Ce second tome de la traduction des contes des Mille et une nuits d'Antoine Galland se compose principalement de l'histoire de Camaralzaman et de Badoure, Princesse de Chine. Contée de la 188ème à la 213ème nuit par Shéhérazade ,elle retrace les aventures du prince de l'île des Enfants de Khalédan et de la belle princesse de Chine, présentée à lui par enchantement puis volatilisée... On y retrouve également l'histoire de la princesse de Deryabar, mais aussi la lettre de Shemselnihar au prince du Perse, Ali Ibn Becar, et celle du Calife Haroun al-Rashid au roi de Balsora...
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La quasi disparition des mises en abyme et l'effacement progressif de Schéhérazade font que ce tome peut se lire comme un recueil de contes (qui peuvent être lus indépendamment les uns des autres) dans lesquels on retrouve toute la magie qui avait fait le charme du premier volume.
J'ai beaucoup moins aimé les histoires de ce deuxième tome que celles du premier, je ne sais pas si c'est parce qu'elles sont moins bonnes ou parce que leurs conventions deviennent répétitives, mais j'ai trouvé la plupart des morales de ces contes assez mesquines.