Mon nom est Mali Allison ; psy de formation et écrivaine de passion. Depuis un moment, je me questionne à propos d'une certaine relation. De plusieurs relations, devrais-je préciser. On dirait que mon tissu social s'effrite au point de voir à travers. « C'est plus facile être seule comme une ermite dans une caverne qu'avec du monde finalement ! », que je songe récemment, habillée en mou, les cheveux juste assez dépeignés, tranquille chez moi à écrire des histoires. Dans le dossier de ladite certaine relation, nous avons décidé de partir au Sri Lanka pour solidifier notre couple – ou pour le ruiner complètement, c'était à déterminer. Ce périple devait nous permettre de nous recentrer et d'y voir clair. Or, ce fut un peu plus compliqué que prévu. En réalité, voyager en Asie, c'est naviguer parmi des marées humaines en s'inventant disciple d'une religion impliquant une ribambelle d'animaux allégoriques douteux, alors que son juvénile chauffeur de tuk-tuk fait figure de thérapeute conjugal entre deux visites de bouddhas couchés arborant toujours un regard de jugement dernier. C'est aussi expérimenter un inquiétant karma humide – sans en comprendre le sens. Pour ensuite immobiliser son vélo en bordure du chemin de sa vie afin d'apercevoir l'éléphant assis en tailleur en plein centre de toutes ces relations qui ne tournent pas rond. L'important, au bout du compte, est de reconnaître qu'il existe, cet éléphant, et de lui céder le passage… ou non !
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais l’annonce et la sortie d’un nouveau roman d’Amélie Dubois est toujours un grand moment de fébrilité et de pur bonheur. Je suis fan de sa plume, de son humour et de sa sensibilité, particulièrement celle que l’on retrouve dans sa série « La fois où… » J’aime que sous le couvert de l’humour (et des notes de bas de page auxquelles je suis complètement fan aussi), elle passe des messages hyper importants, profonds et d’une grande sagesse.
Une situation amoureuse précaire, une consoeurie pas si « soeurie » que ça, des questionnements personnels et un voyage au Sri Lanka nous attend dans ce 17e roman que nous offre l’autrice. Un récit plus mature et qui m’a semblé être plus près de la vérité que de la fiction (information non validée, je ne fais que dire mes impressions 😜) Le personnage de Mali nous amène dans des coins encore inexplorés de sa vie, on la découvre encore plus de l’intérieur, un peu comme si nous étions très proches et qu’elle s’ouvrait à nous.
La trame narrative, propre à Amélie Dubois, nous transporte à la fois dans le passé et dans le présent, afin de nous amener petit à petit jusqu’à l’issue du roman. Chaque bout d’histoire est important et nous aide à comprendre une situation qui se déroule dans le moment actuel. Bien qu’on change de période, ce n’est pas mélangeant de suivre l’histoire. Au contraire, ça peaufine certains aspects.
J’aime beaucoup ce que je lis dans sa série « La fois où », il y a beaucoup de beau, de doux et ça fait tellement de bien. Un autre roman d’Amélie que je ferme avec le sourire aux lèvres, en attendant son prochain. 😊
Je sais, par expérience, que je ne suis jamais déçue avec un roman d'Amélie Dubois. Alors pourquoi est-ce que je ne me suis pas garochée pour le lire dès sa sortie? Parce que je me le gardais précieusement pour un week-end ou j'aurais besoin d'une "valeur sure", mais aussi parce que je sais que ses romans de la série "La fois où..." ont le don de me faire rire ET réfléchir à la fois.
Celui-ci ne fait pas exception, il aborde avec brio les relations d'amitié et de couple, avec les hauts et les bas, les incompréhensions, les non-dits, le doux et le plus rough.
Mali et son copain s'envolent donc pour le Sri Lanka. Tout ne se passe pas comme prévu mais il en ressortira des constats et leçons de vie qui permettront à Mali d'avancer...
J'ai vraiment aimé ce roman qui m'a aussi poussée à me questionner sur les éléphants qui font aussi partie de ma vie... Je suis vraiment heureuse d'avoir gardé précieusement cette lecture pour la savourer au moment opportun!
J’ai pleuré. Oui j’ai pleuré en lisant ce livre. J’ai aussi ri mais j’ai pleuré. Tu m’as fait réfléchir et me sentir bien de ne pas être la seule dans cet état là. J’ai tellement de questions à te poser sur ce qui est réellement arriver à toi versus fiction (enwoyes au prochain salon du livre pis ça presse). Aussi, ça fait des années que j’essaie de trouver ´le bon tatou’ pour Ho’oponopono. En lisant ton livre, le feu dans le peteux est de retour pour ce tatou.
Toujours une valeur sure les romans d'Amélie Dubois quand on veut une lecture lègère et celui-ci en fait pas exception ! J'ai juste envie de me booker un ti voyage au Sri Lanka
Je vis toujours un deuil quand je finis un livre que j’ai apprécié et auprès duquel je voulais toujours retourner. C’est totalement le cas ici. Les allers-retours dans le présent et le passé sont parfois durs à suivre, mais je trouve qu’on l’oublie quand on termine le livre. Tout fait du sens et est interrelié. J’aime beaucoup l’humour d’Amélie Dubois, ses allégories, le partage de ses connaissances sur la spiritualité d’autres pays, sa façon de nous faire voyager. Merci pour ce merveilleux livre que j’ai pu lire en avance grâce au lancement.☺️
Je vieillis peut-être un peu mais j’ai trouvé difficile les parenthèses sans arrêt dans le texte. C’est humoristique mais ça m’a pris un bon 50% avant d’entrée vraiment dans l’histoire.
J’ai toujours aimé les livres d’Amélie avec le personnage de Mali. C’est plein de sagesse et d’humour ?
Dans ce roman, l'auteure aborde les relations interpersonnelles et l'amour sous toutes ses formes avec beaucoup de philosophie et d'humanité. Son côté humoristique est toujours bien présent à travers ses blagues et ses jeux de mots. J'ai bien aimé suivre Mali à travers trois moments de sa vie : sa vie de couple avec Jean-Sébastien, son voyage au Sri Lanka et son rôle d'écrivaine auprès des personnes en fin de vie. Ces passages m'ont d'ailleurs beaucoup ému, tout comme certaines réflexions à propos de son couple. L'histoire est bien rythmée et on se sent directement interpellée. Un roman qui vous permettra de faire de belles prises de conscience et qui vous tirera les larmes à quelques moments 🐘🌺
J’ai toujours aimé la plume de Amélie Dubois, surtout ses romans « La fois où.. ». On suit le personnage de Mali dans son voyage en Asie, abordant les difficultés en couple et en amitié. Tout au long du roman, malgré les événements, il y a touche la petite touche d’humour qui m’a fait bien rire.
Un livre qui nous fait réfléchir sur nos relations et qui me donne encore plus envie de soulager.
Comme d’habitude, j’attends la prochain avec impatience
J'aime beaucoup l'humour de Amélie Dubois (il faut dire que ses comparaisons humoristiques sont très québécoise!), particulièrement dans les romans La fois où... Malgré qu'il y avait parfois quelques longueurs et plusieurs parenthèses, l'intrigue et sa façon de décrire le cheminement/les défis de sa relation amoureuse m'a beaucoup rejoint! Les rencontres qu'elle fait avec les gens en soins palliatifs pour écrire des lettres en leur nom sont vraiment touchants.... un beau petit plus au roman!
Dans ce nouvel opus de la série La consoeurie, Mali poursuit sa quête du bonheur et de l’amour. Le récit oscille entre divers moments passés et le présent du récit, entre un voyage au Sri Lanka et divers endroits au Québec. J’ai bien aimé le livre, mais je n’ai pas eu le même coup de cœur que pour certains autres romans de la série. Je ne saurais dire pourquoi
J'ai lu le livre avec un sourire au visage, j'aime tellement son humour! C'est toujours un plaisir de retrouver l'écriture d'Amélie comme une vieille amie. Des petites phrases drôles mais pleine de vérité. Les relations... Tout un sujet! Ces livres "la fois où... " sont de loin mes préférés. Un livre qui donne envie de le savourer et de ne pas le finir trop vite.
J'ai toujours aimé Amelie Dubois. Elle parle des vraies affaires, des relations interpersonnelles avec un langage de tous les jours. J'ai eu besoin d'un moment pour m'habituer aux nombreux sauts dans le temps: voyage au Sri Lanka au présent, passé avec son chum, passé avec ses amies et passé dans son travail. Une parfaite lecture d'été tout de même.
J’ai adoré ce livre, au début je ne comprenais pas la relation entre le titre et l’histoire mais au final j’ai tout compris… ce livre parle des relations qu’on a avec les autres, sur le vivre et laisser vivre, on ne peut pas demander à quelqu’un de changer
J’adore cette auteure, mais cela m’a pris beaucoup de temps embarquer dans l’histoire et d’accrocher au livre. Près de la moitié du livre en fait. Par contre, une fois embarqué, je n’ai pu m’arrêter jusqu’à la fin. Encore une fois, Amélie Dubois nous fait réfléchir et rire à plusieurs reprises.
J’adore cette auteur J’ai trouvé le début un peu dur à suivre / en dirait que l’histoire « tournait en rond « . je n’étais pas sûr d’aimer. J’ai commencé à plus apprécier vers la moiti�� (un peu avant ).
Un livre contenant très peu d'action et beaucoup de réflexion. C'est le moins bon, à mon avis, de la série mais il a quand même son petit quelque chose.
J'aime beaucoup la plume humoristique d'Amélie. Toutefois, comme il n'y avait pas de chapitres officiels et que beaucoup d'histoires se passaient en même temps, je me sentais un peu perdue parfois.