Alors qu’il donne un cours, Jacques Gaubert s’effondre et décède. Empoisonnement aux diatomées, décrète le médecin légiste. Ironie du sort, c’est précisément l’objet des recherches de cet expert en géologie. Collègues, étudiants, concurrents, tous les chercheurs du labo sont suspects. Mais les victimes s’enchaînent et le meurtrier semble toujours avoir deux coups d’avance sur la brigade criminelle du 36.
Martial Caroff est universitaire, spécialiste du volcanisme ancien. Il est l’auteur de nombreux articles et livres documentaires de géologie. Il a également écrit des romans pour les adultes et la jeunesse dans des genres aussi variés que le policier, la science-fiction et le récit historique, ses périodes favorites étant la Préhistoire et l'Antiquité.
J'ai bien aimé mais sans plus. J'ai bien conscience que ça ne peut pas plaire à tout le monde mais je trouve ça dommage qu'il ait fallu 200 pages pour me donner vraiment envie de tourner les pages sans voir le temps passer. On connaît les livres policiers et l'ultime présentation de l'équipe mais là c'était vraiment très cliché on voit toujours les mêmes choses puis tous les trucs sur "le breton" c'était vraiment lourd pitié quelques fois OK mais là c'était tout le long du livre.
Plongée dans le monde de chercheurs dans un laboratoire universitaire où les egos se livrent des batailles à mort. Pas facile pour nos inspecteurs de décortiquer les fils de ces cerveaux super intelligents !
Long pour rien et j’ai pas aimé l’écriture…. L’intrigue est même pas intrigante je pense on peux mieux faire. Je pense que demain j’ai tout oublié à cause de l’ennuie la
un peu long, le rythme s'essoufle mi bouquin peut être que c'est lié à quelques divagations pas nécessaires (relation amoureuse de Kestner par ex); le savoir scientifique rajoutait un vrai truc cependant ! Par contre les remarques un peu misogynes &co m'ont sorties regulierement du bouquin (pauline josse et sa traine impalpable de lavande? la donzelle? "un bureau de fille déguisé en bureau de mec: pas un bibelot, pas un tableau, pas une nuance" les fameux bureaux d'HOMMES ?¿? sans parler du paragraphe sur les personnes avec des troubles psychiques, qu'on désigne également sous le terme "cafetière fêlée" le personnage qui veut "virer lesbienne"...) et participent à baisser la note (j'aurais sûrement mis 3 étoiles sans celà) je pense aussi que cela a joué dans la connection persos-lecteur qui était je trouve faible voire absente ce qui a forcément un impact sur la note 💭
J’ai bien aimé l’idée d’un policier dans le monde académique, venant de là il y a des histoires à raconter. Mais j’ai pas compris pourquoi l’auteur s’est tellement compliqué la vie avec les noms de ses policiers. Au lieu de choisir soit le prénom, soit le nom de famille, soit le surnom, il mélange constamment les trois, au point où je ne savais plus qui était qui. C’est vraiment dommage, du coup on s’attache pas aux personnages. En plus, j’ai l’impression qu’on est passé de l’équipe de Varenne à l’équipe de Kerster sans vraiment aucune raison d’avoir deux personnages chef d’enquête. Enfin bref, bonne idée, pas si bonne exécution.
J'ai trouvé l'intrigue plutôt bonne mais j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. Vers la page 80 j'ai trouvé le rythme plus agréable et plus soutenu mais c'est vite retombé pour moi. Peut être est ce tout simplement une plume qui ne me correspond pas
J'aime beaucoup des enquêtes de police comme ceci avec des tours de droite et gauche. "C'est lui, l'assassin ! Non, ça ne peux pas. Donc c'est lui alors. Mais non. ..." Ce seul bémol c'est que l'auteur utilise un langage populaire, limite l'argot donc je ne comprenais pas des fois
Entres les multiples membres de l'équipe du 36 et les différents membres de l'institut, j'ai eu du mal à bien placer chaque personnages. L'enquête était sympa mais je n'ai pas été happé par l'histoire non plus. Par contre, le coupable n'était pas le suspect que j'avais en tête.
No és espectacular. M'esperava més d'un premi Quai des Orfrèvres. Passa bé, però cau en força tòpics del gènere. L'he gaudit, però no tnt com em pensava.
Bon roman. Début assez difficile : difficile de rentrer dans l’histoire, l’univers scientifique/recherche semble compliqué, assez long. L’histoire monte ensuite crescendo.
Gros travail sur le style mais qui ne me convient pas. Celui-ci rend difficile l'immersion dans l'histoire car il prend le dessus. Dommage car le style est recherché.
Désolée, mais j'ai eu beaucoup de mal avec ce livre. Je n'ai pas vraiment apprécié l'écriture, ni l'intrigue. J'aurais au moins appris des choses sur les diatomites