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Maximum Light
By the middle of the twenty-first century the worldwide fertility rate has declined nearly eighty percent. No one knows why. Now the average age in the United States is fifty-four, and children are treasured and spoilt by those lucky enough to have them and coveted by the vast majority who can't.Maximum Light is the story of three people from different sections of this very different American society. Nick Clementi is seventy-five years old, a doctor, and an advisor to the Congressional Advisory Committee for Medical Crises. Shana Walders is twenty-six and has just finished her two years in the National Service Corps. Cameron Atuli is twenty-eight, a primcipal dancer with the National Ballet, and has willingly had a portion of his memory removed; what it was and why he did it, he doesn't know.In her last days of National Service, Shana witnesses something so horrible that it is immediately brought to the attention of Clementi's committee, but so shocking that even the committee would like to believe that it can't be true. And what Cameron can't remember may be the key to the mystery.At the Publisher's request, this title is being sold without Digital Rights Management Software (DRM) applied.
237 pages, Kindle Edition
First published January 1, 1997
17 people are currently reading
189 people want to read
About the author
Nancy Kress
458 books897 followersNancy Kress is an American science fiction writer. She began writing in 1976 but has achieved her greatest notice since the publication of her Hugo and Nebula-winning 1991 novella
Beggars in Spain
which was later expanded into a novel with the same title. In addition to her novels, Kress has written numerous short stories and is a regular columnist for Writer's Digest. She is a regular at Clarion writing workshops and at The Writers Center in Bethesda, Maryland. During the Winter of 2008/09, Nancy Kress is the Picador Guest Professor for Literature at the University of Leipzig's Institute for American Studies in Leipzig, Germany.
Excerpted from Wikipedia.
Excerpted from Wikipedia.
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 34 reviews
May 5, 2021
3/5 ,Le début est assez long , puis au bout de 150 pages on rentre dans l'intrigue, mais il y a quand même de longs passages, et comme c'est une dystopie il y a des éléments assez étrange !
March 30, 2015
In the near future, humanity is dwindling in a world populated by the elderly, as less and less children are born due to the accumulation of endocrine disrupting chemicals that permeate the earth. This is an issue that I have recently become quite vocal about, all the plastics and pesticides and who knows what else leaching into the systems of life, in our water supply, our soil, our bodies. It may be decades before the ramifications are known, and by then it will be far too late.
You pretty much can't go wrong reading a Nancy Kress novel, she writes with a sophistication that makes it easy to believe her story is going to be 15% smarter than anything else you might have chosen. For the most part, the tech and extrapolation hold up over the years since publication (16+). It is not a simple thing to pass the test of time, but I am not surprised this does.
You pretty much can't go wrong reading a Nancy Kress novel, she writes with a sophistication that makes it easy to believe her story is going to be 15% smarter than anything else you might have chosen. For the most part, the tech and extrapolation hold up over the years since publication (16+). It is not a simple thing to pass the test of time, but I am not surprised this does.
August 11, 2018
One of the weirdest near future/speculative fictions I’ve ever read. I gobbled up the book in a few short sittings as the book is fast paced and exciting. The copy edit was pretty atrocious and took away from the overall experience but otherwise if you aren’t familiar with Kress, check her out.
May 13, 2025
Cela fait quelques années déjà que je vois passer le nom de Nancy Kress sans avoir osé me lancer. Le challenge de Céline ♯Avril autour de la SF fut donc l’occasion parfaite pour me mettre un petit coup de pied. Et si j’ai aimé les idées de cette autrice prolifique, j’ai aussi quelques réserves.
Née dans à la fin des années 40, Nancy Kress a publié de nombreux romans des années 80 à nos jours, presque toujours dans un univers futuriste proche et crédible avec des technologies se prêtant au jeu d’un regard critique. Elle a aussi reçu de nombreux prix : Nebula, comme Hugo ou Locus, les plus prestigieux du genre, mais pas pour le roman ici présent. Est-ce un signe ?
Paru en vo en 1998, je m’attendais en le lisant à ce qu’il fut encore plus vieux, je l’avoue. Pourquoi ? Parce que j’ai trouvé en le lisant un petit air de Silverberg, à savoir un auteur de SF dont j’adore les concepts mais dont l’écriture me questionne. Chez lui, c’est la vision de la femme, objectifiée notamment dans Les monades urbaines qui m’avait fait grincer des dents. Chez elle, c’est la vision de l’homosexualité avec ce texte rempli de »pédés / petits pédés » qui m’interroge… Quelle est la part de dénonciation et la part de ses propres convictions derrière cette plume si froide et aride, sans émotion ?
Passé cet aspect peu reluisant de son écriture, j’ai vécu un bon moment avec un récit d’anticipation aux allures de thriller très efficace et bien huilé, puisque nous suivons l’enquête d’un scientifique, aidé d’une ancienne militaire, autour d’un danseur ayant subi une mystérieuse opération. Dans leur monde, et nous ne sommes pas loin du nôtre, puisque nous ne sommes qu’en 2030, la natalité a chuté dramatiquement, notamment à cause des bloqueurs endocriniens, et les bébés sont donc devenus des denrées rares mais aussi un business. C’est autour de cette question et de celle de la recherche hors cadre légal que va se développer l’histoire.
Celle-ci est très courte, moins de 300 pages, et assez nerveuse une fois que le récit démarre enfin. Il a quand même fallu attendre plus de 100 pages pour cela… Il se partage pour cela entre les voix de Shana, ancienne militaire virée parce qu’elle a vu quelque chose qui ne fallait pas ; Cameron, un danseur de ballet qui a été obligé d’effacer délibérément sa mémoire et Nick Clementi, un scientifique qui a mis le doigt sur un secret qui va l’entraîner dans une espèce de complot politique, militaire et scientifique. Ce partage de la narration rend bien sûr celle-ci encore plus prenante, même si je dois avouer n’avoir pas forcément ressenti d’attachement ou d’atome crochu pour les uns ou les autres à cause de la plume assez distancée de l’autrice et de sa volonté de rendre le récit surtout efficace. Ce sont vraiment les idées, le décor et le rythme de l’histoire qui en font l’intérêt.
J‘ai beaucoup aimé les questionnements de bio-éthiques qui parsèment le récit, notamment la question sur le financement et la moralité des recherches. Est-ce que si l’Etat arrête de financer, ça veut dire qu’il est trop couard et n’ose pas aller dans les recoins plus sombres de la recherche alors qu’il le devrait ? L’autrice ne tranche pas et nous laisse nous faire notre propre idée dans un récit à l’atmosphère quand même bien étouffante où les personnages sont souvent en danger dans cette vaste machination qu’ils ont secoué sans le vouloir. Et moi, j’adore ce genre d’ambiance !
Avec un début plus accrocheur et une plume moins dérangeante côté traitement de l’homophobie, j’aurais encore plus aimé cette lecture, qui reste un thriller d’anticipation des plus honnêtes, avec de bonnes réflexions sur la bio-éthique et notre avenir si on ne fait pas plus attention à notre environnement général. Cela m’a donné envie de découvrir les autres textes de l’autrice qui semblent aussi très riches en belles idées pour l’avenir de notre société.
Article complet : https://lesblablasdetachan.wordpress....
Née dans à la fin des années 40, Nancy Kress a publié de nombreux romans des années 80 à nos jours, presque toujours dans un univers futuriste proche et crédible avec des technologies se prêtant au jeu d’un regard critique. Elle a aussi reçu de nombreux prix : Nebula, comme Hugo ou Locus, les plus prestigieux du genre, mais pas pour le roman ici présent. Est-ce un signe ?
Paru en vo en 1998, je m’attendais en le lisant à ce qu’il fut encore plus vieux, je l’avoue. Pourquoi ? Parce que j’ai trouvé en le lisant un petit air de Silverberg, à savoir un auteur de SF dont j’adore les concepts mais dont l’écriture me questionne. Chez lui, c’est la vision de la femme, objectifiée notamment dans Les monades urbaines qui m’avait fait grincer des dents. Chez elle, c’est la vision de l’homosexualité avec ce texte rempli de »pédés / petits pédés » qui m’interroge… Quelle est la part de dénonciation et la part de ses propres convictions derrière cette plume si froide et aride, sans émotion ?
Passé cet aspect peu reluisant de son écriture, j’ai vécu un bon moment avec un récit d’anticipation aux allures de thriller très efficace et bien huilé, puisque nous suivons l’enquête d’un scientifique, aidé d’une ancienne militaire, autour d’un danseur ayant subi une mystérieuse opération. Dans leur monde, et nous ne sommes pas loin du nôtre, puisque nous ne sommes qu’en 2030, la natalité a chuté dramatiquement, notamment à cause des bloqueurs endocriniens, et les bébés sont donc devenus des denrées rares mais aussi un business. C’est autour de cette question et de celle de la recherche hors cadre légal que va se développer l’histoire.
Celle-ci est très courte, moins de 300 pages, et assez nerveuse une fois que le récit démarre enfin. Il a quand même fallu attendre plus de 100 pages pour cela… Il se partage pour cela entre les voix de Shana, ancienne militaire virée parce qu’elle a vu quelque chose qui ne fallait pas ; Cameron, un danseur de ballet qui a été obligé d’effacer délibérément sa mémoire et Nick Clementi, un scientifique qui a mis le doigt sur un secret qui va l’entraîner dans une espèce de complot politique, militaire et scientifique. Ce partage de la narration rend bien sûr celle-ci encore plus prenante, même si je dois avouer n’avoir pas forcément ressenti d’attachement ou d’atome crochu pour les uns ou les autres à cause de la plume assez distancée de l’autrice et de sa volonté de rendre le récit surtout efficace. Ce sont vraiment les idées, le décor et le rythme de l’histoire qui en font l’intérêt.
J‘ai beaucoup aimé les questionnements de bio-éthiques qui parsèment le récit, notamment la question sur le financement et la moralité des recherches. Est-ce que si l’Etat arrête de financer, ça veut dire qu’il est trop couard et n’ose pas aller dans les recoins plus sombres de la recherche alors qu’il le devrait ? L’autrice ne tranche pas et nous laisse nous faire notre propre idée dans un récit à l’atmosphère quand même bien étouffante où les personnages sont souvent en danger dans cette vaste machination qu’ils ont secoué sans le vouloir. Et moi, j’adore ce genre d’ambiance !
Avec un début plus accrocheur et une plume moins dérangeante côté traitement de l’homophobie, j’aurais encore plus aimé cette lecture, qui reste un thriller d’anticipation des plus honnêtes, avec de bonnes réflexions sur la bio-éthique et notre avenir si on ne fait pas plus attention à notre environnement général. Cela m’a donné envie de découvrir les autres textes de l’autrice qui semblent aussi très riches en belles idées pour l’avenir de notre société.
Article complet : https://lesblablasdetachan.wordpress....
June 9, 2021
Dans ce roman, trois personnages principaux vont mettre à jour une de ces conspirations industrio-politiques dont les américains sont friands (voir par exemple Erin Brokovitch). Il est cette fois-ci question de chute de natalité (un vrai sujet), de perturbateurs endocriniens (là aussi un vrai sujet), et de perte démographique (une vraie angoisse géopolitique). Nos trois personnages (un scientifique mourrant, une jeune conscrite très rentre-dedans, et un danseur classique évidement gay) sont très différents dans leur vision de monde, leur place dans la société, leur perception de leur corps. Et pourtant, ils arriveront à travailler ensemble pour faire émerger la vérité cachée derrière les rideaux du pouvoir.
J'ai eu une en lisant ce livre l'impression tenace de lire un roman du fameux âge d'or de la SF US. En effet, comme dans les romans de cette époque, on trouve ici une vision assez dépassée du monde (et surtout particulièrement statique) qui ressemble d'assez près aux USA des années cinquantes : pas de noirs, pas d'internet ou équivalent, et des rôles sociaux confits dans le passéisme. La seule pointe de modernité étant qu'à cause de la dénatalité, les femmes peuvent être soldats. Pourtant ce roman date de 1998, soit bien après le courant cyberpunk ou l'émergence du nouveau space opera, courants littéraires dans lesquels les rôles sociaux sont assez largement redéfinis. Du coup je suis assez perturbé par cette lecture : est-ce une tentative de produire un roman classique volontaire ou inconsciente ?
Et cette coloration "vintage" instille tous les aspects du roman : le décor, les personnages, l'action, tout ça prend un style bien trop classique pour être intéressant. Ca rend d'ailleurs les aspects contemporains, comme le danger des perturbateurs endocriniens presque anachronique. Je trouve finalement ça assez dommage, parce que l'oeuvre ne décolle dans aucune direction. Une lecture oubliable, en quelque sorte.
J'ai eu une en lisant ce livre l'impression tenace de lire un roman du fameux âge d'or de la SF US. En effet, comme dans les romans de cette époque, on trouve ici une vision assez dépassée du monde (et surtout particulièrement statique) qui ressemble d'assez près aux USA des années cinquantes : pas de noirs, pas d'internet ou équivalent, et des rôles sociaux confits dans le passéisme. La seule pointe de modernité étant qu'à cause de la dénatalité, les femmes peuvent être soldats. Pourtant ce roman date de 1998, soit bien après le courant cyberpunk ou l'émergence du nouveau space opera, courants littéraires dans lesquels les rôles sociaux sont assez largement redéfinis. Du coup je suis assez perturbé par cette lecture : est-ce une tentative de produire un roman classique volontaire ou inconsciente ?
Et cette coloration "vintage" instille tous les aspects du roman : le décor, les personnages, l'action, tout ça prend un style bien trop classique pour être intéressant. Ca rend d'ailleurs les aspects contemporains, comme le danger des perturbateurs endocriniens presque anachronique. Je trouve finalement ça assez dommage, parce que l'oeuvre ne décolle dans aucune direction. Une lecture oubliable, en quelque sorte.
February 9, 2025
Shana Walders is young, beautiful and in the National Service hoping to soon join the regular army. During the evacuation of civilian pets from the scene of a train derailment she witnesses something that may jeopardise her chances.
Cameron Atuli is a young, gay ( in 2034 referred to as "blithe") ballet dancer who voluntarily agreed to have his memory erased.
Dr. Nick Clementi is very old and dying. He is a member of the committee that investigates the claims made by Shana following the derailment.
The story of MAXIMUM LIGHT is told from the viewpoint of each of these characters in turn. They live in a world in which the population is aging and the birth rate is down. Pets have been substituted for children in their absence. Clementi believes that synthetic chemicals resulting from everyday human practice are polluting the atmosphere and when combined are affecting human endocrine systems. The result is that infertility abounds, as do birth defects, and learning amongst the young is impaired.
To say much more would give too much away. Kress weaves an intriguing tale that kept me interested to the very end. She obviously has a biological bent and based on this outing I shall be placing her on my 'to read' list.
Cameron Atuli is a young, gay ( in 2034 referred to as "blithe") ballet dancer who voluntarily agreed to have his memory erased.
Dr. Nick Clementi is very old and dying. He is a member of the committee that investigates the claims made by Shana following the derailment.
The story of MAXIMUM LIGHT is told from the viewpoint of each of these characters in turn. They live in a world in which the population is aging and the birth rate is down. Pets have been substituted for children in their absence. Clementi believes that synthetic chemicals resulting from everyday human practice are polluting the atmosphere and when combined are affecting human endocrine systems. The result is that infertility abounds, as do birth defects, and learning amongst the young is impaired.
To say much more would give too much away. Kress weaves an intriguing tale that kept me interested to the very end. She obviously has a biological bent and based on this outing I shall be placing her on my 'to read' list.
August 21, 2019
I’ve come to really like Nancy Kress. This is the first full novel I’ve read of hers and I enjoyed it very much. It packs a punch, much like her novellas. The only problem I had with it was that the ending felt a bit dragged out. It went on a bit too long after the big climax. Otherwise, I’d say this was a terrific book. It tackles the problem of the effects of the chemicals in plastics on our bodies. In this book, the effect is that it has reduced human fertility, so that few children are being born. This book was nominated for the Gaylactic Spectrum Award in 1999.
Come visit my blog for the full review…
https://itstartedwiththehugos.blogspo...
Come visit my blog for the full review…
https://itstartedwiththehugos.blogspo...
June 2, 2020
When I went to rate the book, I wanted not to rate it a 5, but I couldn't see any reason not to. It was written in 1998, but the problems it talks about in the future are something we can see possibility coming today. It suggests that the reason that most men have become infertile is pollution. Because of this all youth are considered precious. This is the background for a very interesting stoiry.
March 3, 2021
Une société en manque d’enfants sans aucune solution, une population vieillissante, des femmes prêtes à tout pour combler leur désir de maternité : voici le triste portrait du monde dystopique dans lequel vivent nos trois protagonistes que tout oppose. Ils vont découvrir un sombre secret et vont devoir décider en toute âme et conscience quoi en faire. Une chouette lecture, au rythme effréné.
En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpre...
En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpre...
August 6, 2025
How much evil do we, should we, can we tolerate?
An all too plausible near future in which healthy full-term babies have become vanishingly rare and sperm counts have plummeted, told from the points of view of a handful of viewpoint characters.
Can a girl from the streets, a gay ballet dancer, and an old, sickly doctor take on entrenched government and industry and win?
Maybe.
An all too plausible near future in which healthy full-term babies have become vanishingly rare and sperm counts have plummeted, told from the points of view of a handful of viewpoint characters.
Can a girl from the streets, a gay ballet dancer, and an old, sickly doctor take on entrenched government and industry and win?
Maybe.
October 21, 2025
Classic speculative fiction
Great view of an environmental crisis perpetrated by corporations and excused by the government. Too accurate for comfort! And other than the lack of cell phones in the 2030s, you wouldn't know this was written in the 90s. Really stands the test of time.
Great view of an environmental crisis perpetrated by corporations and excused by the government. Too accurate for comfort! And other than the lack of cell phones in the 2030s, you wouldn't know this was written in the 90s. Really stands the test of time.
March 20, 2024
Book was okay at best
Shana was annoying at times
Some parts of the book was super slow and some part actually fast paced
Shana was annoying at times
Some parts of the book was super slow and some part actually fast paced
July 28, 2025
oct 2024
November 17, 2019
It's fine. Scenario all-too plausible, writing excellent, characters not terribly likable, ending felt a bit pat. YMMV.
November 6, 2018
Un roman sombre, dans lequel Nancy Kress dépeint un futur dans lequel l'humanité vit une crise en tant qu'espèce qui ne peut plus se renouveler, la faute à une énorme baisse de la fertilité et que la science vit une crise éthique.
Chronique complète et détaillée sur le blog. https://leschroniquesduchroniqueur.wo...
January 28, 2019
Le récit alterne les récits de Shana, la soldate au caractère bien trempée, de Cameron, le danseur hanté par des souvenirs inaccessibles et du Dr Clementi, la voix de la sagesse qui cherche à faire entendre raison à ses confrères. Le ton de chacun des protagonistes est parfaitement distinct du langage fleuri de la soldate, à celui plus poétique du danseur et passant par le discours scientifique du docteur et son recours systématique à des citations.
Par un concours de circonstance, les trois personnages vont se retrouver malgré eux au cœur d’une vaste conspiration. La politique américaine reste de protéger avant tout les enfants, c’est l’adoption est très réglementé, la vente d’enfants interdites au même titre que le clonage. Mais l’éthique est-elle à l’épreuve du besoin de procréer et de transmission d’héritage ? Quand Nick Clementi se trouve personnellement touchée par la situation, il est face à un dilemme : faire fit de la loi et aider ceux qu’il aime ou rester fidèle à ses convictions.
S’en suit une enquête palpitante où les révélations se multiplient. A mesure que les masques tombent, on découvre les motivations insoupçonnées de ceux qui opèrent dans l’ombre. Un livre à découvrir, qui nous questionne sur notre sens éthique et mène à la réflexion : Sommes-nous prêts à faire payer aux générations futurs le prix de nos excès ? Tous les moyens sont-ils bons pour assurer la survie de l’espèce et sortir de l’impasse d’un monde sans avenir.
Ma chronique : https://wereallmadaboutbooks.wordpres...
Par un concours de circonstance, les trois personnages vont se retrouver malgré eux au cœur d’une vaste conspiration. La politique américaine reste de protéger avant tout les enfants, c’est l’adoption est très réglementé, la vente d’enfants interdites au même titre que le clonage. Mais l’éthique est-elle à l’épreuve du besoin de procréer et de transmission d’héritage ? Quand Nick Clementi se trouve personnellement touchée par la situation, il est face à un dilemme : faire fit de la loi et aider ceux qu’il aime ou rester fidèle à ses convictions.
S’en suit une enquête palpitante où les révélations se multiplient. A mesure que les masques tombent, on découvre les motivations insoupçonnées de ceux qui opèrent dans l’ombre. Un livre à découvrir, qui nous questionne sur notre sens éthique et mène à la réflexion : Sommes-nous prêts à faire payer aux générations futurs le prix de nos excès ? Tous les moyens sont-ils bons pour assurer la survie de l’espèce et sortir de l’impasse d’un monde sans avenir.
Ma chronique : https://wereallmadaboutbooks.wordpres...
August 7, 2012
This wasn't a bad book.
This wasn't bad writing.
It was a fine novel with very scientific elements and nice presentation.
So why did I give this book one star? Shana. Shana is basically the most infuriating character ever. She's snotty and selfish and disrespectful and MAD. At like, everything. She's self centered and vain and aloof.
I think she's probably supposed to be like, the strong spunky female in a time of crisis or whatever.
But she just came off as kind of a hothead.
I couldn't stand her voice, her tone, her language, her attitude, or her grammar.
I just couldn't get through her chapters.
Plus at the end, after the climax, she's in custody for safety or whatever, after a rather horrific experience. Basically, in jail with this other main character, and she's still totally an idiot and kind of a jerk, and then she goes on TV and gets interviewed. Then she goes back to her army barracks and a bunch of people are jerks and then these other guys start fighting over a brush or something and she's like "I'm so above that now. I can't believe that sort of stuff used to infuriate me." Which can happen a lot in good books, but in this book - SHE HASN"T CHANGED AT ALL. So it's stupid.
Aside from that, this was a very smartly crafted mystery/sci-fi plot.
This wasn't bad writing.
It was a fine novel with very scientific elements and nice presentation.
So why did I give this book one star? Shana. Shana is basically the most infuriating character ever. She's snotty and selfish and disrespectful and MAD. At like, everything. She's self centered and vain and aloof.
I think she's probably supposed to be like, the strong spunky female in a time of crisis or whatever.
But she just came off as kind of a hothead.
I couldn't stand her voice, her tone, her language, her attitude, or her grammar.
I just couldn't get through her chapters.
Plus at the end, after the climax, she's in custody for safety or whatever, after a rather horrific experience. Basically, in jail with this other main character, and she's still totally an idiot and kind of a jerk, and then she goes on TV and gets interviewed. Then she goes back to her army barracks and a bunch of people are jerks and then these other guys start fighting over a brush or something and she's like "I'm so above that now. I can't believe that sort of stuff used to infuriate me." Which can happen a lot in good books, but in this book - SHE HASN"T CHANGED AT ALL. So it's stupid.
Aside from that, this was a very smartly crafted mystery/sci-fi plot.
January 1, 2016
Maximum Light by Nancy Kress is set a few decades into the future where the birth rate has plummeted. Sperm counts are low, many children being born have genetic issues and all the clues point to society’s overuse of synthetic chemicals and its interaction with human biology.
This is a nice read. It focuses on a few characters that stumble upon the issue and a cover up. Elements of the book remind me of the current issue of climate change. There are many clues pointing to humanity being the cause but there is enough confusion seeded by entrenched interests groups that don’t want the status quo changed. The same occurs in this book.
The author does a nice job showing how society deals with the crisis including some rather creepy solutions to people’s desire to have something child-like to love and raise.
It’s a fast read if one is looking for something like this that still manages to toss some interesting ideas the reader’s way.
This is a nice read. It focuses on a few characters that stumble upon the issue and a cover up. Elements of the book remind me of the current issue of climate change. There are many clues pointing to humanity being the cause but there is enough confusion seeded by entrenched interests groups that don’t want the status quo changed. The same occurs in this book.
The author does a nice job showing how society deals with the crisis including some rather creepy solutions to people’s desire to have something child-like to love and raise.
It’s a fast read if one is looking for something like this that still manages to toss some interesting ideas the reader’s way.
July 2, 2009
Nancy Kress is a personal idol of mine. Combining a wonderfully clean, clear writing style with fully realized characters, well-researched science and believable sociopolitical consequences to the new scientific discoveries, her stories are the best science fiction out there. This particular novel is the story of what happens when cloning is impossible and "humanity's ability to conceive children has been severly reduced by pollution and disease." Characters from all walks of life (a wealthy, politically radical scientist, an army grunt, and a dancer with induced amnesia) explore their aging, dystopic world.
July 9, 2010
I went to the library looking for Kress' Beggars in Spain (having read the short story) and decided to try this instead when that wasn't in. This follows three different people around Washington, DC in a near-future where the world's fertility rate is way down--babies are sought on the black market, and genetic science is both more advanced and more feared. Shana Walders, Cameron Atuli (both around 20 years old) and Nick Clementi (70+) all become embroiled in the same scandal, but it takes awhile for the connections between them to become clear. Interesting, although I found the resolution a little unsatisfying.
May 23, 2011
I've been on a streak of reading short stories for a while, so it was amazing to slip into this world. It reminded me of why I love science fiction, and how living within a book for a while can make the real world much more livable.
This was the first novel I read by Nancy Kress, and I'd suggest it to anyone who'd like to find out about her writing.
The opening set up is an amazing example of how to draw your reader in and make sure they will stay with you until the last page. This is one of Kress' master points; I'm going to keep reading her books both for pure enjoyment and to try to figure out how I can grab (and keep) my reader's attention in my own writing.
This was the first novel I read by Nancy Kress, and I'd suggest it to anyone who'd like to find out about her writing.
The opening set up is an amazing example of how to draw your reader in and make sure they will stay with you until the last page. This is one of Kress' master points; I'm going to keep reading her books both for pure enjoyment and to try to figure out how I can grab (and keep) my reader's attention in my own writing.
July 2, 2015
Overall, I really enjoyed the story. Finish was quite a bit stronger than the start. This story was told from the perspective of three characters: one was pretty irritating, one of them lacked depth, but the final POV character was incredibly sympathetic, likable, and engaged in fairly deep reflections on his life, the story's broader society, and the nature of humanity. The last third of the story was packed with action and ultimately led to a pretty satisfying ending. I am surprised the score for the story isn't higher and I will certainly be reading Nancy Kress again.
February 26, 2010
The amount of time and effort it takes to write and publish a book these days is quite daunting, so anyone who gets their story out into the world deserves our approbation. However, when you whittle down the substance of a book and your general impression is that of a yarn about testicle theft in the near future, there's not much else you can say. (Especially if you can't remember anything else about the work, other than your vague boredom while reading it.)
December 6, 2012
Maybe it's that I read this on the heels of something that blew me away, but this isn't quite there. I'm usually a Kress fan, but the rotating POVs all sound too simliar to me even though they're from wildly different backgrounds (and rotating POV is a hard sell for me anyway) and the political intrigue left me feeling cold rather than interested. It's got some good ideas, but it's not quite there.
July 15, 2014
I really her novels but though this one started well and kept me hooked through most of the story, the ending fell flat for me and didn't feel plausible. Governments don't change their position or give in quite that easily. Leave the ending out and it's a good story. Put the ending back and it's just ok.
August 19, 2008
Eh. I love me some Nancy Kress, and this was definitely good, but it was just like a little quick snack of a book and could have had so much more. Which, I mean, I guess that is fine, but not what I seem to be into right now. Maybe I should give it 4 stars instead of 3. Yeah.
April 23, 2011
Good, fast read.
April 16, 2012
I liked the general idea, and I always enjoy her writing style, but it felt a bit preachy about the endocrine disruptors, and the chimps with human faces idea was just dumb.
March 29, 2013
I've mostly read Nancy's short stories as eBooks and was delighted to get my hands on a hardcover. She is an excellent modern writer imho
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