Diğer suikastçılarla birlikte, korkunç güçleri olan gizemli bir nesnenin peşinde.
O nesneyi ele geçirebilmek için atası Aquilus'un anılarını yaşamak zorunda.
Tapınak şövalyelerince takip edilen ve dost bildiklerinin ihanetine uğrayan Desmond, geçmişe dönmenin düşündüğünden çok daha pahalıya mal olacağını öğrenecek.
16 milyonun üzerinde bir satış rakamına ulaşan “Assassin’sCreed” adlı bilgisayar oyununun kahramanları, ünlü senarist Corbeyran’ın kalemi ve DjillaliDefali’nin çizgileriyle hayat buluyor ve bizi, tüm oyunseverleri şaşkına çevirecek, bugüne kadar hiç yayınlanmamış, zaman ve bilime meydan okuyan heyecanlı bir maceraya davet ediyor.
Né à Marseille en 1964, Corbeyran vit à Bordeaux depuis 1987. Après avoir travaillé comme animateur de centre de vacances puis comme graphiste free-lance dans la publicité, il fait ses premiers pas dans la bd en signant le scénario de l‘album Les Griffes du Marais (Vents d’Ouest), publié en janvier 1990. 180 albums plus tard, apprécié des aficionados comme du grand public, il est aujourd’hui l’un des scénaristes français les plus en vue. Voyageur immobile, curieux de tout, avide d’images, de rencontres et d’expériences nouvelles, Corbeyran s’intéresse à (presque) tous les sujets et s’attache à explorer (presque) tous les genres, du polar (Garrigue) à la science fiction (Le Régulateur) en passant par l’aventure (Nelson Lobster), le thriller (Pulsions), l’humour (Kid Korrigan) et l'heroïc fantasy (Weëna). Le succès arrive en 1997 avec Le Chant des Stryges (Delcourt), dessiné par Richard Guérineau, un récit dense, complexe et tentaculaire qui jette une lumière inquiétante sur les origines de l'humanité en même temps qu'il pose les bases du renouveau du thriller fantastique en bande dessinée. En 1999, l'association "BD Boum" lui offre la possibilité d'orchestrer une œuvre collective autour de deux univers très particuliers : la prison et la surdité. 4 recueils de récits courts en noir et blanc donnant la parole aux détenus et aux sourds verront ainsi le jour sous la plume de dessinateurs connus (Margerin, Juillard, Mézières, Cabanes, Larcenet, Davodeau, Baudoin...) et moins connus. En 2001, la presse s'intéresse à son travail et, à la demande de la rédaction du mensuel "D.Lire", il crée la série Zélie et Compagnie (Bayard), dessinée par David de Thuin. En 2003, suite à sa rencontre avec le peintre Jean-Pierre Ugarte, il écrit Le Territoire (Delcourt), une fresque fantastique sur le thème de la mort, de l'amour et de la folie, dessinée par Espé. En 2003 toujours, c'est en compagnie du chercheur en informatique Achille Braquelaire qu'il signe Imago Mundi (Dargaud), une série de thrillers scientifiques dessinée par Luc Brahy. En 2005, sa rencontre avec le politicien Nicolas Hamm l'amène à créer La Conjuration d'Opale (Dargaud), une fable épique et ésotérique sur le thème du devenir de l'humanité, sompueusement mis en images par Grun. Si le fantastique occupe une place de choix dans sa bibliographie, Corbeyran n'hésite cependant pas à s’aventurer sur des terrains plus réalistes avec des récits intimistes et émouvants comme Lie-de-Vin ou Rosangella (Dargaud), dessinés par son complice Olivier Berlion (avec il a réalisé plus d'une vingtaine d'albums). Alors qu'une grande partie de sa production est étiquetée "ados - adulte", Corbeyran aime également s’adresser aux plus jeunes, comme en témoignent ses séries Le Cadet des Soupetard (Dargaud) et Sales Mioches ! (Casterman), toutes deux dessinées par Berlion, et plus récemment Natty et Okhéania (Dargaud) dessinées respectivement par Melvil et Picard. En 2006, les amateurs de feuilletons populaires plébiscitent La Loi des 12 Tables (Delcourt), dessiné par Défali, véritable défi scénaristique et graphique (12 épisodes de 30 pages, regroupés en 6 volumes et réalisés en 12 mois : un record !) et, en 2008, ils saluent l'originalité de l'ambitieux projet Uchronie[s] (Glénat) qui revisite la ville de New-York à travers le prisme de 3 réalités élaborées par Chabbert, Tibery et Défali. Corbeyran a obtenu le prix Jacques Lob pour l'ensemble de son oeuvre en 2005. De nombreuses autres récompenses jalonnent sa carrière : prix du meilleur album jeunesse à Blois (1996), Bulle d'Or du meilleur scénario à Brignais (1997), meilleur album à Chambéry (2000) et à Cognac (2007), prix Interfestival (2000), prix Extrapole (2000), prix des libraires Canal BD (2000), prix Tournesol (2002), prix Jules Verne (2005), Coup de Coeur à Sierre (Suisse), meilleur album étranger à Sobreda (Portugal), et, tout récemment, médaille d'argent de l'International Manga Award (Japon).
Χαίρομαι που το αγαπημένο μου παιχνίδι έχει βγει και σε βιβλία ( ακόμα να τα διαβάσω) και σε κόμιξ και έτσι έχουμε και μια εικόνα περί τίνος πρόκειται. Το σχέδιο είναι πολύ καλό, η μετάφραση κομπλέ και δείχνει σκηνές μετά την απόδραση από το υπόστεγο που δεν έδειξαν στο παιχνίδι όπως ο πρόγονος ο Ακουίλος μέχρι να φτάσουν στη βίλα όπως γίνεται στο Brotherhood. Τα 5 αστέρια τα έβαλα μιας και είμαι λάτρης ότι έχει να κάνει με Assassin's Creed. Το μόνο που θα μπορούσα να πω ότι δε μου αρέσει είναι ότι είναι μόνο 50 σελίδες....
Αν κάτι παρέλειψα ν' αναφέρω σε σχέση με το πρώτο comic book της σειράς, είναι πως το art του είναι εξαιρετικά καλό, και αρκετά πιστό στο πρωτότυπο υλικό στο οποίο και βασίστηκε για τη δημιουργία του. Εξίσου καλό είναι και στον δεύτερο τόμο, με την ιστορία να γίνεται και αυτή καλύτερη και πιο επεξηγηματική, αν και η αλήθεια είναι πως σεναριακά ξεφεύγει αρκετά σε σχέση με την ιστορία του video game. Αυτό μπορεί να μπερδέψει τους παίκτες που αποφάσισαν να γίνουν και αναγνώστες του κόσμου αυτού, αλλά λειτουργεί θετικά για τους μη μυημένους στο game, που αρχίζουν πλέον να κατανοούν καλύτερα την φιλοσοφία της ιστορίας αυτής, αλλά και του πως δουλεύει ο κόσμος αυτός που τους φιλοξενεί, καθώς και το πως λειτουργούν, σκέφτονται, πράττουν οι χαρακτήρες.
I think we're going to have to say that this comic is "loosely based" on the video games. In fact, the many incongruencies made it difficult to read for me, or rather - I have to admit that a lot of what's happening in this comic can be argued to have taken place outside the game, but it's a little headache inducing. But overall it's a good read with some nice art. The story suffered from a lack of a) Ezio b) Altair c) Subject 16, but that's just my opinion.
Siendo un fanático del juego desde el principio, debo admitir que la inclusión de nuevos paisajes junto con los paralelismos del juego, hacen que sea un cómic muy entretenido y adictivo de leer.
Otro cosa que me gustó es que tiene efemérides de los acontecimientos históricos reales descritos a pie de página.
Creo que es algo que todo fan de Assassin's Creed, los cómics, y la lectura, debería tener en sus estantes.
Σαφώς δυνατότερο από τον πρώτο τόμο. Ξεφεύγει από το εφηβικό στρογγυλεμένο γράψιμο και ωριμάζει ερχόμενο πιο κοντά στο παιχνίδι και τις ίντριγκες του. Έχω την αμυδρή αίσθηση πως και ο Defali το πήρε λίγο πιο σοβαρά και συμμάζεψε κάπως το σχέδιο του. Ελπίζω να συνεχίσει έτσι.
Η έκδοση της διόπτρας είναι όπως θα έπρεπε να είναι κάθε Γαλλοβελγικό που βγαίνει στην Ελλάδα. BD format με ιλουστρασιόν χαρτί και σκληρόδετο. Η απουσία των έξτρα δεν με ενοχλεί.
Half and half between modern day and the Roman Empire. The story fills in the relatively small gap between AC1 and AC2. It was entertaining seeing Desmond in action. Seeing an ancestor that predates Altier was nice as well.
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Nous retrouvons Desmond après qu'il soit tombé dans les pommes. Desmond se retrouve dans une chambre d'un petit hôtel et demande à Lucy, la jeune femme infiltrée chez Abstergo et qui l'a aidé à fuir, ce qu'il s'est passé. Après une rapide mise à jour, voilà que Rebecca arrive car ils doivent rapidement bouger. D'ailleurs, je remarque que le personnage de Lucy a beaucoup plus de formes que dans les jeux vidéos, du moins dans les opus où elle apparaît.
Néanmoins, les Templiers ne sont jamais loin. Niveau animus, nous suivons l'histoire d'Aquilus, un jeune romain du temps des empereurs romains Salonius, Gallien et Valérien, qui est donc un assassin. Il est en mission pour récupérer un artefact en forme de croix, lié à une déesse égyptienne et donc entouré de mystère. S'en suit une course poursuite, autant à l'époque romaine qu'à l'époque de Desmond car comme le disait son père « Les aigles ne craignent pas les vautours mais ils doivent apprendre à s'en méfier ».
L'aigle représente les assassins et d'après l'histoire, les noms Ezio et Aquilus par exemple se traduisent par le mot aigle et donc je vous laisse deviner ce que veut dire les noms Vultur (sénateur romain de l'époque d'Aquilus) et « ami » de la famille d'Aquilus ainsi que le nom Geier en allemand, qui fait donc parti de l'équipe de Desmond et des Assassins.
Enfin, ce fut vraiment un excellent ouvrage et j'avoue qu'on ne s'attend pas toujours à avoir l'ennemi aussi proche, du coup, les Templiers sont vraiment infiltrés partout et avec cela, on ne sait plus à qui faire confiance. Lucy et Rebecca semblent être les deux rares personnes avec qui Desmond peut partager sa confiance, ses pensées ... Un tome que je conseille évidemment.
I picked up five volumes of the series at the library at once (it's a six part series, but the library cunningly carries only the first five). I picked up them all, because they are very short volumes (about 50 pages or so) with relatively little text on the pages - made to look even shorter by the thick hard covers that take more than 2/3rds of the thickness.
The overall story seems a bit meandering, with no clear plot. New characters get introduced, old ones are forgotten and the only plot there is seems to be some sort of a fight between an old order of Assassins and Knight Templars. This is evinced by assassinations attempts (in which, surprisingly enough, the assassins are the target) and a race to find some ancient relics for one purpose or another.
The creators claim that this is as enjoyable by fans of the game as it is by newcomers, but this is not really true. I know of the games, but have not played them and I cannot make heads or tails of why these two groups keep fighting, how they have got their hands on tech called "Animus" (are they the only ones in possession of these, or are they more common? Who keeps improving them?) that allows them both to explore the "genetic memories" of people (mainly the Assassins who seem to have had dealings with the ancient relics over the centuries).
I haven't read European comics much, but now I see why. I love how dry everything is. And by 'love', I mean 'hate with every fiber of my being'. This crap is barely readable. Take the most cringe-inducing scene in any of the games in the franchise and it's still better than this mess.
Desmond wakes up after many hours of sleep. Lucy reminds him that they are on the run from the resourceful Templars, shootouts and everything. The memories of Desmond's ancestor Altair put the Templars on the path to recover one artifact, while Desmond's new allies used Ezio's memories to find a path of their own. Ezio is another of Desmon's ancestors who lived in Renaiscence Italy. They visit his former house for answers.
Didn't know anything about them but am a fan of the games. Granted I only have 2&5 to read but it's fairly suited comic cash ins for the game. Readable but only if you have played a few of the games. Art is okay, won't wow but panels seem too dark to really take in. But it's enjoyable whilst it lasts.
I am really digging this series! I like the new ancestor and the adventures in between the games. I was wary of reading this at first but I love it. You don't have to have played any of the Ezio games to read this one.
Η ιστορία αποκτά όλο και περισάότερο ενδιαφέρον και οι εικόνες αρχίζουν και μιλάνε από μόνες τους. Όμως, υπάρχουν κάποια στιγμιότυπα που σε κάνουν να πιστεύεις πως "πήδηξες σελίδα". Όπως ο μίνι τσακωμός του Μτέσμοντ με τη Λούσι.
Me gustó, pero creo que es porque conozco algo el juego. No creo que un lector nuevo en la historia disfrute la lectura, aunque sea muy rápida. De las ilustraciones disfruté más las relacionadas con Roma, pero tampoco me parecieron sobresalientes. Aun así, creo que seguiré la serie.
'Assassin's Creed Aquilus' continúa la historia donde la dejamos, con un Desmond mucho más familiarizado con el Animus, y reviviendo las aventuras de Aquilus también donde las dejamos.
Todo ocurre mientras los Asesinos huyen de los templarios en el presente, a los que tarde o temprano tienen que hacer frente. En el pasado, Aquilus es el auténtico protagonista, y por fin conocemos el artefacto milenario que da nombre a la trilogía. Se cierra la historia con un Desmond consciente de su posición y preparado para afrontar el futuro cueste lo que cueste.
Salvando una incoherencia (imperdonable) narrativa del presente, la parte de Aquilus en la Antigua Roma es muy disfrutable tanto estéticamente como argumentalmente. Y es que gran parte de la gracia en Assassin's Creed reside en poder viajar a lugares pretéritos de la mano de personajes carismáticos. En este aspecto, Corbeyran y Defali cumplen.
Definitivamente mejor que el primero y que las novelas, pero igual no voy a seguir con esta saga porque no me entusiasmo tanto.
Reseña del primer tomo y del segundo tomo: (algunos mini spoilers)
Siento que si alguien que no haya jugado el juego agarrara estos cómics, no entendería nada porque las diferentes partes de la historia están medio desconectadas. Todo pasa muy rápido y hay personajes a los que no se presentan pero que de repente son parte de la historia, como Shaun (al que en el juego si presentan). Al haber jugado los juegos, entiendo de que va el cómic (aunque hayan muchas cosas que no pasan en el juego). Igualmente me parece que debería ser más claro con respecto a algunas cosas por el bien de las personas que no jugaron los juegos.
Algunos puntos para destacar son: el dibujo y la presencia del Sujeto 16 desde el principio. Lo que no me gusta: El romace. Dios! Lucy y todo el hand-holding. Ugh.
While the first comic tried to introduce us to the new assassin ancestor of Desmond, this comic goes much deeper into the history.
As all the AC stories, it's about the quest to find another 'Piece of Eden'. I have to admit that this comic's focus on the new Assassin is how it should have been from the beginning. Even the historical background is suprisingly correct (and as a history teacher, I can know).
If you liked Altaïr, you will certainly like Aquilus. He's not as much fun as Ezio and Edward, but like Altaïr he is a serious assassin with a loving wife.
Büyük boy, renkli baskı, gofre ve kısmi lak kapak... Herşey çok satan bir oyunun 360 derecelik pazarlama kampanyasının bir parçası gibi görünüyor, ki gerçekten de öyle.
Assassin's Creed oyunları ile gelişen evrenin bir parçası bu çizgi roman. Oldukça güzel çizilmiş kapak, renkli bir baskı... Ama öykü 48 sayfa içinde gelişip bir yere doğru ilerlemiyor. Bu "fasükül", serinin diğer çizgi romanları ile birlikte anlamlı bir bütün oluşturacak. Belki o zaman bile oyunu tamamen oynamadan bir şey anlamak mümkün olmayacak.