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La Chambre des diablesses
442 accusés de commerce de sorcellerie.
36 condamnés à mort, dont ma mère, brûlée vive.
Sur ordre du roi. Et moi, sa fille, dois-je tout dire pour sauver ma tête ?
Depuis cinq heures du matin, la foule rassemblée devant le bûcher piaffe d'impatience de voir brûler celle que l'on surnomme " la Voisin ". Son supplice sera le divertissement à ne pas manquer. Ordre du roi.
On ne badine pas avec la colère de Louis XIV.
Accusée de sorcellerie et de crimes atroces, elle repousse le curé qui tente de sauver son âme et s'agite comme une possédée.
- Allez tous vous faire foutre !
Et d'un seul coup la fumée montant vers le ciel emporte les cheveux fondus de la plus redoutable empoisonneuse de Paris.
Bientôt, on soupçonne de complicité sa fille âgée de vingt et un ans. Ainsi, Marie-Marguerite devra tout dire : livrer les secrets de sa mère, révéler ses formules et la liste de ses clients dans la haute noblesse courtisane.
Mais cela suffira-t-il à sauver sa tête ?
L'un des plus gros scandales qui ébranla le règne du Roi-Soleil est ici raconté avec la truculence et la précision historique si singulières d'Isabelle Duquesnoy.
36 condamnés à mort, dont ma mère, brûlée vive.
Sur ordre du roi. Et moi, sa fille, dois-je tout dire pour sauver ma tête ?
Depuis cinq heures du matin, la foule rassemblée devant le bûcher piaffe d'impatience de voir brûler celle que l'on surnomme " la Voisin ". Son supplice sera le divertissement à ne pas manquer. Ordre du roi.
On ne badine pas avec la colère de Louis XIV.
Accusée de sorcellerie et de crimes atroces, elle repousse le curé qui tente de sauver son âme et s'agite comme une possédée.
- Allez tous vous faire foutre !
Et d'un seul coup la fumée montant vers le ciel emporte les cheveux fondus de la plus redoutable empoisonneuse de Paris.
Bientôt, on soupçonne de complicité sa fille âgée de vingt et un ans. Ainsi, Marie-Marguerite devra tout dire : livrer les secrets de sa mère, révéler ses formules et la liste de ses clients dans la haute noblesse courtisane.
Mais cela suffira-t-il à sauver sa tête ?
L'un des plus gros scandales qui ébranla le règne du Roi-Soleil est ici raconté avec la truculence et la précision historique si singulières d'Isabelle Duquesnoy.
456 pages
Published March 7, 2024
4 people are currently reading
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Community Reviews
Displaying 1 - 22 of 22 reviews
June 6, 2024
Allons droit au but, j'ai adoré ce roman historique qui nous raconte l'histoire de Catherine Deshayes dite "La Voisin" et de sa fille Marie-Marguerite, à l'époque du Roi Soleil. La Voisin n'est pas une femme comme les autres…Sage-femme, empoisonneuse, voyante et… sorcière. Ses "talents" attireront la haute noblesse qui lui demandera poisons et potions pour se venger d'un mari, tuer une maîtresse, récupérer l'attention de son partenaire…
Je me suis délectée, parfois avec effroi, de cette histoire glaçante. Il faut la lire pour y croire, mais même en lisant ces quelque trois cents pages, on ne peut s'empêcher de se questionner : l'Homme est-il capable de tant de cruauté et de monstruosité ? On éprouve de la peine et on s'inquiète pour Marie-Marguerite. La pauvre n'est pas née dans la bonne famille. La Voisin est un personnage très ambigu… On croit percevoir en elle parfois une lueur d'humanité, de la peur, de l'amour même… Mais on la voit choisir le mauvais chemin et l'on comprend qu'il n'y aura aucun retour en arrière possible. Pas après tous ces mensonges, ces crimes et ces atrocités.
La plume d'Isabelle est exquise et crue selon le contexte et les personnages concernés. On se plaît à les exécrer et la répartie de certains nous fait glousser par moments. L'immersion dans l'époque du Roi Soleil est totale, grâce aux descriptions et aux explications des mœurs.
Conclusion : foncez. Moi, je vais aller voir pour lire d'autres romans de l'auteure !
Je me suis délectée, parfois avec effroi, de cette histoire glaçante. Il faut la lire pour y croire, mais même en lisant ces quelque trois cents pages, on ne peut s'empêcher de se questionner : l'Homme est-il capable de tant de cruauté et de monstruosité ? On éprouve de la peine et on s'inquiète pour Marie-Marguerite. La pauvre n'est pas née dans la bonne famille. La Voisin est un personnage très ambigu… On croit percevoir en elle parfois une lueur d'humanité, de la peur, de l'amour même… Mais on la voit choisir le mauvais chemin et l'on comprend qu'il n'y aura aucun retour en arrière possible. Pas après tous ces mensonges, ces crimes et ces atrocités.
La plume d'Isabelle est exquise et crue selon le contexte et les personnages concernés. On se plaît à les exécrer et la répartie de certains nous fait glousser par moments. L'immersion dans l'époque du Roi Soleil est totale, grâce aux descriptions et aux explications des mœurs.
Conclusion : foncez. Moi, je vais aller voir pour lire d'autres romans de l'auteure !
October 12, 2023
4.5⭐️
Je l'ai aimée cette Voisin, célèbre empoisonneuse sous Louis XIV.
J'ai aimé son langage cru mais vrai, son cours d'éducation sexuelle, qui m'a bien fait sourire.
Mais je l'ai également détestée cette Voisin.
J'ai détesté cette soif de toujours plus, sa sauvagerie, sa cruauté
Premier livre d'Isabelle Dusquenoy, le prochain sera certainement LA PÂQUELINE.
Je l'ai aimée cette Voisin, célèbre empoisonneuse sous Louis XIV.
J'ai aimé son langage cru mais vrai, son cours d'éducation sexuelle, qui m'a bien fait sourire.
Mais je l'ai également détestée cette Voisin.
J'ai détesté cette soif de toujours plus, sa sauvagerie, sa cruauté
Premier livre d'Isabelle Dusquenoy, le prochain sera certainement LA PÂQUELINE.
May 7, 2024
La Voisin, personnage hors du commun, maligne, vulgaire, sans scrupule et prêt à tout pour se hisser au-dessus de sa condition, racontée par sa fille... De sage-femme à devineresse de pacotille, puis empoisonneuse réputée à la cour de Louis XIV ! Son parcours horrifique, mais teinté d'humour (noir) ! Truculent ! Passionnant !
November 20, 2025
2.5/5 arrondi à 3/5.
J’ai du mal à juger pourquoi je n'ai pas tant accroché que ça, alors que j'adore la période. La fadeur de Marie-Marguerite ? La manière dont le récit est construit ? La plongée superficielle dans le Paris du XVIIème siècle et ses empoisonnements? C’était peut-être trop court pour être traité de manière plus détaillée. Ça ne m’a pas donné envie de lire d'autres romans de cette autrice.
La quatrième de couverture compare l’autrice à Jean Teulé. C’est loin d'être un compliment à mes yeux.
Tl;dr: mouais bof.
J’ai du mal à juger pourquoi je n'ai pas tant accroché que ça, alors que j'adore la période. La fadeur de Marie-Marguerite ? La manière dont le récit est construit ? La plongée superficielle dans le Paris du XVIIème siècle et ses empoisonnements? C’était peut-être trop court pour être traité de manière plus détaillée. Ça ne m’a pas donné envie de lire d'autres romans de cette autrice.
La quatrième de couverture compare l’autrice à Jean Teulé. C’est loin d'être un compliment à mes yeux.
Tl;dr: mouais bof.
February 18, 2023
« La chambre des diablesses » d’Isabelle Duquesnoy s’ouvre en 1680, un jour d’exécution. Trente-quatre exécutions sont annoncées par l’aboyeur publique. Une seule intéresse la majorité de la population, celle de la Voisin. Qui est cette femme que l’on appelle la Voisin ? « D’abord, je ne suis pas empoisonneuse. Hic ! Je suis devineresse. Les astres me causent, les esprits communiquent avec moi. Et j’ai des pouvoirs. Tout le monde m’appelle la Voisin, alors que mon nom est Catherine Monvoisin, tâchez de vous en souvenir, on parlera de moi plus tard…. » Juchée sur une charrette, dans la robe blanche réservée aux condamnés, elle se rend à l’échafaud. Un sort particulier est réservé aux empoisonneuses, une mort lente et atroce : Catherine Monvoisin sera brûlée vive. Lors de ce prologue, on apprend également que sa fille Marie-Marguerite Monvoisin à elle aussi était arrêtée. Elle a 21 ans. Au moment où elle prend la parole, cela fait huit mois qu’elle est enfermée. On attend d’elle qu’elle livre les clients, les complices, les crimes et les recettes de sa mère. Les interventions de Marie-Marguerite se font sous forme épistolaire par des billets adressés à M. de la Reynie (considéré comme le père de la police judiciaire française), a priori le seul en mesure de la sortir du trou à rat dans lequel elle gît. Après ce prologue, le lecteur oscille entre l’histoire de la Voisin et de sa fille, et ses fameuses lettres.
« La chambre des diablesses » sonne comme une confession. Nous sommes sous le règne de Louis XIV. À travers son activité, Catherine Monvoisin est amenée à rencontrer et à aider quasiment toute la cour. Surtout les femmes qui veulent soit se débarrasser d’un mari, d’un amant encombrant ou d’une rivale dangereuse, soit commander des philtres d’amour pour rester dans les petits papiers du Roi. D’abord sage-femme, Catherine Monvoisin va rapidement se tourner vers des activités plus « illégales » comme l’avortement et plus « occultes » comme la divination, puis la sorcellerie. Elle va transmettre tout son savoir à sa fille Marie-Marguerite, du nom de ses clientes (principalement des femmes) aux recettes de ses poisons. L’évolution des demandes de sa clientèle ainsi qu’un léger penchant pour la cruauté vont amener cette femme à franchir la ligne rouge de la morale… de nombreuses fois.
Le portrait de la Voisin croqué par Isabelle Duquesnoy est un enchantement. Isabelle a le verbe haut, le sens de la formule et un humour décapant. On rit beaucoup dans « La chambre des diablesses » grâce aux dialogues piquants et aux situations parfois ubuesques. La Voisin a un caractère épouvantable, sans aucune moralité. Meurtrière à ses heures perdues, infidèle régulièrement, vulgaire de type mégère, elle ne lésine pas sur le chantage, l’augmentation de ses tarifs lorsqu’elle est excédée ou que la demande vient d’une personnalité en vue. Et pourtant, sous la plume d’Isabelle Duquesnoy, il m’a été impossible de détester cette femme… J’ai même ressenti une certaine compassion pour elle dans sa quête pour se faire une place au soleil. Dans un monde où elle n’avait clairement pas sa place, elle est devenue indispensable ! Elle est presque une féministe ancienne génération ! (À prendre au second degré…) L’exercice de style consistant à nous la rendre presque sympathique demandait une dextérité considérable et des recherches historiques colossales. Il fallait raconter tout en lui trouvant des circonstances atténuantes et cela malgré l’horreur de ses actes. Pari réussi ! J’ai également été très sensible à la relation mère-fille explicitée dans le roman. Marie-Marguerite craint sa mère autant qu’elle l’admire. Elle navigue sans cesse entre deux eaux, et cela jusqu’au fond de sa cellule où parler pourrait éventuellement la sauver.
Je ne veux pas oublier le cadre qu’Isabelle Duquesnoy met en lumière dans « La chambre des diablesses », car le roman est aussi la photographie d’une époque. Loin de la cour et de l’éclat, l’atmosphère est sordide et puante. À la cour, on oscille entre faste et crasse, rivalités, convoitises, mesquineries et coups bas. Les préférés d’aujourd’hui sont les bannis de demain, et le personnage d’Athénaïs de Montespan le démontre bien.
« La chambre des diablesses » est une bonne façon de s’immerger dans l’Histoire de France sans le côté barbant, une réconciliation avec le sujet pour les réfractaires en quelque sorte. Ludique et merveilleusement bien écrit, caustique et cynique dans le traitement des personnages, Isabelle Duquesnoy n’a pas son pareil pour brosser ses personnages avec l’humour qui la caractérise. Le monstrueux devient plus admissible, par le sourire, suivi du rire franc. Intelligent, mordant, ce roman vous fera passer un excellent moment de lecture. À découvrir, bien évidemment !
« La chambre des diablesses » sonne comme une confession. Nous sommes sous le règne de Louis XIV. À travers son activité, Catherine Monvoisin est amenée à rencontrer et à aider quasiment toute la cour. Surtout les femmes qui veulent soit se débarrasser d’un mari, d’un amant encombrant ou d’une rivale dangereuse, soit commander des philtres d’amour pour rester dans les petits papiers du Roi. D’abord sage-femme, Catherine Monvoisin va rapidement se tourner vers des activités plus « illégales » comme l’avortement et plus « occultes » comme la divination, puis la sorcellerie. Elle va transmettre tout son savoir à sa fille Marie-Marguerite, du nom de ses clientes (principalement des femmes) aux recettes de ses poisons. L’évolution des demandes de sa clientèle ainsi qu’un léger penchant pour la cruauté vont amener cette femme à franchir la ligne rouge de la morale… de nombreuses fois.
Le portrait de la Voisin croqué par Isabelle Duquesnoy est un enchantement. Isabelle a le verbe haut, le sens de la formule et un humour décapant. On rit beaucoup dans « La chambre des diablesses » grâce aux dialogues piquants et aux situations parfois ubuesques. La Voisin a un caractère épouvantable, sans aucune moralité. Meurtrière à ses heures perdues, infidèle régulièrement, vulgaire de type mégère, elle ne lésine pas sur le chantage, l’augmentation de ses tarifs lorsqu’elle est excédée ou que la demande vient d’une personnalité en vue. Et pourtant, sous la plume d’Isabelle Duquesnoy, il m’a été impossible de détester cette femme… J’ai même ressenti une certaine compassion pour elle dans sa quête pour se faire une place au soleil. Dans un monde où elle n’avait clairement pas sa place, elle est devenue indispensable ! Elle est presque une féministe ancienne génération ! (À prendre au second degré…) L’exercice de style consistant à nous la rendre presque sympathique demandait une dextérité considérable et des recherches historiques colossales. Il fallait raconter tout en lui trouvant des circonstances atténuantes et cela malgré l’horreur de ses actes. Pari réussi ! J’ai également été très sensible à la relation mère-fille explicitée dans le roman. Marie-Marguerite craint sa mère autant qu’elle l’admire. Elle navigue sans cesse entre deux eaux, et cela jusqu’au fond de sa cellule où parler pourrait éventuellement la sauver.
Je ne veux pas oublier le cadre qu’Isabelle Duquesnoy met en lumière dans « La chambre des diablesses », car le roman est aussi la photographie d’une époque. Loin de la cour et de l’éclat, l’atmosphère est sordide et puante. À la cour, on oscille entre faste et crasse, rivalités, convoitises, mesquineries et coups bas. Les préférés d’aujourd’hui sont les bannis de demain, et le personnage d’Athénaïs de Montespan le démontre bien.
« La chambre des diablesses » est une bonne façon de s’immerger dans l’Histoire de France sans le côté barbant, une réconciliation avec le sujet pour les réfractaires en quelque sorte. Ludique et merveilleusement bien écrit, caustique et cynique dans le traitement des personnages, Isabelle Duquesnoy n’a pas son pareil pour brosser ses personnages avec l’humour qui la caractérise. Le monstrueux devient plus admissible, par le sourire, suivi du rire franc. Intelligent, mordant, ce roman vous fera passer un excellent moment de lecture. À découvrir, bien évidemment !
February 10, 2023
Première lecture de cette auteure avec ce titre auquel j’attribue 3 étoiles pour une note plutôt fixée à 3,5 ☺️
Contrairement à beaucoup de romans historiques, pas de pages entières de descriptions. Isabelle Duquesnoy nous offre une immersion fluide agrémentée d’une touche d’humour qui soulage cette lecture aux détails terrifiants … ! Une écriture et un vocabulaire qui donne vie sans peine à cette époque sous nos yeux.
Un roman qui nous livre l’histoire de Catherine Bonvoisin, dite « La Voisin » l’une des célèbres empoisonneuses, condamnée à mort sous le règne de Louis XIV lors de l’affaire des poisons.
On découvre l’évolution de sa carrière qui initialement se passait au chevet des femmes enceintes, comment est-elle passée de sage-femme à empoisonneuse extrêmement sollicitée ?
Même si la fluidité de l’écriture est appréciable, j’aurais d’autant plus apprécié cette lecture avec des descriptions plus denses et un côté psychologique plus approfondi. Cela reste néanmoins une belle découverte avec un très bon moment de lecture
Pour conclure, une lecture qui plaira donc aux lecteurs/lectrices qui sont intimidés ou découragés par les briques habituelles proposées dans les romans historiques, une belle entrée en matière dans ce genre parfois jugé inaccessible ou ennuyeux pour certain(e)s, bref un roman très accessible qui nous tient en haleine d’un bout à l’autre !
Une période hallucinante durant laquelle les gens ont eu recours à des préparations aux ingrédients plus saugrenus, écœurants et aberrants les uns que les autres, une affaire pour laquelle plus de 400 personnes de divers milieux ont été accusées, arrêtées pour la majorité d’entre elles, et condamnées à des peines variées.
Contrairement à beaucoup de romans historiques, pas de pages entières de descriptions. Isabelle Duquesnoy nous offre une immersion fluide agrémentée d’une touche d’humour qui soulage cette lecture aux détails terrifiants … ! Une écriture et un vocabulaire qui donne vie sans peine à cette époque sous nos yeux.
Un roman qui nous livre l’histoire de Catherine Bonvoisin, dite « La Voisin » l’une des célèbres empoisonneuses, condamnée à mort sous le règne de Louis XIV lors de l’affaire des poisons.
On découvre l’évolution de sa carrière qui initialement se passait au chevet des femmes enceintes, comment est-elle passée de sage-femme à empoisonneuse extrêmement sollicitée ?
Même si la fluidité de l’écriture est appréciable, j’aurais d’autant plus apprécié cette lecture avec des descriptions plus denses et un côté psychologique plus approfondi. Cela reste néanmoins une belle découverte avec un très bon moment de lecture
Pour conclure, une lecture qui plaira donc aux lecteurs/lectrices qui sont intimidés ou découragés par les briques habituelles proposées dans les romans historiques, une belle entrée en matière dans ce genre parfois jugé inaccessible ou ennuyeux pour certain(e)s, bref un roman très accessible qui nous tient en haleine d’un bout à l’autre !
Une période hallucinante durant laquelle les gens ont eu recours à des préparations aux ingrédients plus saugrenus, écœurants et aberrants les uns que les autres, une affaire pour laquelle plus de 400 personnes de divers milieux ont été accusées, arrêtées pour la majorité d’entre elles, et condamnées à des peines variées.
April 11, 2023
La Chambre des diablesses est une belle introduction au genre des romans historiques pour qui serait tenté d'en lire : l'écriture est fluide, les descriptions vont à l'essentiel et Isabelle Duquesnoy nous propose des dialogues piquants et une pointe d'humour qui dépote.
Le roman permet de découvrir l'Affaire des Poisons par le biais d'un personnage (Catherine Bonvoisin dite "La Voisin") haut en couleurs, qui réussit à se faire une place dans un monde où elle n'en avait pas. Son caractère, son franc-parler, son opportunisme font d'elle une féministe de l'époque dans une ambiance sordide et puante, loin du bling bling de la Cour.
L'auteure parvient à nous la rendre sympathique et on arrive à comprendre que ses actes, même les plus odieux, sont une question de survie -pour elle et sa famille.
J'ai apprécié l'alternance des "points de vue" entre la narration et les intervention de Marie-Marguerite qui se font sous la forme de billets.
C'est un roman caustique et très bien écrit, qui permet de se réconcilier avec une partie de l'Histoire de France, on ne peut que saluer l'immense travail de recherches en tout genre qui aura été nécessaire à son écriture.
Le roman permet de découvrir l'Affaire des Poisons par le biais d'un personnage (Catherine Bonvoisin dite "La Voisin") haut en couleurs, qui réussit à se faire une place dans un monde où elle n'en avait pas. Son caractère, son franc-parler, son opportunisme font d'elle une féministe de l'époque dans une ambiance sordide et puante, loin du bling bling de la Cour.
L'auteure parvient à nous la rendre sympathique et on arrive à comprendre que ses actes, même les plus odieux, sont une question de survie -pour elle et sa famille.
J'ai apprécié l'alternance des "points de vue" entre la narration et les intervention de Marie-Marguerite qui se font sous la forme de billets.
C'est un roman caustique et très bien écrit, qui permet de se réconcilier avec une partie de l'Histoire de France, on ne peut que saluer l'immense travail de recherches en tout genre qui aura été nécessaire à son écriture.
August 28, 2024
J'ai écoute sur Audible en 2 jours: Fan d'histoire et de la sorcellerie: c'est pour vous.
Marie-Marguerite raconte ici l'histoire vrai de sa mère "La Voisin" dites L'empoisonneuse - 1640-1680. Autrefois sage-femme, celle-ci améliore son talent de soignante pour se plonger dans l'univers de l'ésotérisme, de l'alchimie et du poison. Bien des femmes, tant des soubrettes que des duchesses viendront à sa porte réclamer des prédictions, des filtres d'amour et pire; des poudres/sirops pour de débarrasser de Monsieur. Malheureusement, se rapprochant de plus en plus de Satan, "La Voisin" finira au bûcher pour sorcellerie et empoisonneuse.
Il ne faut pas être allergique aux termes et vocabulaire de la vieille langue française. En effet, l'autrice a tenté de garder le même dialecte de l'époque afin de nous présenter la personnalité de cette femme forte, crue et hostile envers la religion catholique. Une femme haut en couleur qui m'a fait autant rire que de m'effrayer au fil de la lecture. J'ai adoré !!!!
Marie-Marguerite raconte ici l'histoire vrai de sa mère "La Voisin" dites L'empoisonneuse - 1640-1680. Autrefois sage-femme, celle-ci améliore son talent de soignante pour se plonger dans l'univers de l'ésotérisme, de l'alchimie et du poison. Bien des femmes, tant des soubrettes que des duchesses viendront à sa porte réclamer des prédictions, des filtres d'amour et pire; des poudres/sirops pour de débarrasser de Monsieur. Malheureusement, se rapprochant de plus en plus de Satan, "La Voisin" finira au bûcher pour sorcellerie et empoisonneuse.
Il ne faut pas être allergique aux termes et vocabulaire de la vieille langue française. En effet, l'autrice a tenté de garder le même dialecte de l'époque afin de nous présenter la personnalité de cette femme forte, crue et hostile envers la religion catholique. Une femme haut en couleur qui m'a fait autant rire que de m'effrayer au fil de la lecture. J'ai adoré !!!!
November 1, 2024
Bonjour les petits Phoenix! Ça va?...
La chambre des diablesses est un Thriller Français Historique. Regorgeant d'humour et est écrit en "vieux Français"...
L'histoire se passe en 680 (28 Mars). On nous parle d'hérésie, qui est la différence d'avec la religion.
C'est une chasse aux sorcières. Les dernières heures de "Catherine Monvoisin".
Il s'agit de l'histoire de "Catherine Monvoisin". Elle se déroule jusqu'en 1658.
Attention c'est un livre historique et je n'aime pas ça. (J'avais fais une exception pour "Les Démons de Berlin". Qui était rudement bien. Je le maintiens).
On ne s'attache pas aux personnages très "à l'ancienne". Un langage "médiéval" difficile à lire. Exemple de cette façon de parler: "et dans cette attente, je demeure".
Pour un fan d'Urban Fantasy c'est un flop.
Conclusion ? Je ne vous le recommande pas à part si vous êtes un féru d'Histoire.
Phoenix
++
La chambre des diablesses est un Thriller Français Historique. Regorgeant d'humour et est écrit en "vieux Français"...
L'histoire se passe en 680 (28 Mars). On nous parle d'hérésie, qui est la différence d'avec la religion.
C'est une chasse aux sorcières. Les dernières heures de "Catherine Monvoisin".
Il s'agit de l'histoire de "Catherine Monvoisin". Elle se déroule jusqu'en 1658.
Attention c'est un livre historique et je n'aime pas ça. (J'avais fais une exception pour "Les Démons de Berlin". Qui était rudement bien. Je le maintiens).
On ne s'attache pas aux personnages très "à l'ancienne". Un langage "médiéval" difficile à lire. Exemple de cette façon de parler: "et dans cette attente, je demeure".
Pour un fan d'Urban Fantasy c'est un flop.
Conclusion ? Je ne vous le recommande pas à part si vous êtes un féru d'Histoire.
Phoenix
++
April 3, 2024
Quand on pense que ce qui est raconté dans ce roman est emprunt de vérité il y a de quoi être effaré. Autres temps autres mœurs me direz vous mais le pouvoir, l'argent et le cul ont de tout temps été des moteurs puissants. Reste que l'écriture de l'autrice rend la Voisin truculente et qu'on en viendrai presque à la trouver plus pathétique que dangereuse
May 2, 2025
Un récit si incroyable qu'on a du mal à s'imaginer qu'il s'appuie sur des faits réels. Un rise and fall fichtrement bien ficelé, haletant, rythmé avec précision.
Cœurs sensibles s'abstenir : certaines scènes sont particulièrement insoutenables, même si l'autrice ne s'appesantit pas inutilement sur les détails.
Cœurs sensibles s'abstenir : certaines scènes sont particulièrement insoutenables, même si l'autrice ne s'appesantit pas inutilement sur les détails.
June 11, 2023
Il était dans ma Pal depuis un moment et au final je suis plutôt déçue. L'histoire était interdite mais je n'ai pas été transportée. J'ai eu beaucoup de mal avec l'écriture et je n'ai pas eu beaucoup de plaisir à le lire
August 12, 2023
Livre passionnant sur un scandale sous le règne de Louis XIV.
June 28, 2024
Some fun dialogues, but this was just an okay read.
January 11, 2025
3.5⭐
Instructif, drôle, divertissant.
Instructif, drôle, divertissant.
August 5, 2024
je l'ai pris un peu au hasard, et bien ça a réussi !
le livre se lit très facilement, il ne m'a fallu que trois jours pour le finir
l'écriture était vraiment fluide et j'ai adoré les différentes parties du livre (la narration, les lettres), ça donnait bcp de rythme au récit
le livre se lit très facilement, il ne m'a fallu que trois jours pour le finir
l'écriture était vraiment fluide et j'ai adoré les différentes parties du livre (la narration, les lettres), ça donnait bcp de rythme au récit
May 10, 2024
Un roman historique où nous découvrons l’histoire de La Voisin, une sage femme d’origine qui devient la plus grande « sorcière » de son époque (sous Louis XIV) en délivrant à ses clients fortunés des filtres d’amour, des potions pour tuer, etc. L’histoire est racontée par sa fille, enfermée en prison après que sa mère ait été brûlée vive sur le bûcher sur ordre du roi. Les aveux de sa fille lui permettront-ils de sauver sa propre vie ? Un roman dans lequel on plonge avec délectation, d’autant plus que l’auteure a fait de son mieux pour recréer le langage de l’époque de façon compréhensible.
March 13, 2024
"La chambre des diablesses" par Isabelle Duquesnoy
Dans le Paris du XVIIe siècle, un sinistre chapitre de l'histoire prend vie à travers les pages d'un roman captivant. L'histoire redoutable de la plus célèbre des empoisonneuse, symbole de terreur et de mystère, est la protagoniste centrale de cette trame historique, révélant les sombres intrigues de l'époque de Louis XIV.
Le récit s'ouvre sur le destin tragique de Catherine, mieux connue sous le nom de "la Voisin", condamnée au bûcher après un interrogatoire de trois jours. Son implacable chute entraîne dans son sillage sa fille, Marie-Marguerite, jeune femme de vingt et un ans, complice désespérée, contrainte de dévoiler les secrets et les complices de sa mère pour tenter de sauver sa propre tête.
Ce roman historique offre une immersion saisissante dans le Paris tumultueux du Grand Siècle. À travers une écriture fluide et détaillée et recherchée, l'auteure m'a transporté au cœur des ruelles sombres et des salons hantés par les intrigues. L'authenticité de l'époque de Louis XIV se déploie devant mes yeux, révélant les coutumes, les vêtements, et les mystères qui enveloppaient la société de l'époque.
Pourtant, malgré la richesse du contexte historique, le récit peut parfois s'étirer en longueur. Il a peiné par moments à captiver pleinement mon attention, je pouvait me sentir enclin à lâcher prise après plusieurs heures de lecture. Néanmoins, cette critique n'efface pas la valeur intrinsèque de l'œuvre. En effet, "La Voisin" demeure un ouvrage instructif qui offre un éclairage fascinant sur les pratiques et les croyances de l'époque.
À travers les confessions de Marie-Marguerite, j'ai plongé au cœur des ténèbres de l'histoire, découvrant les mystères des enchanteresses, des diableresses et des empoisonneuses qui peuplaient le Paris de Louis XIV. C'est ainsi que se dessine un tableau saisissant d'une époque marquée par la superstition et la violence, captivant malgré ses imperfections.
En conclusion, "La chambre des diablesses" est un roman historique qui offre une lecture à la fois didactive et plaisante, bien que parfois laborieuse. À travers son exploration des sombres et pénibles recoins de l'histoire, il nous invite à plonger dans un passé riche en intrigue et en mystère, révélant les secrets d'une époque révolue mais jamais oubliée.
Dans le Paris du XVIIe siècle, un sinistre chapitre de l'histoire prend vie à travers les pages d'un roman captivant. L'histoire redoutable de la plus célèbre des empoisonneuse, symbole de terreur et de mystère, est la protagoniste centrale de cette trame historique, révélant les sombres intrigues de l'époque de Louis XIV.
Le récit s'ouvre sur le destin tragique de Catherine, mieux connue sous le nom de "la Voisin", condamnée au bûcher après un interrogatoire de trois jours. Son implacable chute entraîne dans son sillage sa fille, Marie-Marguerite, jeune femme de vingt et un ans, complice désespérée, contrainte de dévoiler les secrets et les complices de sa mère pour tenter de sauver sa propre tête.
Ce roman historique offre une immersion saisissante dans le Paris tumultueux du Grand Siècle. À travers une écriture fluide et détaillée et recherchée, l'auteure m'a transporté au cœur des ruelles sombres et des salons hantés par les intrigues. L'authenticité de l'époque de Louis XIV se déploie devant mes yeux, révélant les coutumes, les vêtements, et les mystères qui enveloppaient la société de l'époque.
Pourtant, malgré la richesse du contexte historique, le récit peut parfois s'étirer en longueur. Il a peiné par moments à captiver pleinement mon attention, je pouvait me sentir enclin à lâcher prise après plusieurs heures de lecture. Néanmoins, cette critique n'efface pas la valeur intrinsèque de l'œuvre. En effet, "La Voisin" demeure un ouvrage instructif qui offre un éclairage fascinant sur les pratiques et les croyances de l'époque.
À travers les confessions de Marie-Marguerite, j'ai plongé au cœur des ténèbres de l'histoire, découvrant les mystères des enchanteresses, des diableresses et des empoisonneuses qui peuplaient le Paris de Louis XIV. C'est ainsi que se dessine un tableau saisissant d'une époque marquée par la superstition et la violence, captivant malgré ses imperfections.
En conclusion, "La chambre des diablesses" est un roman historique qui offre une lecture à la fois didactive et plaisante, bien que parfois laborieuse. À travers son exploration des sombres et pénibles recoins de l'histoire, il nous invite à plonger dans un passé riche en intrigue et en mystère, révélant les secrets d'une époque révolue mais jamais oubliée.
June 10, 2024
La chambre des diablesses ☠️
Âmes sensibles d'abstenir! 🛑
"Allez tous vous faire foutre"
Voilà les derniers mots de Catherine Monvoisin dites La Voisin, plus grande empoisonneuse de Paris sous Louis XIV. Brûlée vive en place de Grève pour acte de sorcellerie. Et cette phrase résume à elle seule toute la personnalité de cette femme exhubérante.
Bonne vivante, aimant le luxe , la chair et les belles choses. Un poil provocatrice et n'ayant pas la langue dans sa poche.
Certains passages nous ont bien fait rire, le franc-parler de Lavoisin ou encore les descriptions de certaines scènes ( dont celle de la Royale Crotte 💩).
Mais attention, la réalité refait vite surface, il ne faut pas oublier que ce dont on parle est réellement arrivé. Rapts et meurtres de jeunes enfants, messes noires avec sacrifices, avortements forcés et empoisonnements. Toute la cour royale est corrompue, jusqu'aux personnes les plus proches du Roi.
Et à en vouloir toujours plus, La Voisin s'égare et finit par tomber.
Si vous cherchez un roman avec une forte intrigue ce n'est pas sur celui-là qu'il faut compter : on en connaît l'issue dès le départ. Nous sommes ici, davantage dans un énoncement de faits tirés du témoignage du Marie-Marguerite Monvoisin, sa fille, en direct de sa cellule.
Le travail de l'autrice est spectaculaire, la documentation est complète, les faits historiques précis.
Une part de l'histoire de France à découvrir. On associe l'époque Louis XIV à Versailles, au roi soleil et toute sa splendeur. Il est tout aussi intéressant d'y découvrir les plus sombres coulisses des palais royaux.
@editions_pocket @isabelle_duquesnoy
Vané 🌷 et Sophie 🪷
#bookstagram #bookaddict #booklover #book #bookstagramfrance #livres #livrestagram #livrestagramfrance #livrestagrammeuse #livresaddict #lecturedumoment #lecture #passion #amour #lectureaddict #lectureterminée
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#roman #avislitteraire #avislivresque
#chroniquelitteraire #chroniquelivresque
#bookaholic #roisoleil #lavoisin #empoisonneuse #histoiredefrance
Âmes sensibles d'abstenir! 🛑
"Allez tous vous faire foutre"
Voilà les derniers mots de Catherine Monvoisin dites La Voisin, plus grande empoisonneuse de Paris sous Louis XIV. Brûlée vive en place de Grève pour acte de sorcellerie. Et cette phrase résume à elle seule toute la personnalité de cette femme exhubérante.
Bonne vivante, aimant le luxe , la chair et les belles choses. Un poil provocatrice et n'ayant pas la langue dans sa poche.
Certains passages nous ont bien fait rire, le franc-parler de Lavoisin ou encore les descriptions de certaines scènes ( dont celle de la Royale Crotte 💩).
Mais attention, la réalité refait vite surface, il ne faut pas oublier que ce dont on parle est réellement arrivé. Rapts et meurtres de jeunes enfants, messes noires avec sacrifices, avortements forcés et empoisonnements. Toute la cour royale est corrompue, jusqu'aux personnes les plus proches du Roi.
Et à en vouloir toujours plus, La Voisin s'égare et finit par tomber.
Si vous cherchez un roman avec une forte intrigue ce n'est pas sur celui-là qu'il faut compter : on en connaît l'issue dès le départ. Nous sommes ici, davantage dans un énoncement de faits tirés du témoignage du Marie-Marguerite Monvoisin, sa fille, en direct de sa cellule.
Le travail de l'autrice est spectaculaire, la documentation est complète, les faits historiques précis.
Une part de l'histoire de France à découvrir. On associe l'époque Louis XIV à Versailles, au roi soleil et toute sa splendeur. Il est tout aussi intéressant d'y découvrir les plus sombres coulisses des palais royaux.
@editions_pocket @isabelle_duquesnoy
Vané 🌷 et Sophie 🪷
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April 16, 2023
J'ai été assez surprise de ne pas en apprendre beaucoup plus sur l'affaire des poisons que je n'en savais déjà par mes précédentes lectures : étant donné que ces lectures n'étaient pas axées uniquement sur cette affaire, je m'attendais à découvrir plus de choses. Or, sortit des noms spécifiques de beaucoup de complices de La Voisin et de celui d'autres empoisonneuses, je n'ai pas découvert grand chose.
Ce que j'ai aimé en revanche c'est la critique de la condition féminine à cette époque, le personnage principal et narrateur, Marguerite, et son regard sur l'affaire.
J'aurais probablement apprécié plus de point de vue : Comme celui de La Reynie ou celui , en tous cas, d'un adversaire des "empoisonneuses".
C'était une bonne lecture et si j'avais découvert l'affaire des poisons avec ce livre, elle aurait été passionnante: Je la recommande fortement pour ceux qui ne sont pas renseignés sur le règne de Louis XIV et qui sont intéressés.
Ce que j'ai aimé en revanche c'est la critique de la condition féminine à cette époque, le personnage principal et narrateur, Marguerite, et son regard sur l'affaire.
J'aurais probablement apprécié plus de point de vue : Comme celui de La Reynie ou celui , en tous cas, d'un adversaire des "empoisonneuses".
C'était une bonne lecture et si j'avais découvert l'affaire des poisons avec ce livre, elle aurait été passionnante: Je la recommande fortement pour ceux qui ne sont pas renseignés sur le règne de Louis XIV et qui sont intéressés.
March 29, 2024
Isabelle Duquesnoy, habituée des romans historiques, nous offre de nouveau un roman détaillé et complet historiquement parlant. En partant du point de vue et de la confession de Marie-Marguerite Monvoisin, elle nous raconte la folle histoire de La Voisin, l’une des empoisonneuse les plus connues de Paris sous Louis XIV. L’incroyable destin d’une femme haute en couleur, prête à tout pour le succès.
Un très bon roman qui nous emporte dans cette période fascinante.
Un très bon roman qui nous emporte dans cette période fascinante.
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