Mylène Gilbert-Dumas est née à Sherbrooke. Diplômée de l’Université Laval en enseignement du français au secondaire, c’est sa passion pour l’histoire, les voyages et l’actualité qui l’a finalement menée vers le roman historique. Après un séjour de vingt ans dans la région de Québec, elle est de retour à Sherbrooke et partage son temps entre les voyages et l’écriture. Elle est également l’auteure de deux romans pour adolescents dont l’un a obtenu un sceau d’argent M. Christie en 2004.
Mylène Gilbert-Dumas a reçu le prix Robert-Cliche en 2002 pour Les dames de Beauchêne Tome I et a été finaliste du Grand Prix littéraire de la relève Archambault en 2004 avec le même roman.
En 2009, elle a remporté une résidence d’écriture au Yukon de la Berton House Writer’s retreat. Le Writer's Trust of Canada l'a choisie parmi 80 auteurs du pays qui avaient soumis leur candidature.
Moins bon que le premier tome, j'ai terminé cette lecture avec un petit soupir de soulagement. L'histoire reste quand même intéressante mais comparativement à mon coup de coeur pour le premier tome, je n'y retrouvais pas l'ambiance familiale trouvé dans Noël à Kingscroft. Heureusement pour moi, on finit le livre dans l'ambiance des fêtes et cela m'a plu!
Dans ce 2e tome, Clarisse et Rabih sont maintenant fiancés. Est-ce que leur amour aura le dessus sur les différences culturelles ? J'ai adoré découvrir la culture du Moyen-Orient et le petit coin de paradis qu'est Kingscroft. L'histoire, fluide, est un ôde à l'amour dans toute sa simplicité. On a l'impression de se faire raconter une histoire d'amour par notre grand-mère. Clarisse est une femme de coeur, fière et forte, à l'image de son charmant papa, Raymond qui vous toucheront par leur simplicité et leurs valeurs familiales bien ancrées.
J’ai retrouvé Clarisse et ses six filles, puis Rabih, là où l'autrice les avait laissés. J’avoue que j’étais un peu perdue au début. Je n’avais pas saisi tout de suite qu’il y a un moment dans le récit avant que la mère de Rabih vienne s’installer au Québec et un autre après. Quoi qu’il en soit, j’ai dévoré ce tout petit livre. La plume de l’écrivaine est vraiment efficace.