Blanche a reçu la lettre qu’elle attendait : elle est acceptée en section sportive à Marseille dans un centre chorégraphique prisé. La voilà qui part s’installer loin de chez elle pour poursuivre son rêve. L’adolescente est une excellente danseuse classique, mais une personnalité plutôt effacée, qui a toujours fait ce qu’on attendait d’elle. Alors quand Blanche rencontre Ada, une amitié de feu naît, et leur vie, à toutes deux, prend un autre tournant. Un tournant flamboyant... jusqu'à en devenir dangereux ?
Lisa Balavoine vit et travaille à Amiens comme professeur-documentaliste. Eparse est son premier roman, dont des extraits ont été publiés dans la revue Décapage.
wow. une véritable œuvre d’art mêlant la forme de la poésie à la chronologie du roman. c’est impressionnant comme l’auteure a su maintenir un parfait équilibre entre les deux genres. nous avons la vision de la poésie qui raconte un sentiment particulier, une scène particulière. mais je n’ai jamais fait face à un recueil qui suit l’histoire et qui la raconte comme un roman peut le faire. je me suis attachée aux personnages, je suis passée par de nombreuses émotions. je vous le recommande vivement !
Belle histoire de danse, très belle plume, tout est écrit en vers libres. Ça parle d’amour, d’amitié flamboyante, de problèmes, du passage à l’âge adulte et d’admiration. Lecture très forte avec des tournures de phrases plus qu’efficaces, lecture rapide qui laisse une forte impression et qui a été une très bonne surprise! J’avoue que j’aurais aimé une autre fin, mais je recommande vivement, c’est un roman rempli de justesse et d’émotions!
(dès 12 ans)
« Qu'aimons-nous en d'autres que nous ? Aimons-nous ce qu'ils nous donnent ou ce que nous désirons leur donner ? Comment aimons-nous, avec quelle partie de nous, quelle pensée, quelle sensation, quelle âme ? Pourquoi est-ce si magique ? Pourquoi s'en lasse-t-on parfois ? Comment retenir ce que nous aimons lorsque tout s'échappe comme le sable coule entre nos doigts ? Est-ce plus fort que nous ? Est-ce que nous décidons d'aimer ou est-ce le hasard de l'autre qui nous percute ? ».
Sono una grande appassionata di danza: l'ho praticata per molti anni (con pessimi risultati), e quando finalmente ho capito che il mio posto è fra gli spettatori, la mia passione non ha fatto altro che aumentare. E quindi sì, mi piace molto fare da spettatrice a un balletto, ma mi piace anche moltissimo fare da spettatrice a opere narrative che abbiano la danza al centro, che si tratti di film o , perché no, di libri. Appena trovo un libro che parla di danza, mi ci fiondo (e spesso resto delusa, perché ho la sensazione che la danza sia solo uno sfondo estetico in cui ambientare vicende poco verosibili, mettendo in fila approssimazioni e castronerie). Quando mi è capitato per le mani questo libro, dunque, mi ci sono prevedibilmente tuffata. E, almeno da questo punto di vista, non sono rimasta delusa, perché l'ambiente della danza mi è sembrato comunque ritratto in maniera fedele e verosimile. Quello che mi ha lasciata un po' più confusa è la scelta stilistica alla base di questo romanzo: che è un romanzo, ma in fondo non sono sicura che sia in prosa. Che non è composto da poesie, ma non è nemmeno in prosa. Che ha dei flussi di coscienza che potrebbero essere delle pagine di diario solo immaginate, ma non del tutto. Insomma, è un approccio che ho trovato molto interessante, e che per certi versi ho anche apprezzato, ma che mi lascia con qualche nota stonata. Funziona, ma non del tutto: ad un certo punto ho avuto l'impressione di essere proprio davanti a un esperimento, e non ho potuto fare a meno di domandarmi se davvero questa fosse una scelta necessaria. Se questa scelta fosse intrinseca e necessaria per il racconto, o se invece una narrazione più tradizionale non sarebbe stata più funzionale. Non che in questo modo il racconto non funzioni: funziona, funziona perfettamente, eppure qualcosa mi dice che non sarebbe stato necessario farlo funzionare in questo modo. Quello che però è certo è che, forse, di esperimenti del genere si sente un gran bisogno. Perché è bello pensare che un romanzo possa essere scritto anche partendo da un'altra prospettiva, e che una prospettiva del genere possa essere proposta proprio a dei lettori più giovani: mi piacerebbe davvero tanto conoscere l'opinione dei ragazzi su un romanzo del genere, perché mi incuriosisce molto quello che potrebbe essere il loro riscontro.
Un roman très beau sur l'adolescence, la passion et la danse, la passion de la danse. Lisa Balavoine a choisi une écriture très poétique, en vers libres, qui donne son rythme et son originalité au roman. Les personnages sont tous bien dessinés, attachants, plein de vie. Les 2 personnages principaux Blanche et Ada se construisent en opposition : Blanche, fidèle à son prénom, est d'abord timide, évanescente, empruntée ; au contact d'Ada, qui elle n'est qu'ardeur, transgression et souffrance, Blanche apprend l'affirmation et le dépassement de soi. Pour pinailler, je regrette simplement les petites 'facilites' liées à la symbolique des prénoms, le fait qu'Ada soit excessive en tout quand Blanche a peur de tout. Ada est vraiment l'archétype même de la toxicité ! J'ai lu ce roman d'une seule traite. Il aborde de nombreux sujets importants : le délicat passage de l'adolescence, la difficulté à se trouver, les questions de santé mentale et d'anorexie, l'enfant qui vibre en nous, même à l'âge adulte. Je vous recommande cette belle lecture.
ce roman est bien écrit, même si le style d’écriture, très poétique dans sa forme, peut décontenancer. C’est ce qui m’est arrivé, et c’est ce qui me laisse sur une impression un peu étrange. Le personnage d’Ada est également assez particulier. Il brûle tout sur son passage. Il est vraiment toxique, et en même temps, on s’attache à lui. Ada laisse des sentiments mitigés sur son passage. Blanche est plus lumineuse, solaire, mais elle cache également des faiblesses qui vont nous attendrir. C’est un personnage que j’ai aimé suivre dans son évolution. Le roman est assez riche dans ses thèmes. Il parle à la fois d’amour, mais également de maladie mentale et de la difficulté de grandir, de s’affranchir de ce qu’on était enfant pour devenir soi. C’est un roman agréable à lire, que je vous conseille donc, même si la forme d’écriture est particulière.
Je suis tombée par hasard sur cet ouvrage, dont le style d’écriture m’a frappée par sa singularité au moment où je l’ai feuilleté. J’ai trouvé ce livre dingue par sa simplicité et sa poésie, tout en abordant des sujets bien relevés. Je me suis beaucoup reconnue dans cette écriture, cette façon de dire les choses, de manière brute et spontanée, et j’ai vraiment accroché tout du long. Une de mes plus belles lectures par sa douleur et sa douceur!
À chaque nouveau roman de Lisa Balavoine je suis toujours au rendez-vous. Des histoires touchantes, des mots justes. Le rythme des phrases poétiques nous empêche de poser le livre, j’aurai aimé le faire durer plus longtemps mais je n’ai pas réussi. L’univers de la danse, la puissance de la musique sur le corps, l’adolescence, les relations brûlantes, perturbantes…
Un roman intense, des vers brûlants de passion, de fougue et de liberté. Comme nous brûlons est un roman poétique plein d'audace, dont la sensibilité m'a transportée. Des personnages énigmatiques, de superbes scènes de danse et des relations dangereuses font la recette de ce roman très touchant !
C'était une lecture touchante, avec une forme poétique qui se mariait incroyablement bien aux sentiments et à cette grâce, cette passion de la danse. C'était sauvage mais doux à la fois.
Finalement, ça représentait bien le milieu de la danse, du corps en mouvement et du rythme changeant. Et ça se lit rapidement car le livre est court.
Magnifique roman en vers libres (parfait pour commencer ce type de romans je pense). Le seul regret que j'ai vis à vis de ce livre est que je l'ai lu trop vite ! 😭 Mais il faut mieux avoir des remords qu'avoir des regrets, donc sincèrement ce n'est pas grave comparé à la découverte de cette pépite ! ✨🩷
Je l'ai lu pour l'école, pas pour le plaisir. Je n'étais qu'à la moitié du livre quand j'avais l'eval, et à l'eval, je connaissais déjà toute l'intrigue. Ce n'était pas vraiment surprenant si j'avais deviné la fin. J'ai eu une très bonne note, en plus ! Mais je suis persuadée que Blanche est amoureuse d'Ada, et rien ne me fera changer d'avis !
Una stella in meno rispetto a 'Un ragazzo è quasi niente' per la trama, ma la scrittura della Balavoine per me merita sempre♥️ Alcune pagine sono notevoli come 'Perchè amiamo?' e la storia sa come agganciare il lettore
J'avais adoré, adoré, le premier roman en vers de Lisa Balavoine. Autant vous dire, que j'attendais celui-ci comme le messie...
Et, au début du roman, j'étais ravie, la plume était très belle. J'étais intriguée, c'était mystérieux. Mais j'ai assez vite déchantée... Il ne se passe pas grand chose. Le grand mystère du livre se finit en quelque page à peine, et les incohérences étaient trop grosses à mes yeux pour croire à son réalisme.
Ma plus grosse déception reste quand même la plume. Pour un roman en vers, j'ai plutôt eu l'impression de parfois lire le journal intime d'une gosse de 17 ans qu'un récit poétique. Je n'ai pas retrouvé la danse des mots et les émotions que créent ceux-ci que j'avais tant aimé dans Un garçon c'est presque rien.
4.5 Je ne pensais pas aimer à cause du style en vers livre que je n’aime pas trop habituellement, mais quelle lecture ! J’ai vraiment beaucoup apprécié !