Immersif et choc, un thriller haletant, par une nouvelle et puissante voix du genre. À chaque page qui se tourne, un mécanisme diabolique s'installe, et la vie de ces enfants menace de basculer dans le néant... Saurez-vous garder la tête froide ?
Cette disparition tient du prodige, de l'impossibilité pure et simple... Comment deux cars scolaires – 66 enfants en partance pour leur classe de neige – ont-ils pu se volatiliser de la sorte ? Les parents, la presse, la France entière demandent à savoir. Le ravisseur n'en dit rien, évidemment. Mais sa première requête étonne. Il ne parlera, dit-il, qu'à Talia Sorel, toute nouvelle recrue du Raid. Commence alors, entre ce manipulateur hors pair et la jeune négociatrice, un bras de fer sous haute tension. Un duel où chaque mot, chaque souffle peut faire basculer le sort de ces enfants...
Ici, on est sur un thriller haletant : une disparition de 2 cars scolaires de 66 enfants, un ravisseur, une négociatrice et une équipe du raid. Le but ? Retrouver les enfants et arrêter le ravisseur !
Il est difficile de lâcher le livre tellement c’est prenant. Chaque chapitre a une information importante et l’alternance des différents points de vue est tellement géniale. Le personnage principal, Talia, est incroyable. C’est une femme puissante, importante et incroyable !
Au début, j’ai eu un peu de mal car il y avait énormément de personnages et je n’arrivais pas à comprendre. Mais après, ça va mieux.
La seule chose qui m’a dérangé et qui n’est pas un spoil car on le sait très tôt : pourquoi faire un ravisseur/terroriste qui est un maghrébin ? En big 2025, ça ne sert à rien, uniquement à conforter les gens et leurs préjugés..
Mis à part ça, tout est parfait ! Être au cœur des négociations, des stratégies que ce soit du raid ou du ravisseur, c’est tellement intéressant. J’ai adoré 😍
Voici mon retour sur le livre qui n’a pas emporté mon vote 🗳️ pour #lesnouvellesvoixdupolar dans la catégorie française. Ça s’est joué à vraiment pas grand-chose. Je me suis plus attachée aux personnages de l’autre livre en compétition. Mais l’auteur a un lot de consolation puisque France Télévision 📺 a acheté les droits pour en faire une série
Et je comprends pourquoi. Le personnage de Talia Sorel 🏍️ fera une très bonne héroïne de série policière. Une femme pleine de maitrise, solitaire qui ne se laisse pas intimidée dans ce monde d’hommes. Et l’auteur réussi aussi à nous embarquer dans toutes les fins de chapitre pour nous faire cogiter 🤯 et poursuivre rapidement la lecture. Pas de temps mort dans cette histoire de manipulations.
Concernant mon non-attachement aux personnages du raid, j’imagine que c’est le métier qui veut ça, une vie confidentielle pour protéger l’anonymat 🎭 mais côté otages, l’excuse ne vaut pas. Les passages avec les enfants 👦 👧 ne m’ont pas trop captivée, spécialement ceux avec le fils de policier que j’ai trouvé moins crédibles (et sa mini-romance superflue).
Merci à l’auteur qui a bien voulu s’ajouter à notre discussion 🗣️de groupe Insta pour nous parler de son livre et nous donner des détails sur ses inspirations. Notamment #tatianabrillant , qui fut pendant 13 ans la seule femme officier dans l’unité d’élite de la police (négociatrice avec les frères Kouachi) et l’enlèvement d’un car 🚎 scolaire en Somalie en 1976.
Merci à Netgalley et aux éditions Belfond pour la découverte. L'occasion pour moi de découvrir pour la première fois Frank Leduc, avec ce thriller qui laisse la part belle à la psychologie.
On y fait la connaissance de Talia Sorel, négociatrice en chef du Raid, qui va être chargée d'une affaire dont l'ampleur, va faire trembler la France. Quand un bus avec à son bord 66 enfants disparaît, la population tremble et les politiques sont fébriles. Leurs regards sont tournés vers Talia, la seule qui semble pouvoir déstabiliser le ravisseur à l'intelligence très développée.
Un face-à-face à distance s'engage, où la manipulation, les faux-semblants,et les coup bas vont s'enchaîner...
Au premier abord, en voyant le résumé je m'attendais à une traque en bonne et due forme, façon série tv avec gros bras, et courses poursuites. Mais ce roman est bien plus que ça... car certes il y a des gros bras, et des scènes épiques de confrontation, mais celles-ci passent au second plan, face aux trésors d'ingéniosité déployés par l'auteur, pour nous tenir en haleine. Un vrai duel entre deux cerveaux brillants, avec un suspense très pregnant, qu'il est difficile de poser.
De retournement de situations en conclusion stupéfiante, j'ai particulièrement été séduite par cette découverte que je recommande vivement.
Je connaissais l’auteure de nom mais je n’avais jamais lu un de ses romans, alors je me suis plongée dans cette histoire avec curiosité. De nombreux enfants ont disparu et on ne parle pas que d’un ou deux, non non. Des bus entiers d’enfants. Que s’est-il passé ? Personne ne sait où ils se trouvent, mais le ravisseur a des demandes et la première est que Talia soit la négociatrice. Pourquoi ? Comment est-ce qu’il la connait ? Personne ne le sait, mais tout le monde se demande si elle n’est pas liée à cette affaire. J’ai passé un bon moment avec ce roman. Il y a de nombreux rebondissements ! Nous suivons différents personnages au fil des chapitres, et, au début du roman, on se demande comment ces destinées dans des endroits différents vont faire pour se mêler enfin. La fin m’a surprise, je ne m’y attendais pas vraiment, mais c’était plutôt bien trouvé. Ce roman m’aurait gardée en haleine tout au long de l’histoire !
Ce n’est pas parce que ma candidature pour intégrer le jury dans le cadre des 🅽🅾🆄🆅🅴🅻🅻🅴🆂 🆅🅾🅸🆇 🅳🆄 🅿🅾🅻🅰🆁 2025 a été refusée que je ne vais pas lire ce livre en lice, n’est-ce pas (question purement rhétorique, cela va de soi) ? Je tiens quand même à souligner que ce n’est pas non plus pour cette raison que je vais rédiger ce retour à l’opposé des chroniques dithyrambiques que j’ai pu lire par-ci, par-là (on ne sait jamais, vu certaines polémiques qui émaillent cet espace d’échange qu’est 𝔹𝕠𝕠𝕜𝕤𝕥𝕒𝕘𝕣𝕒𝕞).
Deux cars scolaires ont disparu. Depuis, on ignore où se trouvent les soixante-six enfants qui se trouvaient à bord. Jusqu’à ce qu’un individu revendique leur disparition. Il est prêt à les relâcher à condition que lui soit versée une certaine somme d’argent en échange de chaque enfant. Pour ce faire, il ne veut parler qu’à une seule personne : Talia Sorel, négociatrice du Raid. Toutefois, il semble être au fait des moindres faits et gestes des forces de police. Se pourrait-il qu’il y ait une taupe ?
Pour être raccord avec la saison et rendre hommage à toutes celles et ceux qui, au moment où je rédige ce retour, trempent leurs orteils dans l’eau (et pas dans un verre, ce qui, j’avoue, serait plutôt bizarre, même si on parle bien de doigt pour indiquer une certaine quantité d’alcool), je vais partager avec vous mon ressenti sur cette histoire en ayant recours à une métaphore allusive à la plage.
Confortablement installée, jambes croisées, s’il vous plait (je ris toute seule car, vu ma flexibilité, « jambes croisées » et « confortablement » ne vont certainement pas ensemble), j’ai démarré ma lecture comme d’autres se préparent pour faire un château de sable. Oh ! n’allez surtout pas croire qu’il n’y a rien de plus simple. Non, non, non ! Il faut prendre en compte plusieurs critères. D’abord, l’emplacement, idéalement un endroit où le sable est humide. Bon, les enfants kidnappés sont emmenés et enfermés dans une demeure située en pleine montagne. Vu la quantité de neige, pour l’humidité, c’est bon. Ensuite, il faut se munir de quelques outils essentiels : seaux, pelle, spatule, etc. La tête pensante de ce kidnapping s’est entourée, non pas de seaux, mais de sots (selon lui), et, à défaut de pelle et de spatule, d’armes pour mieux protéger son château de toute intrusion. Ensuite, il faut mélanger correctement l’eau et le sable pour assurer la cohésion du château. Pas de souci, le ravisseur a pensé à tout : il a su se mêler à l’enquête, mélangeant les certitudes (limpides comme de l’eau… de mer) et les doutes de la police (les grains de sable qui viennent enrayer la machine). Tout était donc réuni pour un superbe château, comprenons par-là pour un roman policier extraordinaire.
Mais, voilà, alors que j’étais émerveillée devant une telle sculpture narrative (des allers-retours dans le passé, des chapitres consacrés à Talia, d’autres au « monstre », d’autres encore aux enfants – même si ces derniers ne m’ont pas emballée plus que ça), les révélations survenues aux trois quarts du récit ont entraîné l’effondrement du château, quelques grains de sable s’immisçant dans les rouages de l’intrigue : trop d’invraisemblances ! J’ai poursuivi ma lecture, néanmoins une question n’a cessé de me tarauder. Je ne peux évidemment rien vous dévoiler ici (si vous le souhaitez, je serai ravie d’en parler en MP) mais disons qu’une question temporelle, à savoir une période de deux ans, m’a empêchée de me concentrer pleinement et, comme une vague qui vient lécher doucement le sable jusqu’à éroder ces édifices éphémères bâtis au bord de l’eau, cette pensée m’a finalement empêchée d’apprécier pleinement cette œuvre.
Bref, un roman qui m’a tenue en haleine, certes, mais seulement jusqu’au dénouement car, à ce moment-là, le ciel s’est couvert de nuages, le vent s’est levé, m’obligeant à ramasser mes affaires et à quitter la plage contrariée. https://www.instagram.com/aliceintheo...
Le vrai et bon thriller d'action ! Malin et bien ficelé, avec un rythme qui va crescendo jusqu'au dernier tiers où l'on ne peut plus le lâcher. Je ne connaissais pas cet auteur et ce ne sera pas le premier et dernier roman que je lirai de lui. C'est du pur divertissement mais visiblement extrêmement bien pensé. Ce n'est pas tout d'avoir une idée originale, mais il faut aussi la faire tenir jusqu'au final. On sent que Frank Leduc a passé un bon moment à imaginer toutes les solutions qui pouvaient se présenter à lui. J'aime vraiment quand les intrigues, même si elles semblent quelque peu abracabrantesques, parviennent à nous faire passer oublier les petites invraisemblances grâce à un sens du timing, du suspense, et du rebondissement.
Le bon côté aussi ici, c'est l'équilibre entre gentil/méchant. On a une héroïne"badass" (mais justement, ce n'est pas non plus une Lara Croft, elle parvient à rester humaine et "normale) qui se confronte à un méchant machiavélique et très intelligent (mais qui n'est pas non plus un démoniaque génie). S'ajoutent des grains de sable de tous côtés (dont un gosse craquant !) et l'on a un cocktail explosif réussi !
Je n’avais pas lu de polar / thriller depuis une éternité, et bien m’en a pris car celui-ci m’a fait passer deux excellentes soirées. Si j’avais pu, je pense que je l’aurais même lu d’une traite tant les personnages m’ont habitée le deuxième jour, dans l’attente de reprendre ma lecture.
Talia Sorel est une nouvelle recrue du Raid, choisie pour la fonction de négociatrice. Deux cars scolaires avec à bord 66 enfants partant en classe de neige ont disparu. Ils se sont littéralement volatilisés. Une semaine après, tout le monde est à cran, le ravisseur se manifeste enfin, et exige de ne traiter qu’avec Talia Sorel. Comment la connaît-il ?
Dès lors va se dérouler un duel psychologique d’une tension extrême, et pour une fois, le blurb (cet éloge emphatique imprimé sur la couverture) ne ment pas : ce thriller est bien « implacable et addictif ». Aucun temps mort, et malgré une chronologie parfois chamboulée et des lieux différents, on ne se perd pas.
Le personnage principal est un manipulateur hors pair, mais il s’est peut-être un peu trop surestimé. Le lecteur en tout cas ne peut décrocher avant la fin.
Comment deux cars remplis d’enfants en route pour les sports d’hiver peuvent-ils disparaître sans laisser de trace ? Pour Thomas Shepherd, le commissaire en charge de l’affaire, il est impératif de résoudre cette énigme rapidement pour calmer une opinion publique en ébullition. Cependant, les forces de l’ordre peinent à trouver la moindre trace des véhicules ou de leurs occupants. C’est presque un soulagement quand les ravisseurs finissent par prendre contact avec la police. Sauf que leur chef, un manipulateur hors pair, ne veut parler qu’à Talia Sorel, une jeunette à peine sortie de sa formation de négociatrice. Saura-t-elle se montrer à la hauteur?
Kidnappings, prises d’otage, négociations et rançons faramineuses... Voilà qui change du meurtre, souvent central dans les romans policiers! Comme diraient nos amis anglophones, variety is the spice of life et je suis généralement bien disposée envers un livre qui me sort de mes habitudes. « Duel » ne m’a pas déçue et je me suis laissée rapidement emporter par une intrigue au rythme savamment étudié. Les personnages, sans être trop envahissants - je déteste quand les policiers nous servent leurs états d’âmes à longueur de pages -, étaient suffisamment étoffés que pour tenir la distance. Le grand vilain méchant m’a un peu rappelé « le serpent » si vous avez vu cette série sur Netflix!
J’ai écouté ce roman en audio. Les descriptions de Frank Leduc , très cinématographiques, s’y prêtent particulièrement bien! Par contre, les intonations du narrateur, montantes en fin de phrase comme dans les reportages, ne m’ont pas toujours semblées justes. Pas de quoi m’empêcher d’aller jusqu’au final digne d’un Mission Impossible, toutefois!
Wahou, la claque ! Je n'ai presque pas envie de recommencer un livre ensuite tellement j'ai adoré celui-ci. J'ai trouvé cette histoire sensationnelle, l'intrigue est haletante et surtout très bien ficelée. On est pris dans l'engrenage de l'histoire, nos yeux courent d'un bout à l'autre de la page pour savoir ce qui va se passer ensuite... Et le piège se referme sur nous. Le tout sans scène ultra gore, ce qui fait plaisir ! C'est pour ce genre de roman que j'adore lire et que je suis admirative des auteurs et autrices.
Globalement, j’ai bien aimé ce thriller rythmé et intelligent. L’intrigue est solide, le suspense bien mené et les personnages crédibles. Frank Leduc installe une tension constante et joue habilement avec les émotions du lecteur. Une écriture fluide, efficace et un récit qu’on ne lâche pas avant la fin.
J'ai beaucoup aimé tout ce qui concernait l'enquête et la négociation, c'est bien fait et avec pas mal de rebondissements. En revanche j'ai été déçue qu'on sache très vite ce qui est arrivé aux enfants et ce que font, pensent les kidnappeurs. Cela enlève pas mal de suspense et de questionnements.
Agréable lecture. Bon thriller. Quelques points incompréhensibles mais rien de fâcheux. On ne s'ennuie pas. Le personnage de l'héroïne est plus intéressant et mieux construit.
Dans ce thriller nous allons être les témoins des efforts déployés pour résoudre le mystère troublant de la disparition de deux autocars scolaires transportant des enfants. L'auteur, crée une atmosphère lourde qui plonge le lecteur dans une situation complexe et maléfique. Le roman met en scène un affrontement fascinant entre deux personnages exceptionnels : Talia Sorel, une négociatrice expérimentée du RAID confrontée à des manipulations, chargée de diriger les pourparlers lors de la prise d'otages, et Gérald Mansour, un manipulateur redoutable à l'origine de l'enlèvement des enfants. L'intrigue tourne autour de ce face-à-face captivant entre les deux protagonistes. Franck Leduc tisse habilement une toile d'intrigue, révélant progressivement des éléments qui m'ont bluffé par leur ingéniosité diabolique. Chaque détail est soigneusement orchestré, et le suspense monte crescendo, ponctué de rebondissements imprévisibles. À mesure que l'histoire progresse, la tension devient de plus en plus insoutenable, nous faisant traverser toute une gamme d'émotions. "Duel" se révèle être un thriller palpitant et intense, difficile à lâcher. Les chapitres courts et rythmés, ainsi que le style fluide, contribuent parfaitement à l'atmosphère de plus en plus oppressante alors que nous plongeons dans ce récit glaçant. L’écriture a su m’emporter dans les scènes d’action et de suspense tant et si bien que je pense que ce roman servirait parfaitement de scénario cinématographique tant les scènes lues ont un côté visuel très fort. La personnalité du kidnappeur ajoute une dimension psychologique malsaine et retorse au duel. Sorel se retrouve confrontée à une tâche ardue pour protéger les enfants. Au fil des pages, on apprend à admirer cette femme dotée d'une intelligence aiguisée et d'un courage inébranlable. Le fait que ce soient des enfants qui aient été enlevés ajoute une angoisse supplémentaire quant à leur sort. Les nombreux flashbacks offrent des retours dans le passé qui renforcent le suspense. Un thriller captivant et impitoyable qui nous plonge dans les méandres de l'esprit humain, véritable œuvre d'art. Bonne lecture.