channel Blue is a complete disappointment. There are some rather amusing moments and the book itself does present a sort of critique on our society. It is absurd in its own way but hardly “in the tradition of Douglas Adams and Kurt Vonnegut” as one reviewer said it. Adams and Douglas set a precedent when it comes to sci-fi and while Martel does make a good endeavor, he simply cannot match the greats.
That is the question posed in Channel Blue.
At one time Earth was Galaxy Entertainment’s highest ranking show. The viewers couldn’t get enough of the backwards little people. But like most audiences, they are fickle and what was once the biggest thing is now at the bottom of the heap. This is what has happened to Earth, aka Channel Blue. With its ratings quickly going down the tube they plan to draw in the viewers once more with an amazing finale. In just three weeks, the TV show will go out with a bang, and unfortunately so will Earth.
One man however can save our planet from it’s final curtain call, but Perry Bunt’s hardly the hero type.
If that last line sounds a tad cliched, that’s probably because it is. Earth is on the brink of destruction and out of the billions of people on the planet the only one who can save us is some nobody. He is your token white man, non-descript and bland. Like most in the anti-hero trope, Perry starts the book with a “I don’t want to do this” approach which evolves in to a “I guess I have to do this” approach which becomes a “I want to do this!” approach. He continues to try and do the right thing which only gets him in to trouble and usually ends with some kind of physical beating for Perry. As the story carries on this becomes tiring, not only for Perry, but for the reader them self.
With Perry in this mad adventure is Amanda Mundo. Hailing from the planet Eden, but looking exactly like any human, she is one of the many many producers of Channel Blue. At first she’s interested in Perry because he’s an ex-script writer and she needs ideas to keep Channel Blue running. The disappointing thing is that eventually she too succumbs to the trope most female characters are subjected to – that of the love interest. Of course she falls in love with Perry and of course they end up together with a happy ending, the story left open-ended for the possibility of a sequel. In it’s predictability it’s almost disappointing.
Now I’m not saying that Channel Blue is a complete disappointment. There are some rather amusing moments and the book itself does present a sort of critique on our society. It is absurd in its own way but hardly “in the tradition of Douglas Adams and Kurt Vonnegut” as one reviewer said it. Adams and Douglas set a precedent when it comes to sci-fi and while Martel does make a good endeavor, he simply cannot match the greats.
February 6, 2014
To start this review, I will rewrite what I wrote on the author's page. "Reading Channel Blue, love it, one of the funniest things I have read in a while, and deftly satirical as well. Great stuff. I "Literally" love it."
Jay Martel has created an intricately woven tale of science fiction, comedy, and a sort of "Hollywood Insider" type of story. The novel involves a down on his luck screenwriter Perry Bunt who has sunk to the lowest level conceivable. That of being a teacher of the craft he once made his living in; screenwriting. He still holds fast to many of his ideals and when he decides to stop fighting against the ocean of crappy writing he is drowning in, he comes across the main thrust of this book. That we, all the inhabitants of earth, are all merely players on a once hugely successful network within the Galaxy Entertainment lineup. Perry then finds out that we are being cancelled.
The author of this novel has worked in the entertainment industry for many years and is a successful comedy writer. He brings his expertise to this deftly woven tale of blended genres, realism, comedy, science fiction, and satire. The novel read like that of an episodic show at times, with each chapter feeling like its own mini episode. The novel came together to create what amounts to a complete series of television. The writing was exceptional, and you could tell once you started reading this book, that you were in for a great ride, and one would hope that this is the first of many novels by this talented writer.
Jay Martel has created an intricately woven tale of science fiction, comedy, and a sort of "Hollywood Insider" type of story. The novel involves a down on his luck screenwriter Perry Bunt who has sunk to the lowest level conceivable. That of being a teacher of the craft he once made his living in; screenwriting. He still holds fast to many of his ideals and when he decides to stop fighting against the ocean of crappy writing he is drowning in, he comes across the main thrust of this book. That we, all the inhabitants of earth, are all merely players on a once hugely successful network within the Galaxy Entertainment lineup. Perry then finds out that we are being cancelled.
The author of this novel has worked in the entertainment industry for many years and is a successful comedy writer. He brings his expertise to this deftly woven tale of blended genres, realism, comedy, science fiction, and satire. The novel read like that of an episodic show at times, with each chapter feeling like its own mini episode. The novel came together to create what amounts to a complete series of television. The writing was exceptional, and you could tell once you started reading this book, that you were in for a great ride, and one would hope that this is the first of many novels by this talented writer.
July 3, 2014
I found absolutely nothing funny about this book. Sorry, not even a smile here or there. I do not even know which were supposed to be the funny parts. It gets 2 stars instead of 1 because I finished the book and there is nothing horrible about it.
"Agent to the Stars" by John Scalzi is kind of similar in that it has aliens and the entertainment industry but is way better since it is actually funny.
"Agent to the Stars" by John Scalzi is kind of similar in that it has aliens and the entertainment industry but is way better since it is actually funny.
July 5, 2015
http://story-of-books.blogspot.com/20...
16/20
Imaginez que vous découvriez un jour, après un malheureux concours de circonstances, que tout ce que l'on vous apprend dans les manuels d'histoire soit faux, que tous les faits divers qui font la une des journaux, en bref, tout ce que vous croyiez jusqu'à présent être votre vie, votre monde, votre Terre, ne soit en réalité qu'une grande supercherie créée de toutes pièces par et pour des aliens, des extraterrestres ou peu importe leur nom, en mal de divertissement et de rire. Cela vous compliquerait grandement la vie n'est-ce pas? Surtout si la survie de la Terre et de tous ses habitants reposaient désormais sur vos épaules....
Et bien c'est précisément ce à quoi Perry Bunt se retrouve confronté, après avoir survécu à un accident, après que des chirurgiens lui aient inséré des plaques de métal dans le crâne, après être tombé sous le charme d'Amanda Mundo et après lui avoir rendu son gilet. Il est désormais en possession du secret le plus lourd que la Terre ait jamais porté, et il soit dorénavant faire tout ce qui est son pouvoir pour tenter de sauver le monde.... Top chrono!
Avouez qu'avec un tel résumé, on ne peut qu'être intrigués, avoir envie d'ouvrir ce roman et découvrir ce que l'auteur a imaginé, créé pour nous. J'avais envie de lire quelque chose de drôle, de léger mais d'assez bien construit pour me tenir tout de même en haleine. Et je n'ai pas du tout été déçue, l'humour fait mouche dès les premières pages, l'univers tient debout et est très bien construit et le tout est extrêmement addictif. Juste quelques longueurs à déplorer au cours du récit mais à part ça, Prime Time est vraiment une bonne lecture si vous cherchez de la légèreté et du rire. J'ai beaucoup aimé cette lecture à laquelle il n'a manqué que la petite touche de je-ne-sais-quoi en plus pour me la rendre encore plus plaisante.
Jay Martel nous plonge vraiment rapidement dans son récit. Dès les premières pages, tout y est: l'univers s'installe petit à petit, nous sommes immergés aux côtés des différents personnages et découvrons leur humour et leurs personnalités. Nous suivons Perry Bunt, professeur à l'université, que sa vie ne satisfait pas et dont la seule motivation à se lever chaque matin tient en deux mots: Amanda Mundo. Jusqu'à ce jour où sa vie bascule à cause d'elle. La mise en place se fait donc assez rapidement et cette dernière est vraiment très agréable, l'auteur en dévoile juste assez dans les premier chapitres pour mettre l'eau à la bouche de ses lecteurs. L'univers est parfaitement captivant et j'ai été envoutée par l'imagination de l'auteur. Et ce n'est qu'un avant-goût d'un récit riche en nouveautés pour le lecteur comme pour Perry Bunt, un récit vraiment très complet, très réfléchi mais surtout très agréable à découvrir. Dès les premiers chapitres, j'ai été happée par l'histoire que nous narre Jay Martel, par l'univers et le récit très bien construit qui nous réserve de nombreux retournements de situation.
Ce roman a beau posséder une très grande part d'humour, il n'en reste pas moins que l'univers imaginé par l'auteur est vraiment très bien construit et tient debout. Progressivement, au fil du récit et des innombrables questions que se pose Perry, nous découvrons notre Terre sous une nouvelle facette et nous faisons aussi la connaissance d'un tout nouvel univers, bien différent du nôtre, tout à fait fascinant et intrigant. Étant donné que ce roman est un one-shot (si je ne dis pas de bêtises), il est essentiel que tout l'univers soit extrêmement bien approfondi et bien expliqué pour répondre à toutes les questions du lecteur sans le laisser sur sa faim, et l'auteur y parvient très bien. Attendez-vous à faire la connaissance de personnages tous plus excentriques les uns que les autres, à découvrir un univers extrêmement riche et complexe, à être mené en bateau par l'auteur, époustouflé par son imagination et scotché par les révélations et retournements de situation. J'ai adoré me plonger dans cet univers dément et complètement fascinant, parce que si les différents aspects de cet univers sont tournés en dérision, il est néanmoins assez plausible et l'éventualité que cela soit possible est intéressante et a plané tout au long de la lecture dans mon esprit. Se plonger dans cet univers est vraiment très divertissant et ce n'est pas le seul point positif du récit de Jay Martel.
L'écriture de Jay Martel est vraiment très accessible, très fraîche et très agréable à lire, elle se lit facilement et confère au récit fluidité et légèreté pour une lecture rapide et prenante. Les chapitres passent plus rapidement les uns que les autres et le rythme du récit vraiment très agréable ajouté à l'humour dont l'auteur parsème son histoire en font un parfait roman de détente, néanmoins très riche. Absence de prise de tête garantie avec Prime Time, action, rebondissements et découvertes palpitantes sont au programme. J'ai adoré me plonger dans le récit guidée par cette plume fluide et hilarante, j'ai été blufée par l'humour dont Perry fait preuve malgré la crise que traverse la Terre et j'ai été complètement happée dans le récit grâce à l'action que l'auteur a su créer et aux multiples rebondissements qu'il a imaginés.
Après une rapide présentation de l'univers et de la vie des personnages, nous entrons dans le vif du sujet, à savoir: tenter d'éviter la destruction de la Terre et de toutes les formes de vies qui la peuplent. L'action démarre très rapidement et prend un rythme vraiment très bon et très agréable à suivre, qui devient plus oppressant à mesure que la date fatidique approche. Perry imagine diverses manières d'empêcher les aliens de s'ennuyer en regardant les humains vivre leur vie, et j'avoue que son imagination m'a encore une fois laissée sur les fesses. Il se démène pour notre plus grand plaisir, et cela ne semble jamais suffisant. Chaque pas en avant qu'il fait est suivi par trois en arrière après un retournement de situation toujours plus énorme. C'est vraiment très intéressant de le suivre et d'essayer d'imaginer ce que sera la suite des aventures.... en se trompant à chaque fois. Loin de se décourager, Perry persiste à tout essayer et nous offre donc les meilleures parties de sa personnalité.
En effet, Jay Martel a créer des personnages très différents, très complexes et très humains par bien des aspects. Perry évolue énormément durant le récit. Tout d'abord solitaire, acariâtre et bougon, les différentes péripéties qu'il va vivre vont le transformer. Il va reprendre goût à la vie, s'ouvrir aux autres et tout simplement faire preuve de plus de bonne humeur, bien que la situation soit plus critique que jamais. Dans les premiers chapitres, j'ai eu beaucoup de mal avec son personnage, aigri et peu avenant mais sa vision d'Amanda, son amour pour elle, nous permet déjà de gratter sous la surface de sa personnalité et de découvrir une part de lui plus intéressante. Cela s'améliore encore dans les chapitres suivants lorsque l'on découvre un peu plus son humour, sa dévotion pour la Terre même si pour parvenir à ses fins il doit paraitre ridicule. Sa façon de voir ce tout nouvel univers est aussi assez attendrissante et je me suis au final beaucoup attachée à lui, à sa personnalité et ses émotions.
J'ai aussi beaucoup aimé le personnage d'Amanda qui est presque l'exact opposé de Perry. Fraîche, jeune, agréable mais aussi très mystérieuse, elle aime la Terre de manière inconditionnée ainsi que tous ses habitants. Elle fait elle aussi jouer ses neurones et n'hésite pas à donner de sa personne pour aider Perry à sauver la Terre. Sa présence fait ressortir le meilleur de la personnalité de Perry et c'est un point positif non négligeable. J'ai beaucoup aimé ce personnage, qui nous permet d'en apprendre plus sur l'univers, ainsi que sa vision de cet univers, très différente et très intéressante qui profite énormément au récit.
En ce qui concerne les personnages secondaires, ils sont vraiment beaucoup moins approfondis mais cela ne gêne ni la lecture ni notre intérêt pour elle. En effet, le rôle principal des personnages qui gravitent autour de Perry et Amanda est de permettre d'approfondir l'univers ou tout simplement de faire rire. Quoi qu'il en soit, cela fonctionne à merveille et ne m'a donc aucunement gênée, ils apportent tous un petit plus au récit et c'est le principal.
Chaque personnage apporte une petite chose en plus à l'intrigue et au récit dans son ensemble. L'intrigue est d'ailleurs extrêmement bien menée et comporte de très nombreux rebondissements; presque à chaque page, un nouvel évènement surgit et il devient impossible de prédire l'avenir de la Terre, destruction ou non? C'est la grande question du récit et l'auteur joue parfaitement bien avec. En effet, si le récit est si prenant c'est grâce aux questions toujours plus nombreuses que l'on se pose après chaque retournement de situation. L'auteur a une imagination débordante et nous le fait savoir, tout peut changer d'une page à l'autre et on ne s'ennuie jamais. À part quelques longueurs à déplorer au cours du récit, rien ne vient entacher cette lecture qui donne le sourire mais fait aussi réfléchir.
L'auteur gère vraiment son récit à la perfection jusqu'à la toute fin, qui s'avère encore une fois très riche en rebondissements. C'est avec cette fin que l'on se rend compte que chaque détail de l'univers que l'on découvre dans le récit possède son importance, même ce si petit détail que l'on finit presque par oublier.... (non, ne cherchez pas, je n'en dirais pas plus) C'est une très bonne fin pour l'histoire, parfaitement dans la continuité du récit, avec de l'action, des rebondissements et des découvertes. Jay Martel clôt Prime Time grâce à une fin ouverte néanmoins très bien réfléchie et qui ne laisse pas le lecteur avec de nombreuses interrogations en suspens. Moi qui ne suis pas forcément une adepte des fins ouvertes, j'ai beaucoup apprécié la façon dont l'auteur a su amené celle-ci et c'est donc sur une note positive que se tourne la dernière page.
Les +: un univers très riche et complexe, une plume très agréable et facile à lire, une mise en place rapide, beaucoup d'action, énormément de rebondissements et de découvertes, des personnages attachants, une fin bien maîtrisée
Les -: quelques petites longueurs au court du récit, il m'a manqué la petite étincelle en plus
Prime Time est un roman extrêmement divertissant. Outre le fait qu'il soit plein d'humour, il possède aussi une intrigue très riche et très bien construite qui comporte son lot de rebondissements. L'univers imaginé par Jay Martel est très complexe, mais aussi très plausible et plein de découvertes fascinantes, drôles ou plus sérieuses, et emporte notre personnage principal, Perry, qui n'a pourtant rien demandé, dans un tourbillon d'action très bien maîtrisé dans le but de sauver la Terre et ses habitants. Les personnages de Perry et Amanda sont très bien approfondis et très attachants, ce qui rend l'histoire toujours plus addictive. La plume de l'auteur nous emporte durant tout le récit en faisant monter la tension jusqu'à une fin très bien maîtrisée et assez ouverte pour laisser place à l'imagination des lecteurs. En bref, Prime Time est le roman parfait si vous recherchez une lecture légère et drôle avec tout de même une intrigue solide et un univers riche, vous ne serez pas déçus.
16/20
Imaginez que vous découvriez un jour, après un malheureux concours de circonstances, que tout ce que l'on vous apprend dans les manuels d'histoire soit faux, que tous les faits divers qui font la une des journaux, en bref, tout ce que vous croyiez jusqu'à présent être votre vie, votre monde, votre Terre, ne soit en réalité qu'une grande supercherie créée de toutes pièces par et pour des aliens, des extraterrestres ou peu importe leur nom, en mal de divertissement et de rire. Cela vous compliquerait grandement la vie n'est-ce pas? Surtout si la survie de la Terre et de tous ses habitants reposaient désormais sur vos épaules....
Et bien c'est précisément ce à quoi Perry Bunt se retrouve confronté, après avoir survécu à un accident, après que des chirurgiens lui aient inséré des plaques de métal dans le crâne, après être tombé sous le charme d'Amanda Mundo et après lui avoir rendu son gilet. Il est désormais en possession du secret le plus lourd que la Terre ait jamais porté, et il soit dorénavant faire tout ce qui est son pouvoir pour tenter de sauver le monde.... Top chrono!
Avouez qu'avec un tel résumé, on ne peut qu'être intrigués, avoir envie d'ouvrir ce roman et découvrir ce que l'auteur a imaginé, créé pour nous. J'avais envie de lire quelque chose de drôle, de léger mais d'assez bien construit pour me tenir tout de même en haleine. Et je n'ai pas du tout été déçue, l'humour fait mouche dès les premières pages, l'univers tient debout et est très bien construit et le tout est extrêmement addictif. Juste quelques longueurs à déplorer au cours du récit mais à part ça, Prime Time est vraiment une bonne lecture si vous cherchez de la légèreté et du rire. J'ai beaucoup aimé cette lecture à laquelle il n'a manqué que la petite touche de je-ne-sais-quoi en plus pour me la rendre encore plus plaisante.
Jay Martel nous plonge vraiment rapidement dans son récit. Dès les premières pages, tout y est: l'univers s'installe petit à petit, nous sommes immergés aux côtés des différents personnages et découvrons leur humour et leurs personnalités. Nous suivons Perry Bunt, professeur à l'université, que sa vie ne satisfait pas et dont la seule motivation à se lever chaque matin tient en deux mots: Amanda Mundo. Jusqu'à ce jour où sa vie bascule à cause d'elle. La mise en place se fait donc assez rapidement et cette dernière est vraiment très agréable, l'auteur en dévoile juste assez dans les premier chapitres pour mettre l'eau à la bouche de ses lecteurs. L'univers est parfaitement captivant et j'ai été envoutée par l'imagination de l'auteur. Et ce n'est qu'un avant-goût d'un récit riche en nouveautés pour le lecteur comme pour Perry Bunt, un récit vraiment très complet, très réfléchi mais surtout très agréable à découvrir. Dès les premiers chapitres, j'ai été happée par l'histoire que nous narre Jay Martel, par l'univers et le récit très bien construit qui nous réserve de nombreux retournements de situation.
Ce roman a beau posséder une très grande part d'humour, il n'en reste pas moins que l'univers imaginé par l'auteur est vraiment très bien construit et tient debout. Progressivement, au fil du récit et des innombrables questions que se pose Perry, nous découvrons notre Terre sous une nouvelle facette et nous faisons aussi la connaissance d'un tout nouvel univers, bien différent du nôtre, tout à fait fascinant et intrigant. Étant donné que ce roman est un one-shot (si je ne dis pas de bêtises), il est essentiel que tout l'univers soit extrêmement bien approfondi et bien expliqué pour répondre à toutes les questions du lecteur sans le laisser sur sa faim, et l'auteur y parvient très bien. Attendez-vous à faire la connaissance de personnages tous plus excentriques les uns que les autres, à découvrir un univers extrêmement riche et complexe, à être mené en bateau par l'auteur, époustouflé par son imagination et scotché par les révélations et retournements de situation. J'ai adoré me plonger dans cet univers dément et complètement fascinant, parce que si les différents aspects de cet univers sont tournés en dérision, il est néanmoins assez plausible et l'éventualité que cela soit possible est intéressante et a plané tout au long de la lecture dans mon esprit. Se plonger dans cet univers est vraiment très divertissant et ce n'est pas le seul point positif du récit de Jay Martel.
L'écriture de Jay Martel est vraiment très accessible, très fraîche et très agréable à lire, elle se lit facilement et confère au récit fluidité et légèreté pour une lecture rapide et prenante. Les chapitres passent plus rapidement les uns que les autres et le rythme du récit vraiment très agréable ajouté à l'humour dont l'auteur parsème son histoire en font un parfait roman de détente, néanmoins très riche. Absence de prise de tête garantie avec Prime Time, action, rebondissements et découvertes palpitantes sont au programme. J'ai adoré me plonger dans le récit guidée par cette plume fluide et hilarante, j'ai été blufée par l'humour dont Perry fait preuve malgré la crise que traverse la Terre et j'ai été complètement happée dans le récit grâce à l'action que l'auteur a su créer et aux multiples rebondissements qu'il a imaginés.
Après une rapide présentation de l'univers et de la vie des personnages, nous entrons dans le vif du sujet, à savoir: tenter d'éviter la destruction de la Terre et de toutes les formes de vies qui la peuplent. L'action démarre très rapidement et prend un rythme vraiment très bon et très agréable à suivre, qui devient plus oppressant à mesure que la date fatidique approche. Perry imagine diverses manières d'empêcher les aliens de s'ennuyer en regardant les humains vivre leur vie, et j'avoue que son imagination m'a encore une fois laissée sur les fesses. Il se démène pour notre plus grand plaisir, et cela ne semble jamais suffisant. Chaque pas en avant qu'il fait est suivi par trois en arrière après un retournement de situation toujours plus énorme. C'est vraiment très intéressant de le suivre et d'essayer d'imaginer ce que sera la suite des aventures.... en se trompant à chaque fois. Loin de se décourager, Perry persiste à tout essayer et nous offre donc les meilleures parties de sa personnalité.
En effet, Jay Martel a créer des personnages très différents, très complexes et très humains par bien des aspects. Perry évolue énormément durant le récit. Tout d'abord solitaire, acariâtre et bougon, les différentes péripéties qu'il va vivre vont le transformer. Il va reprendre goût à la vie, s'ouvrir aux autres et tout simplement faire preuve de plus de bonne humeur, bien que la situation soit plus critique que jamais. Dans les premiers chapitres, j'ai eu beaucoup de mal avec son personnage, aigri et peu avenant mais sa vision d'Amanda, son amour pour elle, nous permet déjà de gratter sous la surface de sa personnalité et de découvrir une part de lui plus intéressante. Cela s'améliore encore dans les chapitres suivants lorsque l'on découvre un peu plus son humour, sa dévotion pour la Terre même si pour parvenir à ses fins il doit paraitre ridicule. Sa façon de voir ce tout nouvel univers est aussi assez attendrissante et je me suis au final beaucoup attachée à lui, à sa personnalité et ses émotions.
J'ai aussi beaucoup aimé le personnage d'Amanda qui est presque l'exact opposé de Perry. Fraîche, jeune, agréable mais aussi très mystérieuse, elle aime la Terre de manière inconditionnée ainsi que tous ses habitants. Elle fait elle aussi jouer ses neurones et n'hésite pas à donner de sa personne pour aider Perry à sauver la Terre. Sa présence fait ressortir le meilleur de la personnalité de Perry et c'est un point positif non négligeable. J'ai beaucoup aimé ce personnage, qui nous permet d'en apprendre plus sur l'univers, ainsi que sa vision de cet univers, très différente et très intéressante qui profite énormément au récit.
En ce qui concerne les personnages secondaires, ils sont vraiment beaucoup moins approfondis mais cela ne gêne ni la lecture ni notre intérêt pour elle. En effet, le rôle principal des personnages qui gravitent autour de Perry et Amanda est de permettre d'approfondir l'univers ou tout simplement de faire rire. Quoi qu'il en soit, cela fonctionne à merveille et ne m'a donc aucunement gênée, ils apportent tous un petit plus au récit et c'est le principal.
Chaque personnage apporte une petite chose en plus à l'intrigue et au récit dans son ensemble. L'intrigue est d'ailleurs extrêmement bien menée et comporte de très nombreux rebondissements; presque à chaque page, un nouvel évènement surgit et il devient impossible de prédire l'avenir de la Terre, destruction ou non? C'est la grande question du récit et l'auteur joue parfaitement bien avec. En effet, si le récit est si prenant c'est grâce aux questions toujours plus nombreuses que l'on se pose après chaque retournement de situation. L'auteur a une imagination débordante et nous le fait savoir, tout peut changer d'une page à l'autre et on ne s'ennuie jamais. À part quelques longueurs à déplorer au cours du récit, rien ne vient entacher cette lecture qui donne le sourire mais fait aussi réfléchir.
L'auteur gère vraiment son récit à la perfection jusqu'à la toute fin, qui s'avère encore une fois très riche en rebondissements. C'est avec cette fin que l'on se rend compte que chaque détail de l'univers que l'on découvre dans le récit possède son importance, même ce si petit détail que l'on finit presque par oublier.... (non, ne cherchez pas, je n'en dirais pas plus) C'est une très bonne fin pour l'histoire, parfaitement dans la continuité du récit, avec de l'action, des rebondissements et des découvertes. Jay Martel clôt Prime Time grâce à une fin ouverte néanmoins très bien réfléchie et qui ne laisse pas le lecteur avec de nombreuses interrogations en suspens. Moi qui ne suis pas forcément une adepte des fins ouvertes, j'ai beaucoup apprécié la façon dont l'auteur a su amené celle-ci et c'est donc sur une note positive que se tourne la dernière page.
Les +: un univers très riche et complexe, une plume très agréable et facile à lire, une mise en place rapide, beaucoup d'action, énormément de rebondissements et de découvertes, des personnages attachants, une fin bien maîtrisée
Les -: quelques petites longueurs au court du récit, il m'a manqué la petite étincelle en plus
Prime Time est un roman extrêmement divertissant. Outre le fait qu'il soit plein d'humour, il possède aussi une intrigue très riche et très bien construite qui comporte son lot de rebondissements. L'univers imaginé par Jay Martel est très complexe, mais aussi très plausible et plein de découvertes fascinantes, drôles ou plus sérieuses, et emporte notre personnage principal, Perry, qui n'a pourtant rien demandé, dans un tourbillon d'action très bien maîtrisé dans le but de sauver la Terre et ses habitants. Les personnages de Perry et Amanda sont très bien approfondis et très attachants, ce qui rend l'histoire toujours plus addictive. La plume de l'auteur nous emporte durant tout le récit en faisant monter la tension jusqu'à une fin très bien maîtrisée et assez ouverte pour laisser place à l'imagination des lecteurs. En bref, Prime Time est le roman parfait si vous recherchez une lecture légère et drôle avec tout de même une intrigue solide et un univers riche, vous ne serez pas déçus.
April 22, 2017
I have very mixed feelings about this one. The premise was fun but I never find losers endearing. I managed to finish which is something.
January 2, 2014
Wow, this book really knocked my socks off! I haven't read anything quite so amusing for quite some time and I loved every single letter of the book.
This book has a very interesting, thought-provoking and very original story to tell. In the age of reality TV this book is really of the moment and shows the side-effects of this form of TV to the very extreme. How creepy is the thought that millions of aliens on other planets could be watching your every move as a form of entertainment and you don't even know it, and what happens if they tire of you and the show gets cancelled, what happens to the cast then? A very simple premise, throw in a very inept hero, a beautiful heroine (or is she?) and a cast of millions along with a good splash of comedy and mirth and you have this book all wrapped up with a bow.
It's a truly brilliantly written book. Perry Bunt, the 'hero' is an every-man, no-one special with no-one special in his life, he could be any one of us which I think is why this book is so successful, this book could be about any one of us readers. He has no special powers and he's generally a bit a flop with a spectacularly failed career trailing after him, he has a run of the mill job, teaching, and is a bit of failure with the opposite sex. His life is pretty much going no-where..... fast! His shining light in the world is the stunningly beautiful Amanda and boy, is she so not what she appears to be and that is were the trouble for Perry begins!
In conclusion Jay Martel has written a very inventive, hilarious and very of the moment book. His writing style is very easy to read and he writes characters that are easily recognisable and that you can't help but be entertained by. Truly outlandish in places but still has the thread of reality running through it, you really could imagine that it could happens to you!
Brilliant, simply brilliant! If you like books like Hitchikers Guide To The Galaxy then this really is the book for you!
Oh, and I dare you to look at a fly in same way again after reading this, I sure won't!
June 3, 2017
Prime Time allie science-fiction et humour décalé, un peu dans le même genre que Douglas Adams. Ici, Jay Martel tourne tout ce qui caractérise l'être humain en dérision ; la guerre, la religion, la culture de masse, cette morale ambivalente... Et finalement, si la Terre ne risque pas d'être détruite pour construire une autoroute intergalactique, les thèmes du divertissement et du tourisme sont bien présents avec ce même objectif, ce qui pour moi rapproche d'autant plus ces deux livres.
Les personnages sont attachants grâce à leurs défauts, leur maladresse et cet espoir qu'ils gardent (presque) quelque soit la situation. Perry Bunt a foi en l'humanité, et Amanda Mundo a foi en Perry Bunt. Le duo va ainsi essayer de rendre les hommes meilleurs pour éviter la destruction de la planète. Tout ne se passera pas comme prévu, du point de vue de Perry en tout cas, ce qui n'est pas non plus pour nous déplaire... Nous ne sommes pas si différents des Edenites au final. Mais ce que nous offre ce roman en définitive c'est le recul nécessaire pour mieux comprendre ce qui fait le charme de la Terre et de ses habitants.
Les personnages sont attachants grâce à leurs défauts, leur maladresse et cet espoir qu'ils gardent (presque) quelque soit la situation. Perry Bunt a foi en l'humanité, et Amanda Mundo a foi en Perry Bunt. Le duo va ainsi essayer de rendre les hommes meilleurs pour éviter la destruction de la planète. Tout ne se passera pas comme prévu, du point de vue de Perry en tout cas, ce qui n'est pas non plus pour nous déplaire... Nous ne sommes pas si différents des Edenites au final. Mais ce que nous offre ce roman en définitive c'est le recul nécessaire pour mieux comprendre ce qui fait le charme de la Terre et de ses habitants.
February 7, 2017
Very entertaining, and most unpredictable book I've ever read. This story has more twists than Chubby Checkers on a tilt-a-whirl.
December 21, 2013
A book that is definitely within the same vein as Hitch Hikers Guide to the Galaxy. Channel Blue is a fantastic comedic sci-fi that you can't help but hope that they will soon turn it into a movie. My top choices would be Simon Pegg and Jennifer Lawrence as Perry and Amanda, at least that's how I pictured them but you feel free to choose your own adventure. Again, I Highly recommend this book if you even remotely liked Hitchhikers Guide and also suggest you download a copy while it's still 99 cents on Amazon. Fair thee well readers.
January 16, 2014
Great book, hilarious story with many' s a twist, definitely worth a read for the comedy value, whilst also winking at our society and views, values and morals. Of course, you could say it's all a load of crap, but the fact is, there's still a thread in this novel, with a few in-depth characters, and the flow is like one of the many Hollywood movies we've seen, cutting across from one scene to the next, yet still maintaining the story. If you enjoyed Hitchhikers's guide to the galaxy, I think you'll enjoy this book too. I definitely did.
March 12, 2014
Channel Blue is a wild little joy ride of a book! Missing Arthur Dent and the "Hitchhikers Guide to the Galaxy"? Wondering what it be like to have an extended riff on South Park's "Cancelled" episode (when the boys find out that the Earth is a massive reality show for the entertainment of aliens)? Well, look no further. If you're up for a fun little romp through our current entertainment-media-industrial complex (with some nice personal notes besides), then this is a good place to start.
February 25, 2014
Fun little read. I picked it up because Keegan Michael Key (of Key & Peele) tweeted about it. If you have opinions on aliens and reality television and every so often feel like you're really nowhere near being the master of your own domain, this might interest you.
It's quirky without being horribly cliche.
It's quirky without being horribly cliche.
March 29, 2014
A fun provocative read!
Channel Blue kept me turning pages - and laughing - through a gentle social commentary of continual twists. In a somewhat bawdy romp, surprises keep coming one after another, down to the very last paragraph. Deft with words, Martel ends with a sly glint of hope, a relief from laughing at our culture's incongruities.
Channel Blue kept me turning pages - and laughing - through a gentle social commentary of continual twists. In a somewhat bawdy romp, surprises keep coming one after another, down to the very last paragraph. Deft with words, Martel ends with a sly glint of hope, a relief from laughing at our culture's incongruities.
June 12, 2014
While I wasn't sure what to think about this story when I first started it, it quickly grew on me. Silly and fun, I was pleasantly surprised by this action-packed comedy!
March 31, 2019
Goooood where do I begin with this? Other than Wishing I could give a negative review, that is.
Okay so. This book has held a deep-seated place in my heart as one of the things I've hated the most in my life since the moment I read it years ago. I think one of the things that makes me angriest about this book is the fact that it got so many good reviews, what gives?
The concent of this book is one of my favourite in all scifi, and it's such a stab in the back in how this book was actually written. Since about 10 pages in the book oozed with a self-insert hero (like, dude, why did you write yourself into this book??? He just happened to also be a screen writer, like the author? fit the same physical description? hmmm,) with a Mary-Sue love interest who could have been cool as shit, but she was treated so horribly I constantly felt horrible for her. Any joy I experienced while reading this book was seeing the main Character Jay (who I'm going to call that, because I don't care enough to try and find a way to distinguish the two) life's being destroyed one disaster at a time. I wished that he would shape up and become a decent person at some point, but nah. Gary-Stu main charaher has to get everything in the end! If I'm writing myself into the story than I need myself to get everything! Oh, fuck off. He should have been a villain and actually have some growth.
I wish there was something good about this book, the only reason it's even worth one star is that the idea for the story is so amazing, but everything else isn't. It's hard to fully explain my points without re-reading the novel - and I would rather be shot in my dominant hand than have to do that again.
And also!!!! Let me talk about Mis Perfect! God, I wish the story was from her POV and that she was actually written to be a human and not some blow-up doll that could talk and give Jay a baby. Somebody that could have been smart and fascinating to read got turned into a blond bimbo with nothing to her. I think she had a boyfriend for like, one page in the whole story? Why? She still ends up fucking (and getting pregnant via) jay, so what was the point of that? Maying her more 'desirable?' Hello?????? Everything I loth about female characters was in her, and I feel bad that actual human time and effort went into writing her. Jay was also almost twice her age, and that's just fucking gross on a lot of levels. Like, dude, leave her the fuck alone. The only funny thing in the whole story was when her mother called out "I pushed my daughter out my vagina!", at at that point, I was just begging for the story to end with its Desu ex Machia and be over. And then! When it was over! It did some fucking squeal bait that was the same as being hit by a car after being both broken up with and losing your job on the same day.
There were people who sat down and read this, and found it worthy of anything more than 3 stars. I guess that's why we can't have good things. I know this is just a mush of a rant, but I guess that's just how I feel about this, thing. I could write an entire fucking novel about everything wrong with this book, but that would involve putting in more work to making this a worthwhile project than both the writer and editor combined.
Don't read this sorry waist of paper and ink; or better yet, read it, buy the movie rights to it, and do something good with it. Channel Blue has the makings of something amazing and could have been my favourite book, but the execution makes me want to vomit every time I think about it.
Okay so. This book has held a deep-seated place in my heart as one of the things I've hated the most in my life since the moment I read it years ago. I think one of the things that makes me angriest about this book is the fact that it got so many good reviews, what gives?
The concent of this book is one of my favourite in all scifi, and it's such a stab in the back in how this book was actually written. Since about 10 pages in the book oozed with a self-insert hero (like, dude, why did you write yourself into this book??? He just happened to also be a screen writer, like the author? fit the same physical description? hmmm,) with a Mary-Sue love interest who could have been cool as shit, but she was treated so horribly I constantly felt horrible for her. Any joy I experienced while reading this book was seeing the main Character Jay (who I'm going to call that, because I don't care enough to try and find a way to distinguish the two) life's being destroyed one disaster at a time. I wished that he would shape up and become a decent person at some point, but nah. Gary-Stu main charaher has to get everything in the end! If I'm writing myself into the story than I need myself to get everything! Oh, fuck off. He should have been a villain and actually have some growth.
I wish there was something good about this book, the only reason it's even worth one star is that the idea for the story is so amazing, but everything else isn't. It's hard to fully explain my points without re-reading the novel - and I would rather be shot in my dominant hand than have to do that again.
And also!!!! Let me talk about Mis Perfect! God, I wish the story was from her POV and that she was actually written to be a human and not some blow-up doll that could talk and give Jay a baby. Somebody that could have been smart and fascinating to read got turned into a blond bimbo with nothing to her. I think she had a boyfriend for like, one page in the whole story? Why? She still ends up fucking (and getting pregnant via) jay, so what was the point of that? Maying her more 'desirable?' Hello?????? Everything I loth about female characters was in her, and I feel bad that actual human time and effort went into writing her. Jay was also almost twice her age, and that's just fucking gross on a lot of levels. Like, dude, leave her the fuck alone. The only funny thing in the whole story was when her mother called out "I pushed my daughter out my vagina!", at at that point, I was just begging for the story to end with its Desu ex Machia and be over. And then! When it was over! It did some fucking squeal bait that was the same as being hit by a car after being both broken up with and losing your job on the same day.
There were people who sat down and read this, and found it worthy of anything more than 3 stars. I guess that's why we can't have good things. I know this is just a mush of a rant, but I guess that's just how I feel about this, thing. I could write an entire fucking novel about everything wrong with this book, but that would involve putting in more work to making this a worthwhile project than both the writer and editor combined.
Don't read this sorry waist of paper and ink; or better yet, read it, buy the movie rights to it, and do something good with it. Channel Blue has the makings of something amazing and could have been my favourite book, but the execution makes me want to vomit every time I think about it.
July 6, 2023
two stars is not that bad.
April 14, 2022
Genuinely funny send-up of reality television, set in a gonzo sci-fi world a la Hitchhikers Guide to the Galaxy. An earthling stumbles upon the real truth about Earth — that it was created by more advanced humans from another planet to create programming for a series of channels that shows humankind at its worst. Unfortunately, the ratings are down and the overlords are planning to “cancel” Earth — meaning, destroy it. Our hero works with one of the advanced humans, with whom he believes he is in love, to save it. The plot winds its way through many twists and turns, while the witty, clever dialogue is great fun. There are even a few observations about humans, the planet, how crazy we all are, but also how noble in our own ways. The protagonist is a terrific creation, way, way far from perfect and kind of a schlub but with some inherent dignity and wisdom, but mostly an unshakeable belief that people are worth redeeming. Think of the book as a romp and enjoy the more profound ideas as they show themselves — the purpose of the book is pure entertainment, but Martel also has something to say. He’s actually a television show-runner, having created the show Teachers which ran for 4 or 5 years. I’ve only seen one episode and I thought it was funny but a bit broad. But this book is a lot of fun and I’d recommend it to just about anyone.
Grade: A-
Grade: A-
February 18, 2020
J'ai hésité entre mettre 3 ou 4 étoiles. Le livre est vraiment agréable à lire, l'histoire et les péripéties sont intéressantes et donnent envie de savoir comment nos héros vont s'en sortir. De plus je trouve que c'est assez bien construit et cohérent, et que ça fonctionne plutôt bien, alors que ça va parfois assez loin dans le délirant. Et surtout l'humour est bien présent et fait souvent mouche. Bref, dans l'ensemble c'est plutôt positif.
Après le livre n'est pas exempt de défauts, mais rien non plus de complètement rédhibitoire. Je n'ai pas été super convaincu par la fin. Il y a quelques incohérences et facilités. Les ficelles sont parfois un peu grosses. Quelques petits bémols mais qui au final pèsent assez peu sur le plaisir de la lecture.
Donc au final un livre sympathique qui aurait vraiment pu mériter ses 4 étoiles.
Après le livre n'est pas exempt de défauts, mais rien non plus de complètement rédhibitoire. Je n'ai pas été super convaincu par la fin. Il y a quelques incohérences et facilités. Les ficelles sont parfois un peu grosses. Quelques petits bémols mais qui au final pèsent assez peu sur le plaisir de la lecture.
Donc au final un livre sympathique qui aurait vraiment pu mériter ses 4 étoiles.
March 12, 2021
“Humorous story about the end of the world presented as a TV reality show.” YEAHHHHH.
Have you ever gone to your local comedy dive to see newbie comedians try out their chops? And then there’s that one act that relies on making fun of individual people instead of human nature? Or it’s just a series of fart jokes? Everyone else is tittering, so there must be something wrong with the one person who is bored, annoyed, and not impressed. Then the comedian points to me, oops I mean the girl who isn’t laughing, and starts making fun of her? Yeah, if I ever had been in that sort of situation, that’s how this book would make me feel.
This book relies more on exaggeration and shock factor than satire and wit. The weak attempt to copy Douglas Adams makes the book even more irritating. DNF with prejudice.
Have you ever gone to your local comedy dive to see newbie comedians try out their chops? And then there’s that one act that relies on making fun of individual people instead of human nature? Or it’s just a series of fart jokes? Everyone else is tittering, so there must be something wrong with the one person who is bored, annoyed, and not impressed. Then the comedian points to me, oops I mean the girl who isn’t laughing, and starts making fun of her? Yeah, if I ever had been in that sort of situation, that’s how this book would make me feel.
This book relies more on exaggeration and shock factor than satire and wit. The weak attempt to copy Douglas Adams makes the book even more irritating. DNF with prejudice.
September 5, 2023
Trying some new SF (2014) but this one is not great. What if earth and its people are really just an alien reality TV programme? If ratings dive, "Channel Blue" may be cancelled - by blowing up the earth and killing everyone in a grand finale.
Somehow, an "earthle", Perry Bunt, meets and alien exec producer, Amanda. Oh ohh, possible love story on the horizon? She pretty much despises him, though.
All the aliens are extremely self-satisfied and reek of arrogance. They have apparently bred out violence, aggression and sex drive, but what's left doesn't actually look a lot different.
It falls to Perry to try and save the world, but it ain't going to be easy, especially with a name like Perry Bunt.
Although there are humorous moments, the overall concept is not particularly funny. The ending was predictable and quite a disappointment.
Somehow, an "earthle", Perry Bunt, meets and alien exec producer, Amanda. Oh ohh, possible love story on the horizon? She pretty much despises him, though.
All the aliens are extremely self-satisfied and reek of arrogance. They have apparently bred out violence, aggression and sex drive, but what's left doesn't actually look a lot different.
It falls to Perry to try and save the world, but it ain't going to be easy, especially with a name like Perry Bunt.
Although there are humorous moments, the overall concept is not particularly funny. The ending was predictable and quite a disappointment.
November 26, 2018
Initially, I didn't like the main character based on the way he described the female main character but I grew to like him based on the weird things he did or imagined doing as well as the realistic changes in opinion he had over the course of the story. I didn't predict all the twists that occurred, which is great. This book definitely reminds me of Hitchhiker's Guide to the Galaxy when it comes to humor and social commentary, and it reminds me of the society in The Giver. Would recommend especially for a long plane ride, I read this in about 6-7 hours worth of time.
September 8, 2016
I’d firstly like to thank Becci Sharpe from Head of Zeus for providing me with a paperback copy of this book. I was really intrigued by Channel Blue – I love Sci-Fi but I don’t think I’ve read enough of it over the years and the synopsis of this sounded really different, unlike anything that I’ve ever heard of which is ultimately what drew me to it. In the world of Channel Blue, Earth is a reality TV show which has provided entertainment to distant planets for years. However, due to the fact that mankind are arrogant creatures, the ratings of Channel Blue are dropping and the producers need a way to boost the ratings back up. Perry Bunt is a washed up screen writing teacher who has had the misfortune of stumbling across the Channel Blue studios and finding out exactly what they’ve been doing. He’s the only human on Earth that knows what’s going on and producer, Amanda Mundo, who took Perry’s class, has set him the task of trying to save the Earth from being taken off-air. Because Channel Blue are planning a huge finale, which will quite literally, see Earth go out with a bang.
I have quite varied opinions of this book so please forgive me if I’m going backwards and forwards like a yo-yo. I was super excited about reading this book and before the story even begins, the prologue got me at the sentence, ‘I also need to recognise that the storylines have become too bizarre the cast too unlikeable’ – which is talking about Earth. If we’re really digging deep, this sentence alone can definitely translate into today’s society as over the years storylines and scenarios have gotten more and more ridiculous to the point of stupid. I found it a little hard to get in to at the beginning but once I was in it was quite compelling. Despite how unrealistic the storyline is, it gave an overall good portrayal of today’s society and how reliant we can be in entertainment, TV and watching everyone else like our lives aren’t enough. Amanda, one of the producers of Earth and an Edenite (aka. an Alien) gives a very outside view of our civilisation stating that, “Earthles would literally kill themselves climbing tall mountains and diving deep into oceans. And why would they do these things? Were they being chased by predators? No – there was no reason. They did these things only because they wanted to prove that they could do them. How could you not love that?” She goes onto explain how “heartbreakingly beautiful” humankind is that we search jungles for gold that never existed and go blind writing immense books no one ever reads and how we believe in religion and a higher power that will rescue us and reading it like that from the point of view of someone beyond this world (even if it is an alien…) makes you realise that the world can be beautiful but living amongst the hustle and bustle of stress and struggle gives a somewhat tainted view of that beauty.
The overall narrative of the book is extremely energetic. After a somewhat slow start, it picks up and once it gets going it doesn’t stop for a breather. There was a lot of characters in this book, maybe a few too many to keep up with but I liked Perry – the main character - he was very likeable and I did feel quite sorry for him at times what with not having much luck in his dream career as a screenwriter or love life and living in a really small apartment however I did feel that it was emphasised at every chance the book got to remind of his misfortunes which wasn’t really all that needed. Amanda was an interesting character. At first she seems completely normal but we learn that she’s far from it. I liked her involvement in the story and her relationship with Perry but I couldn’t tell whether I liked her as a character or not. My mind jumped backwards and forwards as sometimes I loved her for being strong and in charge whereas other times I found her incredibly annoying.
At the beginning I felt there was a bit too much going on and not enough specifics. Some parts were so ridiculous I just needed more information and back story. It’s like if a friend came up to you and said, “Yeah so then the badger came up to me and told me about this talking teapot”, you’d demand more information because you wouldn’t be able to accept a story starting with, “So the badger came up to me…” and that’s kind of how I felt with some parts of this book, that someone came up to me, started talking about badgers and teapots then just walked off. I loved the story and I loved the concept but I did sometimes feel like I was being told everything rather than having the experience of living it myself through the pages. There were large chunks without any dialogue and it started to get a bit tedious. Also, when two characters were having a conversation, if one of them was explaining something to the other the narrative often said, ‘Amanda explained that…’ rather than Amanda actually explaining it – which I found quite strange. I like sci-fi, I really do, but I felt this was pushing the limits a bit. I can get to grips with made up worlds but trying to “make up” a world which already exists and changing it is not only bound to be very difficult but also risky and I fear that Channel Blue didn’t quite pull it off as well as it could have. It was an intriguing story and concept and I will admit, I was excited to discover the outcome of it all but I personally think it was all a bit too far-fetched and ridiculous for me.
Find all my reviews here: www.jennyinneverland.wordpress.com
I have quite varied opinions of this book so please forgive me if I’m going backwards and forwards like a yo-yo. I was super excited about reading this book and before the story even begins, the prologue got me at the sentence, ‘I also need to recognise that the storylines have become too bizarre the cast too unlikeable’ – which is talking about Earth. If we’re really digging deep, this sentence alone can definitely translate into today’s society as over the years storylines and scenarios have gotten more and more ridiculous to the point of stupid. I found it a little hard to get in to at the beginning but once I was in it was quite compelling. Despite how unrealistic the storyline is, it gave an overall good portrayal of today’s society and how reliant we can be in entertainment, TV and watching everyone else like our lives aren’t enough. Amanda, one of the producers of Earth and an Edenite (aka. an Alien) gives a very outside view of our civilisation stating that, “Earthles would literally kill themselves climbing tall mountains and diving deep into oceans. And why would they do these things? Were they being chased by predators? No – there was no reason. They did these things only because they wanted to prove that they could do them. How could you not love that?” She goes onto explain how “heartbreakingly beautiful” humankind is that we search jungles for gold that never existed and go blind writing immense books no one ever reads and how we believe in religion and a higher power that will rescue us and reading it like that from the point of view of someone beyond this world (even if it is an alien…) makes you realise that the world can be beautiful but living amongst the hustle and bustle of stress and struggle gives a somewhat tainted view of that beauty.
The overall narrative of the book is extremely energetic. After a somewhat slow start, it picks up and once it gets going it doesn’t stop for a breather. There was a lot of characters in this book, maybe a few too many to keep up with but I liked Perry – the main character - he was very likeable and I did feel quite sorry for him at times what with not having much luck in his dream career as a screenwriter or love life and living in a really small apartment however I did feel that it was emphasised at every chance the book got to remind of his misfortunes which wasn’t really all that needed. Amanda was an interesting character. At first she seems completely normal but we learn that she’s far from it. I liked her involvement in the story and her relationship with Perry but I couldn’t tell whether I liked her as a character or not. My mind jumped backwards and forwards as sometimes I loved her for being strong and in charge whereas other times I found her incredibly annoying.
At the beginning I felt there was a bit too much going on and not enough specifics. Some parts were so ridiculous I just needed more information and back story. It’s like if a friend came up to you and said, “Yeah so then the badger came up to me and told me about this talking teapot”, you’d demand more information because you wouldn’t be able to accept a story starting with, “So the badger came up to me…” and that’s kind of how I felt with some parts of this book, that someone came up to me, started talking about badgers and teapots then just walked off. I loved the story and I loved the concept but I did sometimes feel like I was being told everything rather than having the experience of living it myself through the pages. There were large chunks without any dialogue and it started to get a bit tedious. Also, when two characters were having a conversation, if one of them was explaining something to the other the narrative often said, ‘Amanda explained that…’ rather than Amanda actually explaining it – which I found quite strange. I like sci-fi, I really do, but I felt this was pushing the limits a bit. I can get to grips with made up worlds but trying to “make up” a world which already exists and changing it is not only bound to be very difficult but also risky and I fear that Channel Blue didn’t quite pull it off as well as it could have. It was an intriguing story and concept and I will admit, I was excited to discover the outcome of it all but I personally think it was all a bit too far-fetched and ridiculous for me.
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August 28, 2019
The old adage is that you should write what you know about and I get the feeling that this was the case for this author. I liked the premise but after the first few chapters, I was unable to sustain any interest in continuing. I am going to revisit but, at this time I’m unable to recommend to the normal crew.
July 16, 2018
Wonderful Escape
If you ever wondered if we're being watched, this is the book for you! Just when you think you've got it figured out, the story takes a hard left turn.
Perfectly entertaining!
If you ever wondered if we're being watched, this is the book for you! Just when you think you've got it figured out, the story takes a hard left turn.
Perfectly entertaining!
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