La métamorphoseFranz Kafka Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
La métamorphose (Die Verwandlung) est une nouvelle allégorique publiée en 1915. Il s'agit d'une de ses œuvres les plus célèbres avec Le Procès. On suit l'histoire de Gregor Samsa, un vendeur qui se réveille un matin transformé en un « monstrueux insecte ». Ce récit a souvent été interprété comme un conte sexuel symbolique. C'est pourquoi il a été fréquemment associé à l'existantialisme par les critiques. Un matin, Gregor Samsa, voyageur de commerce, se lève pour aller au travail mais se rend vite compte qu'un changement est intervenu dans son corps : durant la nuit il s'est métamorphosé en « un monstrueux insecte », une sorte de cafard. Ne comprenant pas ce qu'il lui arrive, il commence les activités d'une journée normale. Mais il ne peut pas : il est plus lent et se fatigue beaucoup. Plus tard, le fondé de pouvoir de la société, arrive pour s'enquérir de la raison du retard de Gregor au travail. Après de longs et pénibles efforts, Gregor réussit à ouvrir la porte et à passer la tête dans l'entrebâillement. Source : étamorphose
Prague-born writer Franz Kafka wrote in German, and his stories, such as "The Metamorphosis" (1916), and posthumously published novels, including The Trial (1925), concern troubled individuals in a nightmarishly impersonal world.
Jewish middle-class family of this major fiction writer of the 20th century spoke German. People consider his unique body of much incomplete writing, mainly published posthumously, among the most influential in European literature.
His stories include "The Metamorphosis" (1912) and "In the Penal Colony" (1914), whereas his posthumous novels include The Trial (1925), The Castle (1926) and Amerika (1927).
Despite first language, Kafka also spoke fluent Czech. Later, Kafka acquired some knowledge of the French language and culture from Flaubert, one of his favorite authors.
Kafka first studied chemistry at the Charles-Ferdinand University of Prague but after two weeks switched to law. This study offered a range of career possibilities, which pleased his father, and required a longer course of study that gave Kafka time to take classes in German studies and art history. At the university, he joined a student club, named Lese- und Redehalle der Deutschen Studenten, which organized literary events, readings, and other activities. In the end of his first year of studies, he met Max Brod, a close friend of his throughout his life, together with the journalist Felix Weltsch, who also studied law. Kafka obtained the degree of doctor of law on 18 June 1906 and performed an obligatory year of unpaid service as law clerk for the civil and criminal courts.
Writing of Kafka attracted little attention before his death. During his lifetime, he published only a few short stories and never finished any of his novels except the very short "The Metamorphosis." Kafka wrote to Max Brod, his friend and literary executor: "Dearest Max, my last request: Everything I leave behind me ... in the way of diaries, manuscripts, letters (my own and others'), sketches, and so on, [is] to be burned unread." Brod told Kafka that he intended not to honor these wishes, but Kafka, so knowing, nevertheless consequently gave these directions specifically to Brod, who, so reasoning, overrode these wishes. Brod in fact oversaw the publication of most of work of Kafka in his possession; these works quickly began to attract attention and high critical regard.
Max Brod encountered significant difficulty in compiling notebooks of Kafka into any chronological order as Kafka started writing in the middle of notebooks, from the last towards the first, et cetera.
Kafka wrote all his published works in German except several letters in Czech to Milena Jesenská.
« Gregor, malgré son triste et répugnant aspect, n'en demeure pas moins un membre de la famille, qu'on ne pouvait traiter en ennemi ; le devoir familial exigeait de ravaler sa répulsion et de le supporter ; il suffisait qu'on le supporte. »
Un peu déçu en sah moi je m’attendais à une singerie de ouf mais bon c’est quand même pas mal. Juste un peu long mais bon on a capté kafka il chialait tout les soirs
J'ai passé beaucoup trop de temps dans le flou vis à vis de cette œuvre, tout en elle m'a induit en erreur et c'est seulement maintenant que j'ai achevé cette lecture que je m'en rends compte.
Premièrement on m'a vendu et je ne saurais mentir sur le booktok et via le BiagiBookClub un classique qui conte l'histoire d'un homme qui se métamorphose en insecte et qui nous retranscrit sa vie, mais première chose par laquelle j'ai été induit en erreur, l'action du livre n'avance pas réellement, car il n'y a pas de réelle action à vrai dire, le livre se contente de nous exposer la psyché humaine, il nous propose une plongée dans le comportement humain, La Métamorphose n'es pas une histoire, c'est une analyse et c'est la première chose qui m'a déçu.
Le livre est honnêtement très court, mais encore une fois la est tout le piège, l'histoire est divisée en seulement 3 chapitres nous forçant en quelques sorte à compléter l'histoire en 3 traite seulement et qui plus est comme j'ai pu le préciser plus haut, il n'y a pas de réel action, pas d'avancée dans l'histoire, pas de péripéties mais que des longues descriptions ce qui rend la lecture très très ennuyeuse selon moi.
Malgré tout et malgré cette note que j'ai pu mettre il est indéniable qu'il s'agit d'un classique, le style de Kafka est très singulier et bien que mes attentes n'ait pas été satisfaites j'ai hâte de plonger plus profond encore dans son œuvre pour en découvrir plus notamment dans lettre au père.
Effectivement la véritable métamorphose dans le livre n'es pas celle de Grégor bien que ce soit celle qui soit la plus facilement perceptible mais bien celle de la famille Samsa et bien que celle des parents m'ait laissé indifférent celle de la sœur est effectivement très notable et on sent réellement un changement de comportement, d'abord la plus attentionnée elle devient progressivement celle qui ne voit en Grégor plus qu'une bête et non plus un membre de la famille, il aurait fallu selon moi soit plus développer la relation entre Grégor et ses parents ou explorer d'avantage les pensées des parents au cours du récit.
Malgré tout très belle histoire, mérite son statut de classique.
J’ai beaucoup aimée je saurais pas expliquer. C’est hyper triste pour Gregor vraiment il m’a fait de la peine. Il a travaillé si dur pour sa famille, il s’est sacrifié pour qu’ils puissent convenablement mais le jour où il n’a plus été capable de le faire il a été rejeté de par son apparence mais aussi par son inutilité. La métaphore de l’insecte qui représente juste la dépression ( ???? ) enfin son incapacité a servir pour les autres et la en l’occurence sa famille est déchirante. Il a été abandonné, négligé et laisser mourir par des personnes qui étaient censés l’aimer ( surtout avec la scène de la pomme qui a la fin on sait est toujours sur son dos en train de pourrir au milieu de la poussière accumulé dans le débarras qui lui sert de chambre ). Il est devenu un poids pour sa famille juste parce qu’il ne servait plus sa fonction de sauveur au sein de celle ci. Un si petit ouvrage avec une aussi grande morale
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Ce livre m’a surprise énormément par son absurdité. Il démarre en effet juste après la métamorphose, ici physique, mais le protagoniste ne semble guère s’en soucier. Ce qui le préoccupe davantage c’est la vision que les autres, et particulièrement sa famille, ont de lui, à quel point elle change et l’impacte. Ce que j’ai trouvé très intéressant également, c’est de voir que la frontière entre le bien et le mal est très floue. La métamorphose semble être le résultat d’un long processus psychologique, où le personnage principal, Gregor, ne semble plus en accord avec sa famille, et ne semble plus supporter le poids de leurs attentes. Mais la fin du livre nous apprend qu’il en était de même pour la famille envers Gregor, puisque finalement ils s’épanouissent. De fait, l’opinion et les sentiments du lecteur envers les différents protagonistes changent au cours du récit.