En réalité, Pandore n’a jamais ouvert le vase. Elle a fondé un culte autour de ce dernier, qu’elle a transmis à ses successeuses. Mais lorsque Clori, jeune prêtresse novice, croit découvrir que son temple n’est qu’une façade pour vendre des objets-souvenirs aux pèlerins, elle se rebelle et décide d’ouvrir le vase. Mal lui en prend : elle devra traquer tous les fléaux de l’Antiquité, de la Violence jusqu’aux Claquettes-Chaussettes. Une épopée mythologique moderne aux couleurs saisissantes, réinterprétant avec humour et anti-conformisme le mythe de Pandore.
Le dessin et les couleurs étaient franchement sympas, et j'ai trop aimé les différentes représentations des maux, mais j'ai eu un peu de mal à suivre l'histoire. J'ai eu l'impression qu'elle était un peu vide face au style artistique très chargé, qu'elle était un peu creuse malheureusement.
Clori, jeune prêtresse choisis enfin sa voix, même s'il est diffère de son "amie" de toujours, Galatée. Pourtant, déjà déçue et certaine que le culte est basé sur des mensonges, elle décide d'ouvrir la boîte de Pandore... Et libère ainsi tous les maux retenus depuis si longtemps.
Sincèrement, j'ai été un peu prise au dépourvu au départ à cause du côté assez décalé autant avec l'humour que le côté que j'ai trouvé un peu enfantin. Quand pour les mots, on se retrouve avec "ongle-cassé" et "claquette chaussette", j"avoue tout, j'ai été complètement décontenance. Pourtant, on finit par s'y habituer et un peu mieux comprendre aussi le pourquoi du comment. L'histoire se tourne vraiment sur cette notion de "maux" comme on pourrait l'entendre dans la notion antique, mais aussi plus moderne. Comment nous affectent-ils ? Sont-ils réellement tous mauvais ? Tout plein de notion intéressante, tout comme le rôle (plus ou moins) de la femme qui peut être intéressant.
Un peu mal au coeur pour la "romance" lesbienne de l'histoire, qui est clairement plus un sous-thème et jamais dit clairement, mais qui peut se lire sans soucis. Snif, ma pauvre Clori !
Par contre, les dessins sont magnifiques et ce sont les couleurs qui m'ont totalement conquise, je dois bien avouer.
J'ai adoré cette revisite du mythe de Pandore 2.0. L'héroïne est terriblement drôle malgré elle et son caractère bien trempé. Ses compagnes d'aventure le sont tout autant entre Paresse et Espoir. Il y a de nombreux passages très drôles et certains maux sont absolument parfaits. Je pense notamment aux claquettes-chaussettes qui m'a fait hurlé. Mais cette bande dessinée demeure avant tout une très belle quête initiatique qu'on vit aux côtés de l'héroïne, avec ses succès et ses déceptions. Énorme coup de cœur pour les dessins qui sont à couper le souffle et la colométrie qui évolue à chaque étape. Un bonbon.
3.5/5 je voulais tellement aimer cette bd ! Les illustrations sont magnifiques et la colorimétrie est divine. Cependant l’histoire est tellement superficielle, il y avait tellement de potentiel ! J’ai eu du mal à me plonger dedans, à tout comprendre. La quête de Clori aurait pu être plus intéressante si les maux qu’elle chasse n’étaient pas “claquette-chaussettes”, “cheveux fourchus” etc… trop déçue.
La revisite du mythe de pandore est brillant, l'esthétique des dessins est super belle. Même si les personnages sont attachants, c'est vrai que l'histoire est un peu lisse. C'est une lecture facile et pas prise de tête qui fait du bien entre des livres plus longs ou plus lourds.
3.5 - De très beaux dessins (quoi que parfois pas facile à comprendre), des mélanges de couleurs qui font rêver, une histoire avec beaucoup de potentiel mais qui finalement manque de profondeur...
Incroyable BD qui vaut le détour,les illustrations sont sublimes la maîtrise des couleurs ma ma mia ! Et l’histoire!! J’ai adoré je l’ai dévoré et ce nest pas tout les jours qu’une bd queer soit aussi accessible (facile à trouver) La mythologie est le sujet principal évidemment mais on voit de la représentation et même les duo hétéros ne m’ont pas tant ennuyé!!!
Contenu assez inefficace finalement comparé au dessin très coloré, pas tout à fait mon style mais chouette quand même ; la morale de fin un peu bateau arrive comme un cheveu sur la soupe... J'en sors un peu perplexe et sur ma faim, surtout qu'il y en avait beaucoup, vraiment beaucoup, des choses à dire/revisiter sur Pandore.