La frontière entre la vie et la mort est peut-être plus trouble qu'il n'y paraît...
Une interpellation qui tourne au fiasco. Un officier admis à l'hôpital en urgence absolue. Pour le commandant Sharko, la lieutenant Lucie Henebelle et le reste de l'équipe, la déroute est totale. Violente. Mais la soif de justice est plus forte que jamais. Mis à l'écart le temps que l'IGPN tranche sur sa responsabilité, Sharko se lance alors dans des investigations en dehors de tout cadre légal. Une enquête dangereuse et éprouvante qui laissera des traces.
Du fin fond d'une abbaye ancestrale aux couloirs austères d'un hôpital psychiatrique, Sharko va être confronté à la folie et découvrir que lorsque la science ignore l'éthique, tout peut basculer.
Franck Thilliez is the author of several bestselling novels in his native France, where he lives. Thilliez was a computer engineer for a decade before he began writing. Syndrome E, is his first novel to be published in the United States. Several of his books were made into films : La chambre des morts (2007), Ligne de mire (2014) and Obsession(s) (2009)
Ce livre est réellement incroyable. L'un des meilleurs de F.Thilliez. On ressent vraiment un travail de recherche énormément approfondis bien que le thème soit vraiment complexe. Ce livre donne à réfléchir sur la condition de vie et de mort
« La faille » de Franck Thilliez fait partie de sa série des aventures de son personnage récurrent Franck Sharko. Pour les fans absolus, cela fait un moment que les lecteurs connaissent la vie et les enquêtes de Sharko. Dans « La faille », il a une soixantaine d’années, beaucoup d’expérience, et il en a encore sous le pied. Il a vécu de sacrés drames, autant dans sa vie privée que vu des horreurs dans sa vie professionnelle. Il a perdu des gens qu’il aimait. Il est tombé au fond du trou, plusieurs fois. Il s’est relevé à chaque fois. Dans « La faille », c’est un Sharko au sommet de sa pugnacité que nous retrouvons. Le type de combativité qui outrepasse les ordres donnés, qui n’en fait qu’à sa tête, et qui met certains de ses collaborateurs dans des positions difficiles.
Lors d’une interpellation qui tourne véritablement au fiasco, Sharko est mis sur la touche. Parmi les victimes, il n’y a pas seulement le suspect que l’équipe du commandant pourchassait… La machine s’emballe, mise à pied, IGPN, enquête. Pendant ce temps, Sharko n’a pas l’intention d’attendre que l’herbe pousse : il fera cavalier seul. L’enquête l’amènera sur des terrains minés, entre les profondeurs du darknet, les morgues et salles d’autopsie, les organes en décomposition… jusqu’aux portes de la Mort. Car, outre l’enquête, dans « La faille », la mort constitue la thématique centrale.
La question a l’air stupide, mais qu’est-ce que ça veut dire être mort ? Franck Thilliez explore la thématique de fond en comble jusqu’à essayer de décortiquer ce qui déclenche la dernière étincelle : la mort de l’âme ou celle du cerveau ? Et quid de la conscience ?
« Ce qui a toujours intéressé Emma, c’est de comprendre les liens entre la chair et l’esprit. Comment l’âme apparaît-elle ? Comment interagit-elle avec les organes ? La conscience meurt-elle avec l’enveloppe charnelle, ou cette dernière n’est-elle qu’un réceptacle ? Et aussi, qu’est-ce qu’il y a après ? » Dans « La faille », il explore à la fois la partie « scientifique » du processus de la mort, mais aussi la partie plus « spirituelle ». Lorsque l’enveloppe charnelle est figée, que deviennent l’âme et la conscience ? Vaste programme…
Mais Franck Thilliez ne s’arrête pas là… Autour de l’enquête de « La faille », des questions scientifico-spirituelles, il crée une véritable atmosphère où tout tourne autour de la Faucheuse. Où que l’on regarde, elle nous scrute. Dans la tête de Sharko, dans les attitudes de Lucie, dans les émotions des collègues, la Mort, personnage principal rôde littéralement partout. Car, s’il flotte autour d’elle des peurs, des traditions religieuses, des rites funéraires, des conventions, et des interrogations, Franck Thilliez sait nous rappeler (dans la douleur) qu’avec la mort arrive un autre sujet qui peut également être très éprouvant : l’éthique. Pour bien appuyer sur ce point qui est finalement très actuel, notamment dans les questions de droit de mourir dans la dignité ou d’euthanasie, il crée une situation qui va nous tordre en deux, tellement on a mal à en crever. L’omniprésence de la mort révèle alors les failles de l’être humain, mais aussi les failles d’un système déontologique où aucune réponse n’est tout à fait la bonne. La boucle est bouclée.
Vous l’aurez compris, « La faille » est un roman extrêmement dense qui se lit sous haute tension. Memento Mori, souviens-toi que tu vas mourir est présent à chaque page et nous rappelle que notre présence ici-bas n’est que passagère. « Un jour, on pouvait tout avoir. Et le lendemain, se retrouver nu. La grande loterie de l’existence… » Cette grande loterie amène à s’interroger sur la définition de la vie, mais aussi sur la signification de la mort. À partir de quel moment est-on mort ? Quand le cœur s’arrête ou quand le cerveau ne répond plus ? Lorsque l’on est cérébralement mort, ou en grande souffrance plongé dans un coma artificiel comme dans certains cas ayant défrayé la chronique, quelle est la « valeur » de la vie ? Ce sont toutes ces interrogations-là que Franck Thilliez va déclencher en vous, sans vous laisser le temps de penser à autre chose. Pour couronner le tout, la fin de « La faille » vous laissera exsangues, secoués entre des émotions contradictoires, de la tristesse la plus abyssale à un apaisement temporaire bienvenu. Véritable concentré de questionnements, d’émotions, Franck Thilliez signe ici un roman tout à fait remarquable qui ne peut laisser indifférent, qui titille nos peurs et nos espoirs, et vient chatouiller nos convictions et nos doutes. Une lecture en apnée !
Le sujet que l'auteur a choisi d'explorer à travers cette enquête est fascinant. Dommage que l'enquête ait manqué de suspense et les personnages de complexité, on tombe vite dans de sempiternels clichés. Le gros point négatif à mon sens est la place que prend l'histoire personnnelle de Nicolas. Bien sûr, on comprend bien le lien avec l'enquête (quelle coïncidence d'ailleurs !) mais le tout manque de subtilité, voire même de cohérence. Au-delà de la position paradoxale présentée dans l'ouvrage sur le sujet éthique au coeur de l'intrigue, l'histoire de Nicolas ralentit le ryhtme du roman et de l'enquête, et finit par les desservir.
Un thriller implacable avec la mort comme personnage principal. Glaçant, passionnant, bouleversant, à ne pas manquer.
Treizième aventure de Sharko, l’enquêteur phare des romans de Franck. L’enquête est indépendante et peut tout à fait être lue séparément. Il vous manquera juste l’historique des personnages, et le lien que le lecteur a tissé avec eux depuis tout ce temps.
Le résumé de « La faille » ne dit pas grand-chose, je vais donc rester floue concernant le récit. Car il faut absolument que l’effet de surprise reste intact.
Nous sommes en automne, Franck et son équipe partent en intervention pour appréhender un meurtrier. Jusque là, rien de particulier. Sauf que l’un des membres est agressé et se retrouve dans le coma. Et à partir de là, tout dérape. Sharko, son équipe et le lecteur sont embarqués dans une histoire incroyable.
« Même avec trente ans d’expérience dans la Crim’, Sharko ressentait toujours, dans ces moments, l’excitation des premiers jours. La fatigue du métier était réelle, mais la hargne, elle, était intacte. »
Une enquête, bien sûr, avec de multiples ramifications, comme l’auteur sait si bien faire, mais aussi un sujet à faire pâlir d’envie n’importe quel scientifique….La mort. Vaste sujet, qui effraye et passionne à la fois. Franck (Thilliez) nous emmène à la frontière entre la vie et la mort, ce no man’s land nébuleux, où le sujet peut éventuellement vivre une expérience de mort imminente avant de reprendre souffle et vie.
J’ai été passionnée par le sujet, en encore, le mot est faible. J’avais des étoiles plein les yeux. Si vous me connaissez, vous savez combien la médecine et tout ce qui s’y apporte m’électrise. Autant vous dire que je me régale toujours avec les romans de Franck Thilliez. C’est pointu, détaillé, le travail de recherche est colossal. Dans « La faille », il ne déroge pas à la règle.
Ses personnages sont toujours aussi bien développés. Au début du roman, j’étais heureuse de les retrouver, j’avais l’impression de revoir de vieux amis, de faire partie de l’équipe. J’ai tremblé pour eux, j’ai frémis, j’ai pleuré. Arrivé au tiers du roman, les larmes coulaient déjà face au drame auquel ils sont confrontés.
« Mais il y a toujours pire que le pire. »
Car Franck (Thilliez) ne les a pas loupés sur ce coup-là. J’ai été en colère de le voir leur infliger cela. Ce sont de bons gars, zut, pourquoi le sort s’acharne-t-il sur eux ? Bon, ok, on est dans un thriller et l’auteur nous pose au plus près de la réalité. C’est glauque, c’est noir, l’espoir n’est pas de mise. Cette enquête est l’occasion pour Franck (Sharko) de se questionner sur son avenir et le monde dans lequel grandissent ses enfants, et pour Lucie Hennebelle, de rouvrir la blessure, la faille, qu’elle pensait refermée, celle reliée à la perte de ses jumelles dans des circonstances atroces dix ans plus tôt.
Un roman bouleversant à la fois par son sujet, et à la fois par son écriture. Nette, précise, fluide, riche. Thilliez, c’est le grand boss du thriller, il n’y pas à tortiller. Lire l’un de ses romans, c’est l’assurance de passer par toutes les émotions possibles et imaginables. Et la promesse d’une intrigue dense, complète, ratissant large sur le sujet, menée tambour battant. Tous les éléments s’emboîtent parfaitement. La construction est implacable, un vrai travail d’orfèvre.
Dans « La faille », nous faisons corps avec la mort, nous signons un pacte avec le Diable, sans possibilité de retour en arrière, avec la promesse d’aller au bout du bout. L’auteur arrive même à inclure une forme d’art dans toute cette monstruosité.
Franck Thilliez ouvre également un débat, où le juridique côtoie l’éthique, et dans lequel les lecteurs auront une opinion partagée, la mienne était claire dès le départ, je me suis rangée aux côtés de ….. (vous y avez cru, mais non, je ne vous révèlerai absolument rien !!).
Un roman bourré d’humanité, où l’amour transpire à chaque page malgré la mort.
« Ce sont les risques du métier, tu me diras, mais les risques, aujourd’hui, on n’a plus le droit de les prendre, sinon, ça finit sur les réseaux sociaux, et c’est l’enfer. »
J’ai dévoré ce roman avec avidité, essayant tout de même de faire durer le plaisir et de ne pas aller trop vite. Même si les rebondissements et le rythme intense me poussaient à bouloter les chapitres. La fin m’a retourné le cerveau, scientifiquement et émotionnellement. Les vannes ont lâché, j’ai laissé les larmes couler, les émotions me submerger. Une fois toutes ces sensations digérées, je suis longuement allée sur le net, avec les références fournies par Franck dans ses remerciements, pour creuser encore un peu plus le sujet passionnant.
Je pense sans hésitation, que « La faille » est le meilleur roman de Franck. L’homme est fait de nombreuses failles, ce qui est sûr, c’est que l’écrivain Thilliez n’en a aucune…
« La faille » est pour moi un énorme coup de foudre, où tous les ingrédients d’un excellent thriller sont réunis et relatés d’une main de maître. Il n’y a pas une hésitation à avoir, foncez, courrez aux frontières de la mort et revenez-y, plus vivant que jamais.
J’ai adoré ! J’ai eu un peu de mal au début car j’avais très peu de détails sur les personnages et j’ai ensuite compris que ce livre faisait partie d’une série et que ce n’était pas le premier… Néanmoins, après avoir avancé, j’ai été plongée dans l’enquête et la révélation de la fin est géniale. Le livre mélange divers sujets assez complexes : la mémoire, la conscience, la mort… et j’ai trouvé ça super d’inclure tout ça dans l’enquête, ça nous fait aussi nous questionner. Seul petit reproche : le début de l’histoire va extrêmement vite, le contexte est posé en quelques chapitres seulement et qui sont courts. Préférant les contextes plus posés, j’ai été un peu surprise. Mais je le note quand même 5 étoiles, j’ai vraiment apprécié la lecture de ce livre !
Vraiment un sujet incroyable, hyper poussé, qui fait froid dans le dos et fascine en même temps. Je sais pas comment Thilliez fait pour sortir tout ça de son esprit, mais en tout cas il écrit que des bangers.
Je suis passé par une tonne d’émotions différentes. Les parents Spick c’est tellement des gens détestables ils ont jamais apprécié leur fille du début jusqu’à la fin tout ça à cause d’un travail Concernant l’histoire en elle même j’ai adoré comme d’habitude, les frayeurs que j’ai eu quand ça parlait des démons 😬😬😬😬. Tellement bien trouvé Le thème de la mort est un sujet tellement délicat à aborder mais tellement bien tourné ici. Tout ça pour dire que je suis une grande fana de ses livres
Je ne suis peut être pas objective vu l'attachement que j'ai aux personnages et le style de l'auteur qui m'a toujours plu, mais j'ai vraiment adoré ce livre. L'intrigue qui donne envie de continuer, toutes les recherches sur différents domaines qui nous transportent au cœur de l'enquête... bref je ne suis (toujours) pas déçue :)))
Franck Thilliez. Monument du thriller français que je n’avais jamais lu. Sans savoir qu’il était le dernier volume d’une longue saga, j’ai acheté La Faille, grâce à son synopsis particulièrement intriguant.
N’ayant pas connaissance des personnages principaux, de leurs histoires, et n’ayant pas d’attache sentimentale avec eux, je me suis inquiétée de n’être impliquée dans l’intrigue secondaire en appelant aux émotions plus qu’à la rationalité. Finalement, je me suis attachée à Sharko et à toute son équipe qui m’a emportée dans ses tourments, ses peines et ses joies.
Le début du roman m’a un peu déroutée de par une enquête qui se termine pour déboucher sur une autre, de prime abord plutôt lambda. D’une personne disparue, l’on découvre tout un système, tout un monde, toute une folie.
Je dirais qu’il y a beaucoup d’intrigues différentes dans ce roman, et mieux vaut-il être accroché pour se souvenir de tout ce qui est fait, par qui, conduisant à quoi. Bien que l’enquête soit bien ficelée, j’ai rapidement oublié l’importance d’une partie essentielle de l’intrigue que l’auteur a fait passer au second plan alors qu’elle est la base de leurs découvertes futures.
Arrivée aux dernières pages, je me suis dis ‘ah oui, il s’est passé ça… comment on en est arrivé là de nouveau ?’ J’avoue que cela m’a un peu gâché la fin de l’enquête puisque je me suis demandée s’il était vraiment nécessaire de l’étendre à ce point. Je l’ai vraiment appréciée, c’est indéniable. Mais fallait-il vraiment tirer le fil jusque-là ?
Au global, j’ai découvert plus d’un thème insolite qui m’ont fascinés, d’autres qui m’ont dégoûtés mais surtout une grande majorité qui m’ont fait penser. Les aspects scientifiques, philosophiques et peut-être aussi un peu 'fantastiques' sont utilisés à la perfection, et m’ont fait adhérer aux pensées de Lucie, plus dans l’impossible, tout autant que celles de Sharko, rationnel invétéré. Finement joué, superbe exécution.
J’avouerais que la fin de l’enquête, comme dans beaucoup de romans policiers, s’est faite trop rapidement et m’a laissée sur ma faim. J’aurais voulu que cela se passe autrement… Quant à la fin du dénouement émotionnel, je l’ai véritablement adoré.
Fantastique roman, intrigue passionnante, personnages touchants... Que demande le peuple ? Je recommande vivement, mais uniquement à ceux avec le cœur bien accroché.
4,5 étoiles arrondies à 4. La fin a un peu fait retomber le soufflé.
[Edit]
Moins d'un an plus tard, j'ai tout oublié de ce roman... Je ne sais même plus pourquoi il m'a plût. 3.5 étoiles.
Une intrigue vraiment bien travaillée, un roman qui se lit bien, comme d'habitude avec F. Thilliez. Pourquoi j'ai moins accroché que ses précédents romans, aucune idée. J'ai eu plus de mal à rentrer dans l'histoire. Les criminels sont moins présents dans l'histoire. L'histoire personnelle de Nicolas prend sûrement un peu trop de place. L'alchimie ne fonctionne pas toujours.
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Malgré que j’ai trouvé le thème de la mort un peu pesant et pas mon préféré, je dois reconnaître que ce livre est vraiment génial. Du très bon Thillier, difficile à lâcher avant de connaître le fin mot de l’histoire.
jai beaucoup aimé l'intrigue et tous les questionnements qu'elle soulève, on arrive pas à le lâcher ! mais en même temps les personnages masculins sont insupportables et les femmes inexistantes et inutiles ...
Roman policier qui se déroule en France. À la poursuite d’un suspect, des policiers sont confrontés à une issue qui s’avère terriblement déconcertante. L’un des leurs est grièvement blessé. Tant bien que mal, l’enquête se poursuit et va prendre des proportions insoupçonnées. Des disparitions, des atrocités et des liens avec des patients ayant rapporté des expériences de mort imminente sont en cause. Mais où est passée Emma Dotty ?
Une histoire glauque, de l’horreur, du suspense, de la folie, bref, un thriller policier mené sur près de 500 pages qui s’avère un vrai page turner. L’écriture efficace ne donne pas vraiment lieu à des phrases « citation », mais le propos est bien documenté et l’imagination fait le reste. Les personnages sont tenaces, courageux et d’autres sont de véritables psychopathes. Cœur sensible s’abstenir.
Citations « Les hôpitaux étaient des failles spatio-temporelles, des gouffres qui emportaient et recrachaient des corps au gré de la roue du destin. » p. 59
Mon deuxième roman de Thilliez et je ne suis pas déçue !
Les thèmes principaux sont la mort ainsi que la complexité du cerveau après la mort. C’est complexe, j’ai eu parfois du mal à tout comprendre, ça s’emmêle et ça part dans toutes les directions. Mais qu’est-ce que c’est addictif ! Ça fait fortement réfléchir sur la vie après la mort, et surtout sur ce qu’il se passe anatomiquement. Et puis c’est aussi très très tordu.
Le combat médiatique sur la mort cérébrale qui s’opère en parallèle est lourd de sens avec une enquête criminelle pareille : ça soulève donc des questions sur la réelle activité d’un cerveau dit « mort » à l’intérieur d’un corps.
Je l’ai trouvé un tout petit peu trop poussé pour dire que c’est un perfect, j’ai décroché quelques fois, mais c’est une très bonne lecture 🧠
De tous les romans de Franck Thilliez que j’ai lu, c’est le meilleur ! Askip, j’ai pleuré, à chaudes larmes, voire même à très chaudes larmes 😭 Y’a pas à faire vivre ce genre de choses à ces personnages, enfin à UN personnage en particulier … Genre, y’a jamais assez de souffrance avec cet auteur 🤧
Bref, ce fut encore un rollercoaster ! Trop de rebondissements, trop d’émotions, trop d’informations mais ça fonctionne toujours aussi bien et c’est toujours aussi prenant et haletant. La thématique de la mort est vraiment hyper bien amenée et menée, c’est intéressant et tordu.
Bref, est-ce que j’ai vraiment besoin de vous vendre cet auteur ?!?? Juste, lisez la saga dans l’ordre s’il vous plait, les personnages le méritent 🙏🏻
La limite entre la vie et la mort est si fine.. et pourtant si complexe... Dieu ? Le Diable? Paradis/enfer.. Notion de l'âme.. Euthanasie.. Médecine et recherche sur la frontière entre les deux..
On prend le tout on secoue bien.. on y ajoute les méandres et perversions de l'Homme.. et on fait cuire le temps d'un roman bien corsé avec Sharko et toute sa petite "famille" et on obtient des centaines de pages qui font travailler notre cervelet et glande spinale...
Angoissant, du Thilliez, comme d'habitude. Je ne sais pas s'il est malade d'écrire des histoires pareilles, ou si nous sommes les malades, de lire des histoires pareilles. Le parallèle présenté à la fin, avec les histoires réelles sur lesquelles il s'est basé est encore plus terrifiant que sa fiction...
Toujours très bien fichu, bonheur de retrouver ses personnages, rythme impeccable, ça se lit vite et fort, même si j ai trouvé le propos parfois un rien too much, et pas hyper original. Pas son meilleur mais ça reste très bon dans le style.
J'étais ravie de retrouver les personnages. Malheureusement j'ai trouvé que le thème a été mal assumé, voire décousu... l'épisode des catacombes m'a fait repensé' à du déjà lu, peut-être chez Maxime Chattam .. et des longueurs faiblardes que j'ai eu peine à traverser.
Un polar très sombre, à ne pas lire si vous n'avez pas le moral. J'ai été prise dans l'intrigue mais j'ai trouvé la fin un peu tirée par les cheveux et éloignée de la réalité.