Une maison familiale en bord de mer qui traverse les générations. L’atmosphère des vacances, la nostalgie de l’enfance, les rires, les chamailleries, les grandes tablées… Et les souvenirs qui restent pour toujours… Julie, trentenaire parisienne, retourne dans la maison de famille en Loire-Atlantique pour y passer un dernier été. L’oncle Albert souhaite la vendre afin de récupérer sa part et toute la famille se réunit une dernière fois. Les retrouvailles sont empreintes de nostalgie, car les murs ont tout vu et tout entendu. Les jeux d’enfants, les crises d’adolescence, les cousinades, les rires, les pleurs, les discussions à n’en plus finir, les rencontres... Pour chacun, se séparer de la maison est douloureux à accepter. Encore plus pour Julie, qui vit une période extrêmement difficile. Enceinte de sept mois et demi, elle a perdu son compagnon quelques mois auparavant et ses repères avec. Les souvenirs liés à la maison aideront-ils la jeune femme à avancer ?
Grand Angle propose de redécouvrir La maison de la plage, un récit intimiste et bouleversant en trois temps (de nos jours, 1968 et 1960) dans une nouvelle édition.
Séverine Vidal est née en 1969. Après des études de Lettres, elle se souvient que, petite, elle adorait jouer à la maîtresse dans son garage avec des élèves découpés dans du carton. Elle devient donc professeur des écoles, pour de vrai cette fois. Elle écrit des tas d'histoires pour enfants qu'elle commence à envoyer aux éditeurs en 2009. Depuis, les réponses positives s'enchaînent : albums, BD, romans jeunesse (4 parutions en 2010, une vingtaine de titres prévus en 2011/2012). Elle adore cette nouvelle vie, pleine de rencontres, de rires et de liberté ! Elle se consacrera à l'écriture à temps plein, dès la rentrée 2011.
Pocas cosas pueden interesarme más que ese subgénero de historias costumbristas en las que, tras un fallecimiento, una familia se reúne para poner las cosas en orden y decidir qué hacen con las posesiones del difunto. Los franceses son, por cierto, especialistas en esta temática tan concreta. Y ‘La casa de la playa’ es un ejemplo que se ciñe a la perfección a lo que se espera de estas historias de familias burguesas francesas con interrelaciones al estilo Mediterráneo y sutiles rencillas históricas y universales.
En la primera parte, en la actualidad, vemos el que puede ser el último verano en la casa familiar y como el grupo negocia para intentar salvar lo que ya parece condenado. En la segunda parte se nos cuenta el primer verano en el que, siendo todos jóvenes, se adquirió y remodeló la casa. En la tercera, sorprendentemente, se nos cuenta la historia de la casa antes de que la familia llegase a ella, y se resuelve un pequeño secreto del que nadie sabe nada. La historia está bien contada y gloriosamente ilustrada. Quiero destacar el magnífico uso de una tonalidad distinta para cada época narrada.
Personalmente ha habido dos cosas que no me han gustado: que son demasiados personajes y es difícil entender el quién es quién en general y especialmente cuando damos un salto atrás de varias décadas; y que el último tercio es excesivamente lacrimógeno y sentimentaloide. Creo que la novela gráfica habría funcionado mejor con menos personajes y sin un giro de argumento tan pretendidamente sorprendente y emocional como innecesario. Aun así me ha parecido un libro muy disfrutable tanto visual como literariamente.
Julie a récemment perdu son compagnon. Alors qu'elle commence tout juste à remonter la pente, elle apprend qu'un de ses oncles souhaite vendre Les Trémières, la maison située sur la côte Atlantique où sa famille s'est toujours réunie pour les grandes vacances. Ce dernier été tous ensemble risque d'avoir un goût un peu particulier...
"La maison de la plage" remonte le temps pour raconter des moments-clés de la vie des Trémières à trois époques différentes: 2018, où débute le roman graphique, puis 1968, lorsque les grands-parents de Julie firent l'acquisition de la maison, et 1959, à l'arrivée des propriétaires précédents. Un secret lié au papier peint de la chambre jaune sert de fil rouge à toute l'histoire.
J'avoue avoir été assez peu touchée par la dernière partie, vue à travers les yeux d'une fillette de 8 ans dont la réaction à un événement qu'on devine très vite m'a paru quelque peu... exagérée. En revanche, les pages consacrées à Julie et aux siens m'ont beaucoup émue, sans doute parce que j'y ai retrouvé des situations et des sentiments très universels. Les divergences et les querelles au sein d'une fratrie. Le soutien inconditionnel qu'on peut trouver auprès de sa famille (quand on a eu de la chance à la loterie de la naissance). L'ancrage profond que donnent les souvenirs d'enfance et les habitudes partagées. La douceur des amitiés d'adolescence qui survivent à l'âge adulte. La continuité d'une génération à l'autre, d'une époque à l'autre. Et, comme sur la couverture, la force qu'on tire des gens qui nous encadrent pour faire face aux vagues de l'existence.
Aquests dies m'empasso les novel·les gràfiques en una tarda. Són fàcils de llegir i captiven per la combinació entre diàlegs i il·lustracions.
En aquest cas les il·lustracions són fascinants. Víctor L. Pinet ha fet uns dibuixos espectaculars per acompanyar una història familiar costumista i propera.
El relat és senzill però entreanyable. Un altre estiu la família torna a la casa de la platja. Però aquest estiu és diferent. Un dels tres germans es vol vendre la casa i hauran de buscar alternatives.
Un lloc, una família, els vincles, el mar, l'estiu, el dol... Una fantàstica combinació d'il·lustracions precioses ideal per aquest estiu!
Beau et émouvant !! Autour d’une maison de famille et le secret de ce papier peint d’une des chambres qui ne doit pas être remplacé. C’est une histoire où le deuil a une grande place, j’étais au départ un peu déprimée par l’histoire en le lisant mais c’est finalement une belle histoire malgré les moments très tristes
J'ai découvert ce roman graphique à la bibliothèque, le dessin m'a intriguée mais je ne m'attendais à rien en particulier. Aucun regret, c'est une belle pépite que je suis ravie d'avoir emprunté. Nous sommes plongés dans une magnifique histoire remplie d'émotions et de douceur. À découvrir !
Découvert en furetant à la librairie, j'ai été intriguée par le dessin que j'ai trouvé très agréable. En revenant chez moi, je suis tombée sur plusieurs bonnes critiques de cet album. Une très belle lecture avec une construction originale. On s'attache très vite aux personnages et on resterait bien plus longtemps, quelques étés supplémentaires avec eux ! J'ai eu une petite préférence pour la première partie pour laquelle on s'identifie. Les autres histoires apportent un petit plus à l'histoire, une nostalgie, elle donne et montre que la vie continue. J'ai adoré découvrir à reculons l'histoire de cette maison et de ses propriétaires, je n'en dirais pas trop pour ne pas trop dévoiler l'histoire. Le dessin est superbe et se prête totalement à l'intrigue, je ne regrette pas. Foncez, vous ne le regretterez pas !
Une histoire simple, de souvenirs, de mémoire, de famille. Tourner la page ou retomber dans ses souvenirs ? Pas si simple ! J’ai adoré la colorimétrie de ce roman graphique, j’ai été émue en fermant la dernière page. Doux, fort.
Autant j’ai beaucoup apprécié cette intrigue qui mêle les générations et les familles le tout à travers une maison de vacances. Autant j’ai trouvé la réalisation beaucoup trop rapide, beaucoup trop d’éléments/thèmes évoqués ce qui fait que rien a été approfondi…
J'ai beaucoup aimé cet album qui parle d'amour perdu, de deuil, de la joie partagée dans les maisons de famille, des trésors et des souvenirs qu'elles conservent. C'est une histoire à la fois triste et lumineuse.
Enfant, j’étais déjà rêveur. Et je rêvais par exemple de ces fuites le weekend vers une maison de campagne ou près de la mer. Là où on pouvait s’échapper de la monotonie du quotidien et retrouver ses amis et ses proches durant une longue soirée autour d’un bon repas, de rires et de chansons. Les images que l’on recevait des fils que je regardais minot en fait. Et j’aurais aussi aimé ces deux mois d’été dans la même atmosphère familiale et indolente que l’on peut lire dans les souvenirs de Julie et sa smala dans cette douce et mélancolique BD qu’est TOUS NOS ÉTÉS.
Dans ce récit, Julie est une femme en reconstruction et une maman en devenir. Son amour récemment décédé tragiquement, leur bébé qui naîtra dans quelques semaines, elle doit faire face à l’immensité de son chagrin et à l’incroyable bonheur que sera celui de serrer son enfant dans ses bras. Et pour l’aider, elle compte sur le soutien de sa famille et leur havre de paix est cette maison familiale , les Trémières, où tout le monde se réunit en été. Mais cet eden vivrait ses dernières car elle serait mise en vente bientôt. Julie ne veut pas que cela arrive et ses tracas ne feront que croître en apprenant cette nouvelle. Cela aura aussi pour effet de lui faire remémorer certains moments vécus dans cet endroit magique et cette fameuse promesse qu’elle a donnée à sa grand-mère avant son décès. Mais pourquoi ne pas toucher à ce morceau de mur dans la chambre de Julie??? Une histoire comme je les apprécie. De la douceur, de la tristesse, des rires, des souvenirs... L’autrice, Séverine Vidal, via le personnage de Julie, nous exprime l’importance d’un foyer. Cette nécessité et cette chance d’avoir un endroit où l’amour des siens est toujours présent même en leur absence.
La BD est découpée en quatre parties temporelles. Des retours vers le passé pour mieux cerner ce qu’il se passe dans le présent et presque deviner l’avenir. Séverine Vidal, avec ses protagonistes forts et très attachants, aborde moultes sujets comme le deuil, la quête de soi, les racines, l’enfance et aussi l’amour impossible.
Avec les merveilleux dessins teintés de nostalgie, sublimés par une palette de couleurs douces et chaleureuses, le dessinateur VICTOR L. PINEL donne encore plus de puissance et d’intérêt à cette chronique familiale.
Un très agréable moment BD, doux-amer et plein d’espoir, que je recommande assurément à tout le monde.
Adoro las novelas gráficas. Son verdaderas obras de arte porque condensan historias maravillosas con ilustraciones bellísimas para que podamos disfrutar sin necesidad de un montón de páginas de una historia divina. Para mí son como píldoras de felicidad.
Y esta no iba a ser menos. Evocadora, tierna, nostálgica y con su punto de melancolía me ha encantado. Está contada en tres partes desde la actualidad hacía atrás y nos cuenta cómo Jules, sus padres, primos y tíos vuelven a la casa donde han pasado sus veranos desde que la compraron sus abuelos porque su tío Albert necesita dinero y quiere vender su parte.Todos están tristes porque adoran la casa, allí han sido muy felices y no quieren venderla, en especial Jules por el duro momento por el que está pasando. Pero Albert necesita si o si el dinero. Algunos pensarán que es egoísta pero ya veréis el motivo y me diréis que os parece.
Pero aunque esta parece la historia central, a mi lo que más me ha emocionado ha sido conocer a los antiguos dueños de la casa. En especial a Francoise y la historia del papel pintado con globos. Me ha llegado al alma y me ha dejado con él corazón encogido.
Y las ilustraciones...os cuento que son perfectas. Transmiten tanto como el texto. Detalladas y con mucha expresividad nos hacen sentir la nostalgia, el dolor y la alegría en cada viñeta.
Y la edición... súper cuidada con tapa dura y páginas de papel satinado que acarician los dedos como la historia acaricia el alma.
Y... ya no sé qué más deciros para que os animéis a leerla. Vais a descubrir un genero del que os vais a enamorar y vais a disfrutar enormemente. Si empezais caereis llenos de amor en brazos de la novela gráfica y os atrapará. No me digáis que no os he avisado. ☺️
Es una historia muy bonita, se basa en la vida de una casa de verano. El cómic se divide en cuatro partes que son años distintos. En cada parte nos cuentan un poco más sobre las personas que habitaron esa casa y momentos que los marcaron. La historia es muy bonita, dan ganas de vivir en una casa de verano con toda la familia junta. El dibujo es sencillo pero interesante, lleno de matices. Por varios motivos tiene partes agridulces e incluso tristes. Así que en ese aspecto es muy completo. Me dio pena que se terminase tan pronto, quería saber más sobre los habitantes de la casa y si su misterio se descubría...
Un roman graphique tout en tendresse et en émotions.
Tous nos étés raconte le dernier été d’une famille dans leur maison de vacances, avant qu’elle ne soit vendue. Julie, enceinte, y revient avec les siens. Les souvenirs affluent, les tensions refont surface, et un secret ancien plane encore entre les murs.
J’ai été touchée par la douceur du récit, par sa poésie discrète et sincère. Les illustrations m’ont beaucoup plu, elles accompagnent à merveille cette atmosphère nostalgique et pleine d’amour. Et quand la vérité éclate… j’ai été complètement sous le charme.
Un roman graphique qui parle de transmission, de famille et d’amour avec beaucoup de justesse.
Une BD aux dessins qui m'ont conquise, mais le scénario... Un peu moins 😬 Julie et sa famille m'ont touchée, j'étais prise dans leur histoire et leurs émotions. Par contre, je n'ai pas compris les enjeux de la suite de l'histoire. Retourner dans le passé pour retrouver les différentes époques et propriétaires de la maison, et surtout l'origine de l'inscription dans une des chambres, ça ne m'a pas parlé. J'ai trouvé la dernière partie peu réaliste, et la réaction de la petite fille complètement exagérée, ce qui en a fait un récit peu crédible...
C’est sur la recommandation de la revue Les Libraires que je me suis procuré ce roman graphique. Je cherchais d’abord le titre « Le Plongeon » de cette auteure qui n’était pas disponible. Aucun doute que je vais de nouveau me plonger dans les autres albums de Séverine Vidal. Ça m’a plu du début à la fin. Les planches sont bien réussies. L’histoire sur fond dramatique nous captive. Bref, un bon moment de lecture.
La de historias y recuerdos que puede guardar una casa. Las vivencias y los secretos, momentos tan importantes de las vidas de quienes las habitan.
Las casas familiares de verano, de los abuelos en muchos casos son lugares mágicos que guardan tanto que es difícil de explicar, pero fácil de entender si has tenido la suerte de pasar veranos en ellas. Creo que este libro tiene eso, lo sabe trasmitir, mostrar.
Je commence à penser que les romans graphiques sont les meilleures de mes lectures en termes d'émotions. Celui-ci en est une nouvelle fois l'exemple. Il est rudement bien mené, entre secret, tragédies et espoir. Le mélange de tous ces éléments, nous offre un magnifique voyage. Ce qui me plaît le plus, c'est la possibilité d'entrevoir chacun une explication de fin différente. Moi, j'y ai vu beaucoup d'amour, et d'espoir, parfait pour clôturer cette belle lecture.
Le pongo 3*** porque la historia me parece de 2, pero el dibujo es de 4. Historia bastante “plana” con melodrama sin mucha “chicha”. No he empatizado apenas con los personajes y me ha parecido muy básicos. En cambio, el dibujo y el color de Victor L.Pinel, al igual que me paso en Piezas, me parece una genialidad. Me encanta como crea y juega con la luz. Parece un director de fotografía en cómic.
Une petite parenthèse de souvenirs, doux, amères. Les illustrations sont jolies (un peu à l’ancienne), les couleurs sont tamisées et les textes assez touchants. Une maison de vacances et de souvenirs. Après l’avoir fini j’ai eu un pincement, un sentiment étrange de nostalgie. Petite BD à savourer sous un plaid 💫
J’étais un peu mêlé dans l’histoire au début, mais au fil des parties qui font un flashback dans le temps, wow, tous les morceaux se mettent en place et j’en ai même versé une larme à la fin. Et vous allez ensuite revenir lire le premier chapitre pour comprendre tout ce qui avait été dit au début. Magnifique
On se laisse emporter dans une histoire douce et amère qui explore l’amitié, les secrets de famille et le passage du temps avec une sensibilité touchante. C’est une histoire bouleversante et chaleureuse à la fois, pleine de nostalgie et de tendresse.
Una tierna historia sobre la familia y el legado de las casas que habitamos, con sus historias tristes, sus recuerdos vívidos y la sensación de que convivimos con unas fuerzas atemporales que nos rodean allí dónde decidimos morar.