La morte di una madre. La ricerca di una figlia. Una vendetta implacabile.
“Papà ha ammazzato mamma”. Rouen, aprile 1983. Ophélie, sette anni, ha visto tutto o quasi. Ma il padre non è l’unico colpevole. Un altro uomo avrebbe potuto salvare la madre. Da allora Ophélie ha un solo obiettivo, ritrovare i testimoni, mettere insieme i pezzi del puzzle che le rivelerà la verità e, con pazienza, compiere la sua vendetta… Orfanella in un centro di accoglienza, alunna ribelle, poi universitaria che si muove con una falsa identità, ogni tappa della vita di Ophélie sarà segnata dalla sua ossessiva e sconvolgente ricerca.
In un intrigo romanzesco che mischia amore e amicizia, percorso iniziatico e manipolazioni, Michel Bussi tratteggia un affresco sociale degli anni Novanta del tutto inedito.
Michel Bussi est un auteur et politologue français, professeur de géographie à l'université de Rouen. Il est spécialiste de géographie électorale.
Michel Bussi is one of France's most celebrated crime authors. The winner of more than 15 major literary awards, he is a professor of geography at the University of Rouen and a political commentator. After the Crash, his first book to appear in English, will be translated into over twenty languages.
C'est une des premières fois que je lis un livre avec aucune longueur. Je me suis enfilée la dernière moitié en un après-midi tellement c'était prenant!
A questo giro sono abbastanza delusa: non il solito Bussi, tutto si risolve nell’ovvietà, niente colpi di scena ai quali ci ha abituati; il focus rimane l’ossessione di Ophelie per la sua vendetta a tutti i costi. Si legge velocemente ma per una scrittura come la sua NON MI PUÒ bastare 🥲
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Pas du tout compris les notes de ce livre??? C'est niais, hyper répétitif dans les tournures de phrases, Bussi en fait des caisses. Les perso sont pas attachants, j'ai continué pcq j'attendais le plot twist mais vrmt naze, je l'offrirais pas même à qlq que j'aime pas mdr
Първата ми среща с Мишел Бюси започна силно и обещаващо. Романът ме привлече с корицата и анотацията си. Загатваше за емоционална история с много тайни и психологическа дълбочина. До 100-нага страница заявката наистина беше много силна. Седем годишната Офели расте в семейство, в което насилието и алкохола са главни действащи лица. Една вечер, за да се спаси от пияния баща на Офели майка и бяга от дома им, след което е намерена мъртва. Малката Офели вижда трупа на майка си на местопрестъплението и от този момент целия и живот се прeобръща и поема по нов път - в търсене на истината и отмъщението.
Около първата 1/3 на историята действието се провлачи, започнахме да се забиваме в излишни дреболии и несъществени (поне за мен разговори), някак ми липсваше темп и задъханост, каквито очаквам от такъв тип сюжети. Авторът наслагваше напрежение посредством обсебването на малката Офели, която минава през живота фокусирана в желанието да намери отговори и да отмъсти и накрая всичко се оказа изключително банално и тривиално без какъвто и да уау ефект, който аз очаквам от един добър трилър.
Съжалявам мосю Бюси, но определено не ме спечелихте като читател.
« Mon coeur a déménagé » est l’histoire d’un drame familial presque trop banal. Le père boit trop, la mère refuse d’alimenter le vice de son mari, une dispute violente éclate. Course poursuite dans les rues de Rouen. La mère tombe d’un pont, le père part en prison. La famille était mise sous tutelle par les services administratifs. « Cette impression, du haut de mes sept ans, qu’un ogre venait chez nous, vivait chez nous, se nourrissait de notre malheur, dévorait nos seuls bonheurs, repartait mais promettait qu’il allait revenir, impossible de lui fermer la porte, impossible de ne pas le laisser entrer, il avait droit de vie ou de mort sur nous, maman me l’avait répété, à cause de la tutelle, ou de la curatelle, tous ces mots trop compliqués. » Richard Vidame est l’administrateur social qui gère cette famille. La veille du drame, Maja, la mère avait demandé son aide, aide qu’il n’a pas voulu lui apporter. Dans la nuit, Maja meurt. Le père, Josselin Crochet est placé en détention provisoire. Pour celle qui reste, Ophélie dite Folette c’est le début d’une enfance compliquée au sein d’un foyer pour les jeunes qui, comme elle, n’ont plus de parents pour s’occuper d’elle. « Ne vous inquiétez pas pour ça, avais-je envie de leur dire, je ne vous coûterai pas cher en rire et en sourire. Je laisserai tout doucement mon cœur refroidir. Faudra juste lui laisser une petite place dans le frigo. »
« Mon coeur a déménagé » est donc l’histoire de Folette qui ne possède pas grand-chose : un livre de conte de la collection rouge et or que lui lisait sa mère, une colère qui dévaste tout sur son passage, et un désir de vengeance qui ne la quitte pas un seul instant, durant tout le roman. Curieusement, elle ne tient pas son père pour responsable. Sa hargne est dirigée vers Richard Vidame qui avait la possibilité d’agir et qui ne l’a pas fait.
Quand elle intègre le foyer, nommé la prairie, Folette va rencontrer plusieurs personnes qui vont devenir essentielles dans sa vie. D’abord, Nina, une petite fille très empathique, qui comprend les souffrances et les silences. Puis Béné, une éducatrice qui aime son métier qu’elle juge d’utilité publique, et qui va vraiment prendre Folette sous son aile. Enfin, Steevy…
Puisque « Mon coeur a déménagé » est une histoire de vengeance, le récit s’articule autour de plusieurs temporalités : 1983, 1989, 1995. Le lecteur suit l’évolution de Folette au fil du temps, sans voir ses résolutions faillir un seul instant. « Richard Vidame est un salaud, une ordure qui n’hésite pas à écraser les autres. À les sacrifier. Il a construit sa carrière sur un mensonge. Un parasite. Un parasite que j’écraserai ! » Au gré de son enquête, plusieurs personnages viendront se greffer à l’histoire tel Lazare Kerédern, ancien policier à la retraite. Parallèlement, Michel Bussi fait aussi de « Mon coeur a déménagé » un roman choral où plusieurs personnes prennent la parole et confient au lecteur ce qu’ils savent des évènements, mais aussi ce qu’ils cachent.
« Mon coeur a déménagé » est aussi une fresque sociale, celle des années 90. Michel Bussi y intègre de nombreuses références de cette époque-là qui sentent bon mon adolescence. À travers les personnages de Vida et de Béné, il oppose deux réalités du métier d’éducateur. Pour Béné, puissante empathie, grande patience, forte écoute, riche de solutions. Pour Vidame, c’est une autre histoire que je vous laisse découvrir.
L’atmosphère du roman est, elle aussi, singulière. D’une part, Folette baigne dans l’univers des contes, grâce à ce livre qu’elle emporte partout, qu’elle lit et relit sans cesse. « Si tu les lis, jusqu’à les connaître par cœur, ces contes te serviront toute ta vie. » Pourtant, par opposition à ce monde, un peu féerique, « Mon coeur a déménagé » dégage aussi une violence qui anime, un désir de vengeance qui oblige à se lever le matin, une haine savamment nourrie. « Si tu savais, à l’intérieur, le givre qui m’emprisonne. Je ne suis qu’un bloc de glace. Sans aucun sentiment. Aussi coupant qu’un diamant. » Cette quête obsessionnelle de la vérité peut engendrer quelques erreurs de parcours de vie mais comment ne pas s’associer aux déchirements de Folette ? « Mon coeur a déménagé » est aussi un très bel hymne à l’amitié et à l’amour entre une fille et sa mère.
« Mon coeur a déménagé » se distingue par son réel pouvoir d’apporter joie et évasion à son lecteur, une invitation à un voyage, une échappée hors du temps vers un monde parallèle de réel divertissement. Ce roman se présente comme un compagnon fidèle pour ceux qui cherchent à s’évader un peu du quotidien. Michel Bussi jongle avec le suspense de l’intrigue, les informations distillées au compte-gouttes pour créer une atmosphère suffisamment électrique pour accrocher son lecteur. « Le style Bussi » repose souvent sur une trame narrative ingénieuse, des personnages émouvants, des retournements de situation inopinés. Mais ce livre va au-delà du simple passe-temps, il peut devenir un refuge, une pause bienvenue dans la réalité parfois trop angoissante. Les émotions résonnent à travers ces pages, offrant un baume pour une âme fatiguée qui a besoin de douceur. C’est une bouffée d’air frais, une bulle d’évasion où le lecteur peut relâcher les tensions du quotidien et se laisser emporter par le simple pouvoir de la narration.
« Mon coeur a déménagé » captive, émerveille et laisse un sourire sur le visage de ceux qui ont eu le privilège de s’y plonger. J’indique que dix pour cent des droits d’auteurs sont reversés au Secours populaire. Raconteur d’histoire et philanthrope.
Bussi ama cambiare genere in ogni sua opera per sorprendere i suoi lettori ma questo non sempre corrisponde al soddisfarli. Apprezzo molto l’autore francese per le storie che crea ma, ultimamente, non riesco a sintonizzarmi con le trame diverse (e senza un punti di riferimento) che architetta. È un po’ come comprare un libro al buio non sapendo quale genere di trama incontrerai nel nuovo romanzo.
“Ophélie si vendica” e esattamente questo: la storia di una tredicenne cresciuta in comunità che attende di poter indagare sulla morte della madre per far pagare pegno a chi ha contribuito ad adombrare ciò che accadde nella notte in cui rimase orfana.
La narrazione che avviene come un racconto diretto ai personaggi mi ha annoiata, ci sono pochi dialoghi e, sebbene sia tutto poco macchinoso, questa scelta rallenta la lettura diminuendo il grado di coinvolgimento. Anche la trama in sé non ha colpi di scena, è tutto molto prevedibile.
Diciamo che di Bussi ho preferito altro e questo è un romanzo bypassabile.
C'était mon 5e Michel Bussi. J'ai adoré Nymphéas noirs ainsi que Sang famille, mais cette dernière publication n'a pas su gagner mon coeur...
👾Je me sens comme une extra-terrestre, je ne vois pratiquement que des bonnes critiques au sujet de ce roman! J'avais hâte de le lire, mais je ne suis jamais parvenue à entrer dans l'histoire. Il avait pourtant tout pour me plaire! Malheureusement, je ne ressentais pas le suspense, je ne me suis pas attachée au personnage principal et le récit ne me captivait pas le moins du monde. Ouch, je n'aime pas écrire ce genre d'avis! 😣
Je vais couper court à ma chronique, car je n'étais visiblement pas la bonne lectrice pour ce livre. Je ne doute pas qu'il plaira davantage à d'autres!
Retrouvez mes critiques sur Instagram! Virginie.roy.auteure 💖
Encore un coup de cœur signé Michel Bussi. C’était une lecture chargé en émotion avec sujet lourd, j’ai du plusieurs fois faire des pauses tellement j’étais impliqué dans l’histoire. L’intrigue a tout de suite su m’attraper, comme c’est souvent le cas avec cet auteur finalement. C’était pourtant pas du tout mon style à la base.
J’ai adoré ce choix d’écriture, être dans la tête de Folette et écrire à un personnage différent à chaque chapitre.
L'ho trovato abbastanza banale, soprattutto all'inizio. Si salva grazie a diversi colpi di scena che intervengono dalla seconda metà del libro e a un finale che mi è piaciuto, ma siamo molto lontani dalle ambientazioni e dalla storia di "Ninfee nere". 3,5 stelle.
Très facile à accorder 5 étoiles. Michel Bussi fait ce qu'il fait le mieux dans Mon Cœur à Déménagé - il nous surprend avec tous ses virages sortis de nulle part. Un mensonge est comme un oignon - il y a toujours une autre épaisseur a enlevé. Je ne pouvais rien faire d'autre une fois que j'ai ouvert ce bouquin.
Très prenant ! on suit l'histoire d'Ophélie, cherchant à venger la mort de sa mère. le suspense est à son comble jusqu'au dernier moment, tout est écrit de son point de vue, on a du mal à s'arrêter quand on commence ce livre .
j'avais adoré nymphéas noirs donc j'ai voulu retenter l'expérience bussi mais sérieusement c'était bof, trop niais, des formules inutilement alambiquées, je répète : trop niais (la scène dans les derniers chapitres avec nina et karim je vais c r i e rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr), et le mensonge inutile de la fin
déjà que j'en avais ras le bol qu'à plusieurs reprises les proches de l'héroïne la force, tu sais pas pourquoi, à reparler à son père ALCOOLIQUE et TOXICO, qui a potentiellement tué sa MERE, qui lui a fait vivre un enfer de sa naissance à ses 7 ans c'est juste trop chelou d'insister mais en plus de ça avoir fait planer qu'il était en fait innocent non mais en fait il l'a fait non mais en vrai il a rien fait et finalement l'histoire est d'une banalité affligeante puisqu'en réalité il a littéralement et réellement balancé son épouse par-dessus la passerelle parce qu'elle ne voulait pas lui donner d'argent pour nourrir ses addictions non mais ? et finalement à la fin l'héroïne ne sait même pas que c'est bien son père qui a tué sa mère ET lui dit par SMS qu'elle l'aime avant qu'il meure mais c'est quoi l'utilité ? est-ce que c'est censé nous émouvoir que les derniers mots lus par une crevure soient aussi doux lol ?
d'ailleurs je suis étonnée qu'on présente l'auteur comme "le roi du twist" et qu'on insinue que ce roman en comporte le moindre, si c'est le cas ça a floppé ; autant le twist de nymphéas noirs était absolument magistral à mon sens mais là il n'y en a aucun puisque chaque personnage est bel et bien dans le même rôle du début à la fin
ma seule consolation c'est qu'une partie de mon argent sera reversée au secours populaire (et comme je suis du genre à laisser plusieurs chances je vais sans doute reretenter l'expérience bussi j'avoue)
L'histoire s'écoute d'une traite. C'est une sombre affaire de vengeance, pleine d'amertume et de drame, mais le suspense tient en haleine. Les soupçons n'auront d'ailleurs de cesse de nous tenailler jusqu'à ce que le dénouement survienne, après moult rebondissements. Du Michel Bussi conforme aux attentes. En tant que lectrice, je ne suis pas du tout sensible au ton larmoyant et au contexte misérabiliste du récit. Ni à l'obsession (maladive) de l'héroïne. C'est pesant. On sent une gamine détruite et minée par le meurtre de sa mère. Et qui va se construire sur ce refus d'oubli et de pardon. Elle a de plus désigné son coupable idéal et va avancer dans la vie pour détruire cette personne. C'est déroutant. Mais j'en conviens - c'est très accrocheur car j'ai gobé le livre d'une traite. L'adaptation audio a assurément sa part de responsabilité tellement elle est bien ficelée. La voix de la comédienne, Laure Filiu, évolue au fil du temps. Entre la fillette de sept ans à la jeune femme d'une vingtaine d'années, elle se met au diapason et absorbe la rage d'Ophélie, surnommée Folette, tout au long des chapitres. Et même si j'éprouvais peu de sympathie pour son personnage, j'étais néanmoins scotchée à son idée fixe. Aura-t-elle gain de cause ou pas ? Ça se discute, donc. Pour moi, ce rendez-vous reste une écoute plaisante et efficace. Et j'ai une pensée pour toi, papa ♥, qui lisais fidèlement M. Bussi...
J’ai mis du temps à me mettre dans l’histoire et je ne me suis pas vraiment attachée à Ophélie, je l’ai même beaucoup jugée et j’en avais marre qu’elle cherche à se venger à tout prix et qu’elle ne croit pas son père, j’avais l’impression qu’elle devenait folle. Mais quand on voit la fin, on se rend compte que on se fait mener en bateau depuis le début. Mais j’ai adoré les nombreux rebondissements sur la dernière partie du livre à partir du moment où Ophélie se retrouve en prison la c’est incroyable parce qu’on se fait avoir, on y croit jusqu’au bout et non au final. Tout était « juste » un féminicide par un mari alcoolique. Bref vive Nina et Antoine (et Steevy) Ah et la fin avec Karim et Nina !!! Je suis trop heureuse qu’elle ait sa famille « parfaite ».
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Bello, caratterizzazione dei personaggi e trama avvincenti, e poi i gatti..... Come sempre pieno di colpi di scena, stavolta meno eccessivi, non so nemmeno io se è una critica o un complimento rispetto ad altri lavori di Bussi comunque a me è piaciuto molto. Purtroppo non letto da Paolo Cresta come gli altri ma interpretazione sempre ottima, e poi la protagonista è una ragazza per cui una donna come lettrice ci stava. Adesso aspettiamo la prossima pubblicazione, speriamo presto!
J'ai encore consacré mon we à un roman de bussi. L'intrigue est très bien menée ! Il est impossible de s'en détacher. Il y a beaucoup de rebondissement à la fin peut être trop. C'est vraiment la seule critique.
4.5 / 5 ⭐️ Encore une petite pépite, même si c'est n'est pas mon préféré de l'auteur j'ai dévoré la seconde moitié du roman je n'arrivais pas à m'arrêter
Un livre digne d’un Bussi, on retrouve toute la patte de l’auteur. L’histoire est très bien ficelée jusqu’à la fin. On ne perd pas une miette du récit !
L'histoire d'un drame familial et d'Ophelie qui veut venger sa maman coûte que coûte et rivalise d'inventivité pour parvenir à ses fins. Une histoire de David contre Goliath, ou les apparences peuvent parfois être trompeuses. Beaucoup aimé.