What do you think?
Rate this book
La gosse
« Tu verras avec une fille, c’est plus facile. » C’est avec ces mots qu’on a voulu me rassurer, il y a 18 ans, quand j’ai annoncé le sexe de mon bébé à venir. Ça ne m’a ni surprise ni dérangée. Je me sentais davantage capable avec un enfant de mon espèce et n’en ai pas saisi les conséquences. Une fille, c’est « plus facile », mais facile à quoi, pour qui, et pourquoi ? Je pensais, les toutes premières années, qu’il n’y avait rien de plus dur qu’être privée de sommeil et de temps pour moi. C’est faux. Tenir éloignée une Gosse qui devient une femme de tous les désastres liés à son genre est bien plus éprouvant. Même – surtout ? - si l’on se targue d’être féministe et d’avoir pour la nouvelle génération de grands desseins réparateurs. La Gosse, ma fille, a grandi et creusé l’écart qui nous sépare. Elle s’élance, je me tasse. Elle veut arpenter la ville et le monde, je ne cours même plus pour attraper le bus. Elle pleure devant Sex Education, sur Netflix, moi pendant les pubs pour les conventions obsèques. La Gosse est de moins en moins gosse. Ni facile, ni difficile (même si elle est objectivement un peu chiante, parfois). Au moins, j’ai retrouvé le sommeil, sauf quand elle sort le soir. N.D. Comment être nostalgique de l’enfance de son enfant sans la figer ? Comment la prémunir de la violence des hommes sans la cloitrer ? Comment lui conter ses romances calamiteuses sans la décourager d’oser l’amour ? Comment la regarder se faire belle quand on vient tout juste de faire le choix de renoncer, avec soulagement et les cheveux sales, à se rendre désirable ? Nadia Daam passe au crible épreuves, questions, doutes et moments tendres. La chronique espiègle d’une famille d’aujourd’hui, ou l’odyssée drôle et douce d’une mère tentant de comprendre cette étrange personne : sa fille adolescente.
- GenresNonfictionFeminism
176 pages, Paperback
Published March 27, 2024
5 people are currently reading
442 people want to read
Ratings & Reviews
Friends & Following
Create a free account to discover what your friends think of this book!
Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 41 reviews
April 5, 2024
Mon intuition était bonne, ce récit était fait pour moi. Nadia Daam écrit sur sa fille ado, le vertige du temps qui passe, de ce qu'on croyait être et ce qu'on devient - spoiler : une daronne.
"La gosse" c'est sa fille et c'est elle aussi, indissociables, forcément. Voilà le grand malentendu que les enfants préfèrent ne pas soupçonner, que ce livre creuse doucement, comme la paume de la main dans du sable bien lisse.
Adopter l'angle de la mère qui raconte sa fille et se raconte, c'est l'exercice que j'ai mené sous une tout autre forme dans Nos jours suspendus. Nadia et sa fille existent bel et bien, les personnages de mon roman non, et pourtant pendant toute ma lecture nous étions six : l'autrice et sa fille, Julia et la sienne, et moi et la mienne.
Malgré la gravité qui saille au coin des pages, comme à l'ouverture du texte, le ton est irrésistible. On croit voir les mines déconfites de cette mère qui maintient leur relation sur un fil, qui se demande à chaque âge si c'est là que le fameux tout-se-joue-maintenant qu'on lui promet a lieu. Sans cesse elle l'a repoussé, et voilà que la gosse est presque une femme, alors c'est forcément maintenant, non ? L'occasion de si bien dire comme nos enfants nous échappent vite, nous laissent interloquées, comme le péril est grand de ne pas avoir été la mère qu'on aurait voulu devenir, et encore plus grand celui de ne pas savoir ce qu'aurait été cette mère-là !
Arrangements constants avec ses principes, au risque que les messages se brouillent, peur de trop plaire et peur de déplaire, peur de trop rassurer et peur d'effrayer, peur de trop complimenter, ou mal...et de ne pas avoir complimenté assez. Peur d'être devenue la mère limite-trop-réac de sa fille féministe.
L'admiration de Nadia Daam pour sa fille est partout, qui fait de La gosse un livre d'amour.
L'autrice raconte qu'aller chez ses copines, enfant, la faisait rentrer dans d'autres vies que la sienne — des familles avec leurs mœurs et leurs habitudes intrigantes. Avec ce livre elle entrouvre une porte qui mène directement à la sienne. Et comme on l'aime, cette famille !
"La gosse" c'est sa fille et c'est elle aussi, indissociables, forcément. Voilà le grand malentendu que les enfants préfèrent ne pas soupçonner, que ce livre creuse doucement, comme la paume de la main dans du sable bien lisse.
Adopter l'angle de la mère qui raconte sa fille et se raconte, c'est l'exercice que j'ai mené sous une tout autre forme dans Nos jours suspendus. Nadia et sa fille existent bel et bien, les personnages de mon roman non, et pourtant pendant toute ma lecture nous étions six : l'autrice et sa fille, Julia et la sienne, et moi et la mienne.
Malgré la gravité qui saille au coin des pages, comme à l'ouverture du texte, le ton est irrésistible. On croit voir les mines déconfites de cette mère qui maintient leur relation sur un fil, qui se demande à chaque âge si c'est là que le fameux tout-se-joue-maintenant qu'on lui promet a lieu. Sans cesse elle l'a repoussé, et voilà que la gosse est presque une femme, alors c'est forcément maintenant, non ? L'occasion de si bien dire comme nos enfants nous échappent vite, nous laissent interloquées, comme le péril est grand de ne pas avoir été la mère qu'on aurait voulu devenir, et encore plus grand celui de ne pas savoir ce qu'aurait été cette mère-là !
Arrangements constants avec ses principes, au risque que les messages se brouillent, peur de trop plaire et peur de déplaire, peur de trop rassurer et peur d'effrayer, peur de trop complimenter, ou mal...et de ne pas avoir complimenté assez. Peur d'être devenue la mère limite-trop-réac de sa fille féministe.
L'admiration de Nadia Daam pour sa fille est partout, qui fait de La gosse un livre d'amour.
L'autrice raconte qu'aller chez ses copines, enfant, la faisait rentrer dans d'autres vies que la sienne — des familles avec leurs mœurs et leurs habitudes intrigantes. Avec ce livre elle entrouvre une porte qui mène directement à la sienne. Et comme on l'aime, cette famille !
Read
May 20, 2024J’avais découvert Nadia Daam sur le plateau de la Grande Librairie. Et, j’avais été subjuguée par son humour fin, sa gentille dérision et son ironie. Elle assumait ses contradictions et se livrait avec sincérité, à l’aise avec la caméra.
Le récit s’ouvre sur les deux semaines où sa fille de 11 ans et elle ne quittent plus la cabane salon installée après le décès du père. Pas une larme de la part de La gosse. Mais une sortie bienvenue avec la baby-sitter sonnera le glas de cette période.
À partir de l’éducation de sa fille, des difficultés qu’elle a pu rencontrer, Nadia Daam explique sa façon de l’élever, elle, la féminise attachée à l’égalité. Néanmoins, le fossé est grand entre le discours et la réalité. Et Nadia Daam le sait, elle reconnaît les contradictions, les faux-semblants et les mensonges. Et, ils sont nombreux.
Ces petits écarts sont le fond de La gosse. Oh, que j’aime la fée bûcheronne, la femme qui revendique le body positive mais qui se pèse tout le temps, ou du Baptiste qui vole la semoule. Cette narration d’une femme célibataire élevant seule sa fille permettra à de nombreuses femmes d’y retrouver leur quotidien.
« Pour ce qui est d’habiter nos corps, nous sommes des menteuses de mères en filles. » Cette citation pourrait être le refrain publicitaire de ce récit de Nadia Daam. C’est drôle, enlevé et puis ça fait vraiment du bien de découvrir que nous ne sommes pas les seules à jouer les Wonder Woman, sans avoir de talent !
Chronique illustrée ici
https://vagabondageautourdesoi.com/20...
Le récit s’ouvre sur les deux semaines où sa fille de 11 ans et elle ne quittent plus la cabane salon installée après le décès du père. Pas une larme de la part de La gosse. Mais une sortie bienvenue avec la baby-sitter sonnera le glas de cette période.
À partir de l’éducation de sa fille, des difficultés qu’elle a pu rencontrer, Nadia Daam explique sa façon de l’élever, elle, la féminise attachée à l’égalité. Néanmoins, le fossé est grand entre le discours et la réalité. Et Nadia Daam le sait, elle reconnaît les contradictions, les faux-semblants et les mensonges. Et, ils sont nombreux.
Ces petits écarts sont le fond de La gosse. Oh, que j’aime la fée bûcheronne, la femme qui revendique le body positive mais qui se pèse tout le temps, ou du Baptiste qui vole la semoule. Cette narration d’une femme célibataire élevant seule sa fille permettra à de nombreuses femmes d’y retrouver leur quotidien.
« Pour ce qui est d’habiter nos corps, nous sommes des menteuses de mères en filles. » Cette citation pourrait être le refrain publicitaire de ce récit de Nadia Daam. C’est drôle, enlevé et puis ça fait vraiment du bien de découvrir que nous ne sommes pas les seules à jouer les Wonder Woman, sans avoir de talent !
Chronique illustrée ici
https://vagabondageautourdesoi.com/20...
March 29, 2024
Un très joli texte autobiographique, dans lequel l'autrice décrit avec une franchise désarmante, et, paradoxalement, une pudeur touchante, la cohabitation avec sa fille, maintenant adolescente, qu'elle élève seule. De nombreux sujets plutôt lourds au premier abord sont évoqués : la maternité, le féminisme, l'échange entre les deux générations (pas de "choc", ici, juste un regard tendre, plein de compréhension, d'admiration, parfois, et de respect), la mort d'un parent, la vie de femme en tant que mère célibataire...le livre pourrait être lourd et indigeste, mais Nadia Daam s'en sort à merveille, et au contraire, les chapitres se suivent avec légèreté et fluidité. C'est beau, vraiment très drôle, sincère, et touchant.
July 30, 2024
Aussi sympathique d'anecdotique. J'ai eu du mal à me prendre d'affection pour Nadia Daam par certains moments. A classer entre l'essai et le roman.
April 16, 2024
Comment parler de ce livre que j’ai tant aimé? Je ne suis pas la mère d’une fille, mais je suis la fille d’une mère et j’ai eu l’impression qu’à travers sa relation avec sa propre fille, la fameuse “gosse” du titre, Nadia Daam arrivait à toucher à l’universel de la relation mère/fille.
C’est souvent plutôt drôle et très bien vu mais c’est surtout incroyablement beau et émouvant. Le livre commence par la mort du père de sa fille (avec qui elle était plutôt fâchée mais ça n’est pas le sujet), comment accompagner le deuil de sa toute petite fille qui vient soudainement de perdre toute une moitié d’elle même. Et puis ce sont des réflexions sur ce qu’implique de voir grandir sa fille. Avoir des principes du type “tu feras ce que tu voudras ma fille et tu seras une femme libre” et puis se heurter à la réalité et avoir envie d’envelopper sa progéniture dans un gros pull pour que personne ne puisse lui faire de mal. Une relation qui change et qui évolue quand on passe de s’assurer que l’enfant reste en vie, à s’assurer que l’adolescent ne se fasse pas trop mal en se fracassant sur le mur des épreuves de la vie. On a rarement aussi justement et aussi joliment parlé de ce qu’être un parent représente.
“Tourner les talons mais toujours revenir sur ses pas. C’est ce qu’être mère d’une femme veut dire. Et ça, ma fille, ma gosse, ma douce, mon incendie, ma Sasha, tu le diras à ta fille et à la fille de ta fille.”
Merci à NetGalley, à l’autrice et aux éditions Grasset pour la copie de ce livre. La gosse est actuellement disponible en librairie
C’est souvent plutôt drôle et très bien vu mais c’est surtout incroyablement beau et émouvant. Le livre commence par la mort du père de sa fille (avec qui elle était plutôt fâchée mais ça n’est pas le sujet), comment accompagner le deuil de sa toute petite fille qui vient soudainement de perdre toute une moitié d’elle même. Et puis ce sont des réflexions sur ce qu’implique de voir grandir sa fille. Avoir des principes du type “tu feras ce que tu voudras ma fille et tu seras une femme libre” et puis se heurter à la réalité et avoir envie d’envelopper sa progéniture dans un gros pull pour que personne ne puisse lui faire de mal. Une relation qui change et qui évolue quand on passe de s’assurer que l’enfant reste en vie, à s’assurer que l’adolescent ne se fasse pas trop mal en se fracassant sur le mur des épreuves de la vie. On a rarement aussi justement et aussi joliment parlé de ce qu’être un parent représente.
“Tourner les talons mais toujours revenir sur ses pas. C’est ce qu’être mère d’une femme veut dire. Et ça, ma fille, ma gosse, ma douce, mon incendie, ma Sasha, tu le diras à ta fille et à la fille de ta fille.”
Merci à NetGalley, à l’autrice et aux éditions Grasset pour la copie de ce livre. La gosse est actuellement disponible en librairie
September 2, 2025
Cette gosse est bien chanceuse car elle a une maman très aimante, pas parfaite bien sur (mais qui pourrait se targuer d’être parfaite ?) mais franche, pertinente, et drôle.
Ce petit livre se dévore d’une traite. C’est bien écrit et très fluide. J’avais l’impression qu’une copine me racontait avec honnêteté et humour son quotidien de mère-solo. Nadia Daam ne cherche pas à nous persuader qu’elle a été la meilleure, ni à se lamenter mais elle nous fait part de son quotidien et des difficultés à élever seule une enfant et encore pire une ado. C’est un témoignage qui sonne très vrai.
Maintenant, j’aimerai lire, ou entendre, « la daronne »une réponse que la gosse pourrait faire à sa maman.
Ce petit livre se dévore d’une traite. C’est bien écrit et très fluide. J’avais l’impression qu’une copine me racontait avec honnêteté et humour son quotidien de mère-solo. Nadia Daam ne cherche pas à nous persuader qu’elle a été la meilleure, ni à se lamenter mais elle nous fait part de son quotidien et des difficultés à élever seule une enfant et encore pire une ado. C’est un témoignage qui sonne très vrai.
Maintenant, j’aimerai lire, ou entendre, « la daronne »une réponse que la gosse pourrait faire à sa maman.
May 11, 2024
Se lit très vite et facilement , très drôle très léger
November 11, 2024
Touchant
June 14, 2025
3 1/2 ⭐️
Bof. J’ai trouvé ça très moyen, sans plus.
Bof. J’ai trouvé ça très moyen, sans plus.
July 7, 2024
Notes à moi-même : très rapide à lire, agréable, simple. Un œil honnête sur ses propres faiblesses.
September 14, 2024
Drôle, touchant, engagé. C’est oui !
August 15, 2024
Je l'ai lu trop vite comme quand on se jette sur une glace ou un truc qu'on trouve trop trop bon, je regrette un peu de pas l'avoir fait durer et fondre sous la langue mais c'est comme ça, c'est finito et j'ai vérifié y'a pas de piste cachée, d'épilogue ou de prequelle.
Des anecdotes de maternité on en voit plein les trends insta (suffit d'avoir le malheur de suivre deux comptes de consultant en sommeil et alimentation du nourrisson) et c'est parfois réconfortant ('tu n'es pas seule') et souvent relou (si je vois encore une vidéo sur le toddler qui se réveille à 6h du mat' je vais tellement lever les yeux au ciel que je vais pouvoir voir derrière moi) mais là c'était pas pareil, ça venait du bide, ça te rend nostalgique (pour les épisodes que t'as toi même passés) /anxieux (pour ceux à venir), c'est doux, c'est drôle, c'est la vérité vraie sur le rôle de funambule qu'on se retrouve à jouer en tant que parents sans qu'on comprenne comment on s'est retrouvés sur ce fil à 10 mètres du sol bref c'est un grand oui pour moi bienvenue dans l'aventure, on se voit au théâtre.
Des anecdotes de maternité on en voit plein les trends insta (suffit d'avoir le malheur de suivre deux comptes de consultant en sommeil et alimentation du nourrisson) et c'est parfois réconfortant ('tu n'es pas seule') et souvent relou (si je vois encore une vidéo sur le toddler qui se réveille à 6h du mat' je vais tellement lever les yeux au ciel que je vais pouvoir voir derrière moi) mais là c'était pas pareil, ça venait du bide, ça te rend nostalgique (pour les épisodes que t'as toi même passés) /anxieux (pour ceux à venir), c'est doux, c'est drôle, c'est la vérité vraie sur le rôle de funambule qu'on se retrouve à jouer en tant que parents sans qu'on comprenne comment on s'est retrouvés sur ce fil à 10 mètres du sol bref c'est un grand oui pour moi bienvenue dans l'aventure, on se voit au théâtre.
July 11, 2024
A travers ce roman autobiographique Nadia Daam nous livre son intimité et ses réflexions sur des thèmes extrêmement variés dont tous ont pour point de mire sa fille : "sa gosse". Terme familier, ici utilisé avec beaucoup d'amour, pour tout parent élevant un ou une ou des enfants adolescents, il est facile de se retrouver dans le discours. Des anecdotes et des circonspections intelligentes tantôt drôles tantôt approfondies mais toujours justes et sincères.
Oui Nadia Daam l'aime "sa gosse", "sa belle gosse" mais jamais "sa sale gosse" car jamais elle ne se "gausse" d'elle. Je me suis donc intéressée à ce nom de "gosse" et aussi à ce verbe "gosser". Et j'ai trouvé plusieurs définitions parfaitement adaptées à mon ressenti concernant cet ouvrage.
"Gosser" : Fabriquer un objet par des moyens artisanaux ou trouver une solution à un problème. En tant que mères, ne sommes-nous pas des artisans qui fabriquent non pas un objet, je ne pourrai jamais envisager le fait qu'un enfant le soit, mais une éducation, un savoir-vivre, une manière de se prémunir du monde ? Ne sommes-nous pas prédestinées à trouver une solution à un problème, à partager, à instruire, à les faire grandir ou à les protéger ? L'autrice pose ici les bases de ses nombreuses interrogations et nous livre avec une sincérité incroyable non pas des solutions, mais de nombreuses pistes de réflexions. Tout y passe, l'alcool, la balance, la famille, les origines, ...
"Gosser" : Tripoter, manipuler avec plus ou moins de difficulté, parfois dans un but plus ou moins défini et avec des résultats plus ou moins probants. Et oui et c'est aussi ça d'être mère d'une "gosse", c'est tâtonner avec le fait que cette "gosse" grandit dans un monde différent de celui qu'il était lorsque nous avions son âge, ce sont ces difficultés de leur faire comprendre certaines choses, c'est de comprendre nous-même leurs difficultés et comme le dit cette définition avec un résultat plus qu'incertain. Nadia Daam réussi à nous transmettre ses doutes, ses regrets, c'est et si... mais surtout réussi à nous livrer ses "peu importe". L'autrice regarde toujours devant, loin et va aider sa "gosse" à grandir tout en préservant le libre-arbitre de "sa gosse".
Jamais Nadia Daam n'est une "gosseuse" : Personne qui perd son temps par un excès de minutie ou en se consacrant à une activité futile. Non, je trouve que l'autrice agit non pas en super maman, ou en super woman, seulement avec les moyens que nous avons toutes en tant que mère, et lorsqu'il s'agit de protéger, de faire grandir, de développer l'esprit critique de nos enfants, une mère ne perd pas son temps et ce n'est surtout pas une activité futile, au contraire. J'ai aimé les nombreux échanges présentés dans ce textes. D'ailleurs j'en profite pour rebondir sur l'écriture irréprochable de l'autrice. Ce texte est extrêmement bien écrit, l'écriture érudite mais fluide que je n'ai trouvé aucune longueur à ce court roman. Non pas de "gossage" (palabre), je n'en ai pas perdu une miette.
J'ai découvert la voix de Nadia Daam dans sa version audio est quoi de mieux pour écouter un livre lorsqu'il est lu par son auteur.
Pour terminer, j'ai volontairement décidé de vous révéler uniquement mon ressenti suite à cette lecture-écoute, je vous laisse maintenant découvrir son contenu, mais rasurez-vous il est simple et au final, je me suis sentie rassurée d'être une mère normale, mère de deux adolescents que j'essaie d'aider sans rien attendre en retour et sans prétention. Ce livre parle tout simplement qu'être mère est normal, que de douter est normal, que d'inculquer des valeurs est normal, que de protéger est normal, que de voir grandir son ou sa "gosse" est normal, que de créer un rapport de confiance est normal, et au final c'est peut-être le monde dans lequel nous faisons tout cela qui n'est pas normal.
Un roman tout simple et tout simplement éloquent sur les rapports d'une mère et de sa "gosse", tout autant (ou presque) transposable à son "gosse". Un roman qui fait réfléchir et qui rassure sur son rôle de mère, puisqu'il ne s'agit au final que de bienveillance et d'un incommensurable amour pour sa/son "gosse".
Merci à #NetGalleyFrance et #Audiolib pour #LaGosse.
Oui Nadia Daam l'aime "sa gosse", "sa belle gosse" mais jamais "sa sale gosse" car jamais elle ne se "gausse" d'elle. Je me suis donc intéressée à ce nom de "gosse" et aussi à ce verbe "gosser". Et j'ai trouvé plusieurs définitions parfaitement adaptées à mon ressenti concernant cet ouvrage.
"Gosser" : Fabriquer un objet par des moyens artisanaux ou trouver une solution à un problème. En tant que mères, ne sommes-nous pas des artisans qui fabriquent non pas un objet, je ne pourrai jamais envisager le fait qu'un enfant le soit, mais une éducation, un savoir-vivre, une manière de se prémunir du monde ? Ne sommes-nous pas prédestinées à trouver une solution à un problème, à partager, à instruire, à les faire grandir ou à les protéger ? L'autrice pose ici les bases de ses nombreuses interrogations et nous livre avec une sincérité incroyable non pas des solutions, mais de nombreuses pistes de réflexions. Tout y passe, l'alcool, la balance, la famille, les origines, ...
"Gosser" : Tripoter, manipuler avec plus ou moins de difficulté, parfois dans un but plus ou moins défini et avec des résultats plus ou moins probants. Et oui et c'est aussi ça d'être mère d'une "gosse", c'est tâtonner avec le fait que cette "gosse" grandit dans un monde différent de celui qu'il était lorsque nous avions son âge, ce sont ces difficultés de leur faire comprendre certaines choses, c'est de comprendre nous-même leurs difficultés et comme le dit cette définition avec un résultat plus qu'incertain. Nadia Daam réussi à nous transmettre ses doutes, ses regrets, c'est et si... mais surtout réussi à nous livrer ses "peu importe". L'autrice regarde toujours devant, loin et va aider sa "gosse" à grandir tout en préservant le libre-arbitre de "sa gosse".
Jamais Nadia Daam n'est une "gosseuse" : Personne qui perd son temps par un excès de minutie ou en se consacrant à une activité futile. Non, je trouve que l'autrice agit non pas en super maman, ou en super woman, seulement avec les moyens que nous avons toutes en tant que mère, et lorsqu'il s'agit de protéger, de faire grandir, de développer l'esprit critique de nos enfants, une mère ne perd pas son temps et ce n'est surtout pas une activité futile, au contraire. J'ai aimé les nombreux échanges présentés dans ce textes. D'ailleurs j'en profite pour rebondir sur l'écriture irréprochable de l'autrice. Ce texte est extrêmement bien écrit, l'écriture érudite mais fluide que je n'ai trouvé aucune longueur à ce court roman. Non pas de "gossage" (palabre), je n'en ai pas perdu une miette.
J'ai découvert la voix de Nadia Daam dans sa version audio est quoi de mieux pour écouter un livre lorsqu'il est lu par son auteur.
Pour terminer, j'ai volontairement décidé de vous révéler uniquement mon ressenti suite à cette lecture-écoute, je vous laisse maintenant découvrir son contenu, mais rasurez-vous il est simple et au final, je me suis sentie rassurée d'être une mère normale, mère de deux adolescents que j'essaie d'aider sans rien attendre en retour et sans prétention. Ce livre parle tout simplement qu'être mère est normal, que de douter est normal, que d'inculquer des valeurs est normal, que de protéger est normal, que de voir grandir son ou sa "gosse" est normal, que de créer un rapport de confiance est normal, et au final c'est peut-être le monde dans lequel nous faisons tout cela qui n'est pas normal.
Un roman tout simple et tout simplement éloquent sur les rapports d'une mère et de sa "gosse", tout autant (ou presque) transposable à son "gosse". Un roman qui fait réfléchir et qui rassure sur son rôle de mère, puisqu'il ne s'agit au final que de bienveillance et d'un incommensurable amour pour sa/son "gosse".
Merci à #NetGalleyFrance et #Audiolib pour #LaGosse.
June 24, 2024
Je remercie #NetGalleyFrance et les Éditions Audiolib pour la découverte de #LaGosse en version audio.
Dans ce récit autobiographique, Nadia Daam nous raconte de sa plume et de sa voix sa vie de mère célibataire. "Monoparentale" par choix suite à une séparation, puis par obligation, au décès de son ex-compagnon, père de "La gosse". Sans jamais la prénommer, elle tente de dépeindre au mieux la chair de sa chair : sa fille tant aimée, mais pas toujours comprise... Elle décrit son quotidien à différentes époques, en comparant avec sa propre enfance et sa propre jeunesse, d'une autre époque justement.
A travers son expérience personnelle et particulière de mère célibataire, Nadia Daam extrapole vers des thèmes plus vastes : féminité, maternité, parentalité, adolescence, éducation, réseaux sociaux, famille, amitiés, et, en filigrane, le désœuvrement paradoxal dans la multitude d'activités à assurer et assumer au quotidien lorsqu'on est mère seule d'une enfant de 2 puis 4 puis 7 puis 11, ou 14 et enfin, 17 ans... Car c'est toute l'enfance de sa fille qui fait l'objet de ce récit, en même temps que le parcours de mère de Nadia Daam. J'ai été touchée par ses mots, en tant qu'enfant de divorcée en premier lieu (je réalise seulement les difficultés que cela représente...), puis en tant que maman de deux enfant, confortablement épaulée par un mari présent et impliqué (et là, je suis bien consciente de ma chance !).
J'ai eu un peu de peine à m'impliquer dans les premiers chapitres, puis, les mots et la voix de Nadia Daam m'ont emportée. Je suis vraiment ravie d'avoir pu découvrir l'ouvrage en version audio, lu par l'autrice. Car l'autrice-lectrice met autant de soin à choisir ses mots qu'à leur donner une impulsion vocale particulière (et particulièrement juste). Sa voix est douce, authentique, dynamique et aussi agréable que son écriture. Le style est fluide, travaillé, factuel et actuel, parfois très oral et d'autre fois, plus littéraire. Le vocabulaire et recherché et précis. Les chapitres, intitulés par un mot - point de mire des lignes qui suivront - sont plutôt courts, donnant un rythme assez soutenu à l'ouvrage.
#LaGosse #NetGalleyFrance
Dans ce récit autobiographique, Nadia Daam nous raconte de sa plume et de sa voix sa vie de mère célibataire. "Monoparentale" par choix suite à une séparation, puis par obligation, au décès de son ex-compagnon, père de "La gosse". Sans jamais la prénommer, elle tente de dépeindre au mieux la chair de sa chair : sa fille tant aimée, mais pas toujours comprise... Elle décrit son quotidien à différentes époques, en comparant avec sa propre enfance et sa propre jeunesse, d'une autre époque justement.
A travers son expérience personnelle et particulière de mère célibataire, Nadia Daam extrapole vers des thèmes plus vastes : féminité, maternité, parentalité, adolescence, éducation, réseaux sociaux, famille, amitiés, et, en filigrane, le désœuvrement paradoxal dans la multitude d'activités à assurer et assumer au quotidien lorsqu'on est mère seule d'une enfant de 2 puis 4 puis 7 puis 11, ou 14 et enfin, 17 ans... Car c'est toute l'enfance de sa fille qui fait l'objet de ce récit, en même temps que le parcours de mère de Nadia Daam. J'ai été touchée par ses mots, en tant qu'enfant de divorcée en premier lieu (je réalise seulement les difficultés que cela représente...), puis en tant que maman de deux enfant, confortablement épaulée par un mari présent et impliqué (et là, je suis bien consciente de ma chance !).
J'ai eu un peu de peine à m'impliquer dans les premiers chapitres, puis, les mots et la voix de Nadia Daam m'ont emportée. Je suis vraiment ravie d'avoir pu découvrir l'ouvrage en version audio, lu par l'autrice. Car l'autrice-lectrice met autant de soin à choisir ses mots qu'à leur donner une impulsion vocale particulière (et particulièrement juste). Sa voix est douce, authentique, dynamique et aussi agréable que son écriture. Le style est fluide, travaillé, factuel et actuel, parfois très oral et d'autre fois, plus littéraire. Le vocabulaire et recherché et précis. Les chapitres, intitulés par un mot - point de mire des lignes qui suivront - sont plutôt courts, donnant un rythme assez soutenu à l'ouvrage.
#LaGosse #NetGalleyFrance
June 27, 2024
Alors qu'on lui a répété qu'avoir une fille serait plus facile, l'autrice de ce roman à vite déchanter. Ne chercher pas de débat ici, il n'y en n'a pas. Élever un enfant, seul ou non, fille ou garçon, est difficile. Mais élever une future femme, devoir la mettre en garde, la laisser grandir et s'épanouir en guettant dans l'ombre les potentiels prédateurs, ça, c'est un sacré exercice.
J'ai adoré ce roman, il est plein de tendresse et d'amour. Plein de rage et d'espoir. Il est aussi drôle que dramatique, sans jamais chercher à donner des leçons ou à tomber dans le pathos.
Je n'ai ni l'âge de @nadia_daam_ ni celui de sa fille et pourtant, peu importe la génération, le passage de "fille" à "femme" est toujours le même. Cet étrange sensation de chercher les bras de sa mère, d'avoir envie d'être complètement assistée, et en même temps ne pas supporter ses conseils, et vouloir fuir à tout prix pour être indépendante.
J'ai été très touchée par cette mise à nue. Le lecteur assiste sans filtre au quotidien parfois haut en couleur, d'une mère et de sa fille, avec ce que cela implique de bonheur, de douceur, et d'emmerdement.
C'est une histoire racontée sans aucun jugement ni aucune prétention. C'est une déclaration d'amour d'une mère à sa fille, pour toutes les mères et toutes les filles.
J'adorerai savoir ce qu'a pensé "la gosse" de ce roman, et qui sait, voir paraître dans quelques années "la mère".
J'ai adoré ce roman, il est plein de tendresse et d'amour. Plein de rage et d'espoir. Il est aussi drôle que dramatique, sans jamais chercher à donner des leçons ou à tomber dans le pathos.
Je n'ai ni l'âge de @nadia_daam_ ni celui de sa fille et pourtant, peu importe la génération, le passage de "fille" à "femme" est toujours le même. Cet étrange sensation de chercher les bras de sa mère, d'avoir envie d'être complètement assistée, et en même temps ne pas supporter ses conseils, et vouloir fuir à tout prix pour être indépendante.
J'ai été très touchée par cette mise à nue. Le lecteur assiste sans filtre au quotidien parfois haut en couleur, d'une mère et de sa fille, avec ce que cela implique de bonheur, de douceur, et d'emmerdement.
C'est une histoire racontée sans aucun jugement ni aucune prétention. C'est une déclaration d'amour d'une mère à sa fille, pour toutes les mères et toutes les filles.
J'adorerai savoir ce qu'a pensé "la gosse" de ce roman, et qui sait, voir paraître dans quelques années "la mère".
May 14, 2024
J'ai adoré ce bouquin !
L'auteure nous livre un témoignage de ce qui signifie aujourd'hui être mère, toute seule, d'une fille. Son compagnon d'antan, celui qui va devenir le père de la gosse, a des gros troubles avec l'alcool. En conséquence, le couple divorce et quand la fille a 11 ans, il meurt. Ça a été un véritable choc pour Nadia, qui se rend compte que désormais sa famille sera monoparentale.
Je trouve qu'elle réussit à expliquer parfaitement la relation mère-fille avec des exemples de situations et des phrases que nous toutes avons vécus et prononcées.
Livre drôle, plein d'humour et d'amour.
" Mais deux femmes qui prennent soin l'une de l'autre. Tourner les talons mais toujours revenir sus ses pas. C'est ce qu'être mère d'une femme veut dire. Et ça, ma fille, ma gosse, ma douce, mon incendie, ma Sasha, tu le diras à ta fille et à la fille de ta fille."
L'auteure nous livre un témoignage de ce qui signifie aujourd'hui être mère, toute seule, d'une fille. Son compagnon d'antan, celui qui va devenir le père de la gosse, a des gros troubles avec l'alcool. En conséquence, le couple divorce et quand la fille a 11 ans, il meurt. Ça a été un véritable choc pour Nadia, qui se rend compte que désormais sa famille sera monoparentale.
Je trouve qu'elle réussit à expliquer parfaitement la relation mère-fille avec des exemples de situations et des phrases que nous toutes avons vécus et prononcées.
Livre drôle, plein d'humour et d'amour.
" Mais deux femmes qui prennent soin l'une de l'autre. Tourner les talons mais toujours revenir sus ses pas. C'est ce qu'être mère d'une femme veut dire. Et ça, ma fille, ma gosse, ma douce, mon incendie, ma Sasha, tu le diras à ta fille et à la fille de ta fille."
February 9, 2025
Après une écoute assidue du podcast Folie Douce avec l’autrice comme invitée, son livre a terminé dans ma wishlist.
Le style et l’écriture m’ont beaucoup plu. Un récit d’épisodes d’une vie, des petits morceaux de souvenirs partagés, des réflexions et analyses aussi. Elle m’a embarqué et surtout m’a fait me questionner sur mes relations avec mes parents, certaines limites ou peurs qui peuvent m’occuper.
Certains passages sont particulièrement marquant, particulièrement considérant l’effet de paroles que des proches peuvent avoir. Elle y parle de son père qui leurs coupaient les ailes … 🪽 te questionnes tu parfois sur l’impact de ces souvenirs sur ton quotidien ?
Bref je recommande et le podcast et le livre !
Le style et l’écriture m’ont beaucoup plu. Un récit d’épisodes d’une vie, des petits morceaux de souvenirs partagés, des réflexions et analyses aussi. Elle m’a embarqué et surtout m’a fait me questionner sur mes relations avec mes parents, certaines limites ou peurs qui peuvent m’occuper.
Certains passages sont particulièrement marquant, particulièrement considérant l’effet de paroles que des proches peuvent avoir. Elle y parle de son père qui leurs coupaient les ailes … 🪽 te questionnes tu parfois sur l’impact de ces souvenirs sur ton quotidien ?
Bref je recommande et le podcast et le livre !
April 9, 2024
Un très beau témoignage mêlant vie de famille, amour, éducation et apprentissage de soi. L'autrice nous dresse un bilan sur sa vie depuis l'arrivée de "la gosse", ses doutes, ses inquiétudes, mais aussi leurs joies et leurs peines. J'ai aimé la sincérité de cet ouvrage, ainsi que la transparence et l'auto-critique de l'autrice. Les contrastes entre "ce qu'on veut faire" et "ce qu'on fait". Le fait de vouloir beaucoup, mais ne pas toujours pouvoir autant ; l'accepter quand même, parce que la vie continue, et qu'elle est ce qu'elle est.
L'amour de Nadia pour sa fille inonde chacune des pages de ce roman, merci pour ce bel ouvrage.
L'amour de Nadia pour sa fille inonde chacune des pages de ce roman, merci pour ce bel ouvrage.
May 2, 2024
Nadia Daam élève sa fille seule et nous livre ses réflexions avec beaucoup d’humour et de tendresse. Il y a beaucoup de passages dans lesquels je me reconnais, même si le contexte n’est pas du tout le même, mais la relation mère fille est finement racontée, c’est féroce parfois mais justement elle ne s’épargne pas elle même. Petit livre qui se dévore. Je n’ai mis que 3 ⭐️ mais ça vaut un peu plus, il m’a manqué peut être le petit plus qui m’aurait vraiment émue. En revanche j’ai trouvé qu’elle analysait de manière très juste toutes les situations qu’elle évoque.
September 21, 2024
Je ne savais pas du tout ce que j’allais lire et j’ai adoré ! je ne suis pas mère mais j’ai été la Gosse d’une mère.
Et finalement pas certaine que cela soit une condition pour apprécier le livre. J’ai ri à de nom reuses reprises, surligné pas mal de passages.
Je vais dire à toutes mes copines maman de le lire !
Et finalement pas certaine que cela soit une condition pour apprécier le livre. J’ai ri à de nom reuses reprises, surligné pas mal de passages.
Je vais dire à toutes mes copines maman de le lire !
December 10, 2024
Le récit intéressant d’une mère de son époque qui raconte une fille ado de son époque.
Deuil, changement de classe sociale, peur, famille que l’on se crée, ce sont tous les thèmes abordés dans ce récit par des chapitres courts, drôles et toujours au ton juste qui savent capter ce qu’est qu’être une femme et une mère en 2024.
Deuil, changement de classe sociale, peur, famille que l’on se crée, ce sont tous les thèmes abordés dans ce récit par des chapitres courts, drôles et toujours au ton juste qui savent capter ce qu’est qu’être une femme et une mère en 2024.
September 8, 2024
On s'y retrouve tellement comme maman d'une "gosse". L'impression de lire les chroniques d'une mère indigne mais ça déborde délicieusement de tendresse et d'ironie, d'autodérision. J'aime beaucoup ce genre de plume qui ne se prend pas au sérieux et qui joue avec les mots.
September 8, 2024
Un bijou d'intelligence et de sensibilité, une réflexion magnifique sur l'amour mère-fille, un livre fait de nombreuses vignettes tranches de vie et il me serait bien impossible d'en mettre l'une ou l'autre en avant car elles m'ont toutes beaucoup touchée.
April 21, 2024
À lire par toutes les mères d'adolescentes' drôle, sarcastique et tellement vrai.
May 2, 2024
C’est drôle, doux et amer. Une écriture incroyable, entre humour et mordant, je recommande +++
July 1, 2024
Récit gorgé d'humour d'une mère d'adolescente .
July 22, 2024
Ca commence très bien, c’est poignant mais drôle, l’écriture est enlevée et désinvolte. Mais ça devient lassant…
July 28, 2024
Amusant
August 5, 2024
Témoignage très touchant et beau.
J’ai dévoré ce livre.
Je vous le conseille !!
J’ai dévoré ce livre.
Je vous le conseille !!
August 15, 2024
Des petites chroniques sur la vie de maman solo d'une ado. J'ai eu du mal à m'accrocher à l'écriture.
Displaying 1 - 30 of 41 reviews