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L'Influenceur
On lui avait promis la célébrité…
Elle va découvrir la peur.
Lisa, assistante médicale et chroniqueuse littéraire à ses heures perdues, sera bientôt la star des réseaux sociaux.
À condition de faire exactement ce qu’on lui demande.
Ascension fulgurante ou engrenage mortel ?
De Paris à Dubaï, un suspense implacable dans l’univers des influenceurs, ses illusions et ses ténèbres. Après les dérives de la télé-réalité dans L’Œil de Caine, prix Polar du Livre de Poche, Patrick Bauwen révèle crument l’envers du décor des résea
Elle va découvrir la peur.
Lisa, assistante médicale et chroniqueuse littéraire à ses heures perdues, sera bientôt la star des réseaux sociaux.
À condition de faire exactement ce qu’on lui demande.
Ascension fulgurante ou engrenage mortel ?
De Paris à Dubaï, un suspense implacable dans l’univers des influenceurs, ses illusions et ses ténèbres. Après les dérives de la télé-réalité dans L’Œil de Caine, prix Polar du Livre de Poche, Patrick Bauwen révèle crument l’envers du décor des résea
- GenresThriller
336 pages, Paperback
Published March 1, 2024
3 people are currently reading
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Community Reviews
Displaying 1 - 18 of 18 reviews
July 26, 2024
Autant le Jour du chien est l’un des meilleurs thrillers, autant celui-ci est médiocre. Pas tellement de suspense, quelques surprises à la fin, mais mal ficelé et ça n’a donc pas l’impact souhaité.
February 28, 2024
« L’influenceur » place son intrigue dans le domaine des réseaux sociaux, et décortique plus particulièrement l’aspect des faux semblants d’Instagram. Lisa Leroy, assistante médicale pour une grosse ponte de la chirurgie esthétique, parle de ses lectures sur Instagram (toute ressemblance avec des personnes existantes dans la vraie vie serait purement fortuite… ou pas). Son compte est tout petit, 260 followers, presque insignifiant, mais elle y parle de livres avec passion. Lorsqu’elle rencontre Hazel Caine, directrice de la société Vertigo, Lisa ne saisit pas l’intérêt qu’elle lui porte : elle n’est rien ni personne sur les réseaux. Elle ne connaît pas non plus la fameuse Hazel Caine et ses idées ingénieuses pour créer le buzz. (voir « L’oeil de Caine » premier roman de Patrick Bauwen paru en 2006)
« Les moments où vous chroniquez vos lectures ne sont pas les plus importants. C’est ce que vous racontez autour. Les livres sont un prétexte pour parler de votre vie. Et à travers votre vie, vous racontez la nôtre. Vous faites dans l’humain. Et vous le faites bien. Vous avez un véritable don pour le storytelling. »
Cela vous parle ? Combien de comptes littéraires existants vous parlent d’autre chose que de lecture, partagent leurs avis sur tout et n’importe quoi, postent leurs angoisses, leur colère et tous leurs états d’âme ? Nous y sommes… Si on gratte bien le vernis d’un compte Instagram, on peut y découvrir des motivations souterraines, des intentions bien moins honorables que le partage d’une passion… Ce n’est pas le cas dans « L’influenceur », puisque Patrick Bauwen choisit comme héroïne une jeune femme authentique, qui ne cherche ni la gloire ni les followers, mais veut simplement partager sa passion pour la lecture. Elle n’imagine pas un seul instant l’immensité de la partie immergée de cet iceberg.
Comment faire d’une jeune fille naïve et inexpérimentée une star d’Instagram ? Quels moyens sont utilisés pour développer de manière exponentielle son nombre de followers ? Comment faire d’elle une marionnette capable de rassembler une foule d’individus se passionnant pour son quotidien ? C’est tout le pouvoir donné à Hazel qui considère chaque étoile montante sur les réseaux comme un produit. « La célébrité n’est pas le fruit du hasard, expliqua-t-elle. On peut la fabriquer. Comme n’importe quel produit. Il suffit d’employer les bons matériaux. » Pourtant, avec « L’influenceur », Patrick Bauwen ne verse pas dans la facilité, il a choisi de prendre un chemin plus tortueux que celui d’une jeune fille qui ne rêverait que de devenir une star des réseaux en se donnant tous les moyens d’y parvenir. Dire qu’au moment où j’écris cette chronique, je vois passer dans mon « feed » des propositions de Masterclass Instagram, je reçois régulièrement des propositions « d’achat » de followers… il n’y a pas de hasard, j’aurais peut-être besoin d’une Madame Caine dans ma vie !
« L’influenceur » est un thriller, comme tous les romans de l’auteur, mais ce qui m’a toujours intéressée est ce qu’il dit de notre société. En alliant influence et passion littéraire, il propose un ticket gagnant à tous ceux qui baignent dans le milieu. Subtil observateur de notre époque, et de ses (con)génères, ses livres abordent toujours une thématique de société. Comment passer à côté de cette guerre intestine qui se joue sur les réseaux sociaux où tous les coups bas sont permis, les jalousies exacerbées et où chaque action entreprise par ces influenceurs a un dessein ciblé et calculé, où chaque drama permet de briller par son sens de la formule ?
« L’influenceur » peut se targuer d’exposer deux faces d’une même pièce : côté pile un émetteur, côté face un récepteur. Dans la catégorie récepteur, c’est la fosse aux bêtes de foire : il y a de tout ! Mention spéciale pour les « haters », qui, sous de faux comptes, donc, de fausses identités, vous pourrissent votre quotidien. Une forme de harcèlement scolaire version adulte, à se demander d’ailleurs d’où vient réellement le harcèlement scolaire… Sous une cape de « justicier » du web, ces défenseurs de la veuve et de l’orphelin se permettent tous les propos, utilisant un ton moralisateur pour juger ceux qui sont finalement leurs pairs. Une vraie cour des Miracles ! De temps en temps, un éclair de génie fuse : « C’est le monde qui est cynique. Les gens suivent les influenceurs parce qu’ils les font rêver. Mais ils ne peuvent pas s’empêcher de les haïr en même temps. Tellement d’argent et de succès, chez des gens tellement bêtes. On a envie de les glorifier et de les brûler à la fois ! Les réseaux sociaux, c’est l’amour bidon, mais la haine authentique. »
Malgré cette nouvelle tare qui semble agiter la toile, être « boomer », donc être né à la fin des années 60, « L’influenceur » n’est en rien moralisateur ou manichéen. Patrick Bauwen est lui-même présent sur les réseaux, aux urgences ou en vacances (mais quand écrivez-vous vos livres, Monsieur Bauwen ?). Dans son roman, il fait la part belle aux influenceurs « utiles » comme cette influenceuse médicale Docteur Bollywood qui m’a beaucoup fait penser au compte d’un pédiatre qui rassure des parents affolés, mais aussi à tous ceux qui sont véritablement dans le partage et n’attendent rien en retour comme son personnage de Lisa (sur Instagram, allez faire une petite enquête, regardez le nombre de followers de certains comptes, puis comparez-le au nombre de comptes suivis, vous risquez d’être surpris — niveau « partage » on repassera.).
Pendant que Lisa vit une phase ascendante dans sa vie publique, elle expérimente une phase descendante dans sa vie privée. J’aime beaucoup la finesse avec laquelle Patrick Bauwen démontre quel est le prix à payer pour cette ascension qui n’a même pas été demandée ! « Là, on parlait de gens ordinaires qui se retrouvaient propulsés au rang de star du jour au lendemain, suivis par des millions de fans, adulés tels des dieux, puis ballottés, détestés, traqués, et qui replongeaient ensuite dans l’anonymat en un temps record. »
Passionnant également d’analyser ce qui est développé sur le « niveau d’empathie » à avoir, la personnalité de ceux qui réussissent, la façon dont vous générez des émotions, comment se servir de votre vie réelle pour avoir des choses à raconter, ce qu’englobe exactement le taux d’engagement, comment il augmente et quelles sont les conséquences.
« Caine lui rappela aussi les conseils habituels : publier au bon moment de la journée, c’est-à-dire entre sept heures et neuf heures du matin ou entre dix-sept et dix-neuf heures le soir, ce qui correspondait aux intervalles où les gens étaient le plus souvent disponibles, notamment parce qu’ils se trouvaient aux toilettes (“tellement glamour”, commenta Lisa) ; soigner l’aspect de ses publications en utilisant toujours les mêmes couleurs et filtres ; organiser des concours pour augmenter les vues ; et commenter les comptes de gens plus célèbres que vous, mais pas trop, pour qu’ils vous renvoient la balle et vous fassent connaître en retour. »
Au-delà de l’enquête qui n’est finalement qu’un prétexte pour moi, « L’influenceur » interroge notre société, notre façon de consommer les réseaux et notre manière de les utiliser. Il m’apparaît très clairement que telle une petite fourmi, l’auteur a amassé énormément d’informations autour de ce sujet et a construit ensuite son roman autour de cela. À des fins personnelles, je retiendrai :
« (…) la publicité vend du rêve, l’influence vend du vrai. » Mais bien sûr…
« Votre communauté est votre meilleure amie, et comme toutes les amies, elle déteste être trahie, elle ne vous le pardonnerait pas. » Et ceux qui trahissent « for no reason » on en parle ?
« De tous les facteurs d’influence, expliqua Caine, la réciprocité est le plus puissant. Cela signifie que lorsqu’on vous donne quelque chose, votre premier réflexe est de le rendre. » La vie c’est comme un miroir, si tu en envoies de la merde, tu reçois de la merde. Proverbe chinois (nan, je déconne !).
« Les moments où vous chroniquez vos lectures ne sont pas les plus importants. C’est ce que vous racontez autour. Les livres sont un prétexte pour parler de votre vie. Et à travers votre vie, vous racontez la nôtre. Vous faites dans l’humain. Et vous le faites bien. Vous avez un véritable don pour le storytelling. »
Cela vous parle ? Combien de comptes littéraires existants vous parlent d’autre chose que de lecture, partagent leurs avis sur tout et n’importe quoi, postent leurs angoisses, leur colère et tous leurs états d’âme ? Nous y sommes… Si on gratte bien le vernis d’un compte Instagram, on peut y découvrir des motivations souterraines, des intentions bien moins honorables que le partage d’une passion… Ce n’est pas le cas dans « L’influenceur », puisque Patrick Bauwen choisit comme héroïne une jeune femme authentique, qui ne cherche ni la gloire ni les followers, mais veut simplement partager sa passion pour la lecture. Elle n’imagine pas un seul instant l’immensité de la partie immergée de cet iceberg.
Comment faire d’une jeune fille naïve et inexpérimentée une star d’Instagram ? Quels moyens sont utilisés pour développer de manière exponentielle son nombre de followers ? Comment faire d’elle une marionnette capable de rassembler une foule d’individus se passionnant pour son quotidien ? C’est tout le pouvoir donné à Hazel qui considère chaque étoile montante sur les réseaux comme un produit. « La célébrité n’est pas le fruit du hasard, expliqua-t-elle. On peut la fabriquer. Comme n’importe quel produit. Il suffit d’employer les bons matériaux. » Pourtant, avec « L’influenceur », Patrick Bauwen ne verse pas dans la facilité, il a choisi de prendre un chemin plus tortueux que celui d’une jeune fille qui ne rêverait que de devenir une star des réseaux en se donnant tous les moyens d’y parvenir. Dire qu’au moment où j’écris cette chronique, je vois passer dans mon « feed » des propositions de Masterclass Instagram, je reçois régulièrement des propositions « d’achat » de followers… il n’y a pas de hasard, j’aurais peut-être besoin d’une Madame Caine dans ma vie !
« L’influenceur » est un thriller, comme tous les romans de l’auteur, mais ce qui m’a toujours intéressée est ce qu’il dit de notre société. En alliant influence et passion littéraire, il propose un ticket gagnant à tous ceux qui baignent dans le milieu. Subtil observateur de notre époque, et de ses (con)génères, ses livres abordent toujours une thématique de société. Comment passer à côté de cette guerre intestine qui se joue sur les réseaux sociaux où tous les coups bas sont permis, les jalousies exacerbées et où chaque action entreprise par ces influenceurs a un dessein ciblé et calculé, où chaque drama permet de briller par son sens de la formule ?
« L’influenceur » peut se targuer d’exposer deux faces d’une même pièce : côté pile un émetteur, côté face un récepteur. Dans la catégorie récepteur, c’est la fosse aux bêtes de foire : il y a de tout ! Mention spéciale pour les « haters », qui, sous de faux comptes, donc, de fausses identités, vous pourrissent votre quotidien. Une forme de harcèlement scolaire version adulte, à se demander d’ailleurs d’où vient réellement le harcèlement scolaire… Sous une cape de « justicier » du web, ces défenseurs de la veuve et de l’orphelin se permettent tous les propos, utilisant un ton moralisateur pour juger ceux qui sont finalement leurs pairs. Une vraie cour des Miracles ! De temps en temps, un éclair de génie fuse : « C’est le monde qui est cynique. Les gens suivent les influenceurs parce qu’ils les font rêver. Mais ils ne peuvent pas s’empêcher de les haïr en même temps. Tellement d’argent et de succès, chez des gens tellement bêtes. On a envie de les glorifier et de les brûler à la fois ! Les réseaux sociaux, c’est l’amour bidon, mais la haine authentique. »
Malgré cette nouvelle tare qui semble agiter la toile, être « boomer », donc être né à la fin des années 60, « L’influenceur » n’est en rien moralisateur ou manichéen. Patrick Bauwen est lui-même présent sur les réseaux, aux urgences ou en vacances (mais quand écrivez-vous vos livres, Monsieur Bauwen ?). Dans son roman, il fait la part belle aux influenceurs « utiles » comme cette influenceuse médicale Docteur Bollywood qui m’a beaucoup fait penser au compte d’un pédiatre qui rassure des parents affolés, mais aussi à tous ceux qui sont véritablement dans le partage et n’attendent rien en retour comme son personnage de Lisa (sur Instagram, allez faire une petite enquête, regardez le nombre de followers de certains comptes, puis comparez-le au nombre de comptes suivis, vous risquez d’être surpris — niveau « partage » on repassera.).
Pendant que Lisa vit une phase ascendante dans sa vie publique, elle expérimente une phase descendante dans sa vie privée. J’aime beaucoup la finesse avec laquelle Patrick Bauwen démontre quel est le prix à payer pour cette ascension qui n’a même pas été demandée ! « Là, on parlait de gens ordinaires qui se retrouvaient propulsés au rang de star du jour au lendemain, suivis par des millions de fans, adulés tels des dieux, puis ballottés, détestés, traqués, et qui replongeaient ensuite dans l’anonymat en un temps record. »
Passionnant également d’analyser ce qui est développé sur le « niveau d’empathie » à avoir, la personnalité de ceux qui réussissent, la façon dont vous générez des émotions, comment se servir de votre vie réelle pour avoir des choses à raconter, ce qu’englobe exactement le taux d’engagement, comment il augmente et quelles sont les conséquences.
« Caine lui rappela aussi les conseils habituels : publier au bon moment de la journée, c’est-à-dire entre sept heures et neuf heures du matin ou entre dix-sept et dix-neuf heures le soir, ce qui correspondait aux intervalles où les gens étaient le plus souvent disponibles, notamment parce qu’ils se trouvaient aux toilettes (“tellement glamour”, commenta Lisa) ; soigner l’aspect de ses publications en utilisant toujours les mêmes couleurs et filtres ; organiser des concours pour augmenter les vues ; et commenter les comptes de gens plus célèbres que vous, mais pas trop, pour qu’ils vous renvoient la balle et vous fassent connaître en retour. »
Au-delà de l’enquête qui n’est finalement qu’un prétexte pour moi, « L’influenceur » interroge notre société, notre façon de consommer les réseaux et notre manière de les utiliser. Il m’apparaît très clairement que telle une petite fourmi, l’auteur a amassé énormément d’informations autour de ce sujet et a construit ensuite son roman autour de cela. À des fins personnelles, je retiendrai :
« (…) la publicité vend du rêve, l’influence vend du vrai. » Mais bien sûr…
« Votre communauté est votre meilleure amie, et comme toutes les amies, elle déteste être trahie, elle ne vous le pardonnerait pas. » Et ceux qui trahissent « for no reason » on en parle ?
« De tous les facteurs d’influence, expliqua Caine, la réciprocité est le plus puissant. Cela signifie que lorsqu’on vous donne quelque chose, votre premier réflexe est de le rendre. » La vie c’est comme un miroir, si tu en envoies de la merde, tu reçois de la merde. Proverbe chinois (nan, je déconne !).
July 30, 2024
Une lecture sympa, mais je n'ai pas été aussi conquise que ce que j'aurai cru.
May 8, 2025
Il est difficile pour moi de donner mon avis sur le livre. A vrai dire, en cours de lecture, il était assez négatif. Les personnages ne m'intéressaient pas plus que cela, je trouvais qu'il n'y avait pas d'action et que l'histoire était assez ennuyeuse, sauf sur l'aspect influence.
Et j'avoue que c'est la raison principale (unique raison ?) pour laquelle j'ai eu envie de lire ce thriller vu qu'on y parle d'influence littéraire, à travers d'une bookstagrammeuse littéraire, quelqu'un comme moi qui partage ses avis sur ses lectures sur les réseaux !
Voir l'envers du décor de l'influence, c'est pas joli joli, c'est magouilles et compagnie et évidemment tout est une question d'argent. Il est aussi plus question des dérives avec les haters et du fait de ce que les gens sont capables de faire quand ils haïssent une personne juste parce qu'elle réussit sur les réseaux sociaux. Ce qui m'a chiffonné dans l'intrigue, c'est pourquoi une agence destinée à accompagner des influenceurs s'intéresserait à un compte Instagram de + 200 abonnés ? Même si cela a son importance dans l'histoire, je ne trouvais déjà pas crédible à la base que Lisa soit représentée par une agence. Et pour tout vous dire, vu les moyens mis en oeuvre par son agent pour la faire grimper dans son nombre d'abonnés, je préfère ne pas être représentée du tout !
Niveau intrigue, on suit plusieurs personnages. Les passages avec Corentin m'ont mis à chaque fois mal à l'aise, au vu des troubles psychologiques du personnage. L'auteur joue aussi sur son amitié avec un autre personnage, tout aussi inquiétant.
J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux personnages, il faut dire que quand je lis un thriller, je ne recherche pas non plus les mêmes émotions qu'avec une romance par ex. Et de fait, ma façon d'appréhender le roman n'est pas du tout la même : là, où les personnages revêt une importance capitale pour moi dans la romance, ce n'est pas du tout le cas pour les thrillers. De même, j'attache plus d'importance dans un thriller au fait que la tension monte crescendo au fil des pages. Et malheureusement, force est de constater que pour ce roman, je n'ai pas eu de pic de tension qui monte, j'ai même eu du mal à voir où l'intrigue m'emmenait... Les pages défilaient, on se rapprochait de la fin et il ne se passait toujours rien...
En fait, l'auteur a tout misé sur une fin qui est percutante et qu'il est, je pense, impossible de voir venir. Tous les éléments glanés au fil des pages prennent sens dans les 5 dernières pages du roman. Et autant, j'ai été soufflée par la capacité de l'auteur à nous retourner le cerveau en fin de récit et même si j'ai adoré cette fin, je trouve qu'il y a beaucoup de "et si" pour la rendre vraiment crédible.
Néanmoins, l'auteur a fait son job : il m'a surpris et choqué par sa fin. Si jusque là, j'envisageais un avis plus mauvais vu que j'estimais qu'il ne se passait rien dans le récit, cette seule fin a réussi à me faire voir l'histoire sous un autre jour et me dire que finalement, elle n'était pas si mal.
A vrai dire, je vais même te confier un petit secret : je trouve que la narration à la troisième personne est ici le meilleur choix fait par l'auteur car il permet justement de garder de la distance par rapport aux personnages.
EN BREF, ce n'est pas le meilleur thriller que je lirai (sans doute pas non plus par rapport à l'auteur en particulier), mais j'ai bien aimé retrouver mon univers d' "influence littéraire" au centre d'une intrigue en ayant son propre rôle à jouer et pas juste un prétexte à une histoire. Il m'a manqué de l'action et de la tension montante tout au long du récit mais force est de constater que l'auteur a bien joué son coup en nous sortant une fin magistrale.
Note : 3,5 ⭐ / 5
Et j'avoue que c'est la raison principale (unique raison ?) pour laquelle j'ai eu envie de lire ce thriller vu qu'on y parle d'influence littéraire, à travers d'une bookstagrammeuse littéraire, quelqu'un comme moi qui partage ses avis sur ses lectures sur les réseaux !
Voir l'envers du décor de l'influence, c'est pas joli joli, c'est magouilles et compagnie et évidemment tout est une question d'argent. Il est aussi plus question des dérives avec les haters et du fait de ce que les gens sont capables de faire quand ils haïssent une personne juste parce qu'elle réussit sur les réseaux sociaux. Ce qui m'a chiffonné dans l'intrigue, c'est pourquoi une agence destinée à accompagner des influenceurs s'intéresserait à un compte Instagram de + 200 abonnés ? Même si cela a son importance dans l'histoire, je ne trouvais déjà pas crédible à la base que Lisa soit représentée par une agence. Et pour tout vous dire, vu les moyens mis en oeuvre par son agent pour la faire grimper dans son nombre d'abonnés, je préfère ne pas être représentée du tout !
Niveau intrigue, on suit plusieurs personnages. Les passages avec Corentin m'ont mis à chaque fois mal à l'aise, au vu des troubles psychologiques du personnage. L'auteur joue aussi sur son amitié avec un autre personnage, tout aussi inquiétant.
J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux personnages, il faut dire que quand je lis un thriller, je ne recherche pas non plus les mêmes émotions qu'avec une romance par ex. Et de fait, ma façon d'appréhender le roman n'est pas du tout la même : là, où les personnages revêt une importance capitale pour moi dans la romance, ce n'est pas du tout le cas pour les thrillers. De même, j'attache plus d'importance dans un thriller au fait que la tension monte crescendo au fil des pages. Et malheureusement, force est de constater que pour ce roman, je n'ai pas eu de pic de tension qui monte, j'ai même eu du mal à voir où l'intrigue m'emmenait... Les pages défilaient, on se rapprochait de la fin et il ne se passait toujours rien...
En fait, l'auteur a tout misé sur une fin qui est percutante et qu'il est, je pense, impossible de voir venir. Tous les éléments glanés au fil des pages prennent sens dans les 5 dernières pages du roman. Et autant, j'ai été soufflée par la capacité de l'auteur à nous retourner le cerveau en fin de récit et même si j'ai adoré cette fin, je trouve qu'il y a beaucoup de "et si" pour la rendre vraiment crédible.
Néanmoins, l'auteur a fait son job : il m'a surpris et choqué par sa fin. Si jusque là, j'envisageais un avis plus mauvais vu que j'estimais qu'il ne se passait rien dans le récit, cette seule fin a réussi à me faire voir l'histoire sous un autre jour et me dire que finalement, elle n'était pas si mal.
A vrai dire, je vais même te confier un petit secret : je trouve que la narration à la troisième personne est ici le meilleur choix fait par l'auteur car il permet justement de garder de la distance par rapport aux personnages.
EN BREF, ce n'est pas le meilleur thriller que je lirai (sans doute pas non plus par rapport à l'auteur en particulier), mais j'ai bien aimé retrouver mon univers d' "influence littéraire" au centre d'une intrigue en ayant son propre rôle à jouer et pas juste un prétexte à une histoire. Il m'a manqué de l'action et de la tension montante tout au long du récit mais force est de constater que l'auteur a bien joué son coup en nous sortant une fin magistrale.
Note : 3,5 ⭐ / 5
March 6, 2024
Je découvre l’auteur avec ce livre et je dois dire qu’il a su très habilement surfer sur la vague des influenceurs en les plaçant au cœur de cette histoire. On y retrouve même l’aspect totalement délirant des influenceurs qui partent vivre à Dubaï, c’est assez original et pour l’instant je n’avais lu aucun thriller (même si d’après moi, on est plus sur un livre suspens, que thriller) qui était à 100% sur ce thème, c’est plutôt un bon point.
L’auteur nous met directement le grappin dessus avec un meurtre assez flou sans aucune explication dans le premier chapitre. C’est bien joué car forcément, on a envie de savoir la suite…
Les premiers chapitres se lisent plutôt bien mais pour être franc, je me suis fait chier assez vite.
L’histoire est bien, rien à redire, c’est bien construit, ça tient la route. Mais c’est long. Une fois la curiosité des premiers chapitres passée, j’ai attendu un bon moment avant de retrouver un intérêt et de l’action.
On retrouve quelques rebondissements dans ce livre mais dans l’ensemble il n’y a pas de grosses surprises.
J’ai trouvé certains passages ou certains dialogues un peu… cliché. Digne d’un “Taken” avec Liam Nielson, un exemple avec cet extrait : “ils vont t’enlever, tu me peut rien y faire”?
Au niveau des personnages en revanche c’est un peu mieux. Ils sont vraiment très bien travaillés. On s’attache rapidement à cette “Lisa”, le personnage principal et tous les autres ont un intérêt et apportent vraiment quelque chose au livre.
Il n’y a pas vraiment de personnage qui ne sont là juste pour gratter quelques chapitres en plus dans l’histoire, c’est vraiment un bon point et je pense que c’est vraiment le travail sur les personnage qui tire ce livre vers le haut.
Pour finir, je dirais que c’était dans l’ensemble une bonne lecture. Les faiblesses de l’histoire sont en quelque sorte compensées par les personnages très intéressants. L’originalité de ce livre est bien évidemment le fait qu’il porte sur un sujet bien connu de tout bookstagrammeur et je pense que beaucoup trouveront dans ce livre quelques points communs avec l’aventure bookstagram.
https://thrilleraddict.com/2024/03/05...
L’auteur nous met directement le grappin dessus avec un meurtre assez flou sans aucune explication dans le premier chapitre. C’est bien joué car forcément, on a envie de savoir la suite…
Les premiers chapitres se lisent plutôt bien mais pour être franc, je me suis fait chier assez vite.
L’histoire est bien, rien à redire, c’est bien construit, ça tient la route. Mais c’est long. Une fois la curiosité des premiers chapitres passée, j’ai attendu un bon moment avant de retrouver un intérêt et de l’action.
On retrouve quelques rebondissements dans ce livre mais dans l’ensemble il n’y a pas de grosses surprises.
J’ai trouvé certains passages ou certains dialogues un peu… cliché. Digne d’un “Taken” avec Liam Nielson, un exemple avec cet extrait : “ils vont t’enlever, tu me peut rien y faire”?
Au niveau des personnages en revanche c’est un peu mieux. Ils sont vraiment très bien travaillés. On s’attache rapidement à cette “Lisa”, le personnage principal et tous les autres ont un intérêt et apportent vraiment quelque chose au livre.
Il n’y a pas vraiment de personnage qui ne sont là juste pour gratter quelques chapitres en plus dans l’histoire, c’est vraiment un bon point et je pense que c’est vraiment le travail sur les personnage qui tire ce livre vers le haut.
Pour finir, je dirais que c’était dans l’ensemble une bonne lecture. Les faiblesses de l’histoire sont en quelque sorte compensées par les personnages très intéressants. L’originalité de ce livre est bien évidemment le fait qu’il porte sur un sujet bien connu de tout bookstagrammeur et je pense que beaucoup trouveront dans ce livre quelques points communs avec l’aventure bookstagram.
https://thrilleraddict.com/2024/03/05...
July 21, 2024
J'ai remarqué que le monde du thriller s'attaquait aux réseaux sociaux ces temps-ci, et c'est le cas de ce roman. Dès le début, j'ai cru comprendre que c'était (en quelque sorte) une suite à L'Œil de Caine (que je me suis acheté depuis pour vérifier), en tout cas, un personnage s'appelle Caine et son métier est relatif à ce qu'il se passait dans L'Œil de Caine ; j'espère donc ne pas avoir loupé trop de références.
C'est un thriller qui ne ressemble pas trop à un thriller, du moins au début. Le ton est bien plus léger que les autres romans de l'auteur que j'ai lus et il y a nettement moins d'action. Mais attention, tout s'emballe grandement quand on arrive vers la fin.
Il y est question de Lisa, une assistante médicale qui est aussi bookstagrameuse. Un jour, une femme en noir, Hazel Caine, lui propose de l'aider à avoir plus de followers et de devenir célèbre. Mais Lisa trouve ça louche et refuse. Hazel Caine cependant, ne lâche pas l'affaire. Serait-ce dû à sa ressemblance à une influenceuse morte quelques années plus tôt, apparemment assassinée ? Parallèlement, on suit Corentin, un jeune homme qui a clairement des problèmes psychologiques, surtout vis à vis des influenceuses... Bizarrement, les méfaits, voire les meurtres, semblent joncher son parcours...
Si au début je n'avais effectivement pas l'impression de vraiment lire un thriller (même si on sait, on sent que quelque chose de louche se trame, surtout avec Corentin et son « acolyte » Herman), les twists finaux nous assurent bel et bien que c'en est un et non un roman sur le monde impitoyable, faux, et éphémère des réseaux sociaux et des influenceur·euse·s. Et si vous avez lu L'Œil de Caine et celui-ci, s'il vous plaît, dites-moi s'il y a bel et bien un lien entre les deux.
Et même si ce roman parle des réseaux sociaux, Internet, des nouvelles technologies, etc. on y trouve aussi beaucoup de références littéraires, ce qui est bien agréable.
C'est un thriller qui ne ressemble pas trop à un thriller, du moins au début. Le ton est bien plus léger que les autres romans de l'auteur que j'ai lus et il y a nettement moins d'action. Mais attention, tout s'emballe grandement quand on arrive vers la fin.
Il y est question de Lisa, une assistante médicale qui est aussi bookstagrameuse. Un jour, une femme en noir, Hazel Caine, lui propose de l'aider à avoir plus de followers et de devenir célèbre. Mais Lisa trouve ça louche et refuse. Hazel Caine cependant, ne lâche pas l'affaire. Serait-ce dû à sa ressemblance à une influenceuse morte quelques années plus tôt, apparemment assassinée ? Parallèlement, on suit Corentin, un jeune homme qui a clairement des problèmes psychologiques, surtout vis à vis des influenceuses... Bizarrement, les méfaits, voire les meurtres, semblent joncher son parcours...
Si au début je n'avais effectivement pas l'impression de vraiment lire un thriller (même si on sait, on sent que quelque chose de louche se trame, surtout avec Corentin et son « acolyte » Herman), les twists finaux nous assurent bel et bien que c'en est un et non un roman sur le monde impitoyable, faux, et éphémère des réseaux sociaux et des influenceur·euse·s. Et si vous avez lu L'Œil de Caine et celui-ci, s'il vous plaît, dites-moi s'il y a bel et bien un lien entre les deux.
Et même si ce roman parle des réseaux sociaux, Internet, des nouvelles technologies, etc. on y trouve aussi beaucoup de références littéraires, ce qui est bien agréable.
April 22, 2024
Cette lecture est agréable, un bon thriller avec de bons éléments qui apportent une certaine fraîcheur, il faut le souligner. Néanmoins, le bémol fut pour moi la plume de l'auteur que je découvre au travers de ce roman et le charmé n'a pas opéré de ce point de vue.
J'ai bien aimé que l'influence ici s'exprime à travers l'univers Bookstagram, on suit une jeune femme qui partage ses chroniques sur Instagram. Évidemment, j'ai tout de suite adhéré à cela et je trouve que l'auteur a pris soin de développer cette branche de l'influence littéraire. J'ai aimé cette figure de cette femme qui gère les influenceurs qui pour une raison étrange, me fait un peu penser à Miranda Priestly du Diable s'habille en Prada (en-tout-cas du film, interprété par Meryl Streep). Le thriller tourne donc autour de cette thématique de l'influence, de ces gens qui ont tendance à gagner en abonnés, en audience, en popularité (et d'une façon monétaire) ce qui attire des jalousies.
Je ne vais pas tout développer de l'intrigue, car tout thriller doit rester mystérieux pour que la magie opère.
Même si évidemment, j'ai été touché par ce thème de l'influence littéraire, je ne me suis pas attachée aux personnages. Je trouve que les relations ne sont pas si naturelles, sont un peu stéréotypées et cela m'a gêné quand on voit le soin apporté par l'auteur pour expliquer le monde de l'influence et ses rouages. Dommage donc.
En plus de cela, j'ai trouvé la plume de l'auteur certes très facile à lire, mais il y a trop souvent de longueurs inutiles à mon goût et le manque de réalité pour moi, que l'action ne soit pas si bien rythmée m'a gêné.
J'ai fini ce roman, car le thème de base me parlait. S' il en avait été autrement, je ne pense pas que je serais allée au bout de ma lecture avec une grande envie pour être sincère… Un thriller un peu trop sombre, un peu trop long, ce qui est dommage.
J'ai bien aimé que l'influence ici s'exprime à travers l'univers Bookstagram, on suit une jeune femme qui partage ses chroniques sur Instagram. Évidemment, j'ai tout de suite adhéré à cela et je trouve que l'auteur a pris soin de développer cette branche de l'influence littéraire. J'ai aimé cette figure de cette femme qui gère les influenceurs qui pour une raison étrange, me fait un peu penser à Miranda Priestly du Diable s'habille en Prada (en-tout-cas du film, interprété par Meryl Streep). Le thriller tourne donc autour de cette thématique de l'influence, de ces gens qui ont tendance à gagner en abonnés, en audience, en popularité (et d'une façon monétaire) ce qui attire des jalousies.
Je ne vais pas tout développer de l'intrigue, car tout thriller doit rester mystérieux pour que la magie opère.
Même si évidemment, j'ai été touché par ce thème de l'influence littéraire, je ne me suis pas attachée aux personnages. Je trouve que les relations ne sont pas si naturelles, sont un peu stéréotypées et cela m'a gêné quand on voit le soin apporté par l'auteur pour expliquer le monde de l'influence et ses rouages. Dommage donc.
En plus de cela, j'ai trouvé la plume de l'auteur certes très facile à lire, mais il y a trop souvent de longueurs inutiles à mon goût et le manque de réalité pour moi, que l'action ne soit pas si bien rythmée m'a gêné.
J'ai fini ce roman, car le thème de base me parlait. S' il en avait été autrement, je ne pense pas que je serais allée au bout de ma lecture avec une grande envie pour être sincère… Un thriller un peu trop sombre, un peu trop long, ce qui est dommage.
October 29, 2025
Un roman intéressant, avec un univers qui me plaît ! C’était vraiment plaisant de suivre une créatrice de contenu littéraire dans un roman. La protagoniste, Lisa, est intrigante ! J’aurais aimé qu’il y ait une enquête un peu plus poussée, avec plus d’informations sur le présumé meurtre de Vicky, je trouve que ça a un peu manqué. Le côté thriller était différent de ce que j’ai l’habitude de lire, et le plot twist de fin m’a plu (je l’attendais un peu, ahah) !
L’écriture de l’auteur est très belle et fluide. J’ai malheureusement mis un mois à le lire… mais ce n’est pas à cause du roman, plutôt à cause de mon rythme de vie et d’une période un peu difficile. Heureusement, ça va mieux, et j’ai réussi à dévorer les 100 dernières pages en une soirée !
Une lecture sympa et agréable, même si, j’avoue, je m’attendais peut-être à un peu plus.
Et vous, qu’en avez-vous pensé ?
L’écriture de l’auteur est très belle et fluide. J’ai malheureusement mis un mois à le lire… mais ce n’est pas à cause du roman, plutôt à cause de mon rythme de vie et d’une période un peu difficile. Heureusement, ça va mieux, et j’ai réussi à dévorer les 100 dernières pages en une soirée !
Une lecture sympa et agréable, même si, j’avoue, je m’attendais peut-être à un peu plus.
Et vous, qu’en avez-vous pensé ?
March 5, 2024
3,5/5 🌟
Un thriller au cœur des réseaux sociaux, et de leurs impacts.
Ce n’est pas de la grande littérature mais le roman reste globalement prenant et se lit vite.
Aucun temps mort et une conclusion renversante que je n’avais absolument pas vu venir.
Plutôt cool mais sans plus, en gros.
Un thriller au cœur des réseaux sociaux, et de leurs impacts.
Ce n’est pas de la grande littérature mais le roman reste globalement prenant et se lit vite.
Aucun temps mort et une conclusion renversante que je n’avais absolument pas vu venir.
Plutôt cool mais sans plus, en gros.
March 6, 2024
Lecture difficile mais finalement abandonnée à 52%
Personnages aussi superficiels et peu attachants que ceux que l'on est censé critiquer.
L'évènement majeur est annoncé dès la première page. Un gros spoil qui tue le suspense.
Pourtant l'idée d'origine était prometteuse
Personnages aussi superficiels et peu attachants que ceux que l'on est censé critiquer.
L'évènement majeur est annoncé dès la première page. Un gros spoil qui tue le suspense.
Pourtant l'idée d'origine était prometteuse
April 7, 2024
Toute cette histoire est plutôt improbable et alambiquée mais c'est étonnamment efficace. L'écriture est fluide et on a envie de connaître la suite. Ce qui m a attirée ai départ est l'originalité du sujet : le milieu des influenceurs donc malgré tout un bon moment de lecture.
July 2, 2024
J'adore ce qu'a fait Patrick Bauwen précédemment et c'est la première fois sue je ne suis pas convaincue, j'en suis là première attristée. Ça a cruellement manqué de réalisme pour moi, je n'y ai pas cru, et j'ai eut du mal à m'attacher aux personnages.
October 13, 2024
J’ai passé un bon moment, ça se lit vite et c’est fluide, même si l’histoire est un peu irréaliste.
Au début, j’ai trouvé que ça manquait de rythme, mais ça finit par s’installer.
***
J’ai vraiment apprécié l’intégration de la littérature avec le compte de Lisa.
Au début, j’ai trouvé que ça manquait de rythme, mais ça finit par s’installer.
***
J’ai vraiment apprécié l’intégration de la littérature avec le compte de Lisa.
February 16, 2025
Bonne idée de traiter des influenceurs, comme à son habitude Patrick Bauwen nous réserve des twist dans la dernière partie du roman. Dommage qu'il y ait pas plus de meurtres mais le livre reste agréable à suivre.
June 19, 2024
2.5 🌟
September 5, 2024
J'ai beaucoup aimé la dynamique des personnages. Par contre je ne suis pas forcément convaincu par le dernier plot twist, qui je trouve casse l'harmonie du récit
September 1, 2024
Patrick Bauwen fait partie de ses auteurs que je qualifierais d'amateur. Non pas qu'il n'a rien de professionnel dans son écriture, mais parce qu'il fait partie de ses auteurs qui ont un autre métier, urgentiste de son état. Aussi n'a-t-il pas la régularité métronomique des auteurs professionnels, faisant que parfois il faille attendre plusieurs années entre deux productions. Mais la contrepartie avec Patrick Bauwen, c'est que l'on est très rarement déçu.
Cet auteur va dans un univers qui n'a guère été exploré par ces confrères : celui des influenceurs et des réseaux sociaux. J'ai particulièrement apprécié ce dépaysement car il n'est pas fait pour coller à une certaine mode mais surtout parce qu'il aborde son côté obscure, sa machinerie et le business interne en plus de celui véhiculé par les posts de ces dits influenceurs.
Qui plus est, une véritable histoire policière vient se greffer, pleine d'actions et de rebondissement, mêlant des caractères forts mais un peu caricaturaux. On pourrait seulement reprocher à l'auteur de ne pas laisser suffisamment d'alternatives au lecteur pour ne pas subodorer le twist final.
Un très bon moment de lecture.
https://quoilire.wordpress.com/2024/0...
Cet auteur va dans un univers qui n'a guère été exploré par ces confrères : celui des influenceurs et des réseaux sociaux. J'ai particulièrement apprécié ce dépaysement car il n'est pas fait pour coller à une certaine mode mais surtout parce qu'il aborde son côté obscure, sa machinerie et le business interne en plus de celui véhiculé par les posts de ces dits influenceurs.
Qui plus est, une véritable histoire policière vient se greffer, pleine d'actions et de rebondissement, mêlant des caractères forts mais un peu caricaturaux. On pourrait seulement reprocher à l'auteur de ne pas laisser suffisamment d'alternatives au lecteur pour ne pas subodorer le twist final.
Un très bon moment de lecture.
https://quoilire.wordpress.com/2024/0...
January 11, 2025
Ce thriller a été une telle déception que je peine presque à m’en remettre… Je ne saurais même pas expliquer et exprimer ce que j’ai ressenti en le lisant, tant j’avais l’impression que c’était sans queue ni tête.
C’était juste les on dit que l’on entend sur les influenceurs de télé réalité réécrit dans une fiction mot pour mot, un ramassis de drama collé ensemble pour en créer une histoire avec un meurtre à la fin pour faire bien quand même. Je ne vois vraiment pas pourquoi l’auteur a pu écrire un pareil livre parce que c’était sincèrement vide de sens. Le plot twist était d’ailleurs peu intéressant lui aussi, ce qui m’a franchement déçue.
Néanmoins, le seul point positif a été le personnage principal de l’histoire qui avait au moins le don d’être intéressante et agréable.
Je ne recommande clairement pas ce livre!
C’était juste les on dit que l’on entend sur les influenceurs de télé réalité réécrit dans une fiction mot pour mot, un ramassis de drama collé ensemble pour en créer une histoire avec un meurtre à la fin pour faire bien quand même. Je ne vois vraiment pas pourquoi l’auteur a pu écrire un pareil livre parce que c’était sincèrement vide de sens. Le plot twist était d’ailleurs peu intéressant lui aussi, ce qui m’a franchement déçue.
Néanmoins, le seul point positif a été le personnage principal de l’histoire qui avait au moins le don d’être intéressante et agréable.
Je ne recommande clairement pas ce livre!
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